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Des vacances bouillantes

Chapitre 2

Inceste
Après une averse de grêle et des dégâts considérables sur nos tentes, nous nous retrouvons ma famille et moi dans cette ferme. Ce soir, je viens d’assister à ma première scène sexuelle entre deux femmes, enfin, je n’y ai vu que quelques détails qui m’ont totalement émoustillé.Malheureusement, alors que j’avais la main sur ma verge, ma cousine Louise m’a pris en flagrant délit. Je suis à présent dans la chambre qui nous a été proposée et je viens de lui avouer que j’étais puceau. Elle a dans un premier temps souri à cet aveu, puis s’est montrée plus conciliante. Après tout, n’ayant pas de sœur, nous nous confions des secrets, mais ces derniers n’avaient jamais passé le cap de la sexualité.Je me retrouve désormais à côté d’elle, toujours avec une demi-érection. Entre le partage de plaisir charnel que se sont offert Karine, ma belle-mère et Catherine la femme du guide, je n’arrive pas à me calmer. De plus, Louise, qui est en sous-vêtement à côté de moi, n’arrange pas vraiment les choses.Je propose à cette dernière d’éteindre la lumière de chevet afin de dormir, après toutes ces aventures, il y a vraiment besoin de repos. Je garde néanmoins les yeux ouverts. Au bout de quelques instants, j’entends les premiers ronflements de ma cousine. Je vais enfin pouvoir soulager le trop-plein d’émotion dû à la scène que j’ai vue dans la pièce de vie.Je porte ma main dans mon caleçon et commence à me masturber doucement afin de ne pas réveiller Louise. Mais après réflexion, avec quoi je vais bien pouvoir m’essuyer, je n’ai pas de mouchoirs, ni autres. Je suis dans la panade. Je ne peux pas aller aux toilettes, car si je me lève, je vais éveiller des soupçons, du coup, je ne sais pas comment faire.
Il y a bien ce bout de tissu sur la table de chevet. Je sais que ce n’est pas propre, mais je ne peux pas retenir mes pulsions. Dans le calme le plus total, je saisis le tissu que je pose à ma droite, puis reprends ma masturbation. Les images érotiques qui défilent dans mon esprit sont partagées. Mais très vite, je pense à la poitrine opulente de Karine.Je sens déjà que le bout de mon gland s’humidifie. L’excitation est à son comble. Mes jambes et mon bassin se contractent, je sens que le liquide monte le long de ma verge, je saisis le tissu, puis me répands dedans comme un sagouin. Je m’essuie tant bien que mal, le repose à côté sur le parquet, puis décide tout de même de dormir.Le lendemain, matin, il est aux alentours de neuf heures lorsque l’odeur de café se répand dans la maison. Cela me réveille, puis je retrouve la famille autour de la table. La fameuse table d’ailleurs, un flash érotique m’interpelle quelques instants, puis je me ressaisis et m’assois à côté de mon père.Bien entendu, je ne peux m’empêcher de regarder Karine, elle a remis une nuisette classique, mais qui dessine tout de même bien sa poitrine. Je louche quelques fois dessus. Louise m’adresse un coup de pied dans le tibia, je me mords les lèvres, la regarde avec de gros yeux alors qu’elle m’affiche un sourire moqueur.Après le petit-déjeuner, Mathieu nous propose d’aller chercher les affaires au bord de la rivière, j’y vais avec mon père et Gérard mon oncle. Nous ramassons notre bazar puis nous retournons à la ferme.Le propriétaire des lieux souhaite nous louer les chambres afin d’éviter des mésaventures comme la veille. N’y voyant aucun inconvénient et ayant fait des économies, Rodolphe accepte sans un aucun souci. Karine affiche suite à cette validation un petit sourire. D’ailleurs, cette dernière me propose de faire une balade avec elle afin de mieux faire connaissance.
