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Des vacances entre père et fille

Chapitre 4

Inceste
Ce fut la chaleur écrasante qui rentrait par les persiennes de la chambre d’amis qui me réveilla. L’après-midi était bien entamée et j’avais horriblement faim. A mes côtés, sur la table de chevet, se trouvait un plateau repas avec un jus d’orange et une salade de tomates avec du jambon sec. Un petit mot de mon père accompagnait ce repas tardif-" ma chérie, je n’ai pas voulue te réveiller, je suis parti en ville nous acheter de quoi faire un festin ce soir, mais il faut que tu mange quand même un peu car avec la soirée qui nous attend tu as besoin de force."La soirée promettait d’être sensationnelle, mais je n’étais pas au bout de mes surprises, car sous l’assiette ce trouvait un autre petit mot de mon père.Je dépliais la feuille à la hâte pour découvrir une liste d’ordre:-" Voici ce que tu devras faire pendant mon absence1: mange ce que je t’ai préparé2: prend une douche et mets-toi l’huile de corps au monoï que tu trouveras dans mon tiroir de salle de bain3:habille toi comme une jeune femme sage, pas de vêtements provocant,je veux voir le moins de peau possible, et mets dans la mesure du possible,plusieurs couches de vêtements4: la chambre d’amis sera ta chambre tant que tu seras ma maîtresse, les jours ou tu seras ma fille tu iras dans ta chambre, mais c’est moi qui en déciderai5: Ce soir Max vient diner avec nous, tu te comporteras comme une gentil fille."
Déception, la soirée, MA soirée, allait être compromis car mon père avait décidé de la passer avec Maxime, un de ces amis du coin , que je n’avais jamais eu l’occasion de rencontré, mais qui faisait partit de toutes les soirées de mon père. Je voyais le plan foireux à des kilomètres: un apéritif interminable où ils parleraient entre eux,le repas se poursuivrai de la même manière, je tomberai de sommeil et irai me coucher dans ma chambre et mon père déciderai d’aller faire la java avec son pote.Mes larmes me montaient aux yeux, car c’était l’ascenseur émotionnel qui parlait, la joie de ce début d’après-midi, mêler à l’espoir de cette soirée le tout avec la grosse déception de ce que mon père envisageait.Je m’exécutais quand même, monotone, avec un mince espoir de me faire prendre par Lionel ce soir. J’avalai mon petit repas, languissais sous l’eau tiède de la douche et me pointais devant ma garde-robe. Que pouvais-je bien mettre?Et plusieurs couche en plus, avec cette chaleur, pourquoi voulai-t-il que je meurs de chaud? L’idée que c’était pour me voir me devetir de manière innocente devant lui me plus et raviva l’espoir qui avait disparu. J’optai tout d’abord pour un ensemble de sous-vêtement noirs en dentelle, très discret, très classe et surtout terriblement sexy, pour reprendre les mots d’un de mes ex. J’enfilai ensuite des bas, pour faire une couche de vêtement. Je mettais ensuite un pantalon noir,que j’avais acheter à l’occasion d’un entretien pour un job d’été et qui avait fini dans ma garde robe ici. Pour compléter la panoplie je mettais un débardeur blanc qui mettais en valeur de manière assez sensuelle ma poitrine et qui laissait entre-apercevoir le tissus de mon soutien-gorge. Je finissais en mettant un petit chemisier en voile, de couleur noir lui aussi, mais qui donnait une touche"jeune femme sage" à la panoplie "femme en deuil". Le débardeur blanc donnant aussi un côté plus frais à cette tenue. J’enfilai mes escarpins noirs, aux talons interminables, qui mettaient en avant ma chute de reins. J’étais prête depuis quelques minutes, peu maquillé, et j’avais déjà horriblement chaud bien que la journée touchait à sa fin et que le soleil s’étalait sur l’horizon.
