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Des retrouvailles inattendues

Chapitre 1

Hétéro
Retrouvailles

Cette histoire est la toute première que j’écris et elle est vraie, tout comme celles que je posterai (éventuellement) à l’avenir. C’est une des expériences sexuelles qui m’ont le plus marqué jusqu’ici, j’essaierai de la mettre par écrit le plus fidèlement possible dans la limite de mes souvenirs.
Comme le titre peut le faire comprendre, elle raconte les retrouvailles entre moi et mon ex-copine, qui ont eu lieu il y a environ deux ans. Présentation et caractéristiques plus ou moins détaillées :
Je suis brun aux yeux bleus, 1 mètre 79, 23 ans à ce moment-là, visage harmonieux, barbe courte et bien taillée, sportif, je prends soin de moi de façon générale. Et pour les plus curieux-ses, une bite aux dimensions « normales », un peu au-dessus de la moyenne si l’on en croit les statistiques.
Elle, brune aux yeux verts, 26 ans à ce moment-là, une bonne tête de moins que moi, joli visage avec quelques taches de rousseur discrètes et un petit air mutin, mince, mais des seins assez généreux pour son gabarit et un dos légèrement cambré qui fait joliment ressortir ses petites fesses rebondies. Coquette et féminine. Je la surnommerai Zoé ici.
On nous disait souvent qu’on formait un très beau couple. Malheureusement après trois ans et demi d’une relation qui avait été passionnelle, fusionnelle, nous nous étions quittés, car elle était devenue destructrice. Depuis, nous ne nous parlions plus ou presque, seuls quelques échanges très formels venaient ponctuer le silence radio qui régnait désormais entre nous, tellement bizarre lorsqu’on a été habitués à se parler quotidiennement pendant si longtemps. Cette situation durait depuis plusieurs mois déjà, pendant lesquels j’avais eu l’occasion de fréquenter quelques filles. Jusqu’à ce qu’un soir, quelque chose d’inattendu se produise.
C’était un samedi en hiver, j’étais de sortie dans Paris avec un groupe d’amis, il était à peu près deux heures du matin et on était sur le point d’aller en boîte pour prolonger la soirée. Tout à coup, je sens mon portable vibrer contre ma cuisse. Je le sors de ma poche, et quelle n’est pas ma surprise en voyant le prénom qui s’affiche : Zoé, vous l’avez sans doute compris. Un petit instant d’hésitation, un peu de stress (« mais qu’est-ce qu’elle peut bien me vouloir ? ») et je finis par décrocher.
— Allô ? — Hey... Ça va ?
J’étais assez ému d’entendre sa voix et suspendu à ses lèvres dans l’attente de comprendre pourquoi elle m’appelait. Je vous passe les quelques banalités qu’on s’est échangées avant qu’elle m’en explique la raison :
— J’étais en soirée avec des potes et je devais dormir chez X mais au final elle me répond pas et vu qu’elle habite pas loin de chez toi, je me suis mise à l’abri dans ton appartement parce que je me souvenais du code de l’immeuble, mais là j’ai voulu me fumer une clope dans la cour et la porte s’est refermée sur moi et je peux plus sortir parce qu’il faut obligatoirement le badge pour ouvrir cette porte-là.

Bien que techniquement, ce qu’elle me racontait pouvait être vrai, son histoire me paraissait complètement absurde. Mais je résumai la situation à ce qui m’intéressait véritablement :
— Donc tu es bloquée dans la cour de mon immeuble et tu veux que je vienne te sortir de là ?
— Oui s’il te plaît... J’ai vraiment besoin de toi à moins qu’un de tes voisins vienne me sauver, mais à cette heure-ci, c’est peu probable.— OK, mais tu m’arranges pas là, je suis en soirée et on était sur le point d’aller en boîte, bon je vais voir ce que je fais, je te tiens au courant.

