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Des vacances bouillantes

Chapitre 5

Inceste
Nous revenons dans la pièce à vivre de la maison. Mon père est présent avec ma tante. Cette dernière ne fait malheureusement pas grand-chose de ses journées. Je prends alors l’initiative de l’inviter avec nous au bord de la rivière. Je fais de même avec Rodolphe.Les deux adultes trouvent l’idée intéressante. Gérard finit par revenir avec Mathieu, les deux hommes sont passés chez le boucher et proposent à tout le monde de faire un barbecue. Karine se propose pour préparer les légumes frais qui accompagneront le dîner. De mon côté, je prépare la table avec Louise.Ce soir, l’ambiance est conviviale. Ma belle-mère a peut-être retrouvé la raison en s’asseyant à côté de mon père. Mon oncle est quant à lui cul et chemise avec Mathieu, tout comme moi avec ma cousine.Les discussions vont bon train. Il est pratiquement vingt-trois heures, Mathieu et Catherine quittent la table, demain, ils ont une grosse journée de travail. Avec ma cousine, nous prenons l’initiative de nettoyer et ranger la vaisselle.Gérard et ma tante Béatrice vont eux aussi se coucher. Louise vient de ramener les derniers couverts, la table est de nouveau en bon état. Nous échangeons un clin d’œil complice. Nous retournons sur la terrasse. Nous y voyons mon père et Karine s’embrasser. Cette image me donne le sourire. Afin de ne pas les déranger, nous partons dans notre chambre.
Je me retrouve avec ma cousine de vingt-quatre ans. Nous exprimons notre satisfaction lorsque nous repensons à ce rapprochement entre Rodolphe et ma belle-mère. Comme la veille, elle se pose devant la fenêtre, regarde la cour et les deux amoureux.Avec le spot lumineux, on peut voir clairement qu’ils se câlinent, s’embrassent, et finissent même par partir en direction de la grange. Je me doute bien qu’ils ne vont pas jouer aux cartes. J’aimerais bien faire mon petit curieux, mais avec Louise dans la pièce, j’ai une tout autre envie.Je me positionne derrière ma cousine, la tiens par la taille et l’embrasse dans le cou. Elle est totalement réceptive à mes avances. Quand soudain, une ombre fait son apparition dans la cour de la ferme.Il s’agit de mon oncle. Le salaud, me dis-je. Louise ne manque pas de l’insulter en marmonnant. Quelles astuces pouvons-nous trouver ? Gérard est désormais au niveau d’une petite lucarne vitrée. Nul doute qu’il doit y voir un spectacle qui le satisfait au plus haut point.Tout à coup, ma cousine vient de trouver une idée, elle me propose que l’on descende tous les deux. Elle s’habille en noir, je fais de même. Nous sommes dans la cour de la ferme, nous contournons la grange, puis nous nous positionnons dans un angle mort. Le doute que nous avions se confirme, mon oncle matte bien mon père et Karine à travers le carreau.
Mais comment signaler cet intrus ? Je ne suis pas habitué à ce genre de situation contrairement à Louise qui connaît les habitudes de son paternel. Elle s’échappe quelques secondes puis revient avec un tas de cailloux. Elle prend de l’élan, puis les jette sur le toit.Cela fait du bruit, mais visiblement pas assez pour éveiller d’éventuels soupçons. De mon côté, je surveille toujours Gérard. Dans la pénombre, je vois tout de même qu’il se masturbe. Ma cousine repart de nouveau. Sa nouvelle idée est risquée, mais je la trouve idéale.Elle prend une pierre plus grosse, m’indique de me cacher dans les buissons, ce que je fais sans hésitation, puis jette le caillou dans une vitre qui se brise totalement. Elle court à mes côtés, Rodolphe sort de la grange en panique avec Karine. Trop malin, Gérard a réussi à se cacher derrière le bâtiment. De là où on est placé, on le voit même rentrer, puis ressortir faisant mine d’avoir entendu un bruit suspect.De notre côté, on essaye de passer par l’arrière de la ferme, puis nous arrivons à atteindre la porte qui s’y situe. Nous allons dans notre chambre, les cœurs battant la chamade. Nous surveillons la cour de nouveau, Mathieu est sorti en caleçon pour voir ce qu’il se passe.Il y rencontre mon oncle qui a aussi entendu un bruit suspect. De leur côté, Karine et mon père arrivent en expliquant qu’une vitre de la grange a été cassée. Les deux hommes n’ont aucun doute sur leur présence dans le bâtiment. Pris par la fatigue, le propriétaire de la ferme invite tout le monde à retourner au lit.Visiblement, Rodolphe et sa compagne ne semblent pas être plus perturbés que ça puisque le bois de leur lit cogne de nouveau contre le mur. Avec Louise, nous nous regardons, puis nous sourions. Ce soir, nous avons réussi une première mission. Nous enlevons nos tenues noires qui nous tiennent chaud. Nous sommes face à face en sous-vêtement.
