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Des vacances et des épreuves

Chapitre 1

Ou comment je suis devenue une lopette

Gay
Je venais de rompre avec carole, belle noiraude pulpeuse mais au caractère irascible, quand je décidai de partir prendre quelques jours de repos dans le sud du pays afin d’évacuer toutes ces émotions négatives dues à la séparation houleuse dont Carole fut, à mon avis, la responsable. Nous étions très complice, autant sentimentalement que sexuellement, et j’avais du mal à accepter le fait de me retrouver seul dans mon lit alors que je savais pertinemment que mon ex avait déjà un autre bonhomme sous la couette à ce moment-là. Bref, je ruminais ce déboire à 300km d’elle, dans un petit bungalow situé au bord d’une rivière où le ruissellement continu de celui-ci m’aidait à apaiser mes nerfs. J’avais loué pour 10 jours.Le premier matin, je me réveillai avec le chant des oiseaux ; un peu bougon, sans érection (alors que je bandais chaque jour du temps de Carole), je me traîne jusqu’à la terrasse commune où, à force de café et fruits frais, je reprends forme et réfléchis sur ce que j’allais faire quand un couple d’hommes me demandèrent de s’assoir à ma table. Je leur réponds d’un ton un peu brusque de « sale gosse » par l’affirmative. Gênés par mon attitude, ils décident de choisir une autre place. Ignorant ce fait je continue mon régime caféiné et nicotinier en décidant qu’un bon bouquin au bord de l’eau sera le projet du jour et m’en vais dans la petite boutique acheter un livre, reviens au bungalow pour prendre quelques affaires et m’en vais à la recherche d’un coin tranquille où je pourrai savourer ma lecture.Le site est splendide, l’eau est transparente bien qu’assez fraîche. Je pique une tête pour me laver l’esprit. L’eau me vivifie et je commence à me sentir mieux. De retour à la berge, remarquant qu’il n’y a personne alentour, il me vient l’idée de faire tomber mon slip. Retour à la nature, alors vive la nudité ! C’est donc à poil que je m’enduis de crème et m’étends sur le dos, lunettes de soleil sur le nez pour commencer ma lecture.Le temps se dilate, mon esprit s’échappe dans les méandres de ma lecture en finissant par m’endormir. Carole revient en rêve frotter ses magnifiques seins sur mon corps, me chevaucher, telle une amazone sauvage et insatiable.Je me réveille, incrédule, me rappelant où je suis réellement. Deux hommes font bronzette non loin de moi. Ils me rappellent quelque chose mais n’arrive pas à les remettre. Je les vois rire et pouffer comme le font les homos, trouve leur attitude stupide (j’ai jamais aimé les gays), et c’est en me relevant pour trouver une clope dans mes affaires que je remarque que je bande comme un âne !! Voilà donc pourquoi ces deux tapettes pouffaient comme des dindes ! Mon premier réflexe a été de me cacher le sexe non sans sentir une certaine honte d’avoir à mon insu exhiber mon phallus dressé devant eux. La rage s’empare de moi, arrache mes affaires et leur fait un doigt d’honneur avant de partir dans mon bungalow. A peine rentré, je me masturbe frénétiquement en me souvenant du rêve encore présent. J’éjacule en un jet de sperme violent qui va souiller les draps du lit. Vidé, dépité, je m’affale dessus et tombe en larmes.
C’est avec un visage bouffi et les yeux encore rougis par mes larmes que j’allai noyer mon chagrin dans l’alcool sur la terrasse du camping. Il était à peine 4 heures de l’après-midi et l’effet du whisky sous la chaleur de l’été anesthésia mon esprit déjà meurtri pour laisser place à une sorte d’état second.Les deux petites tapettes refirent leur apparition- ou était-ce un mirage ?