Mathieu nous donne un plan, au cas où, puis nous voilà sur les chemins de montagne. J’apprends qu’elle est secrétaire dans l’entreprise où travaille mon père, puisqu’ils ont fait connaissance autour de la machine à café. Le charme de ce dernier a opéré lorsqu’il apportait quelques fois des viennoiseries au bureau, puis ils ont partagé des soirées au restaurant et au cinéma avant de devenir un couple. Elle m’indique qu’elle ne prendra pas la place de ma mère.Je la remercie pour ces précisions, puis je me dévoile aussi, je lui explique que je fais des études afin de devenir avocat, et que je suis en internat pour éviter de me disperser dans des activités autres. Je l’informe que je joue dans l’équipe de football de l’université. En revenant à la ferme, la discussion se poursuit, sur les goûts musicaux, et autres, puis nous rentrons.Elle embrasse mon père, puis vante un peu mes qualités, Catherine de son côté est en train de préparer le déjeuner, puis nous apprenons que Mathieu est sur l’un des coteaux de la montagne avec ses moutons. Nous mangeons tranquillement, mais Louise me fixe avec un regard assez particulier.Serait-ce une pointe de jalousie ? Je ne le sais pas du tout. La femme de Mathieu propose aux jeunes, comme elle aime le dire de prendre les vélos et d’aller se baigner dans la rivière. Je n’hésite pas une seconde, monte dans la chambre pour enfiler mon maillot de bain quand soudain ma cousine entre sans frapper.Je me retrouve le sexe à l’air devant elle, rouspète pour son manque de correction puis elle trépigne d’impatience derrière la porte afin de savoir quand elle pourra se changer. Au bout de quelques secondes, j’ouvre, et elle effectue pour le coup un sourire enjôleur.Je descends dans la cour, prépare les vélos, les serviettes, puis Louise finit par arriver. Nous partons au bord de l’eau. Comme la veille, elle est un peu fraîche, mais cela n’est pas pour me déplaire. Je joue avec elle, l’arrose, puis elle marque un temps d’arrêt et me demande ce que je sais sur Karine. Je lui dis la plus stricte vérité, mais elle ne peut pas se priver de me taquiner sur ce rapprochement.
Je lui indique tout de même qu’il s’agit de la compagne à mon père, mais par malice, Louise me rétorque qu’hier soir dans la salle de vie cela ne se voyait pas trop. Par un haussement d’épaule, je retourne dans l’eau tandis que cette dernière s’allonge sur sa serviette.En la voyant sortir, je ne peux que confirmer sa beauté à elle aussi, j’admire ces petites fesses qui ballottent de droite à gauche, et une fois de plus mes hormones me trahissent. Je suis en érection, impossible de sortir de l’eau.Je suis là, comme un couillon à attendre que ça se calme, quand soudain ma cousine décide de faire du topless. En même temps, nous sommes seuls donc forcément, elle est totalement libre de faire ce qu’elle veut. Sa poitrine est plus petite que celle de Karine, mais elle est joliment dessinée en forme de poire. Cette vision accentue mon état.Par chance, ma cousine se positionne à plat ventre. Je profite de cet instant pour rejoindre ma serviette, mais en marchant sur les cailloux, je fais un peu de bruit. C’est à ce moment précis où la gêne est totale. Elle se met sur le côté, et ses yeux se dirigent clairement en direction de ma bosse. Faisant mine de rien, je m’allonge sur le ventre. C’était sans compter sur le côté taquin de Louise qui me fait un sourire enjôleur suivi d’un compliment. Ce dernier est orienté en direction de ma verge, elle me félicite pour la taille.Mes joues rougissent de honte comme jamais. Je ne dis plus un seul mot, mais lorsque je tourne la tête pour lui répondre, je lui fais face. Elle est toujours allongée sur le côté, avec ses seins qui pointent légèrement. Elle me demande si c’est la première fois que j’en vois d’aussi près. Je réponds par l’affirmative. Elle me demande comment je les trouve, je lui dis qu’ils sont beaux puis je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête lorsqu’elle m’a demandé de lui montrer ma verge.Je lui dis que ce n’est pas correct entre cousins de se montrer ainsi. Elle insiste disant que j’ai bien ses seins nus face à moi. Je ne peux contrer cette remarque, mais décide tout de même de ne pas céder à ces caprices. Les esprits se calment un peu, puis Louise décide de retourner dans l’eau.
Elle me propose de la rejoindre, ayant chaud et n’étant plus en érection, je me lève puis me baigne aussi. Comme d’habitude, nous jouons, nous discutons, puis elle redevient taquine. Elle se rapproche de moi. Désormais, son jeu est de vouloir m’enlever le maillot. Les rapprochements corporels sont beaucoup plus réguliers. Ce qui me provoque une fois de plus une érection. À cette heure précise, j’en veux énormément à mes hormones. Alors que j’essaye de me reculer, elle réussit son jeu.Me voilà le cul à l’air face à elle, mes mains sont positionnées devant ma verge. Mais étant en érection, il est très difficile de la cacher. Elle continue de me taquiner, puisque maintenant, elle me chatouille afin que je lâche prise. Au bout de quelques secondes, je ne peux plus résister.Je suis désormais nu face à elle, la verge en érection. Elle me complimente sur la taille et l’entretien que je lui applique. Je ne suis pas totalement imberbe, mais je me rase pour garder une bonne hygiène. Elle me demande si elle peut toucher, je refuse et fais un pas en arrière. Décidément, elle n’a pas fini de me taquiner.Je dois tout de même reconnaître qu’une première fois avec une fille aussi belle et légèrement plus âgée, ne peut être que positif, mais tout de même, c’est ma cousine.Les trente secondes de pensées que je viens d’avoir lui ont permis de réussir son objectif.Elle a désormais ma verge dans sa main, elle imprime un léger mouvement de droite à gauche, puis accélère le mouvement. La sensation est délicieuse, beaucoup plus plaisante que par soit même je dois le reconnaître. Elle me propose d’aller sur les serviettes, et machinalement, je la suis.
