Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 88 J'aime
  • 2 Commentaires

Des vacances inattendues

Chapitre 5

Orgie / Partouze
5 – Les chutes de Dunn’s River.
Nous primes la route à bord d’un minibus Volkswagen 9 places. Le guide nous servait de chauffeur, il y avait deux places à côté de lui, prises par le couple de suédois, et six places à l’arrière, réparties sur deux banquettes. Amber et Jeffrey s’installèrent au fond et Lourdes s’assis avec eux, à côté d’Amber, tandis que je me retrouvai encadré par Ricardo et ma femme. Cette promiscuité nous empêchait de nous retrouver vraiment dans nos couples légitimes et même si nous pouvions quand même nous chuchoter des mots doux, nous embrasser ou nous tenir la main, le lieu était mal choisi pour aborder toutes les discussions que nous aurions aimé avoir entre nous. Du coup, nous en profitâmes pour faire plus ample connaissance avec nos compagnons d’excursion et plus particulièrement avec Ricardo et Lourdes.
La visite de la maison de la sorcière blanche nous laissa une impression étrange surtout lorsqu’on nous expliqua, arrivé dans le sous-sol que c’était là que la tristement célèbre propriétaire des lieux torturait et assassinait les esclaves avec lesquels elle venait de prendre du plaisir. Après cette visite, il nous tardait à tous de poursuivre notre circuit et de rejoindre les eaux mouvementées de la Dunn’s River. Dans le bus, nous parlions de sexe, de sexe et encore de sexe. Pour ma part, j’écoutai plus que je n’intervins car mon expérience était ridicule comparée à celle des autres.
— Tu n’as jamais eu de rapports sexuels avec un homme ? Me demanda Ricardo en posant sa main sur ma cuisse.— Non, jamais, je ne sais pas si ça m’attirerait, d’ailleurs.— Pourtant tu me laisses caresser ta cuisse, c’est bien. Et avec une femme, t’as déjà pratiqué la sodomie, non ?— Je ne crois pas que Jean-Luc ait jamais fais ça, répondit Élise amusée par la situation.— Si, ma Chérie, j’ai déjà sodomisé une femme. Dis-je, de plus en plus troublé par la main qui me caressait la cuisse et qui s’insinuait maintenant dans mon short.— Il le fait très bien, confirma Amber, j’adore quand il me prend le cul après m’avoir bien farci la chatte.— Comme ça, t’as enculé Amber alors que tu ne me l’as jamais fait, s’exclama Élise faussement outrée.— Tu ne me l’as jamais demandé, avouai-je. Je n’aurais jamais osé…— Ton mari est un timide, ma chère Élise, il faut le supplier pour qu’il te la mette dans le cul, précisa Amber. Si t’aimes ça il faut le lui dire parce que sinon, t’auras rien.— Ouvre ta braguette, me chuchota Élise, je veux que tu me la mettes maintenant.
Sans me laisser répondre ou même réagir, Élise ouvrit ma braguette et en extirpa ma verge déjà bien raide et dans un mouvement rapide, elle releva l’arrière de sa jupe et s’assit sur moi en s’écartant les fesses. Jeffrey avait à peine eu le temps de sortir sa caméra pour immortaliser l’action. Ma bite bien raide se trouva parfaitement positionnée et mon gland gonflé de sang appuya sur sa rosette. Elle fit un petit effort, un cahot de la route fit le reste et ma bite s’enfonça, pour la première fois de ma vie dans le cul de ma femme. Le couple de suédois était tourné vers nous et Elijah, le chauffeur, nous mâtait dans son rétroviseur après en avoir modifié le réglage. L’ambiance devenait chaude et tous m’encourageaient : « Vas y, baise lui le cul ! » dit-l’un, « éclate lui la rondelle » dit un autre. Mon excitation grimpait mais je me sentais capable de tenir. L’éjaculation semblait hors d’atteinte alors que le plaisir était par contre bien présent. Autours de nous, la situation dégénérait. Ricardo m’embrassait sur la bouche en me pinçant les tétons, Sven, le suédois, doigtait ma chérie tandis que sa femme avait disparu de notre vue, très attirée par la barre de chocolat du chauffeur, enfin, derrière nous, Amber suçait son mari en se faisant bouffer la chatte par Lourdes.
