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Des potes pas si hétéros que ça

Chapitre 2

Gay
Après notre petit moment de bonheur, mes potes et moi ne nous rappelâmes pas avant un bon moment. Peut-être était-ce le gêne, peut-être était-ce le manque de temps mais toujours était-il que j’avais taillé mes premières pipes, et que je ne comptais pas m’arrêter là. Un samedi soir, je reçus un coup de téléphone de Louis qui voulait que je passe chez lui pour que l’on se regarde un épisode de notre série favorite. Il habitait à deux pâtés de maison. Une fois dans sa chambre, nous commençâmes à regarder la télé puis au bout d’un moment, Louis s’assoupit. J’observais un instant son visage angélique avant de sortir de sa chambre: s’il me demandait où j’étais allé, je lui répondrais aux toilettes. Mais au lieu de prendre la direction des commodités, je me rendis directement dans la chambre de son frère. Louis avait en effet un grand frère, Antoine, qui était terriblement séduisante. Grand, brun, baraqué, il était très viril, parlait d’une voix rauque un peu cassé et ce qui me marquait à chaque fois que je le voyais, c’était que ses joggings laissaient voir une bosse importante au niveau de son entrejambe.
Je me rendis donc dans sa chambre avec précaution, et allai chercher un de ses caleçons pour me masturber rapidement dedans. J’en saisis un par terre, qui sentait fort le sexe. Je sortis mon chibre, sentant une onde de plaisir me parcourir, puis je commençai doucement à me masturber à l’intérieur. Mon sexe grossit, mon gland prit du volume et je finis par éjaculer dans le caleçon avec un râle de plaisir. Mais à ce moment là, la porte s’ouvrit. Je croyais trouver Louis qui s’était réveillé mais c’était encore pire: Antoine se tenait devant moi, les yeux grand ouverts, me voyant avec son caleçon sur ma bite. Je croyais pourtant qu’il était repartit dans son appartement! Je remontai rapidement mon pantalon, laissai tomber le caleçon puis m’apprêtai à sortir en balbutiant des excuses quand Antoine me retint d’une main forte. Je vis les muscles de son bras se contracter dans son T-Shirt légèrement trop petit pour lui.
"Alors t’aimes ça sentir l’odeur de ma bite? Tu viens souvent là renifler mes caleçons comme un pédé?"
Je ne répondis rien. J’avais honte, je baissais les yeux tandis que je m’attendais à recevoir un sermon de la part du grand frère. La poigne du jeune homme se faisait plus forte tandis que son ton devenait plus agressif:
"Putain mais t’as l’air d’aimer ça de faire ton porc là! Tu te branles dans mes caleçons comme un petit pervers, je paris que tu te branles en pensant à moi hein?! Et bah tu veux voir ma bite, tu vas la voir."
Je n’en croyais pas mes oreilles. Sans autre explication, Antoine baissa son pantalon et son boxer à la fois pour découvrir une énorme bite qui se dressait déjà. Moi qui avais cru que les sexes de Louis, Timothée et Pierre étaient gros, je m’étais trompé. Cette bite là devait faire presque vingt trois centimètres, et était très large. Antoine ne se rasait pas, comme Louis, et des poils bruns recouvraient ses grosses bourses qui avaient l’air pleines. Mais j’avais à peine le temps d’examiner cette grosse bite que déjà Antoine me mettait la main dessus. Je sentis la superficie du calibre et je commençais à le masturber presque malgré moi: je venais de me branler, je ne ressentais pas vraiment de plaisir, seulement de la crainte concernant la suite des évènements.
"Allez, branles mieux que ça là, je suis sur qu’avec la tienne tu te fais plus kiffer, m’encouragea-t-il d’une voix autoritaire"
Aussitôt, j’accélérais le mouvement et je le vis gémir. Il enleva son T-Shirt, dévoilant un torse musclé et légèrement poilu, pour venir ensuite enlever totalement son pantalon. Je continuais de le branler inlassablement tandis qu’il se mordait la lèvre inférieure, tout à son désir. Bientôt, ma main ne lui suffit plus. Il saisit ma tête et me força à me mettre à genoux. Il colla ma tête contre sa bite et commença à la baiser violemment en faisant des vas-et-viens machos. Ses grosses boules rebondissaient contre ma tête en rythme, son chibre se collant à moi tandis que l’odeur infernale du sexe me venait aux narines. Je voulus le repousser: un fantasme n’était pas forcément fait pour se réaliser, mais Antoine ne l’entendait pas de cette oreille. Il força le chemin de son sexe jusqu’à ma bouche, il caressa mes lèvres de son gland puis quand j’ouvris presque malgré moi, enfonça profondément sa bite dans ma bouche. Commença alors une longue séance de pipe. Je suçais, inlassablement, du mieux que je pouvais cette trop grosse queue. Le frère de mon meilleur ami me forçait à la prendre toute entière, venant jusqu’à coller mon nez contre ses bourses certaines fois. Quand je n’en pouvais plus, il me bouchait le nez pour que je rouvre la bouche et que je continue.