J’avais fait semblant d’être exaspéré, mais en réalité, j’étais assez excité, ma décision était déjà prise. Mon ex chez moi... j’avais déjà toutes sortes d’images en tête. Son corps nu devant moi, je la caresse, embrasse chaque partie de son corps, sa bouche se referme sur ma queue... Mais peut-être que je m’emballais un peu vite ? J’étais très curieux de voir comment la soirée allait tourner. J’explique la situation à mes potes, ils râlent un peu, mais me comprennent, puis je saute dans le premier Uber venu direction mon appartement.
Quand j’arrive devant la porte de mon immeuble, j’ai encore du mal à croire que je vais la trouver là, plantée comme une fleur dans la cour. Mais j’ouvre la première puis la deuxième porte, et elle est bien là, toujours aussi belle dans une de ses jupes colorées, et des collants, avec un manteau ouvert sur un haut très légèrement décolleté qui en montre juste assez pour donner envie d’en découvrir plus, et pour compléter le tableau des talons, des boucles d’oreilles et des colliers qui la mettent en valeur.
Ça me fait une sorte de choc de la voir, je prends une attitude un peu distante, je la salue sobrement en lui faisant la bise. On prend l’ascenseur, elle me raconte comment elle en est arrivée à se retrouver là, je commence à la taquiner avec des phrases du type « t’avais juste envie de me voir avoue ! », elle rit et l’atmosphère commence à se détendre. Arrivés chez moi, elle regarde autour d’elle et prend un moment pour se réadapter à ce tout petit appartement dans lequel on a vécu ensemble pendant près de deux ans, et à tous les souvenirs qui vont avec.
Je nous sers du vin blanc (toujours en avoir en stock pour les occasions !) et on se met à parler de tout et de rien, à « rattraper le temps perdu ». Je me rends vite compte à son attitude un peu excitée qu’elle avait déjà bu avant d’arriver, pas étonnant. Plus le temps passe, plus je la déshabille des yeux. Jusqu’au moment où elle me tend une perche. Elle me raconte qu’elle s’est remise au sport et se vante de la fermeté de ses jambes. Evidemment, je ne laisse pas passer l’occasion :
— Ah ouais ? Fais-moi voir ça.

Elle s’approche et me tend une jambe, toute fière. Je me mets à la palper à travers son collant.
— Impressionnant, lui dis-je en remontant ma main sur sa fesse, et à ce niveau-là, tu fais des progrès aussi ?— Mais dis donc, qu’est-ce que tu fais ? me répond-elle d’une voix excitée avec un grand sourire.

Devant si peu de résistance, je fais entrer ma deuxième main en action en lui agrippant l’autre fesse. Elle est plaquée contre l’armoire, les fesses en arrière à mon entière disposition. Je baisse son collant et me mets à malaxer ces deux magnifiques globes de chair tout en les embrassant tour à tour. Quel plaisir de les retrouver, doux et fermes à la fois !
— Hmmm effectivement on voit bien les résultats.

Elle soupire de plaisir. Je la tire vers moi de façon à ce que nous nous fassions face, assis dans le canapé.
— C’est pas bien ce qu’on est en train de faire... soupire-t-elle d’une voix langoureuse qui ne peut que m’inciter à continuer avec plus d’ardeur.

Pour toute réponse, je passe ma main derrière son cou, l’attire doucement contre moi et on s’embrasse passionnément. En même temps, nos mains deviennent avides du corps de l’autre, on se met à se caresser mutuellement les cheveux, les bras, les jambes, les seins, le torse, tout ce qui se trouve à portée. Je me souviens que mes sensations étaient exacerbées, sa peau me paraissait des milliers de fois plus douces que celle des autres filles avec lesquelles j’avais couché récemment, ses lèvres plus charnues... j’en frissonnais presque. Au bout de quelques instants de ces gestes frénétiques, mais contrôlés, je descends et commence à embrasser la naissance de ses seins. J’agrippe son haut, elle lève les bras et je lui retire, découvrant son ventre plat et son soutien-gorge. Elle les prend sans armature, laissant sa poitrine au naturel, ce que je trouve très sexy, étant donné la beauté de la sienne.
Cela nous a toujours amusés de nous dire que plus elle mettait d’efforts dans sa lingerie, plus j’avais envie de lui retirer rapidement. Ce qui ne manque pas d’arriver : je dégrafe ce bout de tissu qui cache l’objet de mon désir. Ses seins m’apparaissent enfin. Je les admire, puis les caresse en la regardant dans les yeux.
— T’es belle.