— Accrochez vous ça va secouer ! Annonça Elijah.— Ouh ! Ouh ! Ah ! Aaah ! Ah oui ! Ouh ! Fit Élise à chaque secousse du minibus.
Sans ralentir son allure, notre chauffeur avait emprunté un chemin de terre et dès que nous eûmes disparu de tout regard possible, il stoppa son véhicule en précisant que c’était un arrêt baise. Sans se concerter, nous sortîmes tous du combi et étalâmes au sol des draps de plages susceptible de recevoir nos fesses douillettes.
Me débarrassant seulement de mon short, je m’allongeai en invitant Élise à venir s’empaler le cul sur moi. Sven, qui nous avait rejoint, baissa aussi son short et libéra une bite convenable qui rentra bien vite dans la chatte de ma femme. Ricardo, qui s’était foutu à poil, entreprit de retirer mon t-shirt. Il se colla à moi, m’embrassa sur la bouche et je répondis à ses baisers en y associant ma langue. À côté de nous, je pouvais voir Amber et Lourdes tête-bêche dans un soixante-neuf terriblement érotique où langues et doigts fouillaient tous ce qui se trouvaient à leur portée. Un peu plus loin c’était Hjördis qui se faisait baiser en levrette par notre guide-chauffeur. En les observant comme je pouvais, je me dis que le contraste était vraiment énorme entre cette femme svelte, à la peau très blanche et aux cheveux blonds très clairs et cet homme grand, tout en muscles et à la peau si noire.

Sven s’activait dans la chatte de ma femme et je sentais sa bite contre la mienne. Cette sensation était terrible car bien au delà du simple fait d’enculer Élise, j’avais l’impression de me masturber sur la bite de notre géant blond. Ses couilles se frottaient aux miennes, les tapaient, m’excitaient. Était-ce à cause des discussions que nous avions eues dans le minibus autour de l’homosexualité, je n’en saurai jamais rien, mais pour la première fois de ma vie j’éprouvai le désir de goûter une bite. Sans faire beaucoup d’effort, je réussis à attraper la verge longue et fine de Ricardo que je branlai maladroitement. À la demande de Sven nous changeâmes alors de position et ce fut lui qui passa sous ma femme. Élise couchée sur son amant suédois m’offrait toujours son cul et je m’y introduisis sans difficulté. Je la baisais vaillamment lorsque Ricardo l’enjamba pour me présenter sa queue ; cela ne laissait aucun doute, il voulait que je le suce. J’avais déjà éprouvé un sentiment étrange lorsque j’avais pris sa verge en main et j’en éprouvai une autre en la gobant. Je m’efforçai de reproduire ce que Élise et Amber me faisaient et j’en offris une sorte de synthèse à Ricardo qui sembla apprécier.
Élise jouissait fort, elle embrassait Sven, couinait, mouillait et s’insultait elle-même. Sven était tellement actif que ses mouvements étaient suffisants pour faire monter mon plaisir et, très certainement, il remplit la chatte de ma femme en même temps que j’éjaculai dans son cul. De leurs côtés, Hjördis jouissait en se faisant remplir la chatte d’une bonne dose de foutre de black et Amber et Lourdes s’effondrèrent épuisées avec chacune la main droite entièrement enfoncée dans la chatte de l’autre. Seuls Ricardo et Jeffrey n’avaient pas encore joui. Ils étaient tous les deux à poil, Jeffrey avait installé sa caméra sur un trépied et comme sa femme se trouvait libre, il se coucha sur elle et la prit très vite pour se vider les couilles.
Toujours attiré par la bite de Ricardo, je continuai à le sucer mais j’avais envie de découvrir autre chose. Je pris volontairement des postures féminines caricaturales en me touchant l’anus. Élise que cela semblait amuser se mit derrière moi et me lécha mon trou. J’allais de découverte en découverte et sa langue agile me procurait de douces sensations.
