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Des vacances inattendues

Chapitre 4

Hétéro
4 – Une vie de couple presque heureuse.
Le premier orgasme partagé avec Amber eut une action bénéfique sur ma libido et moins d’un quart d’heure après, je fus en mesure de l’honorer une seconde fois. Autant notre premier rapport fut plein de tendresse et de retenue, autant le second fut totalement débridé.
— Aah ! Mon dieu, Honey, baise moi ! Baise moi fort ! Ta bite est si grosse.— Oh oui, Bébé, tu la sens dans ta chatte ? Aah ! Tu m’excites, t’es tellement chaude !— Aaah ! Fuck ! Tu me remplis, tu m’écartes ! Aaaah !
Je ramonai Amber durant de longues minutes dans toutes les positions possibles et, alors que je la repris en levrette, à ma grande surprise, elle me demanda de l’enculer. Je n’avais encore jamais pratiqué la sodomie, Élise ne me l’avait jamais demandé et je n’avais pas non plus tenté de le faire. Un peu inquiet, je lui demandai de me dire si je lui faisais mal. Je sortis ma queue luisante de sa cyprine et appuya mon gland gonflé de sang sur sa rondelle brune. Je m’attendais à ce que ce soit difficile mais son anus s’ouvrit aisément au passage de ma verge et je m’enfonçai, rapidement, jusqu’à la garde dans son cul sublime. Amber déchainée, s’insultait et glorifiait la taille de ma bite qui lui labourait le cul. J’étais de plus en plus excité et désinhibé par son vocabulaire ordurier, je me mis à l’insulter à mon tour et à lui dire crument quel point son trou du cul était serré et trop bon. De temps à autres, je me retirais complètement pour admirer l’orifice bien ouvert et avant qu’il ne se referme j’y replongeais ma bite. Elle se touchait le clitoris en même temps que je la prenais et elle connut plusieurs orgasmes avant que j’annonce l’imminence de ma jouissance.
— Je viens, bordel ! Aaaaah ! Aaaaaah oui ! Je viens ! Aaaah ! Je viens dans ton cul !— Oui ! Viens dans mon cul ! Remplis mon cul ! Mon putain de trou du cul ! Aaaaah !— Je croyais que je devais te remplir la chatte… Dis-je sur le ton de l’humour alors que nous nous câlinions.— Et bien ? Tu l’avais déjà fais, Honey, et tu le referas encore ! Je compte sur toi. Mais moi j’aime bien me faire prendre le cul de temps en temps. Tu l’avais jamais fait ? Vraiment ?— Non, jamais… Mais je pense que ce n’est pas ton cas.— Oui, j’ai une certaine habitude ; depuis qu’on essaye d’avoir un bébé avec Jeffrey, j’ai arrêté la pilule et on a arrêté l’échangisme. En fait, Jeffrey s’en trouve bien mais, moi, j’ai gardé quelques amants et comme ce n’est pas avec eux que j’ai envie d’un bébé, ils n’ont pas le droit de me prendre autrement que par le cul.— Jeffrey le sait ?— Il en connaît quelques uns et, pour les autres, il s’en doute mais bon ! Assez parlé de Jeffrey, il n’est pas là. Tu m’as comblée, Jean-Luc, comme personne ne l’a fait jusqu’à présent et c’est l’unique chose qui m’importe.— Oh, Amber, tu es sublime, je… je crois que je t’aime vraiment, tu sais ?— Embrasse-moi.
Amber avait besoin d’être réconfortée et moi aussi. Nous restâmes enlacés longtemps à nous caresser doucement et à nous embrasser avant de considérer l’heure et de nous dire qu’il était temps d’aller chercher mes affaires restées dans la chambre d’Élise. Lorsque nous arrivâmes, Jeffrey était déjà en train de tourner et Élise, son sujet, s’envoyait en l’air avec Peter et deux autres hommes bâtis un peu comme lui. Nous passâmes très vite et le plus discrètement possible mais ma femme, prise en double sur ce qui fut notre lit, eut un orgasme en me voyant.
— Ça t’a choqué ? Me demanda Amber alors que nous retournions « chez nous ».— Je ne sais pas, ça me laisse une impression bizarre, dis-je en rigolant. T’as vu comme je bande ?
— Je ne vois que ça, répondit-elle en m’attrapant par la queue. Dépêchons-nous, tu vas m’en remettre un coup avant d’aller dîner.
Je n’avais jamais autant baisé que durant ma première semaine de vie commune avec Amber. Dès que nous en avions l’occasion, nous faisions l’amour et étrangement, j’étais toujours en forme et je rebandais en quelques minutes à peine. Nous ne nous quittions plus et Amber s’inscrivit aux cours de Hobby Cat avec moi pour rester avec moi. Par contre, nous ne participions pas aux réjouissantes soirées du club et vivions surtout renfermés sur notre couple en savourant notre relation passionnelle.
