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Des potes pas si hétéros que ça

Chapitre 17

Gay
Quand je croisais Maxence désormais dans les couloirs, je me détournais et me contentai de sourire en coin au souvenir de nos ébats sexuels. Le bac blanc était passé, et désormais nous redécouvrions la liberté. Pour moi, cela rimait aussi avec joints à gogo et c’est ainsi que je fis la connaissance de deux autres garçons. Ils avaient un an de moins que moi, étant en classe de seconde, mais cela n’empêchait qu’ils fussent incroyablement sexy. Je commençai à me rapprocher d’eux au fur et à mesure puis, de fil en aiguille, je finis par me poser souvent à leurs côtés pour fumer un peu. Un des deux mecs s’appelait Mathis. C’était un grand jeune homme aux cheveux blonds châtains, aux lèvres pulpeuses et aux muscles bien dessinés. Il avait un style plutôt skeateur qu’il assumait totalement. Léo, le deuxième garçon, avait des origines asiatiques et donc des yeux légèrement bridés mais aussi des tâches de rousseur sur le nez qui me faisaient craquer. Il était lui aussi fin et élancé, ses cheveux bruns en bataille tout ébouriffés lui donnait un air de petit chiot battu. Je les trouvais canons mais je ne connaissais absolument pas leur penchant sexuel. Un jour où nous étions devant le lycée à fumer, les choses commencèrent à partir. Nous étions complètement sous l’emprise de la drogue, nos yeux étaient rouges et un éclat de rire nous secouait toutes les deux minutes. Au bout d’un moment, Mathis décida de faire un jeu. Il avait téléchargé une application "action et vérité" sur son portable. Nous n’étions que tout les trois, en petit comité, et l’idée de jouer me plaisait bien. Les questions basiques commencèrent "que ferais-tu si tu étais une stars?" ou encore "Quelle personne détestes-tu le plus au monde?" mais rien de bien chaud. Les actions concernaient les objets alentours comme courir autour d’un poteau en mode indien ou alors crier un mot étrange devant tout le monde. Néanmoins, très vite les choses se corsèrent car à chaque question, le niveau augmentait d’un cran en intensité. Mathis finit par devoir enlever son T-Shirt sous une action un peu plus chaude et, pas pudique le moins du monde, mon ami s’exécuta en souriant, nous dévoilant ses beaux muscles bronzés qui m’attiraient. Du retard, je détaillai ses épaules fortes, ses pectoraux qui avaient l’air dur, ses biceps rebondis, ses abdos sculptés. Je n’avais qu’une envie: faire l’amour avec lui. Maintenant. "Bon alors action ou vérité Gaël?, s’exclama Léo, me tirant de mes pensées. -Vérité, répondis-je prudent. -T’es-tu déjà branlé en pensant à quelqu’un du lycée?-Totalement, admis-je sans aucune honte tellement la réponse à la question était évidente.-On peut savoir qui?, me demanda Mathis intrigué avec son petit sourire de curieux.-Oh vous préférez pas!"Les questions vérités commencèrent vraiment à être chaudes. Ainsi, Mathis nous avoua qu’il se branlait régulièrement et qu’il avait déjà goûté son sperme. Léo de son côté préférait la main gauche pour se faire plaisir et son fantasme serait de sodomiser une fille. Cela me plut automatiquement. Nous nous mîmes à choisir des actions, encore complètement démontés, et nous décidâmes de monter dans les toilettes des bâtiments dans les étages. Une fois là-bas, le jeu continua:"Montrez tous ce que vous portez comme sous-vêtements."L’action collective ne me gêna pas et sans honte je baissai mon jean pour venir dévoiler un boxer banc basique. Mathis préférait les boxers stylisé et je voyais une grande bosse qui était moulée par le tissu. Léo s’était tourné vers un caleçon noir, simple, qui ne me laissait pas voir la forme de sa bite. Quelques actions concernèrent un streap tease, nous fûmes donc vite en sous-vêtement dans les toilettes du lycée, rigolant comme des malades. Mathis s’amusa à marcher avec son boxer baissé de telle sorte qu’on put voir ses belles petites fesses musclées gigoter dans tous les sens. Il se mit sur le mur et se mit à twerker tandis que nous prenions une vidéo, l’occasion pour nous de rire. Le twerk consistait à placer ses deux pieds sur un mur, les mains en bas et de bouger ses fesses. Mais avec les dits mouvement du cul, la bite de Mathis sortit rapidement du tissu avant que ce dernier ne la range. "Oups désolé les mecs, vous avez vu mon gros calibre.