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Des triplées puis leur mère dévergondent un puceau.

Chapitre 2

Julien se fait traitre par les triplées, puis par leur mère.

Hétéro
Des triplées puis leur mère dévergondent un puceau. 2
  Julien est un peu perdu. Elle revient plus souvent maintenant s’abreuver à la source, variant suivant les nuits les gorges profondes ou bien  ne titillant du bout de la langue que le gland à la peau si délicate.Une nouvelle nuit, une nouvelle visite de sa « tourmenteuse ». Julien est déjà prêt, le sabre au clair. La bouche accueillante enfourne sa teub, la langue joue avec son gland et Julien découvre une nouvelle sensation. Une boule de métal frotte sur la peau innervée, un piercing ??? Il n’y a qu’Aude à en avoir un, se serait donc elle sa « tourmenteuse » ? Il faut dire aussi que c’est sa chambre. La sensation est incroyable et il ne peut résister bien longtemps avant de se vider les couilles entre les lèvres de la fille. Comme d’habitude, elle s’éclipse prestement. Le lendemain matin, Julien essaie par des moyens détournés d’amener Aude sur le sujet mais elle ne réagit pas, comme si ça n’avait aucun intérêt. Suite :A partir de ce jour, il ne se passe maintenant pratiquement plus une nuit sans qu’elle vienne dans sa chambre, variant à chaque fois, piercing, gorge profonde ou alors ne goûtant que la gueule de son pieu. Il insiste auprès d’Aude qui l’envoie aux « plosses ». Les filles se retrouvent dans leur chambre et la conversation revient sur le sujet majeur :-On ne peut pas dire que Julien soit très futé pour ne pas avoir deviné qu’il n’y a pas que toi, Aude, à lui sucer son gros dard, fait remarquer Jade, vous avez de la chance que je sois partageuse.-Oui, surenchérie Lucie, mais il apprécie beaucoup plus qu’en je lui fais une gorge profonde au lieu de me contenter de lui titiller le gland.-Mais d’après sa réaction, la coupe Aude, mon piercing est encore plus efficace. Il va falloir passer à la vitesse supérieure maintenant. On l’a assez fait mariner, et j’ai trop envie qu’il me prenne avec sa queue massive.-Moi aussi !-Moi aussi !Et elles éclatent de rire.-Tu crois que ce sera la première fois pour lui ? Demande Aude. Ça aurait pu, mais… Il faut que je vous parle de Sylvie, leur mère. Quelques temps avant cette conversation, elle avait fait venir un ami pour de menus travaux. Elle n’est pas indifférente devant ce bel homme serviable et ne dirait pas non de rompre son célibat forcé avec lui. Il lui demande s’il peut prendre une douche avant de partir, elle accepte et lui dit de monter à l’étage pour être tranquille pendant qu’elle lance une lessive.Pourtant, il n’a absolument rien fait pour l’émoustiller. Après avoir vaqué à ses occupations, elle se décide enfin et le rejoint dans la salle de bain, commençant déjà à ressentir une excitation. Sylvie entend  l’eau chaude qui coule le long du corps masculin. Elle a envie de caresser sa peau si douce. Une irrépressible envie de caresser son épiderme la saisit et rien ne peut calmer cette ardeur. Elle glisse sa main à travers le rideau opaque laissant à peine entrevoir les formes de l’homme et touche sa poitrine. Ce geste est un vrai déclencheur. Elle sent le cœur de l’homme battre la chamade.-Tu es encore essoufflé, remarque-t-elle.Les petits tétons de l’homme pointent fièrement au sommet de ses pectoraux mais elle l’aurait cru plus musclé. Il ne peut plus résister et sent son pénis se gonfler. Sa peau est vraiment douce et Sylvie  commence doucement à descendre sa main,  enivrée. L’homme se met  à respirer plus fortement et elle devine la réaction qui doit se produire chez lui. Elle en a la confirmation en arrivant à son sexe, il est bien monté, le salaud…— Tu aimes quand je fais ça ? lui demande-t-elle. Un chibre se dresse, incroyablement raide au garde au vous, légèrement incurvé vers le haut.
Elle continue ses caresses très légères sous l’eau chaude autour de ce membre si dur, déclenchant à chaque fois un frémissement de tout ce corps de mâle. Son pénis réagit avec tout autant de vigueur. Elle tire dessus pour le faire apparaître entre les deux pans du rideau de douche, le gland est décalotté et elle admire la verge se tendre à chaque caresse. Une voix, à peine un murmure la supplie :— Branle-moi comme tu sais si bien le faire, fais-moi jouir, mon pénis me fait mal tellement il est tendu.Sylvie commence doucement à branler ce pénis qui se termine par un gland  pulpeux très gonflé. Avec les mouvements de va-et-vient, elle commence à mieux évaluer sa taille. Elle le branle et le branle encore pendant que sa main gauche parcourt son torse.Sylvie est agréablement surprise, il n’est pas si courant que ça de trouver un homme bien monté et son ami est l’exception qui confirme la règle. Pourtant elle l’a déjà vu en slip de bain et la petite déformation pointue n’augure le plus souvent rien de bon. Il vaut mieux pour l’homme avoir une bosse dont on ne discerne pas les contours ce qui est bien plus prometteur.Sa verge est d’une bonne taille sans être trop grande mais elle n’a jamais vu de chibre aussi massif. Lorsque sa main enserre le sexe, elle sent son cœur s’emballer, sa main est loin d’en faire le tour, au toucher elle estime que cette bite doit approcher les six centimètres de diamètre, accroissant son désir. Elle a toujours fantasmé sur ce genre de gourdin. Sa main part en une lente exploration, progressant par va et vient le long de cet énorme rouleau, il lui semble ne jamais arriver au bout, son fantasme est devenu réalité. Sylvie arrive aux parties qui elles aussi sont de taille assez respectable. Elle a sa bite dans la main droite, incroyablement dure, quelle sensation !  