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Des vacances entre père et fille

Chapitre 1

Inceste
C’est vacances avaient commencés comme toutes les autres, nous nous étions rendus mon père et moi dans sa villa dans le midi, comme tout les ans.Mes parents étaient séparés depuis quelques années déjà, ma mère avait quitté mon père pour son jeune prof de yoga, et, à mes 18 ans j’avais décidé de partir vivre chez mon fortuné de père, je pouvais ainsi continuer mes études et me faire entretenir. je venais de valider ma licence et visait maintenant une maitrise, c’est vacances étaient l’occasion de me détendre complétement.
La villa de mon père était superbe, elle avait un immense jardin clos avec piscine, les pièces étaient épurés et contenaient le strict minimum nécessaire. De grande baies vitrées dans le séjour donnaient sur la piscine. La villa se trouvait sur un hameau,isolée de toutes autres habitations. J’avais ma propre salle de bain dans mon immense chambre, avec douche à l’italienne et baignoire jacuzzi,le summum du luxe. Mon père avait sa chambre à l’opposé de la mienne avec lui aussi sa propre salle de bain. Il y avait une troisième chambre qui était la chambre d’amis. Au sous sol mon père avait emménagé une salle de jeux avec un magnifique billard américain. La cuisine était spacieuse et s’ouvrait sur un séjour confortable avec cheminée. Mon père ne voulait pas de télé dans cette maison, pour lui les vacances devaient servir à autre chose, et je ne m’en plaignait pas.
J’aimais les vacances avec mon père car chacun faisait sa vie de son côté, et pour moi, la plupart du temps cela constituait à lézarder au bord de la piscine.Toute cette histoire à commencer un après-midi où je me reposait sur un transat, j’avais mon petit bikini préféré, un noir qui me donnait un côté femme fatale, le slip et le haut s’attachait par des ficelles. Le soleil tapait fort et je mettait mise sous un parasol en gardant mes lunettes de soleil car je bouquinait.Je lisais peu le reste de l’année à cause de mon emploi du temps chargé,je profitais donc de mes vacances pour m’adonner à ce plaisir. Je finis par m’assoupir quelques instant, rêvassant aux personnages de mon roman.J’émergeais peu à peu de mon sommeil quand j’entendis la respiration de mon père proche de moi. Je le croyais sorti en ville mais sa présence à mes côtés me prouvait le contraire. Je m’en réjouissait car j’aimais profiter de sa présence.Je fus néanmoins surprise car sa respiration était à la fois discrète et saccadée. Alors que j’ouvrai un œil derrière mes lunettes j’aperçus mon père en train de me mater en se caressant. Il devait pensé que je dormais encore car il n’arrêta pas son activité, le noir de mes lunettes cachant mon regard. Je ne fus pas étonnée qu’il se caresse en m’observant car je suis plutôt une belle jeune femme aux formes voluptueuses qui en fait tourner la tête à plus d’un. Et l’idée interdite qu’il s’agissait de mon père me laissait toute chose. Mon père est d’autant plus un très bel homme de presque 50 ans les cheveux grisonnant, svelte et musclé, qui prend soin de lui. Plus d’une fois il m’ait arrivée de faire des rêves érotiques de lui, qui m’avaient d’abord dérangés puis finalement de plus en plus plu. Alors, le voir se caresser devant moi, pensant que je dormais, m’excitait de plus en plus, cette situation ambigüe me plaisait beaucoup. Mais j’en voulais plus. La chaleur étouffante, mon corps dévêtu, il n’en fallait pas plus pour augmenter ma libido. J’avais alors ma petite idée derrière la tête pour arriver à mes fins.Faignant de me réveiller, je m’étirais de tout mon long, ce qui fit fuir mon père dans la maison, comme un enfant qui aurait fait une grosse bêtise. Mais, du coin de l’œil je le voyait qu’il m’observait encore derrière le canapé, sa main caressant toujours son entre-jambes. Je décidais alors de faire du monokini et de laissait ma généreuse poitrine à l’air libre puis je feins de me rendormir sur le transat. Quelques minutes après mon père vint se ré-installer à mes côtés:"- Ma puce tu dort?"Je ne répondis pas, je bougeais juste un peu afin de faire bouger mes seins et de l’exciter d’avantage."