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Des vacances estivales.... souvenirs...

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Des vacancs estivales.... Souvenirs !
Cette année-là, comme chaque année en janvier, je m’étais posé la question de savoir quelle destination j’allais prendre pour aller passer une dizaine de jours de mes congés d’été dans un de mes lieux de prédilection : les camps naturistes. J’avais le choix entre ceux de la côte atlantique ou méditerranéenne ou encore ceux de l’intérieur des terres que je connaissais pour les avoirs déjà fréquentés, seul ou accompagné, par une gentille amie qui partageait également ce penchant pour le ‘vivre nu’. En fait cette année-là, j’avais opté pour le camping de la Clapère, situé à quelques dizaines de kilomètres à l’intérieur des terres à l’ouest de Perpignan. A bientôt 60 ans, je profitais de ces jours pour me ressourcer au sein de la nature, et si j’étais parti seul, je trouverais assez rapidement des bonnes fortunes momentanées pour assouvir une libido encore bien présente. Le monde des naturistes n’est pas très prude et l’échangisme est assez courant au cours des chaudes soirées d’été.

Mais il en a été tout autrement...

Si je me souviens bien, ce samedi-là, je quittais mon domicile parisien au lever du jour en pensant à ceux qui étaient partis la veille et n’avaient trouvé que bouchons et autres embarras de circulation sur la route du sud. J’avais presque mille kilomètres à parcourir, mais j’avais l’habitude des longs trajets, quelques bons CD et des pauses régulières me permettaient de faire la route dans les meilleures conditions. En arrivant à l’entrée de l’autoroute à la Porte d’Italie, j’aperçus deux silhouettes sur le trottoir avec un panneau griffonné à la hâte et indiquant ‘Grand sud’ sans autre précision. Je m’arrêtai quelques dizaines de mètres plus loin et les deux filles arrivèrent à la hauteur de ma voiture, l’une d’elles a dit :
— Vous... allez sud de la France ? Nous... pas beaucoup argent pour prendre train !

J’avais donc à faire à deux étrangères, certainement des Allemandes compte tenu de leur accent, si bien que je leur ai répondu dans la langue de Goethe que :
Oui j’allais vers le sud de la France... Qu’elles pouvaient monter si elles n’avaient pas peur d’un homme seul qui pourrait être leur père...

La seconde a répondu dans un éclat de rire qu’elles étaient deux et qu’elles n’avaient pas peur.
Mon allemand était un peu rouillé malgré de nombreuses années passées dans ce pays, mais chemin faisant, c’est revenu assez vite. Les deux filles étaient des amies et condisciples de l’université de Mayence et elles partaient chaque année ensemble, sac au dos pour découvrir la France et, ont-elles dit, ses mystères !
— Oh... la France recèle plein de mystères... La région où je vais en a plein avec les cathares et autres albigeois...
— Dis-nous... on ne connaît pas encore...


C’est ainsi que j’ai expliqué ce qu’étaient ces deux mouvements de rébellion contre le pouvoir en place à l’époque. Cela tombait bien, car avant mon départ, je m’étais documenté sur cette question, car j’avais bien l’intention de mettre à profit mon séjour pour visiter certains hauts lieux de ces mouvements historiques... Je joignais ainsi l’utile culturel à l’agréable séjour naturiste promis par la publicité faite autour de ce camping.

Les deux filles m’expliquèrent qu’elles étaient en dernière année de leur cursus à l’université catholique des sciences de Mayence, mais qu’en fait elles étaient originaires de Saxe. Leur compagnie était agréable et les kilomètres défilaient assez vite si bien que nous sommes arrivés à destination vers 19 heures. Presque quatorze heures de route en traversant le Massif central, c’était raisonnable !
En arrivant, j’avais dit à Ingrid et Karla que si elles n’y voyaient pas d’inconvénients, je les conduirais à Canet en Roussillon le lendemain, mais que j’avais assez tenu le volant pour aujourd’hui. Il y avait deux chambres dans le mobil-home en plus de la pièce commune...