-Excuses-nous hein, si tu faisais pas autant le malin peut-être qu’on pourrait te croire, répliqua Léo en le taquinant.-Nan sérieux j’ai vraiment une grosse bite, toutes les meufs me le disent.-Les mensonges pour ne pas blesser ton égo, tu connais?, rétorqua toujours son ami.-Putain t’abuses là, et toi ton vermicelle de chinois il plait aux meufs au moins?, répliqua Mathis vexé par les insinuations de son pote.-Bien sur qu’il leurs plaît, et elles en redemandent à tous les coups! Et puis je peux t’assurer que ce mythe sur les asiatiques est faux, continua son interlocuteur en se frottant l’entre jambe à travers son caleçon. -Oui oui, bien sur, opina Mathis sans grande conviction.-Ok, bah je te propose qu’on compare vu que tu fais le malin!"Aussitôt dit aussitôt fait. L’idée était lancée sans que je n’eus du même forcer les choses. Déjà les deux gars étaient contre le mur et me nommèrent arbitre de ce qu’ils appelaient avec humour un "conflit d’orgueil". Ils baissèrent leurs sous-vêtements au top, puis je dus observer leurs bites pour les mesurer. Je sortis une règle et tripotai mine de rien les sexes au repos de mes potes pour émettre un gagnant. Mathis avait des poils châtain au-dessus de sa pine. Cette dernière était très large et longue, son gland rose appétissant était pour l’heure recouvert par son prépuce. Ses couilles rasées avaient l’air toutes douces et il balançait fièrement son attirail entre ses jambes. Je la regardai un moment puis vint la mesurer au repos: 9 centimètres! "Poua je t’ai baisé mec là, je suis sur qu’elle fait moins la tienne. Celui qui a la plus petite à un gage okay?-Okay, rétorqua Léo vexé."Ce dernier possédait en effet une bite plus fine mais tout aussi longue. Il ne se rasait pas et ses bourses couvertes de poils noirs m’excitèrent. Je finis par dire d’une petite voix hésitante:"Enfin d’un côté ça veut rien dire comme ça hein. -Comment ça?-Bah c’est pas comme ça que vous satisfaites les filles j’espère!, répliquai-je alors que Léo rigolait.-Ouais t’as raison, faut qu’on bande, comprit ce dernier à mon grand bonheur."Mathis n’émit aucune opposition, me demandant juste de bloquer la porte des toilettes. Quand je fus contre l’entrée, les deux mecs commencèrent à toucher leurs queues encore molles. Chacun avait sa technique. Léo commençait par les boules en les malaxant puis venait continuer sur sa bite d’un rythme lent mais puissant tandis que son pote préférait y aller moins fort mais beaucoup plus vite. Le claquement de sa main contre ses boules se faisaient entendre dans les chiottes désormais silencieuses. Les deux mec furent rapidement bandés au maximum, prenant des couleurs et retenant difficilement leurs gémissements de plaisir. L’odeur de sueur avait envahie la pièce. Je me penchais donc après leur demande, allant mesurer les chibres. Résultat étonnant: Léo dépassait en réalité la queue de Mathis. En effet, la sienne faisait 21 centimètres contre 19 pour son pote."Nan mais c’est pas vrai, c’est une blague! Non!, s’écria Mathis en riant tandis que déjà Léo reprenait confiance en se pavanant, exhibant sa queue tout autour. Il finit par mettre le pied sur le lavabo en hauteur, contractant les muscles de sa cuisse pour venir présenter sa longue bite à Mathis."Bon j’espère que t’as pas oublié que celui qui a la plus petite à un gage. Et tu vas me sucer pour avoir trop cru!"Mathis refusa et se tourna vers moi mais, en haussant les épaules, je lui répondis que c’était le jeu. Alors, sans trop savoir pourquoi, le blondinet se rapprocha de la teub de son camarade de classe et la prit en bouche. Ses grosses lèvres de salope encerclaient enfin le bâton de chair de l’asiatique, qui gémissait déjà. Il donnait des petits coups de bassins pour accompagner les mouvements de succion de son ami qui