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Des vacances chez mon frère...

Chapitre 2

Je me suis laissé avoir...

Erotique
Les deux jours qui suivent sont vraiment terribles pour moi. Tout ce que j’entreprends - et toutes mes pensées également - me ramènent invariablement au sexe de ma jeune nièce. À chaque fois que je me pose quelque part, je ne peux m’empêcher de regarder où la jeune femme se trouve, comment elle est vêtue et, surtout, si d’où je suis, je vais pouvoir mater son intimité, ou plus exactement sa petite culotte.
Je ne sais pas d’ailleurs si c’est mon imagination qui me joue des tours, mais j’ai l’impression qu’à chaque fois que mon regard se tourne vers elle, Clara est justement dans une position qui me permet d’avoir une vue privilégiée sur son entrecuisse ou ses fesses, sur ce petit morceau de tissu qui recouvre le Saint Graal et qui me fait fantasmer. Sa petite chatte m’obsède littéralement, à un tel point qu’elle m’apparaît même sous forme de flashs alors que je fais l’amour à ma propre femme, le soir dans l’obscurité de notre chambre. Oui, c’est bien ça... c’est à ma jeune nièce que je suis en train de penser alors que je jouis et décharge mon foutre dans le sexe d’Amandine.
En l’occurrence, ces deux soirs, ma femme a également joui comme cela ne lui était a priori plus arrivé depuis longtemps avec moi... et elle ne s’est d’ailleurs pas privée de me le dire une fois nos émotions retombées, ce qui n’a fait qu’augmenter mon malaise.
— Waouhhh ! Chéri... putain, qu’est-ce qui t’arrive depuis deux soirs ?! Ce sont tes lectures de ces derniers jours qui déchaînent la bête qui sommeille en toi ? En tout cas, merci mon amour, pour cet orgasme du tonnerre que tu m’as offert !
— Je savais que tu aimerais, Amandine chérie...
J’essaye de donner le change en prenant un petit côté macho... seulement, au fond de moi, je sais que ce n’est pas ma femme que j’ai baisée avec autant de fougue mais bien ma jeune nièce tout juste majeure. Je suis saisi d’un violent sentiment de honte et de culpabilité, n’arrivant pas à regarder ma douce en face alors qu’elle semble me demander, par de petits gestes d’amour, que je la serre fort contre moi. Après un bref instant d’hésitation je la prends dans mes bras, mais c’est bien à Clara que je pense...
Le reste de cette nuit-là, je le passe à me tourner et me retourner dans mon lit, mon esprit tourmenté comme rarement il ne l’avait été. Au petit matin, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il faut que je perce l’abcès avec ma nièce, que je lui dise de ne plus m’aguicher, de ne plus me provoquer avec ses tenues affriolantes.
* * *

