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Des vacances goût Lila

Chapitre 4

Inceste
Je rentre dans sa chambre et reprends mes esprits. Il faut que je me concentre, je sais qu’elle aime bien le sadomasochisme, donc je dois faire en sorte de la dominer, il ne faut pas que je me loupe. Si je réussis, je vais passer deux semaines de pur plaisir.Quand elle arrive dans la chambre, elle étouffe un hoquet de surprise : j’ai vidé ses tiroirs sur son lit. On peut donc y apercevoir un fouet, deux vibromasseurs, cinq godes de très grandes tailles (dont un noir), pas mal de plugs anaux et encore plus de tenues de jeux de rôles sexy du style soubrette.
— Alors, tu peux m’expliquer, c’est quoi tout ça ? T’es complètement dévergondée ma parole !— Euh bah c’est des choses qui m’excitent, j’ai pas mal de fantasmes et ça m’aide à les accomplir, répond-elle, prise au piège.— Ahah parfait, je m’en doutais, mais je voulais te l’entendre dire. Je peux t’aider à accomplir tes fantasmes si tu veux, tu en dis quoi ?— Ooh en venant dans la chambre, je ne savais pas ce que tu me préparais, mais je t’avoue que ça me ravit. Évidemment que je suis d’accord, petit frère !
Je saisis alors le fouet sur le lit et lui frappe ses fesses nues violemment, laissant une marque rouge.
— A quatre pattes ! Tout de suite Lila !
Elle s’exécute devant moi, je peux donc voir ses deux trous arrière. Sa chatte est bien mouillée et son petit trou rosé est assez bien entrouvert. Il n’en faut pas plus pour me donner une trique d’enfer. Je lui fouette encore le cul.
— Bah alors, c’est quoi ce trou de balle même pas fermé, t’aimes bien la prendre dans le cul, petite salope ?— Oui j’adore ça Gab, et puis souvent quand je sors, je mets un plug, donc c’est pour ça que c’est pas fermé...— Mmh c’est une invitation à la sodomie si tu veux mon avis.
Sans attendre sa réponse, je crache sur ma queue et force l’entrée de son cul. Dans un premier temps, je sens de la résistance, mais je pousse assez fort et je finis par rentrer. Dès que je suis à l’intérieur, ma grande sœur pousse un cri de douleur. J’enfonce plus profondément ma virilité et bien que son petit trou semble large, il me presse bien le manche. Je commence les va-et-vient, la sensation est phénoménale : son cul épouse à la perfection la forme de ma verge tout en étant bien chaud. A chacun de mes coups de reins, ma sœur lâche un gros cri, ses cris qui passent peu à peu de la douleur au plaisir. Je baisse la tête et le spectacle est grandiose, chaque fois que mon bas-ventre cogne son postérieur, celui-ci fait des vagues : ça m’excite encore plus. Agrippé à ses hanches, j’accélère donc le rythme qui devient vite insoutenable pour son pauvre anus, mais elle en redemande encore.
— Vas-y Gabriel, continue ! Aaaah prends-moi le cul comme ça, c’est trop bon, t’arrête pas !!
Je n’ai certainement pas l’intention de m’arrêter ! On continue comme ça pendant un certain temps, puis je me décharge au fond de son cul. Elle s’écroule devant moi et je peux voir ma semence sortir de son petit trou. Je m’assois sur son lit et la tire par les cheveux.
— Oh ! C’est pas fini, nettoie-moi la bite maintenant et plus vite que ça !

Lila se redresse en gémissant, elle pose ses mains sur mes cuisses et commence à me lécher le gland avec sa langue. Ma queue avait un peu ramolli après l’éjaculation, mais elle demeurait tout de même encore assez imposante. Sous ses coups de langue savoureux, je redeviens un peu plus dur.
— Laisse-moi te lécher la chatte grande sœur, tu l’as bien mérité.
Sans un mot, elle m’enjambe et je me retrouve face à son entrejambe dégoulinant. Sa fente parfaitement rasée est vraiment magnifique, ses lèvres à peine ouvertes suggèrent une innocence difficilement croyable, mais cela a le don de m’exciter énormément. Je commence en lui embrassant l’intérieur des cuisses, puis je remonte doucement vers son minou. Une fois celui-ci atteint, je lui titille le clitoris à coups de langue, j’alterne également en l’aspirant. Cela fait son effet, même avec ma verge bien dure dans sa bouche, ma sœur pousse des soupirs de plaisir.Alors que je suis en train de la lécher avec beaucoup d’entrain et qu’elle avale littéralement ma bite, la sonnette de la maison retentit.
— Merde Gab ! Qui ça peut bien être ?— Aucune idée... Ah si ! Je crois que c’est le livreur, j’ai commandé des vêtements. Je vais lui ouvrir, attends ici !
Je cours à ma chambre enfiler des vêtements, quand une idée me vient. J’enfile un caleçon et je vais dans la chambre de ma sœur pour lui faire part de cette excellente idée.J’ouvre donc au livreur en ayant pour seul habit un caleçon, qui ne dissimule absolument pas mon énorme érection. Quand celui-ci me voit, il ne masque pas son étonnement.
— Bonjour, une livraison pour Gabriel...— Oui c’est moi, je le coupe.— Parfait, j’aurais juste besoin d’une signature ici et ça sera tout.
Je me saisis du stylo et de la feuille à signer que je pose sur la petite table de l’entrée quand la voix de Lila se fait entendre :
— T’en as encore pour longtemps bébé ? J’ai encore envie de toi là !
Elle n’attend pas de réponse et descend les marches pour se retrouver à côté de moi dans son plus simple appareil. Je jette un coup d’œil au livreur et je vois qu’il n’en croit pas ses yeux, il est subjugué par le corps de déesse de ma sœur. Celle-ci se colle à moi et m’embrasse à pleine bouche.
— Je signe le papier pour le monsieur et après je suis à toi, je lui murmure.
Elle reste collée contre moi et met sa main dans mon caleçon pour me saisir la bite.
— Je la veux tout de suite Gab, j’ai trop envie !
Je lui assène une grosse claque sur la joue.
— Tu vas l’avoir, mais laisse-moi signer le papier ! Remonte ! Attends-moi sur le lit !
Alors qu’elle s’exécute, je lui mets une grosse fessée, elle pousse un cri alors que son cul ondule harmonieusement. Le livreur n’en revient pas, il n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau dans sa vie. Je signe le papier et le lui tends.
— Désolé pour ça, elle est vraiment accro ahah.— Oh vous en faites pas, jeune homme, j’ai apprécié la vue. C’est un sacré morceau, elle doit être bien bonne à baiser !— Si vous saviez, une vraie chienne ! Je lui ai déjà éclaté le cul tout l’aprèm, mais là, elle mérite une bonne punition... Enfin bref, bonne journée à vous !— Je n’ai pas besoin de vous le souhaiter moi, je sais que ça va être pas mal ahah !
Après cette phrase, il repart avec une démarche un peu rigide : j’en connais un qui va se faire plaisir dans sa camionnette !
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