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Des vacances chez mon frère...

Chapitre 10

D'un sentiment à l'autre...

Hétéro
Aucune réaction de ma part à sa dernière question... absolument rien, ni mots ni gestes ! Je suis inerte, détruit, anéanti par ce déferlement de sexe obscène qui m’a littéralement submergé et même englouti. Je me sens sali, souillé, humilié... comme si c’était sur moi que ces mecs hideux et repoussants s’étaient vidé les couilles, avaient pissé en utilisant ma bouche comme urinoir. Je voudrais ne jamais avoir vu ces images, visionné ces deux vidéos... et me réveiller de ce mauvais rêve avec seulement quelques vagues souvenirs très vite dissipés. Malheureusement, ce n’est pas le cas et mon cerveau me renvoie en boucle les mêmes scènes pornographiques de ma femme et ma belle-sœur, offertes à la perversité de leurs nombreux amants. Mon état de sidération semble en tout cas beaucoup amuser ma jeune nièce, puisqu’elle passe et repasse au-dessus de moi, sa petite chatte et son sublime cul toujours à l’air, n’hésitant pas à me marcher dessus ou même à s’asseoir les fesses écartées sur mon visage. À plusieurs reprises, elle se met accroupie juste au-dessus de ma tête et joue avec son petit anneau en tirant dessus avec délicatesse, comme si elle était particulièrement fière de son nouveau bijou et qu’elle tenait à me le faire savoir... À l’instant même, l’excitante jeune blonde recommence de nouveau son balai érotique... — Il te plait, mon joli petit anneau ?! Tu as envie de faire quoi avec ? De le lécher en même temps que tu me bouffes ma petite chatte ?! Je reste muet, fixant du regard ce magnifique sexe juvénile qui s’offre à moi, que je peux presque toucher en tendant juste ma langue. J’ai la drôle impression d’être dans une sorte de rêve éveillé dans lequel tout se déroule au ralenti, mais sans que je puisse interférer sur quoique ce soit... — Allez, tonton, tu me réponds... ou sinon je te pisse dessus ! Allez... un... deux... allez, réponds-moi ! Je vais pisser... Je n’arrive pas à réagir et m’apprête donc à me faire arroser par son urine, ressentant d’ailleurs une certaine forme d’excitation d’être ainsi un simple homme-objet à la merci de ma jeune nièce... mais, avant qu’elle ne passe à l’acte, quelqu’un se met à frapper doucement à la porte de la chambre. — Clara, ton oncle est avec toi ? Est-ce que tu veux bien m’ouvrir, ma petite chérie ? — Attends, tata... j’ai besoin que tu me laisses encore cinq minutes avec lui, et après je te le rends ! — Ma petite chatte, comme je suis à peu près certaine que tu n’as pas pu tenir ta langue et que tu lui as sans doute raconté tout ce qu’il s’est passé cet après-midi, tu dois me laisser seule un moment avec mon homme ! Allez, Clara, viens m’ouvrir, s’il te plait ! — Non, Amandine... je te promets que je n’ai rien dit... hihihi... mais il a regardé les vidéos, ce gros cochon ! Ma sublime blonde se met debout et file ouvrir la porte, en profitant au passage pour me marcher de nouveau dessus... — Merci, ma petite chatte !... Enfin, juste de m’avoir ouvert la porte, parce que pour le reste... — Arrête tata ! Il a adoré te voir te faire baiser comme une chienne... Il a bandé pendant toute la vidéo et même réussi à éjaculer tout son foutre sans se branler !... Regarde... il a cradossé son short et mon lit, cette grosse porcasse ! Beurk !... Hihi !!! Clara venait de tirer mon short et mon slip pour libérer ma bite, puis elle la prend avec deux doigts pour la décalotter complètement et faire sortir un peu de sperme de mon méat. Je ne réagis pas à cette auscultation sans aucune pudeur de mon propre sexe, mais je le sens presque immédiatement reprendre de la vigueur... et puis surtout, je réalise que j’avais bel et bien joui et lâcher mon foutre juste en regardant ma femme se faire baiser par des inconnus ! J’ai honte... terriblement honte d’avoir pris du plaisir, d’avoir joui devant cette vidéo de cul, alors que la putain dessus qui se faisait prendre par tous les trous, était ma propre épouse ! — Clara, peux-tu nous laisser seuls un moment, juste nous deux, s’il te plait ?! — Oh, pas chiée la meuf ! C’est ma chambre, quand même... non, je rigole ! Ma nièce quitte donc sa chambre et referme la porte derrière elle, non sans m’avoir montré une dernière fois avant de sortir sa chatte et son nouveau bijou...
