Pris de panique, je me jette sur mon lit et prends un coussin afin de cacher mon intimité. Bah ça a l’air de quoi ? fis-je un peu agacé, et puis toi, tu devais pas rentrer plus tard ? Ouais, mais ça s’est écourté, je voulais te raconter, mais je te laisse finir ton affaire, t’as manifestement d’autres choses à faire ! Après avoir lâché ces mots, elle sort en claquant la porte. Je lance mon coussin à la porte dans un geste d’humeur. Mon érection est un peu retombée, je n’ai plus vraiment envie de la continuer mon affaire... Je me retourne, sur l’écran, la jeune femme blonde, ligotée, se fait enfoncer toutes sortes d’objets dans l’anus, ses cris renvoyés par les hauts-parleur indiquent qu’elle doit prendre beaucoup de plaisir. You’ve been a bad girl, little whore ! lui dit un homme en jean et t-shirt. HMMM AAAH, I know punish me please ! lui répond sa victime. Malgré ses cris très excitants et son anus bien dilaté, la fille ne me fait pas changer d’avis et je décide de me rhabiller. Je prends donc les affaires qui sont sur mon lit et je range mon attirail, mon jogging conservant tout de même une bosse assez importante, seule preuve physique de mon enthousiasme récent. Je ferme la fenêtre de navigation privée sur mon ordinateur et mets ma série. Je ne sors pas de ma chambre de l’après-midi, ce n’est qu’à l’heure du dîner que je refais face à ma sur. J’arrive dans la cuisine silencieusement et elle s’affaire avec les casseroles, elle me tourne le dos. Elle a remis son pyjama de la veille, mais cette fois-ci, sa raie absorbe le tissu de son short, si bien que ses deux fesses sont distinctes et celles-ci tressautent harmonieusement à chacun de ses mouvements. La vue est délicieuse et j’aurais pu rester comme ça, bouche bée devant ce merveilleux spectacle pendant des heures, mais elle a dû m’entendre arriver et se retourne, me laissant par la même occasion apercevoir sa fente moulée. Des pâtes et des steaks hachés, ça te convient pour ce soir ? Euh oui oui pas de problèmes. Je mets la table et nous nous installons devant nos assiettes. Le début du repas est très silencieux, l’horloge du salon ponctuant chacune de nos bouchés par un petit tic mécanique. Au bout d’un certain temps, Lila décide d’interrompre la symphonie, pourtant bien mise en place, de nos couverts couplés à l’horloge. Du coup, je t’ai pas dit pourquoi je suis rentrée plus tôt tout à l’heure... Non, je confirme que tu ne me l’as pas dit. Bah voilà en fait, Nathan a décidé d’écourter notre après-midi en amoureux, pour je cite « rejoindre ses potes pour un anniversaire surprise ». Bon déjà, niveau organisation, il aurait pu me prévenir avant, mais surtout, je suis restée un peu en ville toute seule pour faire les magasins, et en repartant, je crois que je l’ai aperçu en compagnie d’une autre fille ! Je peux lire la colère et la tristesse sur le visage de ma sur, mais ce qui me surprend surtout dans cette histoire, c’est qu’une autre fille pouvait s’intéresser à cet individu plutôt louche et méprisable. Enfin toujours est-il que même s’il était avec une autre fille, il doit perdre au change, vu ce que j’ai pu apercevoir en arrivant dans la cuisine.