Amandine dormant encore à poings fermés, je décide donc d’aller discrètement jusqu’à la chambre de Clara afin d’avoir cette discussion avec elle... mais, à mon grand désarroi, la porte de celle-ci est grande ouverte et ma nièce n’est plus dans son lit. Je suis donc sur le point de descendre au rez-de-chaussée quand, en passant devant la salle de bain, j’entends l’eau couler.
Je regarde des deux côtés du couloir pour m’assurer qu’il n’y a personne, hésite un court instant en réfléchissant qui d’autre qu’elle pouvait prendre une douche à cette heure-ci... puis, après avoir respiré un grand coup, j’entrouvre tout doucement la porte. C’est bien Clara qui est debout sous la douche, son corps flouté par la vitre en verre dépoli qui la sépare du reste de la salle d’eau. Même si je ne vois pas distinctement son sexe, je devine les courbes de ses hanches, de ses fesses, de ses seins... provoquant immédiatement chez moi une violente érection.
Je reste ainsi plusieurs minutes dans l’entrebâillement de la porte à mater ma nièce en train de se laver, de se savonner... et elle n’a manifestement pas décelé ma présence. J’imagine l’eau et le savon glisser sur sa peau, ses deux tétons pointer d’excitation, ses mains s’attarder sur ses lèvres et son bouton d’amour... J’ai une furieuse envie de la baiser, là, tout de suite.
Je m’apprête à entrer complètement dans la salle de bain quand un bruit de porte me fait sursauter. C’est ma belle-sœur qui sort de sa chambre, et je me retrouve de fait pris au piège, comme un con avec la poignée de la porte en main. Mon premier réflexe est donc de refermer brusquement celle-ci en essayant de cacher mon embarras.
— Bonjour Julie !... Je sortais des toilettes et voulais me laver les mains, mais Clara prend sa douche. Je vais descendre pour trouver un robinet...
— Bonjour Manu... bien dormi ? Pas eu trop chaud ? — Oui, parfaitement... non, impeccable !
Je vois son regard se baisser et un large sourire illuminer son visage...
— J’espère que ce n’est pas ma fille sous la douche qui te fait bander comme ça ?! — Euh... non...
D’un seul coup, je ne sais plus où me mettre, complètement honteux après ce que vient de me dire Julie. M’a-t-elle vu avant en train de mater Clara ? Était-elle déjà sortie de sa chambre depuis un moment ? J’étais bien incapable de le dire... mais, en tout cas, elle avait visé juste sur les raisons de mon érection qui tendait mon short de façon indécente.
Je me dirige donc vers l’escalier de façon penaude, n’osant regarder en face la femme de mon frère, en espérant qu’elle en resterait là concernant cet incident.
* * *