Je sens par contre la présence d’Amandine juste à côté du lit, mais je n’ose pas la regarder, terrifié à l’idée de croiser son regard. Je ne sais d’ailleurs pas si j’en veux plus à elle, à ma belle-sœur pour l’avoir emmenée là-bas, ou à moi, après ce qu’il venait de se passer cet après-midi ?! J’étais de toute façon celui qui avait ouvert la boîte de Pandore, qui avait osé la tromper en premier... enfin, je voulais continuer à le croire, même si un doute s’était immiscé dans mon esprit ! En tout cas, je ressens une très désagréable sensation d’oppression au niveau de la cage thoracique, comme si je pressentais quelque chose de terrible... — Chéri, j’ai besoin de te parler, de t’avouer certaines choses, surtout après ce début de vacances si particulières, et notamment cet après-midi... Je voulais attendre ce soir mais Clara a précipité les choses en te montrant la vidéo, et je préfère le faire tout de suite car je ne suis pas sûre d’y arriver ensuite, à tête reposée ! — Mais...
J’avais d’un seul coup la gorge sèche et mes mots ne sortent pas de ma bouche. Amandine s’assoit sur le lit, mais sans me toucher... — Je te demande surtout de me laisser parler sans tenter de m’interrompre, car ce que j’ai à te dire m’est de toute façon vraiment très difficile... — Tu veux me quitter, divorcer ?!... Je ne sais pas pourquoi, mais c’est la première question qui me vient à l’esprit. Je fixe le plafond de la chambre pour ne pas voir le visage de ma femme à l’instant où elle va me répondre par l’affirmative, car la réponse ne fait aucun doute pour moi... — S’il te plait, Manu, laisse-moi parler sans me couper dans mes propos, parce que sinon je ne vais pas y arriver ! Non... enfin, oui... j’avais décidé de te l’annoncer en rentrant de chez ton frère, pour ne pas gâcher les vacances des enfants... mais... — Je te remercie pour cette attention... — Putain ! Laisse-moi parler ! Je n’arrive pas à réaliser ce que ma femme était en train de m’annoncer. Pourquoi là, maintenant, de façon aussi brusque... alors que c’était elle qui venait de se comporter comme une pute ?! Je fulmine intérieurement et m’apprête à lui dire le fond de ma pensée, mais elle ne m’en laisse pas l’opportunité... — Bon, maintenant, tu fermes ta gueule et tu m’écoutes, Manu ! Oui, je voulais te quitter car ça fait plusieurs années que notre couple végète, que nous faisons l’amour comme si c’était une corvée... je parle en tout cas pour moi ! Oui, je voulais te quitter parce que j’entretiens depuis plus de trois ans une liaison avec ton meilleur pote... et que la situation est devenue intenable !— Éric ?!? Tu n’as quand même pas fait ça ?! Après la claque de la vidéo, je me prends de nouveau un véritable coup de poing dans le ventre et je me retrouve avec le souffle coupé... Éric, en qui j’avais une confiance absolue, baisant ma propre femme dans mon dos !!! — Si, le plus souvent le mardi et le jeudi de cinq à sept, quand je te disais que j’avais des réunions d’orientation, c’était en fin de compte pour qu’il me baise dans une salle de classe ou encore chez lui... mais, rassure-toi, ce n’est pas un foudre de guerre au lit, ton copain. Il y a juste que lui me traite comme une chienne, comme une salope... alors que pour toi, je suis avant tout la mère de tes enfants, et que tu ne me dis jamais un mot plus haut que l’autre quand tu me fais l’amour. — Mais, chérie... Elle ne me laisse pas le temps de poursuivre mon propos... — Donc oui, j’étais bien décidée pour te larguer après vingt-ans de vie commune, parce que ça fait trop d’années que tu ne me fais plus jouir comme une vraie femme, que je me fais chier au lit avec toi... Mais voilà, il suffit que je prenne ma décision pour que tu m’offres l’occasion de vivre les orgasmes les plus beaux et intenses que je n’avais jamais imaginés avoir un jour ! Alors, bien sûr, je ne suis pas dupe ; tu rêves sans doute à ta nièce de dix-huit ans ou encore à la femme de ton frère, quand tu me tringles aussi furieusement, aussi bestialement... mais à vrai dire, je m’en fous tant que je prends mon pied. Amandine s’était rapprochée de moi et elle caresse maintenant mon sexe toujours nu et de nouveau en érection... J’ai des difficultés à saisir où elle veut en venir, ne sachant plus si elle était décidée ou pas à rompre avec moi. Je me garde néanmoins d’ouvrir la bouche... — Tu sais quoi, Manu ?! De te voir te comporter comme un véritable salop avec moi, mais plus encore avec ton propre frère, a fait voler en éclats toutes mes inhibitions, tous mes principes liés à la moralité et à la bonne conscience. À ma grande