Dans l’immédiat, je ne la vois plus comme ma cousine, mais comme une femme désirable. Nous nous allongeons sur les bouts de tissus. Je suis sur le dos, le sexe tendu comme jamais. Louise est à côté de moi, toujours avec ses seins nus. Elle reprend ma bite en main, la masturbe, puis approche sa bouche petit à petit. Elle lape mon gland avec sa langue. Je ressens des frissons improbables, dans le même temps, je caresse sa poitrine tant bien que mal.Visiblement, je m’y prends bien, puisqu’elle me demande de continuer ainsi. Je lui malaxe doucement la poitrine, effectue des petits pincements sur ces tétons tandis que de son côté, elle commence à avaler mon sexe.La sensation est divine, la douceur que cela procure est exceptionnelle aussi. Elle m’offre ma première fellation. Sa langue parcourt ma tige, je suis en extase. Louise a changé la position de son corps, elle est sur le côté, mais presque en soixante-neuf. Je comprends où elle veut en venir. J’en profite pour lui enlever le bas de son maillot. Apparais devant mes yeux, un abricot totalement épilé.Je le caresse avec timidité, puis soudain, elle saisit ma main, et m’ordonne presque de la doigter avec plus de vigueur. En relevant sa tête, un filet de bave est sorti de sa bouche. Cette vision me propulse encore plus loin dans mon excitation.Avec mes doigts, je lui touche le clitoris avec vigueur, le malaxe, puis j’enfonce mon index et mon majeur dans ce puits chaud et humide. Je varie les mouvements à la fois lents et rapides. Ses soupirs de désir indiquent que je suis dans la bonne voie.Elle arrête sa fellation un instant, positionne ses jambes de chaque côté de mon visage. Je connais bien cette position, je l’ai vu sur un magazine qui parlait de Kâma Sutra. Cette fois-ci, c’est le vrai soixante-neuf. J’ai sa vulve en face de mes yeux, et je relève ma tête afin de la lécher.
Je parcours les lèvres de cette dernière de bas en haut, enfonce ma langue dans sa chatte qui commence à s’humidifier. Audacieusement, je la doigte de nouveau. Les deux actions simultanées lui provoquent des soupirs beaucoup plus intenses qu’au début.Par curiosité, j’ose même promener ma langue sur son petit œillet. Elle se contracte lorsque j’effectue ceci. C’est qu’elle doit apprécier. De son côté, elle me suce toujours, masse mes testicules, puis une action me fait vaciller comme le puceau que je suis. Elle glisse sa langue entre mon prépuce et mon gland.C’en est trop pour ce premier échange corporel. Je lui signale que je vais jouir plusieurs fois à la suite. Mais, elle fait mine de ne pas m’écouter, ou fait semblant plutôt. Alors que son abricot mouille sur ma bouche, je saisis les hanches de cette dernière. Je sens que je vais exploser. Ce qui se produit au bout de quelques instants.Elle en fait de même, j’ai le visage brillant de sa cyprine sur le bord des lèvres alors que Louise de son côté engloutit le sperme que je viens de lui offrir.Elle se positionne à côté de moi, j’essaye de me lever malgré les jambes tremblantes, afin de me nettoyer dans la rivière. Ma cousine me suit, nous nous faisons une brève toilette, puis elle vient m’embrasser. Nos langues jouent ensemble, la bave coule sur nos mentons, puis nous nous arrêtons.
Il est l’heure de rentrer à la ferme. Sur le chemin, elle me félicite pour ce premier jour d’apprentissage. Ces derniers mots frappent mon esprit. C’était une réelle envie. Tout le monde est présent dans le domicile de Mathieu et Catherine. Je pars prendre une douche.Ma tête est télé portée dans un autre univers, je viens de connaître mon premier échange corporel, j’ai aimé ça, et je suis donc comme le dit Louise en apprentissage. Le mot peut prêter à rire effectivement, mais je reviens à la réalité rapidement. Car je dors avec elle, je me doute bien que cette nuit sera torride pour la suite de ma formation si je peux le dire ainsi.
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