À peine Clara s’est-elle allongée entre nous deux que j’ai l’impression de m’être endormi quasi instantanément... Enfin, en réalité, je ne suis pas vraiment sûr de ce qui s’est réellement passé ensuite, si j’ai rêvé ou si j’étais au contraire éveillé ?! Je les entends rire, glousser, par moment respirer fort, ou même gémir de plaisir... Je leur tourne le dos mais je sens également le drap se tendre, se relâcher puis se tendre de nouveau en même temps que le matelas s’affaisse. Je distingue les rires de l’une et de l’autre, me faisant d’ailleurs la réflexion que je n’avais plus entendu ma femme rire avec une telle gaieté depuis très longtemps. — Embrasse-moi, Clara ! — Tu ne m’en veux pas d’avoir fait l’amour avec mon oncle ? — ... Les légers bruits de succion me font penser qu’elles doivent être en train d’échanger un langoureux baiser. J’ouvre les yeux pour me retrouver dans la pénombre, me retourne sur le dos... à moins que je sois en plein rêve ?! — Tu n’es pas jalouse, tante Amandine ? — Si, terriblement... et pourtant, je ne peux que te remercier sincèrement pour tout ce que tu viens de provoquer, ma petite chatte ! — De quoi ? D’avoir poussé ton mari à te tromper avec moi ?! Et aussi avec ma mère ! — Oh, le salop couplé d’un menteur... j’en étais sûre qu’il avait baisé sa belle-sœur, l’enfoiré ! Par contre, ne t’inquiète pas... tu n’as pas dû avoir beaucoup à faire pour qu’il cède à tes charmes, ce vieux cochon ! Et puis, tu sais quoi, ma chérie ? Ça fait trois soirs qu’il me baise avec une telle fougue et qu’il me fait jouir comme une folle, que je ne peux pas t’en vouloir même si c’est bien possible qu’il pense à toi en me pilonnant la chatte aussi farouchement... — Tu crois ?! — Je ne sais pas... enfin, je n’espère pas ! En tout cas, je viens de redécouvrir que je ne suis pas qu’une mère de famille mais aussi une femme capable de jouir de plaisir quand on me baise à grands coups de bite. — Hihihi... moi aussi, j’ai adoré quand il m’a baisée à grands coups de bite, même si ça n’a pas duré très longtemps, puisque tu arrivais vers nous et qu’il ne fallait pas que tu nous surprennes ! — Tu aurais envie qu’il prenne le temps de te baiser lentement, tout en douceur, pour que tu sentes bien sa grosse queue remplir complètement ta chatte, pour que chacun de ses coups de rein te procure un plaisir tellement intense que tu le supplieras de vite te donner le suivant ? — Oh ouiii... j’en ai vraiment trop envie ! Et puis que tu me tiennes la main pendant qu’il me baisera... ou encore quand il me dépucèlera du cul !... Tu dois adorer ça, quand il te prend par derrière et te défonce ton petit trou, tonton Manu !? — Non, Clara ! Jusqu’à maintenant, j’ai toujours refusé qu’il me baise le cul et, comme toi, je suis encore vierge par là. Mais si tu as vraiment envie que ton oncle soit le premier à te sodomiser, je te propose que nous le fassions ensemble et que je lui offre aussi le mien, de cul ! Non ! Je devais être en plein rêve... ce n’était pas possible autrement ! Ma propre femme ne pouvait pas tenir de tels propos après tant d’années à avoir affirmé que jamais je réussirai à lui faire changer d’avis ! Il fallait absolument que je me réveille... Je me pince le bras gauche avec mon autre main pour me rassurer que je rêve bien... et pousse un petit cri de surprise à cause de la douleur. Je ne comprends plus rien !? — Tu crois qu’il a tout entendu ?! — Mais non, ma petite chérie... tu vois bien qu’il dort à poings fermés. Par contre, vu comme il bande, il doit faire un rêve érotique avec forcément sa très jolie nièce dedans. Et puis de toute façon, si tu veux qu’il nous encule, ce gros cochon, il faudra bien lui en parler ! Amandine venait de faire glisser sa main sur mon sexe de nouveau en pleine érection... mais elle ne s’y attarde pas. — Tu as déjà fait un 69 avec une autre femme, Clara ? J’ai vraiment envie de goûter ta succulente petite chatte toute juteuse et de sentir ta langue s’introduire dans la mienne. Je veux me délecter de ton jus d’amour sans qu’une bite vienne nous déranger ! — Oh ouiii ! Moi aussi !!!Je vois une ombre se lever furtivement puis redescendre tout aussi vite qu’elle s’était dressée... Vu les longs cheveux, ce devait être Clara. Tout en feignant de dormir, je me retourne donc sur le côté pour pouvoir jouir de la scène même si c’était dans une obscurité presque totale... Je distingue néanmoins les jambes et les fesses plus claires de ma nièce et la tête de ma femme enchâssée entre les cuisses de la jeune blonde. Sans doute plus encore que si cela s’était déroulé en pleine lumière, je profite intensément de chaque bruit, de chaque souffle, des parfums enivrants qui inondent la pièce... imaginant les langues et les lèvres des deux femmes en pleine action au contact du sexe de l’autre !
Jamais un de mes rêves n’avait été aussi long et intense que celui-ci ! Jamais il ne m’était apparu aussi réel !? Seulement, je ne pouvais toujours pas croire que ma femme puisse d’un seul coup devenir une chienne lubrique, qu’elle puisse renier ses principes moraux au point de verser dans la luxure avec une gamine plus jeune qu’elle de vingt-six ans... Même si elle avait avoué tout à l’heure à ma nièce être toujours vierge du cul, j’étais en train de me demander si ma femme ne m’avait pas caché pendant toutes ces années une double-vie de débauche, de dépravation ?!
