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Des vacances chez mon frère...

Chapitre 5

Je suis le pire des salops !

Avec plusieurs femmes
— Ouvre-moi, s’il te plait, Clara ! Il faut que nous parlions les deux... La jeune femme ne répond pas à sa mère mais me chuchote quelques mots à l’oreille... — Tu crois que si tu me baises maintenant, elle va nous entendre ? A priori oui, vu comme tu l’as faite crier tout à l’heure avec ta bite... — Tu n’en manques pas une pour me culpabiliser d’avoir baiser ta mère. Néanmoins, on va peut-être attendre d’être plus tranquille pour ton tour, tu ne crois pas ? — Clara, il y a quelqu’un avec toi ? C’est toi, Manu ? Allez... ouvre ! — Elle nous emmerde, hein ? Elle devrait pourtant être contente... elle l’a déjà eu son coup de bite, elle ! — Clara, ouvre-moi ! Je t’entends parler... Julie devait effectivement nous entendre chuchoter malgré nos messes-basses, et elle ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire. Et puis surtout, des bruits de portes qui claquent et les voix des enfants attirent mon attention... ma femme devait donc être revenue, compliquant sérieusement la situation. — Clara, je vais passer par la fenêtre car si Amandine me trouve dans ta chambre, ça va faire un drame et il y a de grandes chances que nous repartions sur le champ à Paris. — Baise-moi, Manu ! — Sois un minimum patiente, ma petite chatte préférée ! Je l’embrasse de nouveau sur la bouche, lui caresse la joue et me dirige vers la fenêtre pour voir les possibilités d’échappatoire. En dessous, c’est un massif de rosiers mais je n’ai pas trop le choix, entendant justement ma femme approcher de la chambre... — Tu fais quoi, Julie ? Tu sais où est Manu ? — J’attends que Clara m’ouvre sa porte de chambre... nous nous sommes un peu fâchées et elle s’est enfermée à l’intérieur. Je crois d’ailleurs que ton mari est avec elle... — Chéri, ouvre cette porte si tu es avec la fille de ton frère ! Je n’avais plus le choix, et malgré ma jeune nièce qui était venue se recoller contre moi, je décide d’enjamber le rebord de la fenêtre et, après un dernier baiser à ma délicieuse amante, je me laisse tomber dans les rosiers. Les jambes lacérées par les épines, je réussis néanmoins à contourner la maison sans être repéré, échappe de justesse à la vue de mon frère qui arrive en voiture, et me faufile à l’extérieur de la propriété. Je me pose dix minutes au pied d’un gros pin et à l’abris des regards, pour réfléchir à la stratégie à adopter, en espérant que Clara n’aura pas lâché le morceau. Putain, je me suis vraiment foutu dans la merde !