Notre installation dans le mobil-home retenu plusieurs mois à l’avance a été rapide... et nous sommes allés faire le tour du camping pour voir les installations autour de la piscine et de l’immense maison de la direction et du restaurant. Je n’avais rien dit à mes compagnes de voyage sur l’orientation "nudiste" du camping, mais elles se sont rapidement mises au diapason...
C’est d’abord Ingrid qui s’est débarrassée de son haut en disant que c’était génial... puis Karla en a fait de même, mais quand cette dernière s’est retrouvée la poitrine nue... je l’ai découverte : elle n’avait pas besoin de soutien-gorge tant ses seins étaient menus !

Toutes les deux étaient bien jolies... quoique différentes... Laissez-moi les décrire avec le secours des quelques photos d’elles que j’avais prises :
Karla, je viens de le dire avait une poitrine plutôt menue qui pouvait se passer de soutien, sous une taille mince s’évasaient des hanches bien galbées avec des fesses qui appelaient les caresses. Assez grande pour une femme, elle avait des cheveux blonds coupés "à la garçonne", deux yeux bleus porcelaine, un nez un peu retroussé et une bouche aux lèvres minces qui souvent faisaient une moue boudeuse... Ingrid avait tout de la Walkyrie ! Grande blonde aux formes sculpturales, elle avait une bouche gourmande (que j’imaginais tout de suite sucer un sexe mâle) un nez droit, des yeux gris et des cheveux descendant une cascade sur les épaules. Sa poitrine était ample, mais tenait bien ferme et ses hanches larges et son cul bombé avaient dû faire le bonheur d’un certain nombre de mâles... J’avais deux compagnes de voyage que désormais je pouvais regarder à loisir... J’avais été concentré sur la conduite de ma voiture et maintenant je pouvais me rincer les yeux...

Lors d’une pause, elles s’étaient installées toutes les deux sur les sièges arrière de la voiture. Leur comportement dans la voiture m’avait quelque peu intrigué : dans le rétroviseur, j’avais aperçu des frôlements sensuels, des mains indiscrètes semblaient s’insinuer entre les cuisses, des caresses à peine esquissées cherchaient les seins de l’autre... Quand lors des "arrêts restauration" elles marchaient côte à côte, elles se tenaient par la main... Serai-je tombé par hasard sur des disciples de Lesbos ? En fait, la suite des choses me fit découvrir deux filles modernes, complètement bisexuelles qui se partageaient entre les filles et les garçons.

Vers 23 heures, quand nous avons quitté le restaurant du camping, elles se sont mises de part et d’autre et en glissant un bras sous les miens, Ingrid m’a dit qu’elles allaient me remercier à leur façon de ma gentillesse...
— Tu es un vrai gentleman... Tu nous as transportées jusqu’à notre destination, nous n’avons pas vu le temps passer et même dans cette ambiance coquine, tu ne nous as pas fait la cour !

Karla a ajouté :
— Tu ne nous trouves pas à ton goût ? On sait que les Français sont friands de jeunes poulettes comme nous...
— Vous êtes bien jolies, mais j’ai plus du double de votre âge !
— Et alors... Laisse-nous découvrir ce que tu as entre les cuisses et tu verras.

Et dès que nous sommes entrés dans le mobil home, elles se sont ruées sur moi, Karla a pris ma bouche et sa langue a forcé mes lèvres pendant qu’Ingrid défaisait la ceinture de mon bermuda qui était bientôt autour de mes chevilles. Dans le mouvement, elle s’est agenouillée pour prendre en bouche mon sexe qui était déjà à moitié dressé. Je n’ai pas eu à faire un quelconque mouvement... c’est elle qui a avalé mon sexe après l’avoir enduit copieusement de salive, et, après elle, a joué avec le gland pour m’exciter encore plus, elle a introduit mon sexe au plus profond de sa gorge et commencé à faire une fellation du tonnerre... Pendant ce temps, Karla avait ôté tous ses vêtements et, entièrement nue, elle agaçait mes tétons de ses ongles pointus tout en continuant à m’embrasser...

— Oh les filles... la nuit commence bien, mais nous avons tout notre temps si vous le voulez...

Ingrid a rejeté mon sexe et a dit :— Je te mets en pleine forme et je te couvre... Karla a envie de toi... elle n’a jamais baisé avec un Français !