Durant huit jours, nous ne pensâmes qu’à nous, qu’à faire l’amour et, accessoirement, au bébé auquel nous étions probablement en train de donner naissance. Les sentiments que nous éprouvions l’un pour l’autre se renforcèrent dangereusement tous les jours et nous nous efforçâmes de ne pas y penser. Pourtant, au bout de huit jours, nos véritables sentiments, ceux que j’éprouvais pour Élise comme ceux qu’Amber éprouvait pour Jeffrey, refirent surface. Ce matin là, alors que nous venions de faire l’amour Amber me parut pensive.
— Quelque chose ne va pas, Darling, tu n’as pas joui…— Ce n’est pas grave, Honey, on ne peut pas jouir tout le temps et puis c’était très agréable quand même.— Tu veux bien me dire à quoi tu penses ? Ne vit-on pas des moments merveilleux ?— Si, c’est bien ça le problème… Je pense à Jeffrey. C’est… c’est l’amour de ma vie, tu sais. Je vais repartir avec lui, tu sais.— Oui, fis-je en n’étant pas bien sûr de comprendre vraiment, notre histoire est sans lendemain, je sais. Malheureusement…— Ne dis pas ça. Notre histoire ne pourra pas aller plus loin que ces quinze jours, enfin pour l’avenir je ne sais pas, mais j’aime Jeffrey, tu comprends ?— Oui, je comprends.— Et toi ? Tu n’aimes pas Élise ; elle ne compte plus pour toi ?— Je ne sais plus trop où j’en suis, je t’avoue. Élise est ma compagne de toujours, elle compte énormément mais là, je ne sais plus. Nous n’avons jamais pratiqué aucun libertinage d’aucune sorte en arrivant ici et, bien que nous savions où nous mettions les pieds, nous n’avions pas prévu qu’elle se jette corps et âme dans une frénésie sexuelle.— Elle en avait sans doute besoin, tu ne t’es jamais posé la question ?— Si, parfois, mais à ce point… Rien que le jour de notre arrivée, elle a niqué, sous mes yeux, avec le premier homme rencontré le matin et l’après-midi, alors qu’on était à la plongée elle s’est encore trouver des amants, quatre, je crois. Et tu te rappelles sans doute comme moi la scène que nous avons vu en allant chercher mes affaires.— Ça te fait très mal ? Pourtant, je croyais que vous aviez convenu de sa liberté totale.— Je ne la reconnais plus, c’est tout. Pendant presque 20 ans, nous avons vécu en couple dans une fidélité absolue et là, elle se comporte comme la pire des salopes, la reine des putes !— Tu es vulgaire, Jean-Luc, je suis certaine qu’Élise ne mérite pas ce jugement. C’est juste qu’elle a besoin de sexe et que, comme elle se sent libre de s’y donner et de tout essayer, elle s’y donne à fond. Peut-être rattrape-t-elle le temps perdu.— Peut-être, mais toi tu n’es pas comme ça.— Qu’est-ce-que tu en sais ? Tu ne me connais pas, Jean-Luc. Moi aussi, je suis comme elle ; j’aime le sexe.— Je croyais que vous sous étiez lassé du libertinage.— C’est vrai, on n’a pas été très francs. En fait, comme on voulait avoir un bébé, on a arrêté de baiser avec d’autres couples et moi, avec d’autres hommes. Jeffrey aime être cocu et moi je suis heureuse quand on partouze avec des hommes et des femmes. Ça ne me gêne pas qu’il prenne son pied aussi de son côté. Mais bon, comme nous voulions un enfant, nous nous sommes assagis et au bout d’un an de tentatives infructueuses, on a découvert que Jeffrey était infertile. On a exploré toutes les possibilités mais je voulais concevoir mon enfant dans un rapport naturel et Jeffrey m’y a encouragé. C’est lui qui a suggéré que je choisisse un blanc, pour que ce soit plus évident que l’enfant soit issu d’un rapport adultère.— Il doit y en avoir plein à Boston, — Des blancs ? C’est sûr, il y en a beaucoup mais un blanc avec lequel je pouvais avoir envie de me reproduire, aucun. On a même mis des annonces sur le net et dans notre communauté, beaucoup de nos amis se sont proposés mais ils ne correspondaient pas au critère de couleur.— pourquoi être venu jusqu’ici ?— On est venu ici, pour refaire le point. Je doutais de notre capacité à trouver la perle rare. Quand on t’a rencontré, on venait juste d’abandonner l’idée de procréation naturelle pour se replonger dans l’univers du sexe libre. J’en avais marre de me contenter de fellations et de sodomies.— Comment ça ? Vous ne faisiez plus l’amour que par derrière ?— Non, pas avec Jeffrey ! Avec les autres ; Jeffrey n’aime pas quand je refuse de donner du plaisir à un homme alors comme ma chatte était réservée à celui qui serait le père de notre enfant, il ne me restait plus que ma bouche et mon cul.— Vous avez mis combien de temps avant de me trouver ?— Quatre ans ! Quatre ans durant lesquels je m’en suis pris plein le cul au boulot, chez nous ou chez des amis. Quand c’est la finale du super bowl, il y a parfois quinze ou seize mecs en rut à la maison et j’aime quand Jeffrey m’attache sur une sorte de banc qu’on a chez nous. Quand je suis allongée dessus sur le ventre, je suis à bonne hauteur pour me faire enculer ou pour sucer les bites qui se présentent à moi.— Mais, une fois attachée, n’importe qui pourrait te prendre la chatte.— Non, Jeffrey veille au grain et, pour plus de sécurité, il m’enfonce un plug dans ma chatte. Ça te fait bander, on dirait.— T’es une salope !— Et t’aimes les salopes, Honey, n’est-ce-pas ? Me dit-elle en empoignant ma bite.— Oooh… Oh oui, j’aime ça. Je vais te baiser la chatte, Darling.— Tu viens de le faire, alors laisse moi être fidèle à Jeffrey maintenant, prends mon cul ; baise-moi l’cul !