Après quelques minutes de réflexion, je reprends donc le chemin inverse, prêt à me prendre la foudre. En entrant dans la maison, j’essaye d’avoir l’air détaché, faisant fi des reproches acerbes de ma femme... — Mais tu étais où, bordel ?! Ça fait des heures qu’on te cherche partout ! — Je suis allé marcher dans les Albères... mais je me suis fait attaquer par des buissons épineux. — Tu me prends pour une conne !?
Malgré le regard noir et incrédule d’Amandine mais aussi de Julie, je montre mes griffures comme si c’était des blessures de guerre... et, cette fois-ci, ce sont les plus jeunes enfants qui me sauvent la mise ! — Ils étaient comment, les buissons qui t’ont attaqué ? — Énormes, avec plein d’épines partout et des branches tentaculaires. Ils se sont mis en travers du chemin pour m’empêcher de fuir... mais j’ai réussi à être plus malin qu’eux pour leur échapper. Je joins les gestes aux paroles, mimant un monstre terrifiant... — Et ils courraient vite derrière toi ? — Oui, mais j’étais encore meilleur qu’eux à la course à pied, même s’ils m’ont tendu plein de pièges pour me griffer les jambes. — Mon frère ne peut pas s’empêcher de se mettre en avant avec ses exploits sportifs... Bon, les enfants... allez vous laver les mains pour passer à table ! Je vous ai rapporté des pizzas pour ce soir. Clara, tu arrêtes ta comédie et tu viens tout de suite manger avec nous !
Bon ! J’ai le sentiment d’avoir évité un écueil de plus alors que nous passons tous à table, mais je crains réellement le pire pour le repas et la soirée, avec notamment Clara qui avait littéralement la chatte en feu et qui était prête à tout pour que je la saute, Julie qui était devenue particulièrement suspicieuse à mon égard concernant sa fille, et enfin Amandine et mon frère qui pouvaient à tout moment découvrir la vérité. Dès le début du repas, la tension est palpable même si les enfants racontent leur virée à la marina avec beaucoup de bonne humeur. Comme je l’imaginais, c’est Clara qui déclenche les hostilités en répondant à une question de son père... — Et vous, les grands, vous avez fait quoi de beau ces jours-ci ? C’est vrai que je n’ai pas été beaucoup présent depuis votre arrivée mais j’ai tellement de dossiers en cours... — Nous, nous avons beaucoup joui, papa ! Hein, tante Amandine et maman ?!... Excusez-moi, je voulais dire “joué”... Ma femme prend immédiatement un fard et Julie jette des éclairs à sa fille avec ses yeux. Quant à moi, je l’implore du regard de ne pas provoquer l’irréparable. — Clara, ton humour n’est pas amusant du tout et tu mets mal à l’aise tout le monde avec tes sous-entendus absurdes. Je ne veux plus entendre de tels propos à la maison ! Et puis je t’ai déjà dit que je ne voulais plus te voir avec ce tee-shirt horrible et répugnant. Bien sûr, chacun de nous se tourne vers la jeune blonde pour comprendre de quoi il s’agit... et je remarque qu’elle a gardé le même tee-shirt que tout à l’heure, avec un flocage devant qui n’a rien à envier à celui dans le dos. En effet, il est écrit “Pour me faire jouir, suivez les flèches !” avec celles-ci qui tracent un cheminement passant par ses deux seins avant de descendre en direction de sa chatte. Je ne peux m’empêcher de rire devant la superbe provocation de Clara, et encore plus du résultat suite à la remarque de mon frère. Mes deux plus jeunes enfants se sont évidemment levés pour lire à haute voix les deux inscriptions, et demandent pourquoi leur oncle était en colère contre celles-ci. Ma plus jeune nièce, qui n’avait rien dit jusqu’alors, s’est empressée de leur répondre, taclant au passage sa grande sœur... — C’est écrit que Clara veut se faire sauter par des mecs par les deux côtés... C’est pour ça qu’elle ne met pas de culotte ! — P’tite salope, va ! Eh bien, manque de pot pour toi, j’en ai une aujourd’hui... pas comme d’autres ! La jeune femme blonde se met alors debout et relève sa jupe pour effectivement montrer à toute l’assemblée une jolie petite culotte blanche qui lui moule parfaitement son sexe juvénile. — La prochaine fois, tu fermeras ta gueule, Laurine ! Puis, se tournant vers mon fils aîné... — Tu veux toucher pour sentir comme c’est doux, Mathis ?... Mais peut-être que d’autres personnes t’ont déjà proposé des choses plus intéressantes, hein maman ?! — Clara, tu arrêtes tout de suite ! Tu m’as entendu... tout de suite ! Je ne veux plus entendre un mot ! Ce n’est pas parce que tu t’es engueulée avec ta mère que tu peux te permettre n’importe quoi. Regarde l’image que tu donnes de toi à ton oncle et ta tante ! Étant donné la tension à son paroxysme, je me dis que je ne devrais pas ramener ma fraise, et pourtant c’est plus fort que moi, prenant pour l’occasion un ton professoral... — Oui Clara, c’est vrai ça ! On se demande bien qui a pu t’éduquer ainsi ?! — Alors toi, s’il te plait, ne viens pas rajouter de l’huile sur le feu ! Si c’est pour venir me dire comment je dois éduquer mes filles, tu peux retourner chez toi sur le champ avec toute ta petite famille... — Ah non, vous n’allez pas vous y mettre aussi, les deux frangins ! Maintenant, tout le monde arrête et on enterre la hache de guerre. Allez, mangeons les pizzas pendant qu’elles sont encore chaudes ! Amandine se lève avec autorité et commence à distribuer des parts de pizza aux uns et aux autres. Mes deux nièces continuent de se provoquer en silence, se tirant la langue et se lançant des gestes obscènes de part et d’autre de la table. Mon frère rumine sa colère à l’autre extrémité de cette même table, probablement en train de réfléchir par quel moyen il pourra se venger de ma pique de tout à l’heure. Julie et mes trois enfants restent silencieux comme s’ils ne voulaient pas réactiver le brasier... Quant à moi, une seule pensée m’obsède... de baiser Clara le plus rapidement possible, avant la fin de journée. Jamais je n’aurais pu imaginer d’ailleurs qu’une fille de dix-huit ans et encore moins celle de mon propre frère, puisse me foutre un jour dans un tel état d’excitation, de folie perverse... et pourtant elle était bien en train de balayer toutes les barrières de ma moralité telle une tornade dans le Middle West américain.