-tu dort?"Il fini par reprendre confiance et je l’aperçu sortir son énorme membre et continuer ses caresses. Cette fois-ci sa respiration était plus bruyante mais restait toujours aussi saccadée par l’excitation. je refermai totalement les yeux afin de l’écouter se masturber. Au bout de quelques minutes son souffle s’arrêta et je sentis alors sa langue chaude et humide lécher mon mamelon, ce qui me fit sortir un gémissement de plaisir. Ayant eu peur de m’avoir réveillée mon père cessa de suite, attendit sans bouger, puis recommença face à mon inactivité. mes tétons durcissaient et pointaient de plus en plus face à ses caresses et tandis que sa bouche s’occupait d’un sein, une main vint s’occuper de l’autre téton en le tirant et en le faisant rouler entre ses doigts. je me permettait quelques gémissements qui ne faisaient plus fuir mon père, pensant probablement que je dormait et faisait un rêve érotique. Une douce chaleur montait dans le bas de mon ventre, c’était si bon, j’avais envie de plus. Mon slip de bain n’était plus qu’un bout de tissu humide, inondé par mon plaisir charnel et plus l’excitation montait et plus mon bassin faisait des petits mouvements de va et viens. Je sentais sa puissante érection contre ma jambe tendis qu’il goutait à chacun de mes seins. Je voulais jouir, avoir un orgasme donner par mon géniteur. Ses caresses étaient à la fois douces et violentes, maitrisée par l’expertise de mon père. Là dessus je n’en doutais pas car j’avais vue défiler un nombre de femmes incalculables dans la chambre mon père, j’entendais leurs ébats et je savais le plaisir qui leur procurait. J’enviais toutes ses femmes car moi aussi je voulais qu’il me fasse jouir, qu’il me domine comme il les dominait, pas comme un simple père mais comme un amant. Et là, alors que rien ne pouvait laisser présager ce qui allait se passer, voilà que mon merveilleux père me suçait, mordillait, tirait les seins. C’était à la fois douloureux et tellement bon. Puis sa bouche s’éloigna de mes seins. D’une mains il défit les nœuds de mon slip de bain, glissa deux doigts dans ma fente humide et titilla mon clitoris. Je gémit de plus belle. Sa bouche descendait le long de mon corps laissant des baisés humide sur son passage puis atterri sur ma chatte mouillé. Je fus parcouru d’un immense frisson accompagné de petits cris haletant. Il pénétra alors ses deux doigts dans mon vagin et sa langue pris place sur mon clitoris. C’était exquis, L’excitation montait, je me cambrait, tout mon corps n’était que sensations, chaleur, jouissance, exaltation. Ses doigts avaient trouvé mon point G et m’emmenaient au septième ciel tandis que sa langue experte me léchait assidument. Et dans une décharge de sensations, j’explosai dans un bruyant orgasme, sentant mon liquide charnel dégouliner le long de ma chatte. A peine ai-je eu le temps de me remettre de mes émotions que mon père avait rattacher mon slip de bain et c’était enfui, pensant que je mettrais mon état sur le dos d’un fabuleux rêve érotique. Et moi je restait là, pantelante, ma chatte ouverte, voulant recevoir une ultime délivrance par la pénétration. Je voulais que mon père me prenne, qu’il me prenne comme une salope. Mon excitation était au summum et des visions salaces me venaient à l’esprit. Il me fallait trouver un moyen pour que mon père face de moi ce qu’il voulait. Je savais que mon père aimait dominer ses maitresses, je l’avais entre-aperçu une nuit où il me pensait dans mon lit alors que je l’espionnait derrière la porte en me masturbant. Je voulais qu’il me fasse pareil. Je finis par m’endormir avec ces visons.Quand je rouvris les yeux mon ventre gargouillait, je décidais donc de préparer à manger. Je trouvais sur la table de la salle à manger un mot griffonner par mon père "je suis parti en ville, ne m’attend pas pour manger, je rentrerais tard". ce mot sentait la culpabilité à plein nez, mon père culpabilisait de m’avoir donner du plaisir même s’il pensait que je dormais. L’interdit de son acte devait le rendre malade, c’était donc à moi de le convaincre du mieux que je pouvais afin d’arriver à mes fins.
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