Après ma petite escapade chez mes dealeurs favoris, je continuai d’enchaîner les soirées, plus soucieux de ma côte de popularité plutôt que du bac qui allait arriver en fin d’année. J’étais en première, mais je traînais avec une bande de terminales qui comprenait de nombreux beaux gosses, pour mon plus grand plaisir.Un soir, je me rendis à une de leur soirée et je bus beaucoup d’alcool pour sympathiser avec les personnes présentes durant la fête. Peut-être que je n’aurais pas du me pencher à ce point sur la boisson car je devenais disons... plutôt partant pour tout quand j’étais bourré. Très vite, je ne contrôlai plus mes paroles et je dansai comme un beau diable sur la piste. Les soirées étant le meilleur moyen pour choper des hétéros, mes premières victimes ne tardèrent pas à arriver. Tout d’abord je me mis à embrasser Antoine à pleine bouche. Il était grand, brun, et terriblement séduisant avec sa fossette et son air timide. Pour l’heure il se lâchait en ma compagnie, enroulant sa langue contre la mienne. Quand il partit vers quelqu’un d’autre, se fut le tour de Thibaut. Il sortait avec une fille de la soirée qui avait l’air assez laxiste concernant les débordements de ce dernier en soirée. Le nombre de bouches collées à la mienne se succédaient. Un moment je me retrouvais entrain d’embrasser le cou de Rémi, un barbu de taille moyenne au regard constamment noir, et l’autre je m’éveillais dans les bras de Samuel, un grand mec baraqué assez viril qui blaguait tout le temps. Tout ce petit monde se pressait autour de moi pour profiter du pauvre Gaël complètement ivre mais ce n’était pas pour me déplaire. Nous dansions collés-serrés et les filles étaient bizarrement en retrait, préférant nous regarder en rigolant. Le jeu de la bouteille fut proposé, et chacun s’assit par terre. L’alcool qui avait coulé à flot créait des éclats de rire un peu partout dans le cercle mais les règles du jeu furent fixer: il fallait augmenter la pression d’un cran à chaque lancer de bouteille. Ainsi au commencement il y eut des bisous sur la joue, puis des baisers, des roulages de pelles. Les garçons durent commencer à se lécher les tétons par exemple. Pour mon grand plaisir, je pus m’approcher du torse de Maxime, un mec en couple qui me plaisait particulièrement, et je pus lécher doucement son téton déjà durcit par l’excitation. Je me redressais en souriant d’un air malicieux: le jeune homme serait-il gay? Sans plus m’attarder, je me retirai et les choses continuèrent. Vinrent les bisous sur le ventre pour les garçons, les seins pour les filles. Là, je pus venir lécher les abdos de Samuel avec joie. Enfin, la dernière étape était de passer sa main sur le sous-vêtements de la personne que la bouteille désignait. Quelques mecs commencèrent à bander en touchant les strings de certaines filles allumées. C’est ainsi que je fus invité à toucher la queue déjà bien dure de Rémi à travers son caleçon. Quand je l’attrapai, cette dernière fit un soubresaut et je ne pus m’empêcher de rire. Nous finîmes le jeu de la bouteille comme cela et je me sentais de plus en plus mal, l’alcool faisait effet à retardement. Je partis m’allonger dans un lit en haut du salon pour me reposer. La tête me tournait et je n’étais pas vraiment frais quand j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir. Samuel entrait dans la chambre à tâtons puis vint se mettre dans le lit à côté de moi, se collant contre mon dos. J’étais gêné mais je me sentais trop mal pour répliquer. Au fur et à mesure, je sentis une bosse se former dans le pantalon du garçon contre mes fesses. Il devait croire que je dormais, alors il sortit donc sa queue de son pantalon avec un soupire d’aise puis la colla un peu plus contre moi. Je me retournai alors, protestant faiblement mais sans même s’affoler, le jeune homme mit un doigt sur mes lèvres puis prit ma tête et le dirigea vers son chibre. Je tentai vainement de me dégager mais déjà la bite de Sam était contre ma bouche. Il força l’entrée d’un coup de bassin et je dus la prendre en bouche. L’odeur de son sexe était forte, j’étais dans les vapes et pourtant je m’obligeai à sucer le mieux possible en passant ma langue sur son gland, la tortillant contre le bâton de chair au fur et à mesure que Samuel gémissait de plaisir. "Prends plus profond, je te jure prends plus profond sinon je te bifle."Je voulus me relever pour dire quelque chose: je n’étais pas dans un délire soumission pour le moment, mais Sam me bloqua contre sa queue et me força à lui faire une gorge profonde. J’avais la bouche près de ses grosses couilles et je sentais déjà leur odeur. Il sortit sa pine et vint me frapper au visage avec, me passant son gland sous le nez pour que je le sente. Cela commençait à m’exciter...puis, j’entendis la porte s’ouvrir. C’était Antoine, Thibaut, Rémi et Maxime qui allait voir où Sam était. Ce dernier était assis dans le lit, mine de rien, alors que j’étais sous la couette entrain de le sucer. Totalement bourré, je décidai alors de m’amuser en suçotant ses couilles silencieusement et du mieux que je pus tandis qu’il tentait d’avoir une conversation normal avec ses potes."Bah qu’est-ce que tu fais là tout seul mec?, demanda Maxime en se rapprochant.