Après le repas et le café, nous proposons un tour en voiture dans la région. Ils me demandent de mettre au préalable un rosebud avant de partir et c’est Pascal qui se propose de me l’enfiler. J’en choisis un moyen pour ne pas trop ouvrir mon sphincter. Pascal l’enduit copieusement de salive et après avoir enfilé un doigt dans mon anus pour le préparer, il l’introduit doucement, le visse bien pour qu’il ne retombe pas, n’ayant comme à mon habitude pas mis de culotte. Je choisis de monter à l’avant, car c’est mon mari qui conduit et mes trois compagnons à l’arrière. Une fois en route, je sens des mains de chaque côté de mon siège venir s’occuper de mes seins et de temps en temps, je glisse un doigt sous ma jupe pour me caresser bien que je préfère quand c’est quelqu’un d’autre qui me caresse. Nous descendons à plusieurs reprises de la voiture pour visiter des lieux sympathiques sur les bords de Loire, mais restons très discrets, car il y a toujours d’autres personnes autour de nous. Par contre, pour le retour, ils m’installent à l’arrière entre Fred et Pascal. Je me doute de ce qui va m’arriver et une fois la voiture démarrée, mes deux voisins entreprennent de déboutonner mon manteau pour glisser leurs mains, une sous mon chemisier pour atteindre mes tétons qui durcissent déjà et l’autre sous ma jupe pour remonter doucement vers mon entrejambe. J’ouvre mes cuisses pour qu’ils atteignent leur objectif et je me laisse aller au plaisir entre les mains de mes amis Blacks. Quant à Paul, à l’avant, de temps en temps, il se retourne pour bénéficier du spectacle de mes cuisses ouvertes et, passant son bras gauche le long de son siège, il arrive à glisser sa main entre mes jambes sans pour autant atteindre l’objectif souhaité même si je l’aide en me laissant glisser sur mon siège, tout en restant attachée et le chauffeur, perturbé lui aussi, d’ailleurs, regarde furtivement dans son rétro qu’il a un peu déréglé. Arrivée proche de la maison, je remets un peu d’ordre dans ma tenue, ne voulant pas être surprise par un voisin, bien qu’étant en hiver, mais la rue est vide et nous rentrons discrètement à la maison, derrière les volets clos. Après avoir refait une beauté : rouge à lèvres, parfum, je suis à nouveau devant la cheminée à me chauffer les fesses, mon chemisier largement ouvert et entourée de 2 comparses qui s’occupent autant de me réchauffer les fesses que de relancer le feu dans la cheminée. Pendant ce temps, mon mari et le 3ème larron préparent l’apéritif et ils nous apportent chacun un verre, nous permettant de trinquer sans cesser nos activités. Puis, je m’installe sur le canapé entre mon mari et Paul, les préposés à l’apéro. J’ai conservé ma jupe et mon chemisier et ce dernier est largement ouvert et laisse entrevoir mes tétons au travers du soutien-gorge échancré. Entre deux conversations pendant l’apéritif, des mains se glissent sous ma jupe ou sous mon chemisier pour mon plus grand bonheur. En fait, je ne sais plus si je suis soumise à ces quatre hommes ou si je suis une profiteuse : probablement un peu des deux, mais je crois que le côté profiteuse l’emporte largement. Ensuite, nous passons à table moi entre Paul et Pascal et en face, Fred et mon mari. Inutile de dire que pendant le repas, des tas de propositions arrivent dans la discussion pendant que des mains se glissent furtivement sous ma jupe ou mon chemisier, mes hommes d’en face n’ayant que la vue pour s’exciter. Une des propositions émanant de Pascal : revisiter demain matin la vieille ville avec la même ruelle pour Fred qui ne la connaît pas et surtout avec la même tenue que la dernière fois, je n’ai pas d’autres choix que d’être d’accord, ce qui m’émoustille d’ailleurs déjà un peu. Après le repas, je remets mes fesses face à la cheminée, mais cette fois Fred enlève ma jupe et mon chemisier, permettant d’accéder plus facilement à mon sexe et mes seins, d’autant plus que mon soutien-gorge, retiré aussi, laisse apparaître la chaîne qui s’accroche sur mes tétons. Les préliminaires continuent sur le canapé en inter changeant les intervenants qui, tantôt ont la tête entre mes cuisses pour sucer ma chatte et mon clito, et tantôt me titillent les seins, débarrassés de leur chaîne. Quand je suis bien humide, nous passons dans la chambre où le jeu des caresses et des suçons continue et où chaque partenaire change en permanence, soit la tête entre mes cuisses soit à sucer mes seins, soit