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Des vacances inattendues

Chapitre 3

Hétéro
3 – L’arrangement
Après le déjeuner pris au grill proche de la plage, je me rendis au centre nautique pour mon premier cours de plongée. Sa position centrale me permis de repérer rapidement Élise installée sur une chaise longue sous un parasol. Elle avait emporté un bouquin mais quelque chose me dit qu’elle n’en lirait pas un chapitre. Je me retrouve au milieu d’un petit groupe composé de six touristes venus découvrir, comme moi, la plongée et trois instructeurs jamaïcains.Notre groupe était assez cosmopolite et se composait, en plus de moi, de deux couples, l’un suédois et l’autre afro-américain et d’un homme rondouillard qui provenait probablement de la côte ouest des états unis. Il n’y avait donc que deux femmes pour sept hommes et je me dis que ce ne serait sans doute pas mon meilleur plan drague. Nous étions tous équipés de combinaison de plongée et étrangement, je trouvais que cette deuxième peau, en cachant nos nudités avait un côté un peu sexy. Dans le gros zodiac qui nous menait vers le site de plongée, les deux couples s’installèrent sur le même bord et je me retrouvai entre le jeune et l’un des instructeurs. Aussitôt, mon voisin qui avait emporté des jumelles scruta la plage.
— La vue est belle ? Demandai-je amusé.— Splendide ! Répondit-il avec son accent californien— Excusez-ma curiosité déplacée. Je m’appelle Jean-Luc et je suis français. Avec ma femme nous sommes arrivés hier soir.— Un français ! Ça par exemple, s’exclama-t-il en français. Moi, c’est Hugo, je suis belge, mais je vis à San Francisco depuis dix ans.— D’où ton accent, je croyais que tu étais californien.— Ouai, c’est plus bandant que Bruxelles. J’y travaille et je m’y suis marié. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai pris mes jumelles. Avec ma femme, nous venons souvent ici et dans d’autres centres du même genre mais c’est plus pour elle que pour moi. Et comme je suis un peu voyeur, j’aime voir si elle se fait dragué quand j’ai le dos tourné.— Et alors ?— Et bien, elle ne m’a pas déçu, elle a déjà levé un type qui, vu d’ici, a l’air pas mal.— Je peux voir si j’aperçois ma femme ?— Oh mais bien sûr, avec plaisir, dit-il en me donnant ses jumelles.
Je la retrouvai rapidement, ces jumelles étaient excellentes et elle me parut déjà très occupée. Elle n’avait pas perdu de temps et échangeaient des baiser langoureux avec deux garçons de plage. Je n’en crus pas mes yeux, les deux blacks la caressaient, lui tétaient les seins et subitement, je l’ai vue se lever, jeter un regard vers le large, vers moi, et accompagnée de ses deux dom juan tropicaux, elle pris le chemin de notre bâtiment.
— Ça va ? Me demanda Hugo en reprenant ses jumelles.— Euh, oui, Élise vient de quitter la plage avec deux blacks.
Comme il semblait surpris de ma réaction, je lui révélai, sans entrer dans les détails, que c’était quelque chose de nouveau pour nous mais que, au fond de moi, ça m’excitait. Je ne pus m’empêcher de repenser à la partie de baise entre Peter et Élise et me dit que ce qui allait se produire cet après-midi allait être encore plus chaud. Mon sexe réagit tout de suite et se dressa contre mon ventre, créant une déformation sans équivoque de ma combinaison. Gêné, je jetai un coup d’œil aux deux femmes qui se trouvaient devant moi et compris aussitôt que mon état n’avait échappé à personne. Dans l’espoir de me calmer, je me concentrai sur le paysage de la côte vue du large, l’énorme complexe que nous avions quitté quelques minutes plus tôt semblait tout petit maintenant. En le regardant rapetisser, je songeai que quelque part, là-bas, une épouse, jusqu’à ce jour fidèle, s’envoyait en l’air avec deux mâles en rut. Cette pensée lubrique renforça encore ma trique.
Décidant de faire comme si de rien était, j’en profitai pour détailler les deux couples qui se trouvaient en face de moi et de lier connaissance. Les suédois n’étaient pas très loquaces mais les américains étaient très sympathique. De plus, la femme, une jolie métisse était d’une grande beauté. Ils venaient de Boston et s’appelaient Amber et Jeffrey. Nous sommes rapidement parti dans une conversation très cordiale à laquelle se mêlait aussi Hugo. Amber serrait la main de son mari mais quand elle s’adressait à nous, elle plongeait ses yeux dans les miens. Cette femme me troublait et j’avais l’impression qu’elle me déshabillait du regard.
