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Des triplées puis leur mère dévergondent un puceau.

Chapitre 3

Le puceau explore la chatte de la mère des triplées.

Hétéro
Des triplées puis leur mère dévergondent un puceau. 3
  Le rouge monte aux joues et aux oreilles de Julien qui ne sait comment réagir, un peu étonné du comportement de la mère des triplées, mais il est à sa merci coincé dans le bac à douche. Avec sa main guidée par celle de Sylvie, il masse ses seins. Quelle sensation de toucher ces deux sphères de chair, d’en apprécier les contours, de les soupeser. Sylvie a la respiration qui s’accélère, se mordant la lèvre inférieure quand Julien passe sur un téton durci. Lui s’enhardit et son autre main vient s’occuper du sein esseulé. Sans même s’en rendre compte, il a repris une trique incroyable. Il réalise enfin  la puissance de son érection. Vous savez ; ces instants où vous avez l’impression que vous avez un sexe énorme, que vous pourriez dominer n’importe quoi, n’importe qui. C’en est presque douloureux tellement il bande fort. Sylvie entame un striptease, elle attend depuis si longtemps de connaître au nouveau les affres de l’amour. Elle retire tout doucement son joli top qui laisse ainsi voir un magnifique soutien-gorge en dentèle. -Tant pis, ce n’est pas toi que j’avais en tête mais ça va être ta fête. Suite : Elle se retourne et lui montre ses fesses puis elle se penche en avant et retire son pantalon et son string, Julien aperçoit sa fente, ce que ne lui a pas accordé sa (ses) fille(s) et est terriblement excité. Elle enlève son soutien-gorge et se retourne cachant sa poitrine avec ses mains. Elle vient tout près de lui et lui fait toucher ses seins, Julien s’enhardit et se penche pour les lécher et elle aime ça. Pour l’encourager, elle a repris cette formidable verge dans sa main droite. Julien apprécie cette voluptueuse caresse. Il a déjà connu ce genre d’attouchement de la part des triplées, ce plaisir intense du fait de la nouveauté de cette caresse mais là  il doit reconnaître que ce qu’il ressent en ce moment est totalement différent. Sylvie le repousse et entre à son tour dans la douche, prend sa pine en bouche, ses lèvres coulissent le long de son chibre avec une douceur incroyable, chaque déplacement de la bouche de cette couguar déclenche dans son bas-ventre une onde de volupté. Son gland rendu extrêmement sensible du fait de sa congestion sanguine lui transmet les plus infimes sensations qu’il perçoit ; depuis la chaleur humide de la bouche dans laquelle navigue sa teub jusqu’aux chocs répétés de la langue qui agace systématiquement son gland. C’est une  sensation qu’il n’a pas ressenti aussi intensément avec ses filles. Il est vrai que ces dernières n’avaient pas l’expérience de leur mère qui le suce actuellement.L’eau chaude caresse  le dos et coule sur les seins de Sylvie, le bas de son ventre, c’est agréable et vivifiant. Elle se relève et prend les mains de Julien, les plaque sur ses deux gros nichons. — Caresse-les! Il ne se fait pas prier et pourrait passer des heures à jouer avec ces deux masses chaudes et humides, bien plus grosses que celles de ses filles. Elle continue de masturber Julien et de l’autre main a pris le pommeau de douche pour l’enrouler à la base de ce nœud qui sert de gargouille à l’eau et celui-ci lâche un petit gémissement. Son sexe va maintenant de lui même à la rencontre de la main et glisse dans le tuyau chaud et tendu pendant qu’il presse les nichons de sa tourmenteuse, sentant  son plaisir monter, et son rythme s’accélère. Sylvie le sent aussi.— Oui, vas-y, fais toi jouir! Je veux te voir jouir dans ma main! Joignant le geste à la parole, elle accélère la branlette de sa main droite pendant que la gauche augmente encore plus la température de l’eau. Julien pousse un "oooh?" étonné, puis d’un coup, la puissance de sa jouissance se répand dans tout son corps. -Ooohhh madame B….., Sylvie, je n’y tiens plus, arrgghh ! Julien sent la sève qui s’accumule dans ses couilles ballotantes et qui ne demande qu’à s’évacuer. Il arrête son massage au niveau de la poitrine de la femme et glisse une main dans ses longs cheveux, pour l’inciter à continuer à l’astiquer aussi bien. À chaque mouvement habile de la main de Sylvie sur son pénis engorgé, il a l’impression que la pression augmente dans tout son corps. — Branlez-moi … branlez-moi plus fort ! ordonne-t-il soudain. Dans ses couilles, une vive décharge s’exprime comme au niveau de sa prostate et dans toute sa bite. Sylvie se met alors à serrer doucement la base de son sexe, formant un anneau avec le pouce et l’index, juste au niveau des couilles, comme pour l’empêcher d’éjaculer. C’est à la fois une douleur et une incroyable jouissance pour lui. L’orgasme est à son summum. Au moment où Sylvie relâche la pression autour de son pieu, la jouissance qu’il ressent est particulièrement intense. Il n’a jamais ressenti une telle sensation, ses jambes plient quasiment sous la violence de son orgasme et Sylvie doit le retenir légèrement pour ne pas qu’il vacille. Son foutre jaillit pour la deuxième fois avec une force qu’il n’a jamais connu auparavant et qu’il  ne s’imaginait pas possible de sa part. De nombreuses giclées de sperme passent par-dessus l’épaule droite de Sylvie avant qu’elle ne corrige le tir, il continue de se vider les couilles sur le visage radieux de Sylvie puis enfin sur son torse. Elle semble prendre un plaisir fou d’être littéralement aspergée par le jus si abondant de ce « puceau » Elle admire ce sperme, clair, léger, qui dégouline de son cou, le long de sa poitrine, sur ses tétons si désirables et qui se dissout sous le jet de la douche..  