n’avaient pas l’air de le déranger. Mathis se donnait à fond, glissant sa langue le long de la tige, la léchant avidement puis reprenant le gland dans sa bouche, malaxant ce dernier correctement pour que la pipe soit parfaite."Prends mes boules s’teuplait, lui intima son pote d’une voix vacillante sous le plaisir."Il s’exécuta et prit ses bourses poilues en bouche, masturbant la bite de Léo pendant ce temps là. Au fur et à mesure de ses mouvements de vas et viens, je voyais les muscles du beau sportif se contracter et se dessiner plus amplement. A la vu de cette scène, je bandais comme un porc et cela se voyait largement. Sans attendre un quelconque aval, je descendis à mon tour sur la bite de Mathis. Avidement, je saisis son gros sexe dur en bouche. Il m’agrippa la tête en poussant un petit cri puis poussa de toutes ses forces, m’incitant déjà à commencer par une gorge profonde. Son gland était désormais contre mon palais, toute sa tige dans ma bouche et je me permis même de prendre ses couilles que je suçotai un instant. Puis je me mis à le branler et j’alternai la pipe et la branlette pour être sur qu’il prenne plaisir à tout. Pendant ce temps là, Mathis continuait de servir de vide couille à Léo qui devenait un peu plus macho, se sentant confiant en étant le seul mec à ne pas avoir de bite dans la bouche ici. Il poussait des râles de temps en temps pendant que je voyais la mâchoire de Mathis s’activait. La langue du garçon sortit, effleura le gland, puis descendit le long de la teub pour arriver jusqu’au cul. Là, le blondinet colla ses grosses lèvres à l’anus de son pote. "Qu’est-ce que tu fous Mathis? Arrêtes t’es baisé!"Mais Mathis continuait à rentrer sa langue dans le cul de son ami. Ce dernier ne l’arrêtait pas vraiment d’ailleurs, c’était juste pour la forme. Il était choqué de ce qui allait suivre. Je vis le sportif mettre un doigt à Léo, puis passer sa langue contre la raie avant de revenir lécher les couilles. Son début d’anulingus me donna envie d’en faire un. Ni une ni deux je me glissai contre la paire de fesses musclée de Mathis et commença la léchouille. Ma langue s’activait dans son intimité, le faisant pousser des gémissements de bien être car il goûtait pour la première fois à ces plaisirs torrides. De mon autre main, je titillai les tétons du jeune homme, puis descendai ma main sur ses abdos saillants. Je vins les embrassai sous son regard attentif puis léchai une dernière fois sa bite avant de me redresser et de m’exclamer:"Je crois que t’es fin prêt pour ta première leçon d’humilité Léo: même si t’as la plus longue bite, ça veut pas dire que t’es pas la plus grosse salope!-Je suis pas une salope putain!-Et bah tu vas le devenir, renchérit Mathis en le poussant contre le lavabo. Allez prends ma queue dans ton cul et fermes la."Mathis, tout à son excitation, venait de planter le début de son gland dans l’anus de son pote, lui intimant de la boucler. Pour ma part, je saisis ma bite et vint la mettre contre les lèvres de Léo: lui qui croyait qu’il allait s’en tirer en étant actif, il se trompait. Au début il refusa de prendre ma bite dans sa bouche puis quand la teub de Mathis franchit un peu plus l’entrée de son cul, il ouvrit la bouche pour gueuler et je lui plantai mon pénis dedans. Il n’aimait pas cela, ça se sentait: je voyais sa moue dégoûtée alors qu’il continuait pourtant de me sucer malgré lui. Je gérai donc la pite, prenant sa tête et lui intimant tel ou tel mouvement. Mathis se donnait à fond sur ce cul, son premier. Il se mit à baiser l’asiatique avec une force qui me surprit. Pendant qu’il donnait ses grands coups de rein, il se penchait vers moi pour venir m’embrasser passionnément, sauvagement et cela me surprit agréablement. Enfin un grand hétéro qui n’avait pourtant pas peur d’embrasser un mec. Je mis ma main contre les abdos de Léo pour la glisser ensuite sur les couilles du blondinet, pleine de sueur. Ses muscles saillants me rendaient fou, je voulais embrasser chaque parcelle de son corps mais la bouche de salope de Léo me convenait aussi. J’aimais bien lui faire sentir qu’on maitrisait la situation et qu’il se mettait en position de soumis. "Prends ma bite, tu la kiffe apparemment!