Le début de matinée se passe avec un très profond sentiment de culpabilité de ma part. Je me force à ne surtout pas regarder en direction ni de ma belle-sœur, ni de sa fille aînée afin d’éviter de croiser leurs regards, tellement je suis mal à l’aise avec ce qu’il vient de se dérouler.
Après le petit-déjeuner en famille, je retourne dans mon fauteuil de jardin à mes lectures délaissées depuis deux jours. Je me dis également au fond de moi que cet épisode fâcheux aura peut-être été un mal pour un bien, permettant à notre couple, avec Amandine, de retrouver un peu de vie et d’action.
Je reprends donc le roman de Valérie Perrin où je l’avais laissé... mais au bout de quelques minutes, Clara vient s’asseoir juste en face de moi, une sucette dans la bouche et son portable dans une main. Bien sûr, je ne peux m’empêcher de jeter un œil dans sa direction et là... je reste scotché !
La jeune blonde a ramené ses deux pieds sur le bord de son fauteuil et tient ses jambes tel un livre ouvert. Seulement, cette fois-ci, il n’y a pas de petite culotte pour cacher sa jeune chatte, une petite touffe surmontant un joli petit abricot rose pâle s’offrant de façon impudique à mon regard. S’il en était encore besoin, Clara joue avec ses lèvres et sa langue autour de la sucette pour bien me faire comprendre ses réelles intentions. Il n’y a aucune ambiguïté possible : ma jeune nièce veut me faire ouvrir la boîte de Pandore de l’inceste et de la luxure...
Pris de panique, je regarde tout autour pour vérifier si quelqu’un d’autre peut nous apercevoir et surtout deviner à quel jeu lubrique et pervers nous nous adonnons à cet instant. Je dis “nous” parce que, même si c’est Clara qui m’offre sa nudité et m’excite avec sa sucette, je ne fais absolument rien pour l’en dissuader, pour l’en empêcher. Au contraire, je me délecte de ce spectacle, de ce sexe juvénile qui m’obsède maintenant depuis deux jours mais que je découvre enfin sans voile, et ma bite s’est immédiatement remise au garde-à-vous.
Je suis à deux doigts de me lever et d’aller vers elle pour toucher et même lécher cette délicieuse petite chatte, mais d’un seul coup Clara serre les cuisses et tire sa jupe pour cacher sa nudité. Sa mère qui vient de sortir de la maison, s’avance vers nous...
— Alors, vous faites quoi encore, les deux, à l’écart des autres ? Tu ne te baignes pas avec tes cousins, Clara ? — Je... — Non, maman, je n’ai pas envie ! Il fait trop chaud et je préfère rester à l’ombre pour discuter avec mon oncle que je vois rarement. Tonton Manu essaye de lire mais je le perturbe depuis deux jours et il n’avance pas !
Elle me fait un clin d’œil et un geste obscène avec sa langue alors que sa mère se tourne vers moi...
— Et toi, ça ne te dit rien de te baigner avec tes enfants ? — Si si, je vais y aller mais j’avais besoin de me reposer en ce début de vacances. Tu as besoin que je t’aide à faire quelque chose, Julie ?
Je vois Clara me jeter un regard noir... mais celui-ci s’adoucit dès la réponse de sa mère.
— Non, c’est bon pour l’instant puisque vous êtes occupés, avec ma fille ! Et puis je ne voudrais pas que tu te fatigues pour le début de tes vacances. Par contre, un peu avant le repas, tu pourras venir ouvrir des huîtres, si tu veux.
Je ne sais pas comment interpréter ses propos mais je sens chez ma belle-sœur une pointe d’ironie mêlée de suspicion concernant ma relation avec Clara. Je me dis qu’il faut que j’arrête vite mes conneries... seulement, à peine sa mère ayant tourné le dos, ma nièce se remet dans sa position de tout à l’heure et me provoque avec sa chatte offerte et sa sucette. Julie hors de portée de ma voix, je décide de stopper ce jeu dangereux et immoral...
— Clara, il faut qu’on arrête nos bêtises ! Je suis ton oncle et j’ai 30 ans de plus que toi, alors il ne doit rien se passer entre nous ! Tu ne dois pas me montrer ton sexe comme tu le fais là ! — Oh, t’es pas chié !... C’est toi qui mates ma petite culotte et ma craquette depuis ton arrivée ici ! Tu crois que je ne t’ai pas vu en train de me reluquer ce matin quand je prenais ma douche, gros voyeur pervers ?!
Puis, passant un doigt entre ses petites lèvres tout en prenant un air de petite fille candide...
— J’ai ma petite chatte toute mouillée !... Tu pourrais me passer de la crème dans le dos, tonton Manu ?
Ne me laissant pas le temps de répondre, Clara se lève de son fauteuil, chope le tube de crème solaire posé juste à côté d’elle pour me le donner, et elle vient s’asseoir à califourchon sur ma cuisse gauche tout en tirant sa jupe pour qu’il n’y ait rien entre elle et moi. Elle retire ensuite son tee-shirt pour se retrouver le dos et les seins dénudés.
La garce, elle est en train de me rendre complètement dingue d’elle ! Alors que je devrais la repousser, je n’en fais rien et cède à la tentation coupable de profiter de son corps tout juste sorti de l’adolescence. Une noix de crème dans chacune de mes mains, je commence donc à étaler celle-ci sur ce dos aux contours parfaits. Bien sûr, je bande comme un âne malgré mon short, surtout que je sens son entrejambe humidifier ma propre cuisse.
Putain, qu’est-ce que je suis en train de faire ?!
— Tonton, mets-en moi aussi sur mes seins ! — Non, Clara, je ne peux pas faire ça ! — Allez ! T’en as envie autant que moi !
Elle laisse glisser sa main droite sur ma queue et l’enserre en prenant le tissu de mon short.
— Petite salope, va ! — Et toi, gros cochon obsédé !
Après un coup d’œil circulaire pour être sûr que personne ne nous regarde, je pose donc mes mains sur ses deux nibards aux formes parfaites et entame un massage tout en jouant avec ses tétons. J’ai honte... mais alors, qu’est-ce que c’est bon !
Complètement hors du temps, je ne sais pas combien de temps ont duré mes caresses sur ses sublimes petits seins. Je me suis d’ailleurs laissé transporter par le plaisir des sens, par ces sensations électriques de mes doigts sur sa peau, par les battements de son cœur à chaque fois que je la serrais davantage avec mes mains...
Malheureusement, même le bonheur absolu a une fin... et c’est ma plus jeune fille qui en était le messager, en venant me dire qu’il fallait que j’aille ouvrir les huîtres !
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