à se faire sucer la queue. C’est magique et quand Fred propose de passer aux choses sérieuses, il se met sur le dos et m’attire sur lui. Je l’enjambe et en glissant doucement vers le bas, sa queue trouve tout naturellement l’entrée de ma chatte bien lubrifiée par toutes ces langues qui n’ont cessé de me lécher. Elle rentre bien au fond, malgré le godemiché en place depuis le midi. C’est Paul, placé derrière moi qui retire doucement le bijou anal et pour une fois, ce n’est pas mon mari qui pénètre mon petit trou en premier, mais Paul qui le fait en douceur, mais aussi en profondeur. Je me couche sur Fred pour bien ressentir la douceur de sa peau et Paul se couche sur moi : situation très jouissive et là, je profite bien de mes partenaires et eux aussi, donc bonheur partagé. Puis, ils commencent tous les deux à me limer en cadence, d’abord doucement puis de plus en plus vite. Pascal vient se placer à côté de moi et je le prends en bouche pour bien le sucer et Paul s’écrie : — Je viens, tous éjaculent en même temps et mes trois trous sont inondés de leur semence. Ouah, quel pied, j’ai un orgasme terrible et quand mon mari vint à son tour éjaculer dans ma bouche, j’avale leurs deux spermes et Paul vient placer sa queue dans ma bouche pour que j’avale les dernières gouttes s’échappant de sa queue puis, je descends le long du corps de Fred pour emboucher sa queue et sucer les dernières gouttes. J’ai donc, chose très inhabituelle, goûté aux quatre spermes de goûts différents de mes partenaires d’un week-end. Nous restons ainsi un long moment, étendus les uns à côté des autres sans trop parler, mais surtout pour récupérer de ces efforts très intenses que nous venons de vivre ensemble. Après ce moment de récupération, nous nous séparons pour la nuit et Pascal décide de dormir avec moi. Je fais quelques ablutions dans ma salle de bain au rez-de-chaussée, j’enfile ma nuisette et mon peignoir et nous montons nous coucher, Pascal et moi dans une chambre et Fred et Paul dans l’autre chambre. Je me couche nue auprès de Pascal, car j’ai envie qu’on se retrouve peau contre peau. Il prend son temps pour me caresser, nous sommes face à face et je prends sa queue dans ma main qui commence à durcir et Pascal en profite pour l’introduire dans mon intimité. Nous sommes bien ainsi à savourer ces moments de douceur. Après un dernier gros câlin, je remets ma nuisette et nous nous endormons très rapidement après cette journée pleine d’émotions très agréables. Vers 9 heures le lendemain matin, je sens une main douce caresser mes cuisses et remonter doucement, je dis à Pascal de patienter quelques minutes, direction les toilettes et la salle de bain pour une douche rapide. De retour dans la chambre, Pascal me propose de venir s’asseoir sur sa bouche afin qu’il me lèche doucement : moment très agréable. Je veille quand même à ne pas trop appuyer mes fesses sur sa tête pour qu’il puisse respirer puis à mon tour, je me retourne et je prends sa queue en bouche pour bien la sucer, mais elle est déjà bien dure. Après quelques minutes de ce petit jeu, je me retourne et glisse vers le bas sur ses cuisses pour introduire sa queue dans ma chatte. Je commence à remuer et lui aussi pour accélérer jusqu’à ce qu’il se vide dans mon sexe. Je garde le sperme, attrape mon peignoir et comme la veille, je me dirige dans l’autre chambre où m’attendent Paul et Fred. Je me glisse entre eux deux et attrape leurs deux queues. Fred pose sa main sur mon sexe en disant : — Ouah Pascal t’a déjà bien honorée, tu es pleine de sperme.— Oui, répondis-je et je compte sur vous pour continuer à bien me remplir. Je me déplace un peu pour emboucher la queue de Paul tout en masturbant celle de Fred, puis je m’installe sur Paul en introduisant sa queue dans ma chatte. Je commence à remuer et lui aussi tout en accélérant jusqu’à ce qu’il éjacule. Puis, je saisis la queue de Fred en bouche pour bien la faire durcir et je me place sur lui tout en l’introduisant dans ma chatte et recommence à bouger de plus en plus rapidement en même temps que lui jusqu’à ce qu’à son tour, il remplisse ma chatte de son sperme. — La journée commence bien, dis-je en les embrassant tous les deux juste avant de retourner chercher ma nuisette et de mettre mon peignoir. En descendant l’escalier, je sens le sperme s’échapper doucement et couler le long de mes cuisses : c’est plutôt agréable et je rejoins mon mari dans la cuisine préparant le petit-déjeuner.