Elle devine que chaque mouvement sur sa verge le rapproche de la jouissance absolue. La main gauche de Sylvie vient lui caresser les couilles, si bien pendues, et joue avec ses testicules en les faisant rouler doucement.— Branle-moi bien… je vais jouir… je sens trop que ça monte, continue et fais-moi gicler !-J’adore comme tu es raide, tu aimes ça quand je te malaxe les couilles ? L’eau et le savon font un excellent lubrifiant et atténue les sons. Elle fait jouer la paume de sa main autour de la cime de sa pine dont la peau si lisse, si tendue est hyper sensible. — Ta queue est trop belle… Je vois ton pré-sperme qui commence à sortir de ta lance… Tes couilles vont se vider. Je veux voir ce que tu as dans les burnes, mon cochon… J’espère que tu peux éjaculer fort… J’aime quand le sperme gicle en abondance comme un geyser…  Les paroles de Sylvie se mêlent à ses propres fantasmes, savourant chaque instant. Il y a longtemps qu’elle n’a pas branlé un mec et elle veut que son plaisir soit à la hauteur du sien. Le bruit de l’eau couvre un peu les paroles de l’homme mais elle entend assez distinctement :— Je vais jouir… déclare-t-il soudain, je vais venir… Sylvie sent les couilles se rétracter, un frisson la parcourt jusqu’à la pointe de ses seins et d’un seul coup, le pieu devient encore plus dur et est parcouru de spasmes.  Sylvie n’a pas le temps de faire un nouveau mouvement de va-et-vient qu’un violent jet de sperme gicle de la pine. Elle continue à la branler.-Ouiiiiiiii… hannnnn….. » De nouvelles giclées jaillissent. Elle ne s’attendait pas à une éjaculation si forte. La jouissance doit être si soutenue qu’il ne peut presque plus tenir sur ses jambes. Son sperme crémeux, bien blanc, épais, dégouline le long de la main de Sylvie et sur son visage tavelé de foutre. Elle continue le mouvement, le décalottant et jouant avec son prépuce pour que la dernière goutte de sa semence, qui lui fait penser à une gelée très blanche, puisse s’échapper.— Qu’est ce que t’es bien monté, Jérôme, et putain ! Tu es un sacré éjaculateur… Que sa passe-t-il ? Il arrache sa queue encore bandée de la main de Sylvie et s’il avait pu fuir de la douche, il l’aurait fait. Elle ouvre d’un coup sec les deux pans du rideau de douche et se trouve nez à queue, si je puis dire, non avec son ami Jérôme, mais avec Julien, le frère d’Ella, la copine de ses filles… Elle vient de branler ce jeune homme si effacé qu’on lui donnerait l’absolution sans confession, Merde !!!En essayant de reprendre son souffle, il ramène ses mains sur son bas-ventre pour essayer de dissimuler en vain à la vue de Sylvie son organe qui, malgré qu’il a perdu de sa superbe, est encore d’une dimension fort acceptable pour le commun des mortels.-Mais qu’est ce que tu fais là, Julien, tu ne devrais pas être en cours ? Et Jérôme ?Jérôme a du s’éclipser sans la prévenir, et Julien avait pris sa place dans la douche après son retour suite à des cours annulés, une sacrée méprise… « Que dois-je faire ? Comment me comporter ? » S’interroge Sylvie. Le pieu continue de ramollir mais reste étrangement lourd. Sylvie constate que les couilles se sont collées à la base de sa queue et forment presque un tout continu avec son sexe. Certains hommes portent haut, telles les statues représentant des hommes nus, mais la verge de Julien est positionnée très bas. Sylvie est une femme à la cinquantenaire encore appétissante. Ses enfants sont de grandes ados et son mari la trompée.  Qu’est ce qui l’empêche de se trouver un amant ? Julien a les yeux qui plongent sur sa poitrine généreuse.-ils te plaisent, mes seins? Tu veux les voir ?Sylvie a bien sûr remarqué que Julien la matait.-Euuuhhh… Oh oui, mais vous… Elle se rapproche, prend sa main droite qui cache la verge et la plaque sur sa poitrine. -Ils sont assez fermes?Le rouge monte aux joues et aux oreilles de Julien qui ne sait comment réagir, un peu étonné du comportement de la mère des triplées, mais il est à sa merci coincé dans le bac à douche. Avec sa main guidée par celle de Sylvie, il masse ses seins. Quelle sensation de toucher ces deux sphères de chair, d’en apprécier les contours, de les soupeser. Sylvie a la respiration qui s’accélère, se mordant la lèvre inférieure quand Julien passe sur un téton durci. Lui s’enhardit et son autre main vient s’occuper du sein esseulé. Sans même s’en rendre compte, il a repris une trique incroyable. Il réalise enfin  la puissance de son érection. Vous savez ; ces instants où vous avez l’impression que vous avez un sexe énorme, que vous pourriez dominer n’importe quoi, n’importe qui. C’en est presque douloureux tellement il bande fort. Sylvie entame un striptease, elle attend depuis si longtemps de connaître au nouveau les affres de l’amour. Elle retire tout doucement son joli top qui laisse ainsi voir un magnifique soutien-gorge en dentèle. -Tant pis, ce n’est pas toi que j’avais en tête mais ça va être ta fête...  Ps : Si vous voulez voir de quoi est capable Julien, lisez : « Le gourdin de tonton » du même auteur et vous y trouverez comment visionner une vidéo très explicite sur les performances éjaculatoires dont s’inspire l’auteur. Et si vous réfléchissez un peu en approfondissant votre recherche, vous découvrirez que…… A suivre…
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