Mmh que veux-tu, l’herbe est toujours plus verte ailleurs, même si là, elle doit sûrement être jaune par rapport à toi. Enfin plus clairement, je pense que t’as pas à regretter quoi que ce soit, c’était un pauvre type, je me demandais d’ailleurs ce que vous foutiez ensemble. T’es vraiment belle, tu trouveras mieux, j’en suis sûr ! Merci, c’est gentil de ta part de me réconforter. D’ailleurs, je m’excuse pour tout à l’heure, je voulais pas rentrer à l’improviste comme ça, mais j’étais tellement énervée... Oh ne t’en fais pas, c’est déjà oublié, lui répondis-je sur un ton détendu, alors que non, c’était vraiment pas du tout oublié. J’espère que tu as pu finir ton affaire ahah ! Pour tout te dire, non. Ça m’a un peu refroidi de me faire découvrir comme ça, dans mon plus simple appareil... Roh t’as pas à avoir honte, je suis ta grande sur et puis honnêtement, tu es plutôt bien foutu. Tu trouves ? Oui, je suis sérieuse, t’as un super corps musclé comme il faut, et puis pour parler franchement, t’as une sacrée queue ! Ah oui, c’est parlé franchement ça ahah ! Je te remercie, c’est vrai que mes ex l’appréciaient bien ! Je t’aurais pas cru si tu m’avais dit le contraire de toute façon, vu le bruit qu’elles faisaient dans la maison ! Ça s’entendait tant que ça ? Ahah oui oui, et elle prenait leur pied, crois en une parole de femme, me dit-elle avec un clin d’il. Mais je suis curieuse, elle fait combien de centimètres, tu l’as déjà mesurée ? Ah bah non jamais, tu veux la mesurer, lui répondis-je sur un ton de défi. Oui, je veux bien, j’ai pas grand-chose à faire, ça pourrait pimenter la soirée ! A ma grande surprise, elle a répondu par l’affirmative à ce que j’avais proposé de manière purement provocante, mais ça n’est pas du tout pour me déplaire. D’ici quelques minutes, elle serait à genoux devant moi, en train de mesurer ma bite en érection ! Je ne pouvais pas demander mieux comme début de vacances ! Le repas se finit rapidement, j’avoue ne plus me souvenir de ce qui se passa après cette conversation. Mais une fois la dernière casserole lavée et alors que je suis dans le canapé à regarder un télé-crochet sans intérêt, ma sur se retourne vers moi. Bon, il est temps de passer à la mesure ! D’accord. Bon, je regarde une vidéo sur mon téléphone, histoire de me stimuler, et je t’appelle une fois que c’est prêt. Tu es sûr ? Je voudrais bien rester et voir comment tu te masturbes si ça te dérange pas. Oh si tu veux, au point où on en est de toute façon. Évidemment que ça ne me dérange pas ! Avec elle à côté, même pas besoin de porno pour m’exciter, ses gros seins font largement l’affaire. Je me garde toutefois de lui dire, lance une vidéo au hasard et sors mon pénis de sa cage. Elle vient s’asseoir juste à côté de moi avec une règle alors que mes mains enserrent ma bite et font des mouvements rapides de haut en bas. Avec elle à mes côtés, j’accélère mes mouvements au point que mes bourses, bien détendues, commencent à claquer contre le cuir du canapé. Wow elle est bien plus grosse de près, me dit Lila une fois que mon érection est bien avancée. Oui là elle est pas mal, je pense que tu peux la mesurer. Ça te dérange pas si je la prends en main pour la coller à la règle ? Non t’inquiète, on va essayer de bien faire les choses hein ! Elle prend donc ma verge en main, le battement de mon cur s’accélère au contact de sa main. Je peux sentir qu’elle teste la dureté de ma queue en alternant la pression qu’elle y exerce. Tu es vraiment bien dur ahah, la mesure sera d’autant plus pertinente ! Oui je suis bien excité, tu sais bien que je ne suis pas allé au bout tout à l’heure. Elle se contente de hocher la tête, et regarde les mesures de son triple-décimètre ; afin d’être sûre de la mesure, elle passe un doigt sur le bout de mon gland qui, je dois l’avouer, est humide. Eh bah ça demande déjà à sortir, me dit-elle, le sourire aux lèvres en portant son doigt à sa bouche. Vingt centimètres, ça rigole pas en tout cas ! T’as vraiment une bite de taureau Gab ! Ahah, tous nos attributs sont démesurés dans la famille hein ! Oui et pas que les attributs ! Pour me faire pardonner de mon interruption de tout à l’heure, je vais te faire une petite démonstration de comment je branle bien les bites. Sur ces bonnes paroles, elle agrippe mon pénis de ses deux mains et commence à effectuer des mouvements de haut en bas très lentement. Voyant que j’ai les yeux fixés sur son ouvrage, elle retire une main et me fait tourner la tête de façon à ce que je plonge mon regard dans le sien. Puis je sens de nouveau ses deux mains, elles effectuent d’abord le même mouvement, puis accélèrent. Tout en accélérant, je sens que Lila change de mouvement : désormais, il n’est plus vertical, mais circulaire. Ce changement brutal augmente significativement mon excitation, excitation qui atteint son paroxysme au moment où elle combine les deux mouvements, circulaire et vertical. Je ne tiens que quelques dizaines de secondes et enfin, j’éjacule. En même temps que je lâche la sauce, je ne peux étouffer un râle de plaisir. A la vue de la quantité de sperme qui se trouve maintenant par terre devant nous, ma grande sur s’exclame : Eh bah, c’est qu’elles avaient de bonnes réserves tes couilles ! C’est parce que tu m’as privé de ma branlette de l’après-midi aussi. Mais bordel, tu m’as pas menti tout à l’heure, tu branles vraiment trop bien ! Ahah oui c’est vrai que ça t’a fait bien plaisir ! Bon par contre, je suis gentille, mais je vais te laisser nettoyer tout ça. C’est la dernière phrase qu’elle m’adresse de la journée. Elle se lève et se dirige vers sa chambre et moi, bienheureux, je ne peux une nouvelle fois qu’admirer l’hypnotisant balancement de son volumineux fessier.
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