La plongée fut sublime, nous étions répartis en trois groupes indépendants composés d’un instructeur et de deux élèves. Nous plongions en décalé de sorte qu’il restait toujours un instructeur et donc deux élèves sur le bateau. Je fis partie de la première palanquée et, à ma grande surprise, associé à Amber qui en fit la demande. Nous avons parcouru un récif corallien en alternant, pendant 40 minutes, exercices et découverte de la flore et de la faune aquatique. À l’issue de notre temps de plongée, nous sommes remonté à bord pour déposer nos bouteilles et boire un peu d’eau douce. Le deuxième groupe était parti depuis 20 minutes, emportant le couple de suédois et Hugo et Jeffrey partirent avec leur moniteur dès notre arrivée. Notre moniteur nous expliqua que nous pouvions continuer à profiter de la magie des fonds marins en prenant un masque et un tuba, à condition de rester dans une zone peu profonde qu’il nous indiqua. L’idée nous parue bonne et aussitôt, nous sommes retourné à l’eau. Nous nagions côte à côte dans la direction indiquée, lorsque Amber saisit ma main. J’arrêtai de nager, surpris, et la regardai intensément. Elle lâcha l’embout de son tuba, son visage s’illumina d’un sourire radieux et derrière la vitre de son masque je vis ses yeux noisette pétiller de malice. Cette femme sublime m’attirait et, il fallait bien que je l’admette, me faisait bander. Je ne pensais plus à Élise dans cet instant, tout mon cœur battait pour cette Métisse que je découvrais plus belle à chaque instant.
— Jean-Luc, tu me trouves comment ? Me demanda-t-elle— Comment ? Je dois t’avouer, Amber, que je te trouve très belle, très attirante. Je… je ne sais pas quoi te dire, c’est…— Chut ! fit-elle en me posant un doigt sur la bouche qu’elle remplaça rapidement par la sienne.
Nous avions gardé nos combinaisons et les attouchements qui suivirent furent de fait très sage mais Amber ne se lassait pas de masser ma verge tendue lorsqu’elle m’embrassait. Comme je lui demandai comment ils envisageaient l’échangisme et le libertinage avec Jeffrey, elle me dit que nous en parlerions avec lui et si possible avec ma femme.
— Nous avons quelque chose de très spécial à te demander, me dit-elle, j’espère que tu pourras accepter.— C’est quoi ? Vous faites des trucs bizarres ?— Oh non, me répondit-elle. Nous ne sommes pas non plus attirés plus que ça par le libertinage. Bien sûr, nous avons eu quelques expériences échangistes plus ou moins réussies et nous aimons bien le mélangisme. Il m’est aussi arrivé de faire l’amour avec une amie devant Jeffrey mais uniquement sans sa participation. Et là, ce que j’aimerai te demander, c’est un peu de cet ordre là et un peu différent aussi…— C’est quoi ? Vous voudriez que je fasse l’amour avec Jeffrey ?— Ah ah ! Non, c’est idiot, non ! Si tu es d’accord pour faire l’amour, ce sera avec moi évidemment. Sois patient, s’il te plait, en rentrant à l’hôtel, nous t’expliquerons tout, c’est promis.
Nous avons continué à nager en nous bécotant et comme tout le monde était revenu, nous regagnâmes l’hôtel. Sur le chemin du retour, Amber resta près de moi et, lorsque nos arrivâmes, après avoir rincé tout notre matériel, Jeffrey et Amber me proposèrent de les accompagner au bar. La belle métisse continuait à me chauffer devant son mari qui me parlait comme si de rien était. Comme, tout en restant très énigmatiques, ils insistèrent pour qu’Élise soit présente, nous fîmes un détour par notre chambre dans l’espoir de l’y trouver. La vision qu’elle nous offrit n’était pas des plus honorables ; elle somnolait dans une position très impudique, la chambre sentait le fauve et de ses orifices, largement exposés, s’écoulaient des trainées blanchâtres. Je demandai à Amber et Jeffrey de m’attendre dehors et m’approchai de ma femme adorée. Tout son corps était couvert de sperme ; elle en avait jusque dans les cheveux. Après l’avoir embrassée et avoir glissé un doigt dans sa chatte poisseuse, je lui demandai de me rejoindre au bar où je l’attendrai avec un couple d’amis. Élise m’enlaça et me demanda pardon mais je lui rappelai que, depuis le début, je m’attendais à ce qu’elle se lâche et que nous étions là pour ça. Elle promis de faire vite, se leva et fila sous la douche alors que je quittai la chambre la bite au garde à vous.