— Tu veux que je t’encule ? Me demanda Ricardo sans détour.— J’ai envie d’essayer mais tu fais doucement, d’accord ? — T’inquiètes pas, Mec, ton cul est trop beau, je n’ai pas envie de le dégoûter d’un coup de queue.
Sous les regards curieux de toutes et tous, je me mis à quatre patte et attendis que Ricardo me prenne. Il cracha sur sa bite pour l’humidifier un peu plus puis il la présenta à mon orifice vierge. Heureusement que je n’avais pas encore vu que Jeffrey me filmait car je me serais sans doute crispé. Amber m’écartait les fesses et j’étais content qu’elle soit à mes côtés pour cette expérience. Ricardo appuya fermement sur mon cul et subitement, je sentis que ça rentrait. C’était comme faire un gros caca mais à l’envers. Le plaisir ressenti était celui d’un soulagement alors que, paradoxalement, mon cul se trouvait investi. Il m’avait pénétré au trois quart et sa queue butait au fond de mon rectum, alors il se mit à bouger. Il allait et venait avec un rythme progressif, sortait complètement et rentrait de nouveau d’un seul coup avant de reprendre ses va-et-vient qui progressivement lui permirent d’atteindre le colon. Le salop m’enculait comme un sauvage et, le pire, c’est que j’ai aimé ça. Lorsqu’il m’annonça qu’il allait jouir dans mon cul, j’ai repensé à Amber et je lui ai demandé de le faire dans ma bouche. Là, j’avoue que j’ai eu du mal à faire totalement abstraction de l’endroit d’où sortait sa bite mais je réussis à me forcer un peu.
Ricardo venait de m’enculer devant Élise et Amber, il avait joui de mon corps devant tout notre petit groupe. J’avais été jusqu’à le pomper et avaler son sperme. Le spectacle avait dû plaire car Jeffrey, Sven et notre Chauffeur-guide bandaient comme des ânes. Leur premier réflexe fut de se rapprocher des femmes mais celles-ci ne voyaient pas les choses de cette manière. Je ne sus, et ne saurais sans doute, jamais si elles s’étaient consultées mais toutes les quatre refusèrent catégoriquement de satisfaire les besoins des trois hommes en rut. Quand à moi, j’étais comme fou et je n’avais qu’une envie : combler le vide que m’avait laissé la sortie de la bite de Ricardo.
Sur ordre d’Élise, je me retrouvai allongé sur le dos avec trois serviettes roulées sous les fesses pour les relever un peu et tandis que les mecs se relayèrent dans mon cul, les femmes se relayèrent sur ma bouche. En l’espace de quelques minutes, j’étais devenu un objet sexuel. Les hommes avaient besoin de se vider les couilles et les femmes avaient envie de voir ça en prenant du plaisir sur ma bouche sans pour autant chercher à jouir.Sven et Hjördis ouvrirent le bal et pendant que le grand blond pénétra ma rondelle en posant mes chevilles sur ses épaules, sa magnifique épouse vint plaquer sa chatte crémeuse sur ma bouche. J’avais beaucoup de mal à me concentrer sur le cunnilingus tellement j’était secoué par les coups de rein de Sven. Sa bite me remplissait bien et coulissait avec aisance. Ses mouvements rapides et profonds titillaient ma prostate et me procuraient une jouissance incroyable. Après quelques minutes, je le sentis se contracter et sa bite animée d’une succession de spasmes déversa en moi sa dose de foutre.C’est Amber et Jeffrey qui prirent le relai et mon cul déjà bien assoupli accueillit son gros phallus sans problème. Je doigtais Amber autant que je la léchais et je m’amusais avec sa petite zone sensible que je connaissais bien. Elle jouissait sur ma bouche, inondant mon visage de son éjaculation féminine, Jeffrey jouissait dans mon cul et tous les deux s’embrassaient au dessus de moi.Quand ils me laissèrent, je vis Élise rendre la caméra à son propriétaire tandis que le chauffeur pointait déjà sa bite imposante sur ma rondelle dilatée et baveuse. Le salop me pénétra sans précaution et j’aurais sans doute gueulé si ma femme n’avait pas choisi cet instant pour me coller sa moule pleine de foutre sur la bouche. Elijah avait de très loin la bite la plus longue et la plus grosse de nous tous mais mon anus et mon rectum s’adaptèrent rapidement. Il entrait et ressortait complètement et à chaque intromission sa queue d’ébène s’enfonçait un peu plus loin, tant et si bien qu’il finit par me la mettre jusqu’à la garde. Satisfait du conduit, il me pilonna bientôt comme un sauvage encouragé par Élise que je m’évertuais de satisfaire au mieux. Comme avec Amber, j’utilisais mes doigts et ma langue pour lui faire atteindre l’orgasme. Elle dut jouir deux fois avant qu’Elijah ne consente lui aussi me balancer son foutre chaud au fond de mes entrailles. Quand ils me laissèrent je crus que c’était terminé mais c’était sans compter sur Ricardo et Lourdes. Notre ami argentin était de nouveau opérationnel et il me pénétra très vite tandis que sa femme s’accroupissait au dessus de mon visage.