Néanmoins, le repas se déroule sans aucune autre altercation et même avec des rires quand Laurine se met à imiter son grand cousin s’arrêtant au feu vert, des fois qu’il passe au rouge... Julie se lève à un moment donné pour aller chercher quelque chose dans la cuisine et, sans trop savoir pourquoi, j’en fait de même, prétextant une envie de pisser. Nous rentrons donc l’un derrière l’autre dans la maison et, à peine a-t-elle franchi le seuil de la porte-fenêtre, que je la plaque face contre mur... — Non, Manu ! Arrête ! Pas ici... — Alors, toi aussi, tu ne mets plus de culotte pour m’exciter ?! J’avais déjà glissé une main sous sa robe confirmant mon allégation, et je sors ma bite de mon short avec l’autre. Ne lui laissant pas le temps de se retourner, je fais pénétrer ma verge gonflée de sang dans la chatte toute liquoreuse de ma belle-sœur... Trois à quatre violents coups de reins pour qu’elle soit complètement empalée sur ma queue, que déjà ma belle amante se laisse aller, n’exprimant quelques protestations que pour la forme... — Han ! Han !... Manu, t’es fou... ils vont nous voir ! Arrête ! Oh ouiii... — T’es ma petite pute !... Prête pour être fourrée dès que j’en ai envie... — Gros porc... baise-moi ! Je continue à la besogner farouchement, persuadé de ce qui allait se passer maintenant... — J’en étais sûre... T’es qu’une salope, maman ! Je vais le dire à papa... Clara se tient à moins de deux mètres de nous et s’apprête à repartir vers l’extérieur de la maison. Je relâche donc mon étreinte sur sa mère et lui choppe le bras pour la tirer jusqu’à nous. — Baisse ta culotte, Clara... c’est ton tour maintenant, et ta maman va surveiller pour que personne ne vienne nous déranger ! Hein, ma petite chienne, que tu vas faire ça pour ta grande fille chérie !? — T’es vraiment une ordure, Manu ! — C’est sans doute pour ça que tu me préfères à mon petit frère, quand il s’agit de cul ! Ma jeune nièce est complètement excitée, comme si elle était sur le point de vivre un de ses plus grands rêves. Elle fait glisser sa petite culotte jusqu’à mi-cuisses, retrousse sa jupe au-dessus de ses hanches et s’accoude sur le plan de travail à côté de l’évier. — Je suis prête, tonton Manu ! Je m’approche de la sublime blonde, la fais se déplacer un peu pour pouvoir peloter sa mère en même temps que je la baise, et viens poser ma verge sur le haut de ses fesses. Julie, quant à elle, a le regard qui oscille entre l’extérieur de la maison et nous deux. Je sais que je peux lui faire confiance pour que personne d’autre nous surprenne... Je fais donc glisser à plusieurs reprises mon gland entre les cuisses de Clara, jouant avec ses jeunes lèvres charnues en même temps que je lui assène de petites claques sur les fesses. Elle essaye bien de faire rentrer mon sexe dans son puits d’amour mais je prolonge le supplice en me retirant tout de suite. — Prends-moi vite, tonton... je t’en supplie ! — Attends ! On va déjà faire goûter ta mouille à ta maman. Je fourre deux doigts entre ses petites lèvres pour récolter le précieux nectar, puis les porte au niveau de la bouche de Julie. Après un bref instant d’hésitation, cette dernière se met à sucer les extrémités de ceux-ci, d’abord timidement puis avec davantage de gourmandise. Alors que Clara regarde la scène, c’est le moment que je choisis pour la pénétrer par surprise... — Han ! Oh ouiii !... — Petite pute, va ! T’as enfin ce que tu cherchais... Julie retire mes doigts de sa bouche pour pouvoir réagir... — C’est de la fille de ton propre frère dont tu parles, espèce de salop ! — Maman, continue de lui lécher les doigts... oh oui encore !... Ça t’évitera de dire des conneries... Manu, baise-moi plus fort ! Ma belle-sœur a repris mes phalanges dans sa bouche tout en continuant de surveiller l’extérieur de la maison. J’accélère quant à moi mon va-et-vient dans la jeune chatte brûlante de désir de ma nièce, lui pelotant en même temps sans aucun ménagement ses deux petits seins. Elle couine, elle miaule de plaisir... poussant de petits cris de jouissance à chaque mouvement de rein. Jamais je n’ai eu un tel sentiment de bonheur, de plénitude des sens qu’à cet instant présent. Tout mon corps est en fusion, proche de l’explosion. Je ferme les yeux pour sentir encore plus cette sensation électrique et jouissive de mon sexe dans le sien... Je suis en train de me désagréger, de me transformer en poussière d’étoile... — Ahhh... ahhh... oh oui ! — Ouiii, mon amour ! Remplis-moi ! De longues saccades continuent de me secouer... Clara se repousse au maximum du plan de travail pour sentir ma verge au plus profond d’elle... quand d’un seul coup, nous sommes sortis de notre rêve ! — Manu, il y a Amandine qui vient de se lever de table et qui se dirige vers nous ! T’es vraiment le pire des salops avec elle. Tu mériterais que je lui dise tout, à elle et ton frère. — Eh bien, vas-y, Julie ! Ne te gêne pas pour tout lui raconter et notamment notre après-midi...Je remonte mon short, Clara en fait de même avec sa petite culotte... nous nous embrassons une dernière fois furtivement sur la bouche avant que ma femme arrive dans la cuisine. — Eh, vous faites quoi les trois, depuis tout ce temps ? On l’attend toujours, le dessert ! — Je réconciliais une mère et sa fille, ma chérie... — T’es vraiment qu’un connard, Manu ! Je ne sais pas comment tu fais pour encore le supporter après tant d’années, ma chère belle-sœur ? Je regarde Clara repartir vers le jardin... je ne pense qu’à une seule chose, refaire l’amour avec elle le plus rapidement possible. Je ne suis déjà plus du tout à l’écoute de ce que se disent ma femme et ma belle-sœur... 
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