Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 33 J'aime
  • 1 Commentaire

Des sexes en folie !

Chapitre 1

Zoophilie
Fred et moi nous avions dix huit ans ans, étions copains en Fac et amis dans nos maisons voisines, situées à proximité d’une grande ferme où nous étions souvent fourrés à cause de notre attirance réciproque pour les animaux,leur sexualité et leurs ébats. En classe, Fred m’avait fait découvrir, depuis longtemps après les préliminaires d’une main posée sur ma cuisse, l’émoi insoutenable provoqué par une main glissée dans ma braguette ouverte qui s’insinuait dans mon slip pour y trouver la douceur de la peau de ma queue en émoi et la luisance de mon gland enduit de désir, et n’espérant que la venue des caresses. Jour après jour, nous étions devenus des experts dans l’art d’aller nous branler dans les toilettes ou,chez nous,le soir,lorsque l’un pouvait rejoindre l’autre dans sa chambre, et nous y mettre nus peau contre peau.Dans l’odeur épicée des draps raides de nos spermes séchés.
Et, comme nous avions la même attirance pour les sexes de certains animaux, lorsque nous avions joui ensemble, pour nous exciter à nouveau, nous nous racontions de histoires fantasmées se passant avec des chiens ayant un sexe important et que nous pouvions manipuler avec émoi, jusqu’à ce que jaillissent les coulées de leur plaisir dans nos doigts!
Bien sûr nous avons eu en vrai, deux gros chiens beaucerons qui étaient nos compagnons dans la réalisation de nos exploits,et presque chaque soir, nous les faisions participer à nos caresses en les faisant jouir entre nos doigts et même nos lèvres. Y faisant jaillir leur flèche rouge vibrante hors de leur étui velu alors que nos bouches accueillaient avec émoi leurs déferlements interminables qui coulaient au fond de nos gorges! Fox et Tim aimaient cela autant que nous et ne cessaient de nous provoquer. Et lorsqu’ils en avaient fini avec nous ils se faisaient réciproquement d’interminables toilettes de leur flèche rouge à grands coups de langue.
Nous avions déjà fait connaissance avec bien des expériences, mais il y avait une race que nous n’avions jamais essayé d’approcher, c’était celle des chevaux, grands et puissants et dont les sexes se développaient de façon si troublante dès qu’ils humaient les effluves d’une jument!Leurs énormes bites au gland noir à tête plate et leurs hampes, souvent roses, blanches, et luisantes nous mettaient en grand émoi. Avec l’envie folle de connaître leurs humeurs,leur parfum et leur saveur. Avant de recueillir les geysers de leur semence déferlante jusqu’à nous. Cela, nous en rêvions tous les deux sans avoir encore eu l’audace de les approcher de près, craignant les coups de sabots ou les morsures!
Et puis un dimanche ou la ferme était vide de ses occupants nous avions eu, enfin l’audace de pénétrer dans l’écurie et en entendant piaffer Sultan nous nous étions enhardis.
Stupeur et émotion : Dans le box du cheval, allongée sur une botte de paille placée sous le ventre du cheval se trouvait Aurélie,la fille de la fermière, complètement nue cuisses ouvertes se caressant la chatte béante avec le gland énorme de Sultan, une main agrippée à la hampe énorme,et l’autre plongée dans sa chatte!
Muets et fascinés nous regardions le spectacle d’Aurélie entrain de se branler tout en masturbant l’étalon en rut. Elle avait pris soin de tourner la tête de manière à avoir le gland noir du cheval près du visage, et soudain l’inévitable se produisit. Aurélie fut littéralement submergée par le geyser qui déferlait sur elle en en récoltant le plus possible entre ses lèvres.
Pendant le spectacle, Fred et moi, délirants avions ouvert nos braguette pour nous branler. Puis, enhardis nous nous étions approchés d’Aurélie qui nous avait vus et nous faisait signe de venir tout près d’elle et, enfin, découvrir avec nos doigts tremblants et nos lèvres l’épaisse liqueur de Sultan. Alors qu’elle en profitait pour engloutir nos queues raides et gluantes!
Diffuse en direct !
Regarder son live