Je pensais qu’il allait jouir au bout d’un moment, comme Louis, mais rien n’y fit. J’eus beau passer ma langue lentement contre son chibre puis plus rapidement, jouer avec ses boules, faire des gorges profondes, l’étalon restait increvable. Je passais finalement deux mains sur ses fesses musclées et poilues pendant ma pipe mais il m’arrêta tout de suite:
"Et je suis pas un pédé comme toi, moi. Je veux juste une bonne petite baise, ok? Maintenant on passe aux choses sérieuses... Baisses ton froc.
-Non, je veux pas, répliquai-je farouchement.
-Putain si tu veux pas que je raconte à tout le monde ce que j’ai vu tu fais ce que je te dis petite chienne."
Je m’obtempérais alors avec crainte. Je baissai mon pantalon, dévoilant mon cul vierge. Il me prit par la nuque, me positionna contre son lit et m’examina. Antoine devait déjà avoir fait ça car il commença par passer un doigt expert dans ma raie. Je sentis malgré moi le désir m’envahir. Il enfonça un doigt dans mon cul, puis deux et je gémis. Lui me murmurait des insultes à l’oreille pendant qu’il allait de plus en plus vite. Au bout d’un moment, il finit par sortir un lubrifiant et une capote de sa table de chevet. Il me demanda de lui enfiler la capote, ce que je fis sans rechigner. Je regardais encore une dernière fois l’énorme calibre qui allait m’arriver dans les fesses d’ici quelques instants. Une fois cela fait, Antoine s’étala du lubrifiant sur son sexe puis le mit à l’entrée de mon trou. Là, il poussa. Je me mis à crier et instantanément il mit une main sur ma bouche, comme s’il avait l’habitude. Sa bite me faisait horriblement mal, elle se frayait un passage dans mon cul vierge et rien n’aurait pu être plus douloureux. L’objet de mes fantasmes commença à accélérer malgré mes protestations, couvertes par sa main. Je finis par réussir à me dégager et dit:
"Arrêtes s’il te plait, ça fait trop mal!
-Mais arrêtes petite pute, je sais que t’adores ça. Tu vas voir, encore deux trois allers retours et tu vas kiffer. De toute façon t’es juste là pour que je me vide les couilles merde! Allez prend ça dans ta bouche et ferme ta gueule, dis-t-il en me fourrant le caleçon dans le quel je m’étais masturbé dans ma bouche. T’avais l’air d’aimer ça l’odeur de ma bite hein?"
Antoine continua alors sans relâche ses coups de rein. Je pouvais crier, rien n’y faisait, sa grosse bite faisait des allers retours dans mon cul. Mais le pire étant qu’il avait raison. Plus le temps passait, plus je sentais que j’appréciais. Mes cris se changèrent en gémissements de plaisir au fur et à mesure tandis qu’il maîtrisait toujours, m’agrippant par les fesses pour me baiser plus violemment. Je sentais qu’il prenait son pied, il ne pouvait pas se lâcher comme ça avec les filles qu’il baisait donc il se défoulait sur moi. Je repris du plaisir et ma bite devint dur à nouveau, mais Antoine s’en moquait. Il n’était pas là pour satisfaire mes désirs mais les siens. Son désir atteignit d’ailleurs son paroxysme quand je parvins à maîtriser un peu plus la sodomie de mon côté. Mon anus se resserra sur sa queue dans un mouvement plus violent que les autres et Antoine éjacula de tout son être dans mon cul. Je sentais son sperme, abondant, dégouliner d’entre mes cuisses tandis qu’il achevait de m’humilier en me traitant de poubelle à sperme. Exténué, il me donna une claque sur le cul et se posa sur le lit.
"Tu peux te barrer maintenant avant que mon frère se réveille. T’es une bonne petite salope, je crois qu’on va bien s’amuser toi et moi, s’écria-t-il en touchant sa grosse queue qui commençait à débander.
Je me contentais de me lever avec un petit sourire après m’être rhabillé puis je vins me glisser dans le lit à côté de Louis. Ce dernier dormait toujours paisiblement: si il savait ce qui s’était passé dans la chambre de son frère ce soir-là, il m’aurait regardé d’un autre œil!
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