Tout était réglé... Nous nous sommes dirigés vers la chambre que j’avais choisie à cause du grand lit, mais je ne me doutais pas qu’il servirait à autre chose qu’à dormir. Je tendis un préservatif à Ingrid qui avec beaucoup de dextérité, l’appliqua sur mon sexe... Karla était couchée en travers du lit, bras et jambes ouverts d’une manière impudique, offrant la vue de sa fourche intime ornée d’un petit toupet blond, mais dégageant bien des lèvres gorgées de sang et une fente rosée... Elle m’attendait ! Et moi, je maîtrisais mon impatience, car je ne voulais pas décevoir cette jeune femme qui s’offrait à moi. Je suis venu entre ses cuisses, le sexe bandé comme rarement, j’ai agacé du bout le clitoris que j’avais débusqué en haut des ses lèvres puis, j’ai musardé quelques instants entre ces lèvres que je devinais pleines de cyprine jusqu’à ce que Karla manifeste son impatience en s’écriant :
— Fick mich aber fick mich hart... ich flehe dich an !

Elle voulait que je la baise fort... elle allait être servie... D’un seul coup, je me suis introduit au fond de son sexe en faisant claquer violemment mon bassin contre le sien. Ces deux femelles coquines m’avaient bien chauffé depuis quelque temps et je n’allais pas me priver de les faire reluire... D’avance, je sentais que la nuit à venir allait être courte... Je sentais aussi la chaleur intime de Karla au travers du latex et je faisais coulisser mon sexe de plus en plus rapidement dans le sien pendant qu’Ingrid me caressait doucement les bourses en s’excitant elle aussi en disant des mots incohérents où il était question de cavalière, d’amours entre femmes, de sodomie... D’ailleurs, cette coquine agaçait mon sphincter du bout d’un doigt fureteur...

N’étant pas un adepte, je tentais de fuir cet attouchement, ce qui me précipitait, bite en avant, dans la chatte de Karla qui roucoulait, la bouche ouverte, extatique ! Si je sentais ma jouissance monter dans mes reins, je présentais que celle de Karla n’allait pas tarder... Je ne me trompais pas... Elle a plaqué ses mains sur mes fesses au moment où le plaisir l’emportait, déclenchant aussitôt le mien... Mon sexe était au fond du sien et je sentais les pulsations du sperme s’écoulant dans le préservatif...

C’était bon... Les vacances commençaient bien !

Pour ne pas trop peser sur Karla, je m’étais relevé sur les avant-bras et je la regardais... Elle était bien jolie avec son regard encore noyé par la jouissance quand elle a dit dans un sabir mélangeant allemand et français :
— Toi... bon amant ! Jamais jeune m’a baisée comme toi ! J’ai failli partir deux fois avant la fin !
— Oui... je l’ai senti, mais c’était intentionnel...
— Intentionnel ?
— Oui... je l’ai fait exprès... si tu veux...
— Ah bon... Merci !

Ingrid était assise au pied du lit, les cuisses ouvertes, elle caressait sa chatte, introduisant deux doigts au moins dans sa conque humide.
— Maintenant, ça va être à moi... Allez... Karla, tu en as eu assez pour l’instant !
— On verra... Je pense que nous allons bien profiter de ce gentil Monsieur !

Puisque les hostilités semblaient devoir se prolonger avec Ingrid, je suis sorti du sexe de Karla qui a ôté le préservatif avant d’emboucher brièvement ma bite en disant :
— Voilà... Il est à toi... Profites-en bien !
— Oui... et je vais me faire prendre en levrette... Il parait que les Français aiment ça !

Je n’avais même pas le choix de la position... Ingrid avait décidé ! Elle s’est agenouillée au milieu du lit puis s‘est prosternée pour m’offrir la vue de sa fente largement ouverte et un petit Plug planté dans son sphincter ! Oh... la coquine ! Elle voulait des sensations... Une bite dans la chatte et un jouet dans son cul ! Je bandais un peu moins ferme quand Karla m’a enfilé un nouveau préservatif, mais dès que je suis entré dans le sexe d’Ingrid, le mien a retrouvé toute sa rigidité... Ingrid m’a invité (pour ne pas dire sommé) à la baiser bien profond, mais c’est bien ça que j’avais l’intention de faire... D’ailleurs, la position souhaitée me permettait d’aller au plus profond de l’antre humide de la belle, bien que je ne sois pas membré "hors-norme" ! 15 centimètres c’est déjà pas mal... surtout que le diamètre est assez conséquent.