Julien est épuisé, il n’a jamais ressenti un plaisir si marqué et apprécie maintenant Sylvie qui l’embrasse doucement, la satisfaction peinte dans son regard. Elle rince son jeune amant puis son propre corps des débordements spermique encore visibles,  ferme l’eau et le caresse doucement pendant quelques instants avant de sortir de la douche. -Je vais t’essuyer !-Que fait-on maintenant ? Lui demande-t-il.Elle se lève sans lui répondre, le prend par la main et l’emmène à sa chambre. La formidable verge de ce jeune homme l’a mise en appétit et elle espère qu’il aura assez de ressources pour ce qu’elle a en tête. Elle branle à nouveau le garçon et : « OH miracle », le petit Jésus reprend vie et ne demande qu’à rentrer dans la crèche…Sylvie à besoin des deux mains et quand elle prend dans sa bouche son engin, elle est obligée de distendre sa mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme.— Viens, viens t’enfoncer dans ma fente, défonce-moi avec ta grosse bite ! J’espère que tu n’es pas un fusil à deux coups…avec juste un peu d’habileté…  Mais avant, je vais lui mettre un petit chapeau. Elle farfouille dans sa table de nuit et trouve l’objet recherché, déchire l’emballage avec ses dents et s’agenouille devant lui pour lui passer le Condom, seulement il y a un « hic ». Elle n’a qu’une taille L alors qu’il lui aurait fallu du XXL. Encore heureux que ça soit très élastique mais l’enveloppe ne couvre qu’à peine plus de la moitié de ce merveilleux chibre qui n’a pas retrouvé toute sa rigidité.-Dès demain, je veux que tu ailles faire une prise de sang en demandant en plus des recherches habituelles les SMT. Si nous sommes appelés à recommencer, moi j’aime le contact direct de nos deux sexes. Par les temps qui courent, je l’exige aussi pour mes filles, il vaut mieux prévenir que guérir.Une information qui ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd, des fois que ? Avec les triplées…
Sylvie s’étend sur le dos dans son lit, ses jambes relevées sur sa poitrine, Julien veut présenter son gland démesuré à l’entré de la grotte secrète mais elle s’y oppose et lui dit de lui caresser les cuisses. Il obéit et instinctivement, elle ouvre le compas de ses jambes.Une main prudente les caresse à l’intérieur, montant parfois jusqu’à frôler sa fente. Sylvie murmure à l’oreille de Julien:— A toi de me sucer, tu vas commencer par me lécher ! Elle prend les cheveux du garçon et presse son visage contre son sexe offert. C’est la première fois pour lui qu’il peut goûter une chatte et il n’est pas déçu par celle de cette vraie femme! Elle est totalement épilée. De la langue, il parcourt ses lèvres, son clito avec un peu d’inexpérience mais elle le guide par de petites phrases.-Non, plus haut, fais comme ci, fait comme ça, vas-y franchement bordel, je ne suis pas en sucre, là…c’est mieux, ouuii, ouuii, encore… Les hanches de Sylvie commencent à onduler au rythme des caresses. La teub de Julien, entre le préservatif qui l’étrangle et le spectacle qu’il a sous les yeux lui fait mal tellement elle est gonflée de sang. Il ne peut plus se retenir et présente son sexe devant la fente, son gland écartèle les grandes lèvres. Sylvie sent le sexe de Julien pointer à l’orée du sien.-Huumm oui , c’est bien! Continue! Vas-y, baise-moi comme une chienne! Que n’a-t-elle pas dit là ! Julien s’enfonce en elle d’un coup puissant et il commence directement à la pilonner comme un taureau sur une vache.  Sylvie a connu dans sa jeunesse nombre de bites qui sont entrées dans sa moule, mais le gland suivi de la hampe tout aussi massive lui distend tellement la chate qu’elle lâche un cri de douleur, Julien est en train de lui exploser le vagin à un rythme effréné, dévastant les muqueuses du vagin plus habituées à cette gymnastique et se dépucelant lui-même par la même occasion. Elle souffle très fort et tente de se décontracter mais il la prend par les hanches et s’enfonce en elle le plus loin qu’il peut sans aucune précaution pour sa partenaire. Il touche le fond de sa vulve, elle est en train de se faire exploser la chatte. — Eh ! Vas-y plus doucement ! On n’est pas aux pièces, bordel ! Tu me fais mal, je ne suis plus habituée à recevoir des bites, surtout une aussi grosse comme la tienne. Après toi, n’importe quoi rentrera dans ma chatte !   Ps : Si vous voulez voir de quoi est capable Julien, lisez : « Le gourdin de tonton » du même auteur et vous y trouverez comment visionner une vidéo très explicite sur les performances éjaculatoires dont s’inspire l’auteur. Et si vous réfléchissez un peu en approfondissant votre recherche, vous découvrirez que…… A suivre :
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