On s’embrasse à nouveau, puis j’embrasse ses joues, son menton, tout ce qui se trouve sur le chemin vers ses seins. Je les atteins, les embrasse, les lèche. Ses tétons marron foncé sont contractés et pointent fièrement. Je les prends tour à tour dans ma bouche, les suçote et les mordille doucement. Au même moment, ma main lui caresse l’intérieur des cuisses et remonte lentement vers sa chatte. Ses jambes s’écartent naturellement, elle n’attend que ça. Je la frôle d’abord, puis je lui caresse plus franchement à travers sa culotte. Je sens déjà nettement l’humidité, elle doit être trempée. Ses gémissements vont en s’amplifiant. Au moment où je commence à rentrer ma main dans sa culotte, elle ne tient plus en place. Ses mains agrippent mon t-shirt, je lève mes bras à mon tour pour l’aider à me l’enlever. Puis une de ses mains se pose directement sur ma queue. Qui, d’ailleurs, bande comme jamais. Elle la masse à travers mon pantalon.
— Déshabille-toi, me dit-elle d’une voix que l’excitation rendait impatiente.

Je ne me fais pas prier et retire tous mes habits, me retrouvant totalement nu devant elle. Directement, elle m’agrippe la bite fermement en faisant des bruits appréciateurs. Elle fait quelques mouvements de va-et-vient, me caresse les couilles. A ce moment, mon excitation était telle que je devais me retenir pour ne pas la retourner sur-le-champ et lui pilonner sauvagement la chatte en levrette. Mais elle ne l’entendait pas de cette façon.
— Tu viens, on monte ? me dit-elle, les yeux brillants. Tout son visage exprimait la luxure.— Oh que oui !

Je monte l’échelle qui mène à la mezzanine et m’allonge sur le dos, tête tournée vers l’échelle, j’attends qu’elle vienne à son tour. Je l’entends retirer le peu d’habits qui lui restent et très vite, je vois son beau visage apparaître, suivi de près par son corps de déesse. Son petit cul se déhanche en montant les marches. Je me rappelle toutes ces fois où je l’ai laissée passer devant moi pour admirer ce spectacle par-derrière, sans me priver de lui mettre quelques fessées bien appuyées par la même occasion. J’ai à peine le temps d’apercevoir sa chatte épilée et ses poils de pubis soigneusement entretenus que déjà elle se jette sur ma bite et l’avale goulûment. Ses lèvres montent et descendent sur ma tige dans des bruits de succion et de ses gémissements de contentement. Je suis posé sur mes coudes, la regardant faire, bouche entrouverte et poussant déjà des râles de plaisir.
Ses lèvres qui m’entouraient, sa langue qui tournait, sa salive chaude et gluante, c’était franchement tellement bon que j’aurais pu me baver dessus sans m’en rendre compte.
— Putain qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue, elle m’avait trop manqué ! me dit-elle d’une voix presque agressive : elle était déchaînée.
Elle a toujours adoré ma queue, et pris énormément de plaisir à la sucer au point que ça la faisait mouiller abondamment. Cette queue qui lui a donné son tout premier orgasme, et tant d’autres par la suite. Elle s’amusait à dire qu’elle était parfaite pour sa chatte et qu’elle en aurait aimé une version portative pour ses moments de plaisir solitaire.
Elle la reprend en bouche, alterne entre la lécher sur toute la longueur, la sucer, la branler tout en me léchant et en me gobant les couilles... A certains moments, elle tente de la prendre entièrement jusque dans sa gorge, s’étouffant dessus avec les bruitages qui vont avec, ce qui m’excite particulièrement.
— T’es une vraie gourmande toi.— Une quoi ? me répond-elle d’une voix amusée.— Une gourmande. Je te l’avais jamais dit, mais ça te décrit parfaitement là tout de suite, la façon dont tu me suces, je vois que t’adores ça et putain qu’est-ce que c’est bon, t’es incroyable.