Nous nous installâmes à une table tranquille et en étions à commander nos boissons lorsqu’Élise arriva. Je fis les présentations, nous trinquâmes tous les quatre et aussitôt Jeffrey décida de nous expliquer ce qu’Amber désirait.
— Bon, voilà, c’est à la fois simple et compliqué. Dit-il, visiblement embarrassé. Comme Amber te l’a dit, Jean-Luc, nous avons eu quelques expériences libertines mais, ce n’est plus pour nous un mode de vie. Aujourd’hui, nous préférons de beaucoup notre vie de couple et, notre désir le plus cher est d’avoir un bébé.— Un bébé ? Fis-je en me demandant si je comprenais vraiment là où il voulait en venir.— Oui, reprit Amber, Jeffrey est infécond. Il pourrait éjaculer autant qu’il veut dans mon ventre que je ne serais jamais enceinte. Notre contraception, c’est lui ! Mais nous aimerions avoir au moins un enfant et pour ma part, j’aimerai que ce bébé, s’il vient un jour, soit le fruit d’une relation amoureuse réelle et éphémère car j’aime Jeffrey et je ne tiens pas à le quitter. On voudrait aussi que la personne qui me fasse mon bébé soit susceptible de devenir un ami, qu’il soit marié et si possible déjà parent. On veut aussi que ce soit clair que l’enfant ne sera pas légalement celui de son géniteur. — Mais surtout, l’homme doit être du goût d’Amber, précisa Jeffrey, et depuis que nous cherchons, elle n’a encore jamais réellement craquée sur quelqu’un.— Sauf aujourd’hui, précisa-t-elle en plantant son regard dans le mien. Avez vous des enfants ?— Oui, répondit Élise un peu déboussolée, nous en avons deux ; ils sont grands maintenant l’ainé à 17 ans et le second 15. Ce sont deux beaux garçons, précisa-t-elle avec fierté.
Personnellement, je restai sans voix, la tête bousculée par milles questions tandis qu’Amber ne me lâchait pas des yeux et que mon cœur s’emballait. Cette femme avait un vrai pouvoir érotique, tout en elle m’excitait : sa chevelure noire, longue et finement bouclée ; son teint clair, brun doré ; ses yeux noisette profonds ; ses seins ronds aux aréoles couleur chocolat ; ses jambes fines, longues, interminables ; ses fesses rondes ; et pour finir, son pubis à la pilosité savamment limitée à la forme d’un cœur. Tout en elle m’excitait et je n’avais pas encore pu admirer son intimité la plus totale.
— Elle te plait ? Tu l’aimes ? Me demanda Élise en français.— Ma Chérie, je… je n’ai jamais rien ressenti de pareil depuis que je te connais. Et dieu sait combien j’aime.— Moi aussi, mon chéri, je t’aime et pourtant, en moins de 24 heures, je t’ai déjà trompé avec cinq hommes différents et si je n’avais pas de stérilet, en continuant sur ce rythme, c’est sûr et certain que je me retrouverai rapidement enceinte d’un autre homme que toi.— Cinq !? Fis-je interdit car je n’en avais compté que trois.— Et Jeffrey et Amber auraient très bien pu ne rien nous dire, continua Élise sans s’étaler sur le sujet de ses amants. Tu aurais pu devenir son amant attitré, sans rien savoir de ses intentions mais ce n’est pas ce qu’ils ont fait. Ils ont joué carte sur table. Plus que ça, ils ont tenu à me rencontrer et à m’impliquer alors que je ne suis pas directement concernée.— Quand même ! Tu es ma femme et nous avons nos enfants. Comment va-t-on leur expliquer qu’ils ont, quelque part aux USA, un petit frère ou une petite sœur ?— Ça, c’est ta merde et, si tu veux un conseil, ne mets pas la charrue avant les bœufs. Ce n’est pas parce que tu vas te taper Amber pendant quinze jours que ça va marcher. Si ça ne tombe pas au bon moment ou je ne sais quoi, alors t’aura pris du bon temps avec une femme d’au moins dix ans de moins que moi et qui, par ailleurs, est très jolie.— T’es en train de me pousser d’accepter ?— On peut le dire comme ça… En fait, ça m’arrange un peu car je n’ai pas envie de te voir courir la gueuse avec toutes les femmes qui se présenteront. Très égoïstement, si tu ne couches qu’avec Amber durant quinze jours alors ça me dédouanera un peu de mes excès. En plus, je sais qu’en acceptant ce deal, j’ai peu de chance de vous voir faire l’amour et… à la réflexion, je sais que c’est préférable.— Tu as toujours été très jalouse.— Très ! Je le sais. Mais là, même si ça ne m’enchante pas que tu puisses avoir un troisième enfant avec une autre femme que moi, je trouve leur démarche attendrissante et très poétique. En plus, Amber craque vraiment pour toi, c’est évident. Quand à toi, maintenant que je vois comment vous vous regardez, je sais que ce n’est pas pour moi que tu bandes actuellement.