surprise, j’ai pris un plaisir fou à faire l’amour et à bouffer le cul d’une gamine d’à peine dix-huit ans qui est également ma nièce par alliance. J’ai adoré la regarder s’empaler sur ta queue comme une petite putain, la nuit dernière... et je rêve de te voir lui défoncer son sublime petit cul avant la fin des vacances !... D’ailleurs, c’est bien la seule chose que je regrette cet après-midi... — Mais, chérie, tu... — Laisse-moi finir, s’il te plait ! Je disais que c’était la seule chose que je regrettais, d’avoir été dépucelée par un illustre inconnu alors que je voulais t’offrir ce privilège... — Tu ne regrettes pas d’avoir servi de pissotière ?! — Ah, mais non ! Pas le moins du monde, mon amour ! Tu ne peux pas imaginer comme j’ai pris mon pied cet après-midi, à être traitée comme une trainée, une salope de bas-étage, un trou à foutre et à pisse... — Tu me dégoutes, Amandine ! Tu me fais honte ! — C’est pour ça que t’as tout lâché devant la vidéo... et que tu vas de nouveau renvoyer la purée dans quelques instants !Ma superbe brune accélère d’ailleurs les “va-et-vient" de sa main sur ma verge déjà tendue à mort. J’essaye quant à moi de résister pour ne pas lui donner encore plus raison... mais en vain ! D’un seul coup, tout mon corps se tend lui-aussi, et je me mets à éjaculer de puissantes giclées que ma salope de femme se fait un malin plaisir de diriger en direction de mon visage. — Qu’est-ce que je disais ?... Ah oui... mais bien sûr que oui, j’ai joui comme rarement, en me faisant baiser de la sorte par tous ces gros pervers dégueulasses ! J’ai surtout réalisé un fantasme inavouable qui me trottait dans la tête depuis de nombreuses années, mais que je n’aurais jamais osé faire avec quelqu’un de très proche comme toi. Là, ces gros porcs se sont lâchés, mais je sais que je ne recroiserai jamais leurs regards me rappelant que je me suis comportée comme une chienne docile avec eux. La seule chose que je n’avais pas imaginée, c’est que Clara filmerait tout et s’empresserait de te le montrer... Alors qu’elle me caresse toujours la bite avec sa main gauche, j’ai l’impression qu’Amandine enlève sa petite culotte avec la droite. Une question me traverse d’ailleurs l’esprit ; s’était-elle lavée depuis ses exploits pornographiques de la plage, car elle portait la même robe que tout à l’heure ? En tout cas, cette pensée furtive suffit à me refaire bander... — Tu vois, je me suis souvent demandée, quand je te trompais avec Éric, comment je réagirais si un jour tu nous surprenais en train de baiser les deux... mais comme ce n’est jamais arrivé, je n’avais pas de réponse. Eh bien, là, je l’ai enfin !... Amandine se redresse, déboutonne sa robe et la retire pour se retrouver toute nue, puis elle monte debout sur le lit et vient se positionner à genoux au-dessus de moi, ses fesses au niveau de mon bassin. Avec sa main, elle choppe ma verge toujours gonflée d’excitation... et je comprends très vite que ce n’est pas vers son puits d’amour qu’elle la dirige... — Mais, chérie ?!... Tu... — Chut ! Baise-moi le cul, mon amour ! Elle se laisse descendre très doucement et s’empale progressivement sur ma queue dressée vers le ciel, tout en poussant un long soupir de plaisir. Je n’arrive pas à croire ce qui est en train de se passer !? Après vingt-cinq ans de vie commune et alors que j’avais l’impression que notre couple allait exploser avant la fin d’après-midi, ma femme m’offrait enfin son cul ! Je suis complètement sonné, abasourdi et même perdu... dépassé par cette situation qui m’échappe. Par contre, j’avais la réponse à l’une de mes interrogations, sentant mon sexe glisser entre les parois chaudes et baignées de jus de son rectum. — Espèce de sale putain ! — Oui, je suis ta petite putain, Manu ! Amandine se met alors à se déchaîner, montant et descendant telle une possédée... elle me mord, me griffe... elle halète... elle suffoque... elle crie... Je me retiens pour faire durer le plaisir, comme si cette première fois pouvait aussi être la dernière. Je l’aime... je l’aime à la folie, quoiqu’il advienne ensuite ! — Ouiii, mon amour... remplis-moi le cul ! Je me vide... je jouis de tout mon corps, de tous mes muscles, mes os, mes nerfs... mon cerveau s’est désagrégé... — Clara ?! Je peux entrer ? L’un et l’autre complètement exsangues sur le lit, nous n’avons pas le temps de réagir. La porte s’ouvre... — Mais !? Amandine... Manu ?! Vous faites quoi à poil dans la chambre de Clara ?!? Mon frère se tient dans l’ouverture de la porte, l’air hébété... 
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