Elle reprend de plus belle, flattée et fière de sa performance de suceuse hors pair. Mon excitation montait de plus en plus, j’avais envie de lui agripper la tête de mes deux mains et de lui baiser la bouche, imposer mon rythme en la traitant de chienne et de toutes sortes d’obscénités comme je l’ai si souvent fait. Mais je décidai que ce n’était pas adapté à ces retrouvailles. Et puis je voyais bien qu’elle prenait plaisir à être en contrôle de la situation pour le moment.
Au bout d’un moment de ce divin traitement, n’y tenant plus, elle se relève et s’accroupit au-dessus de moi, pas sur les genoux donc, mais en position de squat. Elle préfère généralement cette position, ce qui n’est pas pour me déplaire : j’ai maintenant une vue bien dégagée sur sa chatte trempée et aux lèvres bien ouvertes, prête à m’accueillir. Elle se saisit de mon pieu, le positionne à la verticale et s’empale lentement dessus, centimètre par centimètre. Une incroyable sensation de plaisir, de confort et presque de soulagement s’empare de moi, un peu comme si je rentrais enfin chez moi après être parti pendant bien trop longtemps. Elle aussi est en train de prendre son pied, lorsque ses fesses me touchent enfin et que je suis entièrement en elle, sa bouche est ouverte dans un cri silencieux et ses yeux sont tournés vers le plafond l’air de vouloir remercier le ciel pour le plaisir intense qu’elle ressent.
Elle fait une petite pause dans cette position pendant laquelle j’admire son corps, caresse son ventre, ses seins, ses jambes. Puis je m’attarde sur son clitoris, dessinant des petits cercles dessus avec mon pouce. Ça lui fait comme un électrochoc, elle se met à aller venir sur ma queue, d’abord doucement puis à rythme effréné, poussant des cris de plus en plus sonores. Je ne serais pas étonné que les voisins se soient dit à ce moment précis « tiens, Zoé est de retour » tant ils ont dû les entendre souvent et finir par en connaître le son par cœur. Au bout de quelques minutes pendant lesquelles elle ne décélère pas, elle est prise par un premier orgasme ravageur. Elle s’effondre sur mon torse dans un « Oh putain » qu’elle essaie d’étouffer comme elle peut pour ne pas réveiller tout l’immeuble. Elle est sur ses genoux, ma queue toujours fichée profondément en elle, et ses jambes tremblent comme ça lui arrive parfois dans ces moments-là.
Je lui caresse doucement les cheveux, le dos, les fesses, les jambes de mes deux mains pendant qu’elle reprend ses esprits.
— C’était bon ? lui dis-je dans l’oreille.— C’était ouf... me répond-elle, comblée.

Je me retire d’elle, l’allonge sur le dos et très vite, ma queue retrouve le chemin de son antre dont elle ne veut se séparer. Je la prends en missionnaire, allant et venant lentement tout en l’embrassant et en caressant son visage, ses bras, lui exprimant ainsi tout l’amour et la tendresse que je ressens pour elle à cet instant. Progressivement, j’accélère le rythme. Généralement, la pénétration lente ne durait pas longtemps, on aimait tous les deux quand ça y allait vite et fort. Mon bras gauche est posé tendu sur le lit pour soutenir mon poids, ma main droite est sur sa gorge, mais sans la serrer. Je la regarde droit dans les yeux, les siens sont écarquillés et me fixent aussi, et c’est comme ça que je la baise, de plus en plus fort avec des mouvements de plus en plus amples. On entend le bruit de mon corps qui claque contre le sien et nos râles de plaisir partagé.
Excité, je la retourne brusquement sur le ventre. Son magnifique fessier se retrouve devant mes yeux et je ne peux m’empêcher de le malaxer dans tous les sens, de l’écarter, ayant ainsi une vue plongeante sur son petit trou du cul. Tenté, je m’en occupe, je sais qu’elle aime ça. Mes deux mains agrippées à ses fesses pour les maintenir écartées, j’en lèche les contours puis le centre en appuyant un peu plus, rentrant presque ma langue à l’intérieur. Ça ne dure pas longtemps, car ma queue réclame sa chatte avec insistance. Je me relève, envoie une claque sonore, mais plutôt soft sur ce cul qui m’excite tellement et me positionne au-dessus d’elle. Mon genou gauche vient appuyer contre sa jambe gauche, tout de suite, elle la déplace de façon à ce que sa jambe droite soit tendue et la gauche repliée. Tous nos gestes sont parfaitement fluides, fruit d’un nombre incalculable de séances de baise et d’une grande connaissance du corps de l’autre.
Je joue avec ma bite à l’entrée de sa grotte, en caressant toute la surface avec mon gland.
— Mets-la-moi, me dit-elle d’une voix suppliante.