-Viens danser, y’a les meufs qui sont chaudes là, elles commencent à enlever leurs soutifs, poursuivit Thibaut avec un sourire pervers.-Nan nan c’est bon les gars, je me repose un peu, répliqua Samuel pendant qu’il se crispait en ouvrant de grands yeux alors que j’exécutai une gorge profonde sous la couette.-Tu fais une tête chelou mec, t’es sur que ça va?, s’inquiéta Rémi en faisant quelques pas vers nous.-Ouais t’inquiètes c’est bon, allez-y les gars!-Non on reste avec toi c’est bon, répondit Antoine."Je choisis ce moment pour ressortir de la couette, embarrassant Samuel un maximum. Les autres mecs ouvrirent de grands yeux tandis que je faisais mine de m’essuyer la bouche."Salut les gars. -Et bah tu te fais pas chier toi ! -Ouais petit veinard, on sait pourquoi tu veux rester en haut, continua Rémi.-Putain, il est complètement pété les gars, il fait ce qu’on veux, venez on s’amuse un peu, les excita Samuel."La proposition était lancée et les choses me dépassaient au fur et à mesure. Moi qui croyait que ses amis allaient partir en le traitant de pédale, j’en avais pour mon compte. Les mecs en rut se rapprochèrent avec de grands sourires et Sam retira la couette désormais superflus. Il m’intima de le sucer à nouveau. Je n’avais d’autre choix que d’obéir, je me remis donc à prendre son gland, sa tige, ses bourses, de lécher, de sucer, comme une salope encore et toujours. Les autres restaient en retrait, à se tripoter la queue à travers leurs jeans. Bientôt, n’en pouvant plus, ils se désappèrent. Je pus les admirer alors que je prenais les couilles de Samuel dans ma bouche. Rémi le barbu avait une bite poilue qui lui valu quelques moqueries mais d’une taille satisfaisante. Thibaut m’attirait car il avait deux grosses couilles bien dures. Antoine et Maxime quand à eux, avaient deux grandes pines rasées qu’ils tripotaient pour l’heure en exécutant de grands gestes de vas et viens. Rémi se rapprocha, je dus me mettre à genoux devant ces cinq mecs qui m’encerclaient. Ils avaient trop du regarder de pornos. Au milieu de ses mâles qui sentaient la transpiration, l’alcool et le shit, je me sentais bien. Mes mains allèrent branler les queues d’Antoine et Rémi tandis que ma bouche partait déjà pour mettre les glands de Maxime et Thibaut dedans. Ma langue s’activait, je finis par prendre une couille de chaque garçon et par les sucer toutes les deux, ce qui leur fit perdre leurs moyens. Samuel prenait ma tête et maîtrisait la situation, m’entraînant vers un chibre ou vers un autre."Il suce trop bien le petit pédé, m’insulta Rémi tandis que je passais à sa queue. -T’as vu? On dirait qu’il est né pour prendre des bites, enchérit Maxime d’une voix espiègle. -Je crois qu’on devrait passer aux gorges profondes, tu dois maîtriser le domaine, me souffla Thibaut près de mon oreille."Aussitôt dit, aussitôt fait. Je dus prendre la bite du brun en entier, puis celle du barbu de la même façon. Maxime me baisa la bouche plus longuement, opérant quelques coups de bassins pendant que Samuel s’en donnait à coeur joie et me ridiculisait en me biflant devant les autres mecs. Ensuite, ils me firent tous sentirent leurs couilles que je dus lécher avec un certain dégoût. Cela devait les exciter. Je remarquai que pendant que je taillais une pipe à Antoine, ce dernier caressait les fesses musclées de Thibaut avec plaisir. Les autres mecs se branlaient en m’observant sucer. Je n’en pouvais plus de voir tant de glands passer sous mon nez, tant de queues me rentrer dans la bouche. Quand je voulus me relever pour sortir de la chambre, mes "potes" ne l’entendirent pas de cette oreille:"Hop hop hop, tu restes ici mon grand, je crois qu’on en a pas finis avec toi, s’exclama Maxime en me saisissant le bras.-J’ai trop envie de me faire son petit cul. Mais avant il va bouffer les nôtres, ordonna Antoine."Ils se retournèrent alors, me découvrant une vue de leurs dos musclés, et je dus leur bouffer le cul. Cela me déplut moins, car je m’étais trouvé une passion pour les anulingus dernièrement. Ma langue passait d’un anus à l’autre. Celui de Samuel était tout serré, il avait une paire de fesse musclée à tomber par terre tout comme Maxime, adepte de sport. Je sentais les corps se détendre au fur et à mesure que je continuais mon travail de bouffage de cul puis je passais à Antoine, qui n’avait certainement jamais mis de doigts dedans. Cela se sentait, et il se mit à gémir rien qu’avec ma langue. Certaines fois je passais un doigt pour détendre l’anus encore plus. C’est ce que je fis avec Thibaut: je m’autorisai à même rentrer trois doigts mais les mecs se lassèrent et se retournèrent, leurs bites tendues au possible."On l’encule les gars?