En tout cas, les deux femmes sont de plus en plus déchaînées... s’aspirent réciproquement leur bouton d’amour, leurs petites lèvres... poussent des cris de jouissance qui résonnent dans la chambre et sans aucun doute en dehors de celle-ci... Je n’imagine même pas ce que doivent penser mon frère et sa femme, ou même mes enfants et ma plus jeune nièce, s’ils sont réveillés !? J’espère seulement qu’aucun d’entre eux n’a deviné la présence de Clara dans notre chambre, et donc sa participation à ce concert orgasmique... Spectateur silencieux de cette débauche de sexe et de luxure, je ne tiens plus en place... Après donc un long moment d’hésitation, je me redresse sur le lit et choisis d’aller du côté de la chatte de ma femme et de la tête de ma nièce. Amandine a les cuisses écartées tel un livre ouvert et, malgré la pénombre, je n’ai aucun mal à trouver l’entrée de son puits d’amour complètement baigné d’excitation. — Oh oui, mon amour... baise-moi fort comme une petite putain ! Je savais que tu ne pourrais pas te retenir de nous rejoindre...Sans me faire prier davantage et guidé par mon instinct primitif, je me mets à baiser farouchement, bestialement Amandine tout en giflant ses cuisses. Elle suffoque, hurle de toute sa voix sa jouissance malgré ma nièce qui continue de se masturber la chatte sur son visage... j’accélère encore mon mouvement de va-et-vient dans son vagin... je suis au bord de la rupture tel un coureur de fond parti trop vite... je ne veux pas lâcher, je veux aller au bout ! Clara, bien sûr, n’est pas en reste... s’acharnant sur le clitoris de ma femme avec sa bouche ! — Putain, chérie... je t’aime !!! Mon corps se désagrège d’un seul coup, mes jambes me lâchent... de violents spasmes accompagnent chacune des giclées de mon foutre dans son sexe. Amandine jouit elle-aussi de tout son corps, les parois de son puits d’amour se contractant autour de ma verge au rythme de son orgasme... Avant de m’être complètement vidé, je me retire de son con et présente ma bite devant la bouche de Clara qui vient de se redresser légèrement... Même si je ne vois presque rien dans le noir, j’imagine mon sperme venir maculer son sublime visage. Quant à ma femme, elle essaye de retrouver une respiration normale, prolongeant ses gémissements de plaisir pendant plusieurs minutes... — Moi aussi, je t’aime mon amour... Clara, nettoie-lui bien la queue, à ton oncle... et puis après, nous essayons quand même de dormir un peu ! Je sens ma jeune nièce gourmande me lécher goulûment le chibre, tétant littéralement mon gland avec sa bouche. Je tiens à peine debout, me retenant d’ailleurs sur les épaules de la délicieuse blonde pour ne pas m’effondrer sur le lit... — Allez, ma petite chienne insatiable, lâche la bite de ton oncle et viens te coucher dans le bon sens... et puis laisse une place à mon homme entre nous deux ! En même temps, elle lui gifle le cul pour probablement l’inciter à lui libérer la tête de l’étau de ses cuisses. En tout cas, pour ce qui me concerne, je n’attends pas davantage une fois la place libérée, pour me jeter de tout mon long sur le lit et sombrer dans un sommeil profond...
— Han !... Han !... Oh oui ! Han !... — Tu n’en as jamais assez pour être rassasiée, Clara !? Tu vas me le tuer, mon chéri, à vouloir baiser avec lui sans relâche ! — Bah, il dort mais il rebande comme un taureau... alors je peux en profiter pour sentir sa grosse queue remplir complètement ma chatte, tout en douceur comme tu m’as dit tout à l’heure. — Tu as raison... fais durer le plaisir, ma puce ! Il n’y a rien de plus agréable pour une femme, que de s’endormir avec une belle grosse queue au plus profond de soi après lui avoir fait cracher une dernière fois son jus... — Oh ouiii !...
Je n’ai plus de souvenirs après ces quelques mots et je suis d’ailleurs bien incapable de les situer dans la chronologie de ma nuit... Je ne sais même pas si ce n’est pas purement un rêve, là encore ! La seule chose dont je suis sûr et certain à cet instant, c’est que je viens de me réveiller et d’ouvrir les yeux. La chambre est baignée de la lumière du jour même si je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être. Ma nièce est allongée sur moi, ses deux jambes de part et d’autre des miennes, son sexe contre le mien, et sa tête posée sur mon torse nu. Elle semble dormir d’un sommeil profond, sa respiration lente aux antipodes de celle saccadée et frénétique de cette nuit... Je tourne légèrement la tête pour apercevoir Amandine à quelques dizaines de centimètres de nous, le visage en partie caché par ses beaux cheveux bruns, la bouche ouverte et la joue collée au drap de dessous... Elle aussi est encore dans les bras de Morphée. Je la trouve d’ailleurs tellement belle et excitante... Serais-je en train de retomber follement amoureux de ma propre femme, après tant d’années de routine et d’érosion de nos sentiments ?!Je réalise également que Clara n’a pas regagné sa propre chambre tôt ce matin, et frémis à l’idée que quelqu’un ait découvert qu’elle n’avait pas dormi dans son lit ! Je reste ainsi de longues minutes à réfléchir aux terribles conséquences qu’il me faudra très certainement affronter quand mon frère apprendra la vérité, si ce n’était pas déjà le cas... J’étais vraiment le roi des salops !
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