-Ouais, tu sens la mienne dans ton cul? Alors je sais pas m’en servir?, continua Mathis en se mordant la lèvre et en donnant un coup plus fort que les autres.-Arrêtez s’il vous plait là ça fait mal les gars putain, rétorqua notre ami."Mais je savais qu’il allait aimer cela après, quand les premiers coups seraient passés. Nous échangeâmes de position avec Mathis. Ce dernier m’avait bien ouvert le passage et je rentrais dans l’anus de l’asiat’ comme dans du beurre. Je me mis même à lui rajouter un doigt, et il voulu crier mais mon complice lui fit prendre sa bite en une gorge profonde qui lui coupa le sifflet. Léo était vraiment inexpérimenté là-dessus et faillit s’étouffer mais apparemment Mathis aimait tout ça, ce hard. Je continuai mes mouvements pendant quelques minutes puis dis à mon camarade:"Et ça te dit qu’on tente d’entrer tous les deux?-Non les mecs déconnez pas, je suis vierge les mecs, se mit à s’écrier le passif.-Fermes là, t’adores ce qu’on fait le nies pas, lui opposa son ami."Et effectivement, Léo ne disait pas non non plus. Mathis accepta ma proposition avec joie et vins me rejoindre près de l’anus de son pote. Il mit son caleçon dans la bouche de ce dernier pour ne pas qu’il fasse trop de bruit en criant puis mit son gland contre l’intimité de l’asiatique. Il poussa, puis une fois ses vas et viens bien entamés me fit rentrer. Là, je me sentis dans une sorte d’extase incroyable. Léo souffrait et ses cris étaient couverts par le caleçon et il tentait de nous dégager mais nos corps musclés, pleins de sueurs, étaient collés. Ma bite se frottait à celle du blondinet, m’offrant un plaisir nouveau que j’adorais. Chacun des mouvements du garçon me subjuguais car je sentais ses couilles se frotter contre moi. Alors, sans prévenir, après que nous ayons bien baisé Léo, je sortis ma queue et la colla contre le cul de Mathis. Il voulut se dégager mais la situation se renverser. Léo se releva rapidement, réagit au quart de tours et vint mettre son ami à terre pour que je puisse le pénétrer. Son anus était terriblement dur mais j’arrivai à aller jusqu’au bout, claquant mon gland contre la paroi de son intimité. Heureusement que la bite de Léo se trouvait dans la bouche du blond car sinon ses cris auraient retentis dans tout le lycée."T’aimes ça quand je t’encule à sec? Tu voulais pas savoir ce que ça faisais? Et bah tant pis!"Je prenais du plaisir à ridiculiser ces secondes qui se croyaient tout permis, et en plus entre amis. Léo bifla son pote en l’insultant de pute, de salope, puis lui offrit ses couilles à sucer. Ne réfléchissant même plus à cause de la douleur, Mathis obéit et comme une soumise, suçota les bourses sous les coups de bite qu’il se recevait. Je laissai enfin la place à Léo et ce dernier s’acharna tellement sur le cul de son pote que je crus devoir lui dire de se calmer. Il avait tellement la haine de s’être fait enculé, tellement désireux de vengeance, qu’il en oubliait la prudence et, agrippé au fesse de Mathis, rentrait sa bite profondément en lui. Le blond n’en pouvait plus, suçant mon gland car je lui demandais mais plus par plaisir, il prenait top cher au sol, martelé de coups de bite. Il devenait un objet sexuel. Enfin, Léo n’en pouvant plus éjacula dans le cul de son pote avec un cri de plaisir. Je vis la semence blanche coulée entre les cuisses musclées du garçon. Pour ma part, je pris la bite de Mathis et recommençai mes vas et viens. Un 69 commença pendant que l’asiatique se rhabillait. Nous éjaculâmes tous deux dans la bouche l’un de l’autre, notre semence dégoulinant d’entre nos lèvres mais j’étais sur que Mathis aimait cela car il récupéra tout ce qui avait coulé le long de mes couilles. Nous nous relevâmes, pleins de sueurs et de spermes puis nous rhabillâmes. D’un commun accord, nous décidâmes de ne parler de cela à personne d’autre puis nous sortîmes, le sourire aux lèvres.
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