Incapable de lui refuser une telle demande, je la retournai et, sans préparation aucune, j’enfonçai ma bite dans son anus. Son trou n’attendait que ça, son conduit était encombré mais je ne m’en souciai pas. C’était chaud et serré ; Amber semblait y prendre beaucoup de plaisir et, pour arriver plus vite à l’orgasme, se branlait le clitoris. Nous étions comme deux bêtes sauvages, mes mouvements étaient rapides et de temps à autres, je ressortais de son cul pour en admirer l’ouverture. Nous jouissions ensemble et avant que j’explose dans son cul, elle me demanda de venir dans sa bouche. Cette cochonne avala ma verge crasseuse et reçut, au fond de sa gorge l’expression de mon plaisir.
— Honey, ça te dirais de bouger aujourd’hui ; il y a une excursion qui propose la visite de la maison de la sorcière blanche de Rose Hall suivie d’une baignade en rivière à Dunn’s River falls et qui se termine par un pèlerinage sur la tombe de Bob Marley.— Oh oui, c’est une bonne idée. Ça faisait partie des choses qu’on voulait faire avec Élise ; on s’était même inscrits.— Nous aussi, c’était dans notre programme. Peut-être qu’on croisera Élise et Jeffrey s’ils ne se décommande pas.— Possible, mais je crois qu’Élise et plus branchée cul que culture en ce moment.
Personnellement, je ne savais pas trop si j’avais envie de revoir Élise, mais je voyais bien qu’Amber espérait sincèrement revoir son mari. L’amour qu’elle éprouvait pour Jeffrey était inébranlable et supérieur, sans doute, à ce que nous éprouvions l’un pour l’autre. Le fol espoir que j’avais laissé croitre dans mon esprit de vivre avec elle et notre enfant venait de s’effondrer. J’encaissai comme je le pus et je réalisai que mon seul avenir était de reconquérir Élise. Aussi pendant qu’Amber prit sa douche, je me saisis du téléphone et contactai la chambre de ma femme via le standard.
— Allo, Élise, c’est moi. Ça va ? Je ne te réveille pas ?— Non, pas du tout… Ça me fait plaisir de t’entendre ; ça fait huit jours que je ne t’ai pas vu. Tout va bien ?— Oui, nickel ! Moi aussi, ça me fait plaisir de t’entendre, répondis-je sans mentir. Je… tu… enfin, avec Amber on va faire l’excursion, ils avaient réservés aussi et je voulais savoir si on se verrait.— Oui, on avait prévu de la faire, ça t’ennuie ? Si vous voulez rester seuls, on annule nos places, il est encore temps.— Oh non ! Non, surtout pas ! Amber à besoin de voir Jeffrey, je crois et… et moi aussi, j’ai envie de te voir et de faire cette excursion avec toi.— C’est vrai ? T’as envie ?! Moi aussi, je serais contente de te retrouver, tu me manques…— I miss you, too, Missis…
D’avoir entendu sa voix rechargea mes batteries affectives, et j’en conclu que je pouvais bander pour Amber et aimer ma femme. Nous raccrochâmes le téléphone alors que la douche s’arrêta de couler. Ma jolie métisse n’avait rien entendu et je savais qu’elle aurait l’agréable surprise de retrouver son Jeffrey dans quelques minutes.