J’ai assuré ma prise en mettant mes mains autour de la taille d’Ingrid et j’ai commencé le va-et-vient dans son sexe... C’était chaud... mais notre étreinte est devenue torride quand Karla s’est approchée de nous et a commencé à faire bouger le Plug dans le sphincter de sa copine qui ruait de plus en plus, se précipitant au devant de la saillie lorsque je tardais un peu à rentrer à nouveau dans son sexe...
Je prenais mon temps d’autant qu’une première fois venait d’avoir lieu et la fatigue de la route se faisait sentir... Mais devant un si beau cul, bien fendu et dont les deux orifices étaient pris, je n’ai pas tardé à jouir et presque aussitôt, Ingrid m’a suivi... Etait-ce Karla ou moi qui avions déclenché sa jouissance ? On s’en moquait un peu...

Le reste de la nuit a été plus calme... Nous nous sommes endormis tous les trois, bras et jambes emmêlés jusqu’à ce que la fraîcheur de l’aube nous réveille. Une envie pressante m’a obligé à me lever et au retour dans la chambre, j’ai eu la surprise (je présentais les choses depuis que j’avais observé le comportement des deux filles en cours de route) : elles étaient en 69 au milieu du lit, Ingrid chevauchant Karla !

Croyant qu’elles étaient encore endormies, j’étais revenu dans la chambre sans faire de bruit et elles étaient si bien parties, que j’ai pu m’asseoir dans un fauteuil et regarder le spectacle... Jouer les voyeurs, ça m’était arrivé quelques fois... notamment lorsque j’avais surpris un couple en train de copuler lors d’une randonnée en forêt ! (cf je joue les voyeurs en forêt).

Voir ces deux jolies filles, blondes comme les blés, se livrer aux délices de Lesbos, quel merveilleux spectacle... Elles prenaient leur temps, car elles ne pouvaient ignorer ma présence intéressée... Caresses appuyées, embrassades sur le sexe de l’une ou de l’autre, doigts inquisiteurs à deux ou à trois... si bien que toutes les deux ont été emportées par une jouissance discrète, mais évidente !

— Bravo... Beau spectacle pour me réveiller !
— Oui... Nous avions envie d’une de l’autre... Deux femmes ensemble c’est bon aussi !

Karla a été la première à remarquer que mon sexe était dressé devant mon pubis...
— Toi encore envie de nous baiser ?
— Et vous, vous n’avez pas assez joui que vous vous aimez dès le matin ?
— Si... mais Ingrid est très savante... C’est qui m’a enseigné faire plaisir à une autre femme ! J’ai envie de sucer ta bite !
— OK... je suis à toi ! Mais Ingrid que va-t-elle faire ?
— Sois tranquille... pendant que Karla te fera une pipe, tu viendras lécher ma chatte... Elle est pleine de jus... Comment on dit en français ? La mouille ?
— Si tu veux, mais on dit aussi cyprine, c’est le terme savant !

C’est ainsi que dès l’aube, je me suis retrouvé la bite allant et venant dans la bouche de Karla et que j’ai entrepris de nettoyer la chatte d’Ingrid ! Nous étions allongés sur le côté et je ne me privais pas de caresser ces deux beaux corps juvéniles offerts à mes mains... Mais visiblement, Ingrid voulait autre chose : elle a écarté les jambes de Karla et s’est glissée de manière à pourvoit avaler mes bourses pendant que se copine continuait sa fellation... Terriblement efficace... car moins de deux minutes après, je lançais dans la bouche de Karla quelques belles rasades de sperme qu’elle avala aussitôt !

Après cet intermède coquin et charmant, nous nous sommes rendormis quelques heures... Puis alors que nous étions à la table du petit-déjeuner, les deux filles m’ont demandé si elles pouvaient visiter la région avec moi ... En riant, Ingrid a dit :

— Tu nous fais visiter la région et en échange... Ta bite vient nous visiter !

Quel beau programme... La semaine a passé bien vite et je n’ai guère profité du soleil !
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