Ma cousine possède une culotte et un soutien-gorge rouge, tandis que moi, je suis en boxer.La vision de cette belle créature me provoque une demi-érection qui se voit très bien. Nous nous rapprochons, nous nous embrassons puis nous nous câlinons. Ce soir, je suis d’humeur à vouloir prendre des initiatives.Je caresse la poitrine de Louise à travers son soutien-gorge que je ne tarde pas à enlever pour laisser paraître ses seins en forme de poire. Je les adore tellement, que je m’empresse de les susurrer, de les palper, puis de les gober comme un mort de faim. Je la fais s’asseoir sur le lit, elle me baisse mon boxer puis prend ma bite dans sa main.Elle me masturbe avec une douceur incroyable, puis commence à me prendre en bouche. Elle avale ma tige, glisse sa langue entre mon prépuce et mon gland, ce qui me provoque un frisson immense dans le bas de mon ventre.Je la pousse légèrement afin qu’elle s’allonge sur le matelas. Je lui écarte les jambes, puis la culotte pour lui offrir un cunnilingus. L’accès n’étant pas aisé, je décide de lui enlever son sous-vêtement. Je dévoile ainsi son abricot épilé qui brille déjà de désir.Je plonge ma tête en direction de ce délicieux puits d’amour, lèche ses lèvres de haut en bas et fais rentrer ma langue dans son antre. Elle ne tient plus en place, relève mon visage, me fait un sourire puis je me redresse sur mes coudes.
Elle se recule afin de me laisser monter sur le lit. Je me positionne entre ses cuisses, la bite dressée comme jamais. Je me frotte contre son clitoris, puis de sa main me dirige afin de la pénétrer. Comme la veille, je savoure le moment quelques instants, mais très rapidement, je me reprends et décide d’être beaucoup plus entreprenant.Je commence à la limer avec douceur, puis accélère la cadence. Elle me chuchote qu’elle apprécie cette prise d’initiative. Cette phrase est provocante, elle accentue mon envie de bien faire.Après l’avoir prise en missionnaire, je la positionne à quatre pattes. Je la prends en levrette, moi qui aime avec passion son fessier, je suis gâté. Je m’accroche à ses hanches et lui claque les fesses dès que je le peux. Le lit fait un peu de bruit, on décide de se mettre sur le sol. Je reprends cette position que j’affectionne tant.Cette fois-ci, je me permets d’être beaucoup plus bestial. Ayant un peu mal aux jambes, je m’allonge sur le dos. Elle s’empale sur moi, et me chevauche comme une furie. Elle monte et descend sur mon pieu à une vitesse incroyable. Tout à coup, elle grogne, son bassin se contracte et elle expulse de la cyprine sur mon membre.Je ne sais pas ce qui me prend, mais j’ai envie de goûter à ce breuvage. Je saisis ses jambes, la dirige vers ma bouche et lui lèche son abricot avec une envie dévorante. J’en profite pour lui mordiller le clitoris. Visiblement, c’en est trop. Elle pose ses mains autour de ma tête, la bloque, je garde les lèvres ouvertes et reçois une quantité de cyprine incroyable.Ma cousine vient de jouir comme jamais. Elle s’est allongée sur le dos, je prends possession de son corps en missionnaire. Avec l’état d’excitation dans lequel je suis, je ne tarde pas à jouir dans son vagin.
Nous sommes essoufflés comme si nous avions couru un marathon. Nous remontons sur le lit, elle me câline et me félicite. Louise me dit même qu’elle n’avait jamais connu d’amant aussi bon. Cette phrase me rend heureux. Ma cousine me conseille tout de même d’aller faire un brin de toilette au niveau de ma bouche. Je souris à cette remarque.À pas de loup, je marche dans le couloir accède à la salle de bain, je me rafraîchis puis à mon retour, je m’aperçois que la lumière de la pièce de vie est allumée. J’y vois Gérard et Mathieu en pleine discussion.Mon oncle ce salaud, explique clairement au propriétaire des lieux qu’il arrivera à se taper Karine. Je le dis selon ses mots. Le garçon des lieux lui explique que cela n’est pas correct. Il avoue que ma belle-mère est une jolie femme, mais qu’elle n’est pas un objet sexuel.Gérard rétorque aussitôt en expliquant à ce dernier ce qui s’était passé au bord de la rivière. Mathieu reste muet face à cette révélation. Ils finissent de boire une bière, puis mon oncle continu son monologue en expliquant un plan pour obtenir ce qu’il souhaite.Je m’empresse d’aller dans la chambre, Louise est encore réveillée nue sur le lit, et je lui explique la chose. Nous allons devoir faire preuve de malice, mais il faut aussi que Karine soit prudente. Je ne sais pas comment je vais pouvoir la prévenir.Avec ma cousine, nous nous endormons.
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