Lorsque nous arrivâmes au point de rendez-vous, dans le hall de l’hôtel, deux couples attendaient déjà. Il y avait les suédois avec lesquels nous faisions de la plongée (et pour lequel nous n’avions pas beaucoup d’atomes crochus) et un couple d’argentins. Rapidement nous nous sommes mis à parler avec ces derniers. Ricardo, le mari, avait un peu plus de trente ans, il était de taille moyenne et avait des allures de playboy. Lourdes, sa femme, avait environ vingt-huit ans et était d’une beauté à tomber par terre. Elle avait de longs cheveux blond vénitien attachés en queue de cheval, des yeux verts très beaux et on devinait, sous son chemisier une poitrine généreuse.
Nous en étions à nous découvrir lorsqu’Élise et Jeffrey arrivèrent. Je n’aurai pas cru que de revoir ma femme me procurerait un tel plaisir. Son comportement de salope, dont je ne connaissait que les exploits de notre première journée, me laissait mi figue mi raisin, mais elle m’apparut si belle et si épanouie que je ne pus m’empêcher de lui tomber dans les bras.Alors que nous nous embrassions avec passion et qu’Amber et Jeffrey faisaient de même, Ricardo et Lourdes nous regardèrent intrigués. Comme ils nous avaient toujours vu ensemble, sans avoir eu l’occasion de nous aborder, ils pensaient qu’Amber et moi étions en couple.
— Non, dis-je à Ricardo et Lourdes, je vous présente Élisa, ma femme, l’amour de ma vie et la mère de mes enfants et Amber et Jeffrey, un couple d’amis de Boston, avec qui nous avons conclu une sorte d’échange pour la durée de nos vacances.— C’est amusant, répondit Ricardo, à vous voir, on aurait pensé que c’était l’inverse surtout qu’Élise et Jeffrey commencent à avoir une certaine notoriété au sein du club : la femme qui se fait sauter par n’importe qui pourvu que son compagnon puisse filmer…— J’ai pris une caméra avec moi au cas ou, dit Jeffrey sans lâcher Amber.— Lourdes et moi cherchons des aventures d’un autre genre, commença Ricardo.— Oui, enfin, ça ne t’a pas empêché de t’inscrire au gang bang de ce soir ; c’est toi la star ? Demanda Lourdes à Élise.— Oh, la star, il ne faut pas exagérer, mais oui, c’est bien moi.— Tu vas faire un gang bang ?! Dis-je surpris.— Oui, j’avais envie d’essayer et l’hôtel m’a proposé de faire un show lors de la soirée à pluralité masculine. Tu n’as pas vu le panneau des soirées à l’accueil ? Regarde là bas : « Elisa’s gang bang ». Le compteur au dessus, c’est le nombre d’hommes inscrits ; tu peux t’ajouter à la liste si tu veux.
Je regardai effaré le compteur en question qui indiquait 52. Je mis quelques instants avant de réaliser que c’était vraiment le nombre de mecs qui allaient jouir dans ma femme ce soir. J’observai attentivement l’affiche qui invitait chacun à s’inscrire et découvrit que c’était payant. Un groupe de cinq personnes, trois hommes et deux femmes, se présenta au comptoir et le compteur grimpa à 55.
— Tu touches une part sur les 20 dollars ?— Oui, je prends 10% sur ces entrées et 2% sur le bar. En s’inscrivant pour me sauter, les gars économisent 20 dollars sur le prix d’entrée de la boite mais n’ont pas le droit à leur boisson gratuite. Dès que je serait libérée de mes obligations sexuelles, je tâcherai de me faire payer quelques coupes de champagne, histoire de gagner un peu plus.— T’es vraiment une pute alors… Tu vas pouvoir encaisser tout ça ? 55 bites d’affilées, c’est beaucoup, non ? 55 bites… répétai-je songeur et excité— Ça t’excite on dirait, me répondit Élise en touchant la bosse de mon short. Ce sera plus que ça, je pense ; il y a une soirée lesbienne en parallèle dans l’autre boite.— Oui, c’est là que j’irai ce soir, expliqua Lourdes, ça donnera exceptionnellement l’occasion à Ricardo de tremper sa bite dans d’autres chattes que la mienne. Comme il le laissait entendre, l’échangisme hétérosexuel n’est pas vraiment notre truc. Quand on partouze c’est les femmes entre elles et les hommes entre eux.— Lourdes adore me voir faire l’amour avec un homme, précisa Ricardo en l’embrassant.— C’est vrai, je trouve ça beau. C’est pour ça qu’on cherchait à vous croiser Jean-Luc et toi, ajouta la belle argentine à l’attention d’Amber. On vous a aperçu sur la plage, il y a quelques jours et on vous a trouvé craquants…— Tout le monde et là ? Interrompit le guide en arrivant, alors on y va !
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