— Je peux ? Demanda-t-elle à Élise.— Vas y, il adore ça et c’est un plaisir que je ne lui accorde pas souvent, deux ou trois fois par an et sous la douche uniquement.
Inutile de dire que je sus tout de suite de quoi il s’agissait et rien que d’y penser, ma bite qui était restée molle durant toutes mes sodomies précédentes se mit à bander. J’ouvris la bouche, impatient, et lorsque les premières gouttes perlèrent entre ses lèvres intimes, je pris ma bite en main pour me masturber. Tout m’excitait, la bite de Ricardo qui me branlait le cul, la pisse de Lourdais que je buvais avec bonheur et les commentaires salaces de nos spectateurs, tout cela me faisait grimper inexorablement vers l’orgasme. J’éjaculai juste après le tarissement de la source et juste avant Ricardo. Mes deux partenaires se relevèrent et je restai allongé, épuisé par tant de débauche. Amber et Élise se penchèrent sur moi et m’embrassèrent à tour de rôle en me félicitant pour la qualité de ma prestation.
Cette petite pose nous avait retardé d’une heure sur le programme et d’un commun accord, nous décidâmes de ne pas aller jusqu’à la tombe de Bob Marley pour passer plus de temps à Dunn’s River falls. L’endroit, faisant partie des circuits classiques des tour-opérateurs, se révéla très fréquenté et la nudité n’y était pas envisageable. Ceci dit, il y avait suffisamment d’espace pour s’isoler du groupe et discuter. C’est ce que nous fîmes avec Élisa en nous mettant tous les deux dans un bouillon de la cascade. L’eau vive nous massait les épaules et le dos et l’eau bouillonnante dans laquelle nous trempions permettait des attouchements discrets.
— Enfin, on peut se retrouver un peu tous les deux, dis-je lorsque nous fûmes installés. J’ai du mal à réaliser qu’on a passé huit jours si proches et si éloignés à la fois.— C’est vrai, moi aussi, je suis contente d’être ici avec toi. Si tu savais comme j’ai été heureuse de t’entendre ce matin. C’est comment la vie avec Amber, j’ai l’impression que ça se passe bien entre vous.— Oui, même trop, peut-être. La séparation va être dure, au moins pour moi… Et toi ? Ça se passe comment avec Jeffrey et les autres ?— Comment ça avec Jeffrey et les autres ? Avec Jeffrey, ça se passe très bien, c’est un homme très sympathique et prévenant qui me procure beaucoup de plaisir si tu veux tout savoir. Après, il prend très à cœur son reportage et je m’efforce de lui donner de la matière.— Je peux te poser une question indiscrète ?— T’es bête ? Il n’y a pas de question indiscrète entre nous, je suis ta femme.— Avant de venir ici, tu m’avais déjà trompé ?— Bien sûr que non, pourquoi ? Et même quand un homme me faisait envie, je ne l’aurais jamais fait.— Et quand tu as finalement suggéré qu’on vienne dans cet hôtel, tu as pensé que tu le ferais ? Que tu baiserai avec tant d’hommes ?— Très honnêtement, oui ! Et tu m’y as encouragé, je te rappelle. Pourquoi tu demandes ça ? Je te dégoûte, c’est ça ? Tu ne m’aimes plus ?