-Ouais on se fait plaisir, répondit Maxime à Sam avec un clin d’oeil."Pendant que Rémi me mit sa bite dans la bouche, je sentis la langue de Maxime se frayer un chemin dans mon cul. Je gémissais, pendant que deux autres bites venaient rejoindre la première d’un bouche, forçant le passage entre mes lèvres. Je reçus quelques coups de langues, quelques doigts, mais rien de bien assez pour préparer mon anus à recevoir une bite. Ainsi, quand Maxime me pénétra violemment, je me mis à crier. On m’enfonça les bites plus forts en m’insultant et les coups de bassins continuèrent. Le brun m’éclatait tandis que Thibaut lui tripotait les couilles en rigolant. Ils expérimentaient cette toute nouvelle expérience avec délice. Maxime continua à me pilonner pendant quelques minutes avant que Thibaut ne prenne le relais."Ouh la vache, il est bien serré comme une salope, j’ai l’impression de défoncer une chatte. -Vite mec, je peux plus attendre de le défoncer, s’exclama Antoine d’ordinaire plutôt timide."Je décidai de profiter de la situation malgré mon état d’ébriété et pendant que je suçais la bite d’Antoine, je lui caressai le corps, parcourant du doigts ses tétons durcies, ses abdos bien dessinés pour venir tripoter ses fesses un instant. Lui était moins machos que les autres et se laissaient plus faire par mes tendres caresses. Vins ensuite Samuel, qui succéda à Thibaut dans mon cul. Évidemment, il profita de la situation pour montrer à ses potes comment s’y prendre. Il me retourna, me prit dans toutes les positions, expliquant à ses amis que telle ou telle posture devait être privilégiée à une autre. Moi pendant ce temps là, je souffrais tandis qu’il m’enculait sans aucun ménagement, violemment. Il m’attrapa les mains pour que je les passe sur ses fesses, qui se contractaient pendant qu’il enfonçait son chibre dans mon intimité. Les couilles toutes douces de Maxime me semblèrent exquises quand je les saisis dans ma bouche par rapport aux poils de Rémi que je venais d’avoir. Samuel continua ses allers retours rageurs pendant une dizaine de minutes, ses coéquipiers se branlant toujours et encore. Antoine passa ensuite, plus doux et plus attentionné. Il ne voulait pas me faire mal, chercher le plaisir pour tous les deux et cela me rendit fou. Je vins mordiller son téton, embrasser son corps et je lui offris même un beau suçon dans son cou sous les cris excités des gars qui continuaient leurs insultes. La bite d’Antoine me rendait fou. Je l’encourageai à continuer en serrant mon anus contre sa pine mais se fut le mouvement de trop: je sentis le jeune homme se vider de tout son être en moi tout en criant de plaisir. En le voyant goûter à se plaisir intense, Rémi, le dernier à ne pas être passé, se donna à fond dans mon cul. Désormais, avec le sperme d’Antoine comme lubrifiant, cela passait tout seul. J’aimais cela et j’en demandais encore. Alors Samuel eut la bonne idée de rentrer avec Rémi dans mon anus. Le rythme s’accélérait tout comme les respirations. L’odeur de bite emplissait la pièce et j’avais encore deux bites qui se disputaient l’entrée de ma bouche. En effet, Maxime et Thibaut me demandait de prendre les pines en même temps pour plus de plaisir. Je branlais, je suçais, je léchais, toujours et encore. Puis, au bout d’un moment, les quatre mecs échangèrent de place pour me baiser plus fort. Rémi éjacula sur mes lèvres en gémissant, et je sentis Maxime venir dans mon cul contre la queue de Thibaut. Ce dernier donna quelques coups de reins puis finit par venir entre mes cuisses. "Allez tu vas bouffer mon sperme, espèce de pute, me cria Samuel tandis qu’il me forçait à prendre sa bite dans une gorge profonde violente et sous les acclamations de ses potes."Aussitôt, trois gros jets de sperme s’écrasèrent contre mon palais et je fus forcé d’avaler. Les mecs se laissèrent tomber sur le lit et je dus leur lécher les couilles pendant qu’ils débandaient. Certains me passaient la main dans les cheveux dans un geste de remerciement mais d’autres s’en moquaient totalement: ils avaient des copines et cela ne devait juste pas se savoir. Puis, un par un, ils quittèrent tous la pièce. Seul Antoine resta dormir avec moi et c’est contre cet homme que je finis ma nuit, rassuré de ne pas avoir totalement été pris pour un vide couille.