Amber et Jeffrey suivirent notre conversation sans la comprendre, Élise et moi nous mîmes d’accord sur plusieurs points. Ma tendre épouse accepta volontiers que je vive avec Amber une histoire d’amour passionnelle pleine et entière à condition qu’elle n’y assiste pas. Il lui parut nécessaire que je fasse chambre commune avec celle qui allait devenir ma compagne unique et légitime durant quinze jours et c’est elle qui se chargea d’expliquer notre décision à nos nouveaux amis.
— Amber, Jeffrey, Jean-Luc et moi nous sommes d’accord pour vous aider à avoir votre bébé. Dit-elle simplement. Par contre, pour mettre toutes les chances de votre côté, il me semble qu’Amber et Jean-Luc devrons vivre ensemble pendant tout le temps de notre séjour.— Oh mon dieu ! S’écria Amber en se levant pour embrasser Élise. Merci ! Merci, si tu savais comme ça me fait plaisir.— Je sais, ça se voit et je vois aussi que vous en pincez vraiment l’un pour l’autre. Mais toi, Jeffrey ? Que vas tu faire ? N’as-tu pas peur de les déranger ? Ne crois tu pas que pour que ça marche, il faudrait leur laisser une intimité totale ?— Et bien, j’y avais pensé mais j’avoue qu’au début je croyais aussi pouvoir participer un peu. Cependant, je me rends compte que tu as sans doute raison.— C’est vrai, mon amour, lui dit Amber. Ce serait mieux si je pouvais être seule avec Jean-Luc. Ça ne nous empêchera pas de nous voir de temps en temps, à la plongée, par exemple, ou lors d’excursions ou de repas que nous pourrions prendre ou faire ensemble.— Alors je ne sais pas trop ce que je vais faire… Constata Jeffrey. En plus, j’imaginais aussi que je pourrais les filmer… Ça fait des années que je rêve de filmer du sexe et je m’étais dit que c’était l’occasion.— Faisons un échange de partenaires alors. Toi, tu t’installes avec moi, tu filmes mes aventures sexuelles et tu me sautes, si ça te fait envie bien sûr, et eux vivent leur passion tranquillement.— C’est tentant, je suis cinéaste reporter de métier et suivre durant quinze jours la débauche et les excès d’une jolie femme comme toi, ça me dirait bien, en effet.— Tu ne veux pas faire un reportage de ma vie ici, quand même ?— Pourquoi pas ? Mais rassures-toi, il n’y en aura que deux copies, une pour vous et l’autre pour nous ; rien ne sera diffusé sans votre accord et tout cela restera ultra secret. Je te le promets, Élise.— C’est une bonne idée, dis-je à ma femme, comme ça je découvrirais ta face cachée au travers de ce reportage. En plus d’être un bon souvenir, ce sera sans doute très excitant.— Et bien c’est d’accord ! Répondit-Élise avec enthousiasme, tu feras ton reportage. Par contre il devra être très complet, alternant interviews et scènes de baise non censurées, et quand tu l’auras monté, tu nous l’enverras.— C’est parfait ainsi, déclara Amber. Jeffrey, tu veux bien retirer tout de suite tes affaires de ma chambre, s’il te plait. Avec Jean-Luc, on passera chercher les siennes un peu plus tard ; on a d’autres choses à faire tout de suite.— Ne perdez pas de temps, nous dit Élise en me claquant les fesses alors qu’Amber et moi nous levions main dans la main.
Jeffrey et Élise nous accompagnèrent jusqu’à la chambre d’Amber qui devenait la mienne aussi et ils embraquèrent les affaires de Jeffrey. Son équipement vidéo tenait dans deux grosses valises et représentait, de loin, le plus gros volume de ses affaires. Dès qu’ils furent partis, Amber et moi fermâmes la porte et nous enlacèrent tendrement. Bien que très excités l’un et l’autre par plusieurs heures de retenue, nous nous efforçâmes de prendre notre temps et de nous découvrir aux travers de longs préliminaires, de baisers torrides et de douces caresses. Nos corps étaient parfaitement en phase et, quand je la pénétrai enfin, nous jouîmes longtemps et intensément dans un rapport chargé d’amour et de tendresse qui se conclut par un orgasme commun.
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