— Non, ce n’est pas ça ; c’est simplement que je me sens un peu perdu. Je… je ne te reconnais plus. Toi qui me paraissais si pure, tu te révèles presque nymphomane…— Pas « presque », c’est totalement nymphomane, tu devrais dire. J’avoue, je n’ai pas arrêté pendant huit jours. Je serais même incapable de dire combien de mecs m’ont sautée mais ça doit se situer autour de soixante ou de quatre-vingt. Et je ne compte pas tous ceux que j’ai sucés. À chaque fois que je vois une bite, j’en ai envie, c’est plus fort que moi. C’est le premier contact avec Peter qui a tout déclenché. Moi non plus je ne me connaissais pas comme ça et moi aussi, j’ai du mal à me reconnaître.— C’est mieux qu’avec moi, c’est ça ?— Mais non, idiot ! Ce n’est pas mieux, tu es un amant merveilleux et tendre, pendant 20 ans tu m’as faite jouir tous les jours, tu m’as aimé. Aucun des hommes qui m’ont baisée ne m’a apporté ce que toi seul tu peux m’apporter. Tu me manques, Chéri, et j’ai très peur aujourd’hui.— Tu as peur de quoi ?— J’ai peur que tu me quittes, que tu ne veuilles plus de moi, que tu me trouves souillée… Dit Élise en essuyant une larme. Tu crois qu’on est allé trop loin ? Trop vite ?— Je ne sais pas, ma Chérie, je ne sais pas. Je n’ai pas envie de te perdre mais avec tous tes amants, je ne sais pas si j’ai encore une place quelque part. Amber est plus claire que moi, elle aime Jeffrey et elle ne conçoit pas d’autre homme que lui dans sa vie. Alors je me sens très seul, tout d’un coup. Je t’aime Élise et je t’ai trompé toute la semaine en en aimant une autre avec toute mon âme et ma passion.— Tu voulais partir avec elle, c’est ça ?— Je ne savais plus où j’en étais, Élise, pardonne moi. Tu vois, je suis pire que toi, finalement, car toi tu n’y mets pas de sentiments…— Oh, Jean-Luc, tu n’es pas pire que moi. Si tu savais comme je t’aime…— Tu me manques, Élise…
Après un long baiser, guidés par notre désir, nous avons pris un petit sentier qui s’enfonçait dans l’épaisse forêt tropicale. Arrivé à bonne distance des chutes, nous avons pénétré dans l’intérieur du sous-bois et nous avons fait l’amour. Nous nous sommes embrassés, caressés, excités et puis Élise a pris appui sur un arbre en me tendant les fesses. Je n’ai pas retiré son maillot de bain, j’ai juste écarté le tissu pour dégager sa vulve et j’ai passé l’élastique du mien sous mes couilles. Sa chatte était luisante de désir et je l’ai prise ainsi. Nous étions tellement heureux de nous retrouver que nous jouîmes rapidement en nous jurant notre amour.
En ressortant du bois, nous vîmes Amber et Jeffrey venir vers nous. Ils se doutaient que nous avions trouvé un endroit pour nous isoler et s’inquiétaient pour nous. Ils avaient compris qu’Élise et moi avions frôlé la crise de couple et s’en sentaient coupables. Nous les rassurâmes en leur expliquant que la séparation n’était pas à l’ordre du jour même si, bien évidemment, nous savions que notre couple sortirait transformé de cette aventure. Ils posèrent la question du renouvellement du contrat pour la semaine à venir et nous en discutâmes tous les quatre. Jeffrey pensait que le gang bang d’Élise constituait une sorte de bouquet final dans la débauche de ma femme et que pour continuer son reportage, il fallait qu’il prenne une autre tournure. Il voulait filmer la reconstruction de notre couple ou alternerait des interviews d’Élise, Amber et moi, scènes du quotidien, scènes de sexe et scènes d’amour. Amber précisa que sa période de fécondité théorique n’était pas encore terminée et souhaita que l’on puisse continuer à s’aimer encore une semaine.