- et l’une d’elle m’interpella de sa voix si spécifique : « Ce n’est pas poli du tout de nous avoir fait ce que vous avez fait tout-à-l’ heure !! », les mains sur les hanches avec une mine courroucée.Je lui balançai un : « Ta gueule sale pédale ! » alcoolisé.La réponse vint immédiatement ; je reçus une paire de gifles monumentale devant toute la clientèle ! J’essayai de me lever pour lui en coller une mais mes jambes n’ont pas suivi, pas suivi du tout ; je m’écrasai sur la table puis sur le sol ou ma tête s’écrasa aux pieds du couple homo ; « Regarde chéri, il est complètement saoul ce mec ! Quel sale con ! ». Son compagnon renchérit : «Oh oui, il lui faudrait une bonne leçon pour lui apprendre les manières ! ». A ces mots je relevai la tête pour le fusiller du regard mais tout ce que j’ai été capable de faire fut de bredouiller quelques mots inaudibles alors que je sentais à nouveau des larmes couler sur mes joues endolories. Moi ? Me mettre à chialer comme une madeleine devant deux tarlouzes ? Eh bien oui ! Je me relevai tant bien que mal et c’est la queue entre les jambes que je m’enfuis en titubant en direction de la rivière, honteux et humilié devant tous. Mais le pire allait venir…Au bord de l’eau, je n’essayai même pas de retirer mes habits et plongeai directement. Je ne supportai pas le choc de température et me sentis me noyer. Après tout, pourquoi pas…Des mains vigoureuses me sortirent de l’eau et me jetèrent sur la berge comme un sac de patates cuites. On me déshabilla, fit des massages pour me réanimer. Quand je repris connaissance, mon champ de vision s’emplit des deux gays. Encore eux ? M’entendis-je dire, ou penser. L’un d’eux me recouvrit d’une grande serviette éponge en me frictionnant le dos. « Comme cela le macho a voulu en finir avec lui ? ». Je bredouillai un non sans conviction. Epuisé, sans force, je me laissai tomber dans leurs bras et me remis à pleurer tout en racontant mes mésaventures récentes avec Carole. Ils m’écoutèrent attentivement, venant sécher mes larmes avec le coin de la serviette. Tout en me confessant, une main prit la mienne, puis l’autre tandis que l’on me caressait les cheveux pour me réconforter. J’avais honte d’être dans leurs bras, fragile et vulnérable, à leur merci. Mais au fond de moi je sentis comme une onde de chaleur, peut-être dû au contact corporel, mais je finis par les remercier en les regardant dans les yeux, l’un et l’autre.
J’appris que c’était Stéphane qui m’avait sorti de la noyade ; grand, musclé, les cheveux noirs en brosse au regard perçant. Son compagnon, lui, s’appelait Daniel, plus mince, les yeux bleu, avec les cheveux clairs. Je me présentai à mon tour. « Maintenant que tu as fini de nous pleurer sur le gilet, Pascal, tu vas devoir nous faire des excuses ! ».
-C’est vrai… Désolé pour le doigt d’honneur mais…-Mais quoi ?? Tu crois pouvoir insulter les homos et leur manquer de respect ??-Non mais..-Mais quoi ?-J’ai pas aimé que vous me reluquiez, ce matin, comme si j’étais aussi une tapette.-On a le droit de regarder qui on veut non ? Et on n’est pas des tapettes !! Tu continues à être désobligeant !!-Pardon… Sauf que chacun ses désirs et ce n’est pas les miens.-Tu en es sûr, Pascal ? -Oui, je, enfin… .J’ai jamais été attiré par des hommes ! C’est dégueulasse de se tripoter le…
Et Vlan ! Stéphane m’envoya pour la seconde fois une paire gifles qui me jeta à nouveau à terre ! Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il était assis sur moi en me tenant les bras écartés, me foudroyant du regard. Immobilisé et impuissant, je sentis la virilité de cet homme, sa détermination et… Son sexe, même recouvert d’un slip de bain, sur mon ventre. Je sentis aussi ses bourses, ses cuisses musclées m’enserrer la taille. Je me sentis être sa proie et là, sans pouvoir rien maîtriser, je sentis mon sexe se dresser, durcir sans gêne devant les yeux ébahis de Daniel qui se trouvait en retrait, contemplant le spectacle d’un macho la queue raide !« Regarde, Stéphane, je crois que notre naufragé en pince pour toi ! ».Stéphane se retourne tout en me maintenant fermement et constate lui aussi ma honteuse érection : « Mon petit Daniel, je crois que l’on tient notre nouvelle copine ! ». Il approcha sa bouche près de mon oreille et me susurra : « Pascal, dorénavant tu nous appartiens. On va faire de toi la plus gentille tapette de l’été que le camping n’ait jamais connue… ».A suivre…
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