Vers19h j’entendis mon père se garer dans l’allée, suivi d’une deuxième voiture, celle de Maxime.J’entendais sur le pas de la porte pour les accueillir. Mon père eu un sourire très satisfait en me voyant ainsi apprêter et se permis une tape discrète sur mon cul. Puis il me présenta Maxime "oh mon Dieu".Je n’imaginai pas mon père fréquenter des personnes beaucoup plus jeune que lui,et pourtant, Maxime devait avoir dans les 35 ans, et si je trouvais mon père sexy, il devenait presque fade à côté de Maxime: Brun ténébreux, yeux vert clair, grand,avec une carrure bien musclé et une voix sombre. Je fondait littéralement et fut offusquer de constater que je ne lui faisait apparemment aucun effet et qu’après m’avoir saluer, retourna à la conversation avec mon père. On s’installa dans le salon et mon père nous servis un apéro. Comme je l’avais prédis ils ne parlaient qu’entre eux, et ce Maxime dans tout son sex-appeal, était d’une arrogance déconcertante, à le giflé. Je compris aussi que ce fameux Max que mon père me parlait si souvent était surtout un pote de "coucherie" et que les soirées qu’ils passaient ensemble c’était pour tirer leur coup. J’aurais voulue fuir, mon père qui m’avait prise le jour même parlait devant moi, avec un inconnu à mes yeux, de leur plans cul, pourquoi me faire ce mal? Alors que j’allais me lever pour quitter la pièce, mon père, tout en continuant sa conversation,m’intima du regard, de rester à ma place. L’alcool mêler à la chaleur devenait insupportable,je décidais alors de déboutonner mon chemisier. J’avais capter l’attention de Lionel. Laissant à sa vue mon décolleté discret, son regard allait de Max à moi et de moi à Max. Au moment de passer à table,je laissais tomber entièrement mon chemisier, laissant mes épaules dorés à la vue de mon amant et la chaleur monta d’un cran. Un jeu de séduction avait commencé entre nous et c’est donc ça qu’il cherchait et ce pourquoi il avait invité Max et pourquoi il m’avait demander tout ça. Max n’était qu’un prétexte entre nous pour joué au chat et à la souris. Je décidais d’être un peu plus active. Je servais les plats en frôlant Lionel,mais je frôlait aussi Max en regardant mon père droit dans les yeux pour voir cette flamme de jalousie qu’il avait. Et Maxime de voyait pas notre petit jeux, il continuait sa diarrhée verbale, sans que quiconque ne l’écoute plus. Pourtant, vers la fin du repas, il s’aperçut de ma présence:-" Quand même Lionel, tu as une fille magnifique,tu aurais pu me la présenter plus tôt-Pour que tu la sautes comme tu sautes toutes les autres,non merci, c’est chasse gardé-Tout de suite, non, une beauté comme ça, faut en prendre soin, faut la garder."Maxime n’avait pas percuter que la chasse garder de mon père c’était rien que pour lui, que personne d’autre que lui, ici et maintenant ne sauterai sa fille chérie, qu’il avait mener à l’extase dans l’après-midi.