Je m’enfonce en elle, ça rentre tout seul. La très grande majorité du temps, nous n’avions jamais besoin de lubrifiant tant elle mouillait, et cette fois-là, elle était particulièrement excitée tout comme moi. Je m’allonge au-dessus d’elle, sur les coudes pour qu’elle n’ait pas à supporter mon poids. Ma main droite retrouve le chemin de sa gorge qu’elle serre légèrement cette fois-ci, et je porte ma main gauche à sa bouche pour qu’elle suce mes doigts. Elle s’y applique avec entrain en poussant de longs gémissements pendant que je la prends à un rythme modéré. Mes doigts étant bien humidifiés, je les pose sur son clitoris et lui caresse doucement tout en continuant les va-et-vient avec ma bite. Ça la rend folle. C’est maintenant elle qui fait basculer son bassin d’avant en arrière, s’empalant elle-même sur ce pieu qui lui donne tant de plaisir. Je lui redonne mes doigts pour qu’elle les suce.
— T’aimes ça petite chienne ?
Pour toute réponse, elle me les pompe de plus belle en hochant la tête et gémit comme la bonne petite chienne qu’elle est. Je les repose sur son clito et le titille à nouveau pendant qu’elle continue ses mouvements de bassin frénétiques. Folle de plaisir, elle crie :
— Défonce-moi !

La formule magique. Quand elle me dit ça, je me relève immédiatement, lui agrippe une fesse et me mets à la baiser sauvagement. Mes mouvements sont amples et rapides, je la pilonne de toutes mes forces. Elle n’arrête plus de crier.
— Je sens tes couilles taper contre moi, j’adore ça !

Qu’est-ce qu’elle m’excite ! Je continue à lui défoncer la chatte comme elle aime jusqu’à sentir le plaisir monter.
— Oh putain, je vais bientôt venir !— Oh oui viens dans ma chatte !
Elle adore que je lui jouisse à l’intérieur, car juste avant que ça explose, mes mouvements deviennent incontrôlés et encore plus bestiaux pendant quelques secondes. C’est ce qui se produit et on jouit en même temps, je me répands enfin en elle en de puissants jets de sperme dans un concert de cris de jouissance. Après quelques instants, je me retire d’elle, elle tremble de tout son corps. Puis on s’est embrassés, caressés, on s’est dit de belles choses...
Peu après ça, nous nous sommes remis ensemble pour une durée d’environ un an, puis nous nous sommes séparés à nouveau il y a quelques mois. Pour autant, cette attraction presque animale qu’il y a entre nous n’a pas encore disparu, et je ne suis pas sûr qu’elle finisse par disparaître un jour.
Tiens, je pourrais par exemple vous raconter comment on s’est à nouveau retrouvés très récemment, trois mois après notre rupture ? Bien que cette fois-ci, il semblerait que nous n’allons pas nous remettre ensemble, je dois dire que c’était assez « épique » encore une fois. Ou bien dans un autre registre, cette fois où j’ai couché avec une femme mariée de 33 ans quand j’en avais 19 ?Ou bien cette autre fois...
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