— Alors bien remplie ce matin encore ? me demande-t-il.— Oui, la journée commence bien et mes trois belles queues Blacks se sont encore montrées à la hauteur en me remplissant toutes les trois. Ce disant, avec son doigt, il caresse l’entrée de mon sexe pour constater que je suis trempée et je m’assois sur un essuie-tout que je pose sur ma chaise pendant le petit-déjeuner. Ensuite, nous nous retrouvons tous les quatre comme la veille sous la douche avec introduction momentanée de mes 3 queues dans mes deux orifices. Puis, c’est Fred qui se propose pour attacher mes jarretelles, ce qu’il fait avec beaucoup de dextérité et après avoir mis un peu de rouge à lèvres, et enfilé mon peignoir, je retrouve mes hommes au salon. Tout le monde est prêt pour la balade en ville et Pascal demande si j’ai mis un rosebud. — Non. — Mets le plus gros, et il m’accompagne dans la chambre pour le choisir, l’enduisant de gel, il me penche en avant et après en avoir mis un peu sur son doigt pour préparer l’entrée, puis un deuxième, il le fait pénétrer doucement et, une fois introduit et, vu sa forme, il ne peut que rester en place. Nous retournons au salon, j’enlève mon peignoir et ainsi vêtue ou plutôt dévêtue, car je n’ai que mon porte-jarretelles et mes bas sans oublier le rosebud, j’enfile mon manteau sans oublier de le boutonner. Et là, Fred comprend ce que veut dire Pascal lorsqu’il a parlé de la même tenue que la dernière fois. Nous montons en voiture, moi devant, car il fait jour et je ne veux pas risquer le regard des voisins. Arrivés à destination, nous prenons les mêmes ruelles de la vieille ville que Fred ne connaît pas et arrivés dans la ruelle sans issue, Paul et Pascal me conduisent sous le porche en retrait et commencent à déboutonner mon manteau pendant que mon mari surveille les abords. Fred se joint bien évidemment aux deux autres pour me caresser de partout et pour sucer mes mamelons. Un peu plus hardie que la dernière fois, je sors les 3 queues de leurs cachettes pour les prendre en bouche à tour de rôle, ils bandent déjà. Evidemment la situation est émoustillante et Fred, le premier, me courbe en avant pour me pénétrer le sexe, mon anus étant toujours garni du rosebud. Les uns après les autres, ils se relayent quelques minutes dans mon sexe sans toutefois éjaculer. Puis, je reboutonne mon manteau et les queues retournent sagement à leur place dans les pantalons. Nous regagnons la voiture puis la maison où, après avoir enlevé mon manteau, je remets mon chemisier en dentelle noire, histoire d’être « présentable » pour le déjeuner. Ensuite, après le traditionnel cérémonial du chauffage des fesses devant la cheminée où mes comparses enlèvent mon chemisier pour profiter pleinement de mes seins, nous décidons de monter à l’étage. Une fois arrivée, je m’étends de nouveau sur le lit et j’ai droit à toutes les bouches qui se relayent sur mes seins, sur ma bouche ou bien entre mes cuisses et j’apprécie beaucoup. Pascal propose qu’on m’encule à tour de rôle pour remplir mon petit trou et que je garde leur semence le plus longtemps possible, car l’heure de leur départ sonne. C’est mon mari qui commence en sortant doucement le rosebud de mon fondement pour m’enculer bien au fond. Au bout de quelques va-et-vient, il éjacule le premier dans mon cul puis c’est le tour de Paul qui m’encule bien profond et éjacule à son tour. Je ne sais pas si c’est calculé, mais je prends les queues dans l’ordre croissant, et c’est donc au tour de Pascal et enfin, pour terminer j’ai droit à la queue de Fred, la plus volumineuse, mais ses prédécesseurs ayant bien préparé mon petit trou, il n’a aucune difficulté à m’enculer bien profondément et à éjaculer encore assez abondamment puis, une fois que Fred est ressorti, Pascal s’empare du rosebud pour le remettre en place. J’ai ainsi le sperme de mes quatre hommes prisonnier dans mon fondement, ce qui n’est pas pour me déplaire. Après quelques minutes de récupération, tout le monde se rhabille et nous prenons congé de nos amis parisiens qui repartent. Lorsqu’ils arrivent, ils nous appellent pour nous remercier de ce week-end, et nous leur assurons d’avoir aussi vécu ensemble deux jours inoubliables et je leur confie avoir conservé leur sperme dans mon fondement pendant encore une heure avant qu’une envie pressente ne m’oblige à aller aux toilettes.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