Mais Maxime était surtout et aussi fort alcoolisé. Mon père lui proposa alors de rester dormir:-"la chambre d’amis étant en bazar j’y dormirai, tu n’as qu’à prendre ma chambre, aller va te pioter demain pas de grasse-mat’ pour toi."Alors que Max montait difficilement les marches m’ont père me chuchota de le rejoindre d’ici 15 min. Ce que je fis sans me faire prié. La pièce était dans la pénombre, Lionel se tenait à la fenêtre, celle-ci était ouverte et le chant des grillons nous accompagnait:-"Assis-toi sur le lit.Je t’ai trouvé impolis quand tu as voulue nous faire faux-bond tout à l’heure, ça ne te plaisais pas d’entendre combien de maitresse j’ai eu entre mes bras. Et encore, je ne t’ai pas dit ce que je leur faisais à ces femmes."Il se retourna alors vers moi, ôta son t-shirt et s’approcha d’un pas autoritaire"-Tu veux que je te dise ce que le leur faisait? Déjà je ne leur laissait pas le temps de se déshabiller." Et dans un mouvement violant il me déchira mon débardeur et mon pantalon,je me retrouvais face à lui en sous-vêtement et bas avec mes talons ,je me sentais terriblement sexy et hyper-excité par le comportement autoritaire de Lionel.-"Très sexy chérie, lève-toi! Fais un tour sur toi même! Penche toi! Mhh, t’es bandante. Et qui est-ce qui va profiter de tout ça?— C’est toi Lionel-Je suis ton père alors appel moi PAPA, tu m’agaces avec tes Lionel-par-ci Lionel-par-là.— D’accord papa— Bien je préfère, penche-toi encore, que je puisse admirer ce merveilleux petit cul. Allonge-toi maintenant et écarte tes bras et tes jambes, et avant d’aller plus loin se soir, es-tu sur de vouloir te donner à moi, entièrement?"j’acquiesçais, déjà allongée dans la position qu’il m’avait ordonnée, entièrement soumise à mon géniteur. Il prit une boite sous le lit de laquelle il sortit des menottes. Il m’accrocha mains et pieds au lit, et me banda les yeux. Ses mains huilé vinrent me caresser et me masser le corps. Il avait des mains chaudes, expertes. Il savait où s’attarder pour faire monter le plaisir. Il effleurait mes tétons, descendait vers le pubis et remontait rapidement. A chaque caresse j’espérais qu’il en fasse un peu plus, c’était un vrai supplice charnel.Il finit enfin par me délivrer des ses caresses à l’aide de sa bouche chaude et humide. Il vint d’abord faire enfler un peu pus mes tétons avant de titiller mon clitoris jusqu’à l’explosion. Entre chaque caresse il m’ordonnai de me taire afin de ne pas réveiller notre inviter. Et il continuait de me décrire ce qu’il faisait aux autres femmes. Alors que je pensais qu’il allait me prendre en levrette je sentis son doigts, lubrifié de cyprine, d’insinué vers mon petit trou. Instinctivement je me contractait:-" Est-ce que tu as confiance en ton papa,-oui,papa j’ai confiance en toi— alors laisse-toi faire et souviens-toi que tu t’es donné entière à moi. Tu vas être gentil?-Oui papa, c’est juste que c’est une première pour moi— ai confiance."Il continua la masturbation de mon petit trou avec un doigt, pendant que son autre main recommençait à titiller mon clitoris. Je me sentais plus détendus.Il me pénétra alors dans coup dans la chatte et enfonça par la même occasion son doigt dans mon petit trou.La surprise laissa place au plaisir, ça devenait agréable et j’amplifiai les mouvement de va et vient sur sa queue et surtout sur son doigt. Il fini par me remplir dans un orgasme et je n’eus pas le temps de me remettre du mien qu’il présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je commençai une fellation frénétique. Ça queue avait son gout et mon gout, les deux mélanger m’excitait comme une pucelle. Je le sentis gonfler en moi, je sentais les coups de sang monter dans sa queue. Et je me retrouvait de nouveau à quatre patte. Cette fois la queue de mon père était à l’entrée de mon anus, et c’est avec toute l’excitation qui était en moi que je m’appuyais sur le gland. Il me pénétra délicatement, j’eus d’abord un peu mal et mon anus se contracta d’abord. Mon père continua quand même son exploration et une fois qu’il fut entièrement dedans il commença de léger va et viens. C’est moi qui accéléra la cadence jusqu’au feux d’artifice et dans un chuchotement hurlant de plaisir je criais en silence:"oh oui papa!!!!!!!!!!!papa!!!!"
Le lendemain, au petit déjeuner,je retrouvais Maxime au bord de la piscine, là où mon père m’avait fait jouir pour la première fois. Il m’informa que mon père était partit au sport et qu’il ne reviendrait qu’en fin de matinée:-" Et je voulais m’excuser aussi pour hier, j’avais déjà bien bu en arrivant ici, et j’ai eu un comportant déplorable à ton égard, j’en suis désolé. Et tu m’avais tellement troublé qu’avec l’alcool je ne savais plus trop comment réagir. Je me ferrais pardonner."
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