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Des vacances chez mon frère...

Chapitre 3

Je ne l'avais pas vu venir ainsi !

Hétéro
Autant dire que je me demande encore comment je ne me suis pas entaillé la main en ouvrant les huîtres, étant donné que mon esprit était complètement ailleurs. Ces seins menus et fermes, cette petite chatte blonde, ce sourire malicieux, ces yeux enjôleurs... toutes mes pensées me ramenaient systématiquement à ma jeune nièce, à la fille aînée de mon propre frère. Je savais que je devais arrêter tout ce cirque avant qu’il ne soit trop tard, avant que je franchisse un point de non-retour... si bien sûr ce n’était pas déjà fait ?! Oui, j’étais complètement conscient du fait que j’étais vraiment en train de déconner grave, de mettre en jeu mon couple, ma famille, ma relation avec mon propre frère même si cela n’avait jamais été le grand amour fraternel entre nous. Pour retrouver un peu de sérénité, je décide après le repas de midi, de passer l’après-midi avec mes trois enfants et ma plus jeune nièce dans la piscine, à jouer avec eux. Clara, quant à elle, est restée un moment avec nous, en profitant d’ailleurs pour se coller à plusieurs reprises contre moi... puis elle est allée vaquer à d’autres occupations devant mon refus de céder à ses provocations. Néanmoins, même si je joue avec les quatre autres enfants, je me demande ce que peut bien faire Clara en ce moment, si elle pense à moi autant que moi à elle... si elle est en train de se caresser et de se faire jouir en rêvant à son oncle ?! J’en arrive même au point de lui en vouloir de n’être pas restée avec moi dans la piscine tellement elle m’obsède...
Au moment du goûter, Amandine propose à l’assemblée présente de venir faire quelques courses sur la marina... et, à mon grand soulagement, les quatre enfants ont envie d’aller avec elle. Tellement persuadé que Julie va se joindre à eux et mon frère n’étant pas là, je me dis que je vais être tranquille avec ma nièce pendant au moins deux heures. Même si je me retiens de montrer le moindre signe, mon excitation est à son comble... Seulement, la douche froide arrive très vite ! Alors que les gamins sont en train de s’installer dans la voiture, je comprends que Julie n’est pas du voyage... — Manu, viens voir avec moi puisque tu restes ici ! J’ai deux mots à te dire... — Ah !? Tu ne vas pas avec eux !? — Non... j’ai beaucoup plus important à faire. Un peu inquiet de la tournure des événements, je suis ma belle-sœur dans la maison alors que notre Scénic démarre avec mon fils aîné au volant. À peine entrés dans la cuisine, ce que je craignais arrive... — Mais putain, espèce de fumier, tu veux baiser ma fille ?! — Non... je... — Tu crois que je ne t’ai pas vu ce matin, à peloter les nichons de ma gamine !? Et elle qui se balade la chatte à l’air pour t’exciter... tu crois que je ne l’ai pas vu aussi ?! Pauvre connard, elle a dix-huit ans à peine et toi bientôt 50... c’est comme si moi je demandais à Mathis de me baiser ! — Il n’a pas encore dix-sept ans... — Et elle, à peine dix-huit ! Julie s’était rapprochée de moi tout en me vociférant dessus... et, d’un coup, elle m’agrippe les burnes avec sa main droite à travers mon short. — Si tu veux te vider les couilles, choisis au moins une femme de ton âge, pauvre mec ! Ma belle-sœur ne lâche pas son étreinte et se trouve maintenant son visage à moins de dix centimètres du mien. Je sens son haleine et sa respiration sur ma peau malgré ma barbe naissante. Je m’enivre de son doux parfum... C’est ma belle-sœur... la femme de mon propre frère... je la regarde droit dans les yeux... elle est vraiment belle, cette conne ! Je jette un coup d’œil à droite à gauche dans la cuisine, puis passe ma main derrière elle au niveau de son cou... je calle mon autre main sur ses fesses pour tirer la belle blonde contre moi. — T’es vraiment le pire des salops que je connaisse ! Tu... Je ne lui laisse pas finir sa phrase, plaquant mes lèvres contre les siennes. Étonnamment, tout en essayant de me repousser avec ses bras, Julie ouvre sa bouche et partage avec moi ce baiser plein de fougue et de sensualité. Le message est clair... en tout cas pour moi ! Tout en continuant à jouer avec ma langue et la sienne, je déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge pour libérer ses deux jolis seins, plus gros que ceux de sa fille mais qui se tiennent encore impeccablement, et me mets à les peloter sans aucun ménagement. Ma belle-sœur n’est bien sûr pas en reste puisqu’elle en profite pour m’enlever mon tee-shirt et faire glisser mon short ainsi que mon slip à mes pieds. — T’es pas trop mal foutu par rapport à ton frangin ! — Et toi, pas trop mal foutue par rapport à ta fille ! — Gros connard !... J’ai envie que tu me baises comme une pute, Manu ! Ton frère est vraiment nul à chier pour ça... Sur ces mots, Julie repose ses lèvres contre les miennes et me roule un patin endiablé. J’en profite pour lui retirer son joli short jaune et sa petite culotte, puis je choppe ses cuisses pour les monter à hauteur de mes hanches alors qu’elle vient de passer ses bras autour de mon cou. Mon sexe bandé frotte sur sa chatte complètement épilée, tâtonne comme s’il cherchait de lui-même l’entrée du puits d’amour. Nous jouons ainsi plusieurs minutes à cette joute érotique, faisant monter réciproquement notre désir ardant pour l’autre. Elle mouille... je bande... elle me griffe le dos, me mord les lèvres... mon gland gonflé d’excitation vient d’écarter ses petites lèvres charnues, prêt à plonger dans cette grotte toute liquoreuse... je suis en train de réaliser que je vais baiser la femme de mon frère. Tant pis, j’en ai vraiment trop envie ! — Han !... Oh oui, baise-moi fort ! Julie se laisse abattre, s’empalant sur toute la longueur de ma verge... je la plaque violemment contre la porte du réfrigérateur, donne de grands coups de reins. Elle crie, elle couine... je lâche une de ses cuisses et lui gifle la fesse. Elle s’abat de nouveau de tout son poids sur ma verge droite comme un i... puis encore et encore ! Elle jouit une première fois, bruyamment... Pour autant, je continue à la baiser farouchement, bestialement, sans aucun ménagement. Elle en redemande, la salope ! Nous sommes maintenant les deux en sueur et en transe... Je décide donc de poser ma belle blonde sur le bord de la table de la cuisine, fais voler avec mon bras tout ce qui traîne dessus, puis la plaque face contre le plateau tout en lui bloquant un bras dans le dos. Son sublime cul m’est maintenant tout offert... je pose donc mon gland couleur cramoisie contre son petit œillet et, sans aucun préliminaire, pousse jusqu’à ce que l’orifice s’ouvre sous la pression. — Haaa... oh oui ! — Tu aimes sentir ma putain de grosse queue dans ton cul !? — Ouiii !... Défonce-moi le cul ! Je suis ta chienne... Mes deux mains sur ses hanches, je la tire de plus en plus violemment contre moi, ses fesses claquant sur mon bassin. Mon double-décimètre pénètre maintenant sur toute sa longueur dans le cul de ma belle-sœur, lui tirant des cris de jouissance à chaque fois un peu plus forts. Elle s’agrippe d’ailleurs de l’autre côté de la table avec ses mains tout en m’en demandant encore davantage. Nos respirations sont de plus en plus saccadées. Je suis tout proche de jouir et lâcher mon foutre, aussi j’accélère encore le mouvement de va-et-vient... — Oui, oui, ouiiiii ! — Han, han !!! Putain de salope ! Je la pousse encore un peu plus contre la table, pose ma main sur sa tête et appuie en même temps que je lui donne les derniers coups de reins. Je sens les spasmes de mon sexe en train de se vider dans le cul de cette chienne de Julie. Elle a d’ailleurs de nouveau un orgasme a priori encore plus violent que le précédent... Je me retire d’elle, lui saisis les cheveux pour la forcer à se redresser, puis lui roule un putain de patin pour la remercier de ce fabuleux moment de jouissance. Après avoir prolongé cet instant de plaisir ma bouche collée à la sienne, puis lui avoir asséné une dernière gifle sur les fesses, je ramasse mes habits éparpillés sur le carrelage de la cuisine et décide d’aller prendre une douche avant que les autres ne rentrent. J’avais peut-être évité le pire avec ma nièce mais c’était néanmoins la propre femme de mon frère que je venais de baiser. Je pensais déjà au repas de ce soir et à mon frangin assis en face de moi. Comment allais-je pouvoir le regarder et discuter avec lui comme si de rien n’était ?! 
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