— On est dans une situation un peu compliquée, fis-je remarquer. On veut tous continuer ce qu’on a commencé et on voudrait aussi retrouver des moments d’intimité. Il va falloir composer, je pense. Peut-être que nous pourrions convenir de moments privilégiés pour nous retrouver au sein de nos couples.— Oui, ça parait une bonne idée, répliqua Élise. On pourrait aussi se retrouver tous les quatre, pour des moments de plaisir. Une forme d’échangisme à l’envers, si on veut— Ou faire les deux, ajouta Amber. Par exemple, on pourrait aller à la soirée pluralité masculine Jean-Luc et moi et après, je rentrerai me coucher avec Jeffrey et vous vous rentrerez tous les deux.— Aller à la soirée ?! Fis-je surpris. Je…— Si, c’est une bonne idée, renchéri Élise, tu pourrais t’inscrire en rentrant, comme tu es mon mari, on pourrait demander à ce que tu ne payes pas.— D’abord vous me demandez d’assister à ça et toi tu voudrais que je participe en plus ? Je préfère encore t’attendre dans ton lit.— Allons, Jean-Luc, ne le prends pas comme ça, me dit Jeffrey, de toute façon, vu le nombre de participants, je pense qu’Élise en a pour la nuit.— Peut-être pas quand même ! La soirée dure de 22 heures à l’aube.— Et bien tu sais, Baby, si chaque mec te baise pendant cinq minutes, avec soixante participants, t’en a pour au moins cinq heures non-stop. Ce n’est pas pour rien qu’ils plafonnent à 90 le nombre des inscriptions.— Si je suis ton raisonnement, avec 90 hommes, Élise en a pour sept ou huit heures. Constata Amber. Et toi, tu vas faire quoi pendant ce temps ? Tu vas tout filmer ? Jusqu’au bout ?— C’est ce qui est prévu, répondit Jeffrey.— Alors je retire ma proposition, conclut Amber, cette nuit, je la passe avec Jean-Luc parce que plus on va aller dans la soirée et moins il y aura de femmes alors si je reste je vais m’en prendre plein le cul ! En plus, je n’ai pas envie de dormir toute la journée de demain et c’est ce que vous risquez de faire, tous les deux. Dans ces conditions, je propose que nous dinions ensemble tous les quatre demain soir et qu’alors nous reformions nos couples pour une nuit.— Franchement, ça me convient mieux, dis-je rassuré de pouvoir échapper au spectacle.— Je comprends, dit simplement Élise, j’aurais dû réfléchir un peu avant d’accepter de me donner en spectacle…
Jeffrey était également désolé de la décision finale de sa femme mais l’essentiel était acquis. Chaque couple allait retrouver des moments d’intimité durant lesquels ils pourraient se reconquérir et faire triompher leur amour. Voyant les mines déconfites de Jeffrey et d’Élise, je proposai que nos couples légitimes se reforment un moment avant l’heure du dîner et qu’on se retrouve tous les quatre ensuite au restaurant. L’idée fut bien accueillie et redonna le sourire à ma femme et à son reporter du sexe.
Le retour de Dunn’s River falls fut plus rapide que le voyage aller et les discussions sur le sexe reprirent avec Lourdes, Ricardo, Hjördis et Sven. L’ambiance était détendue, un brin potache et nous nous séparâmes en bonne amitié.Nous avions deux petites heures avant d’aller dîner et c’est d’un pas rapide que je me dirigeai avec Élise vers notre chambre. L’épisode du bus et le petit coup en vitesse dans les bois n’avaient pas permis de combler notre manque de l’autre. À peine entrés, Élise ferma la porte à clef et nous nous enlaçâmes. Nos baisers timides ne tardèrent pas à devenir fougueux et c’est avec frénésie que nous nous déshabillâmes l’un l’autre. N’y tenant plus, je couchai mon épouse sur le lit et plongeai ma tête entre ses cuisses pour m’abreuver à son puits d’amour. Sa chatte toute lisse m’excita terriblement et son odeur me parut un peu différente. Il était évident que beaucoup de choses avaient changé en elle et je ne pus m’empêcher de penser qu’Élise sentait le cul. J’étais arrivé avec une femme sage et je récupérais une salope.
— Aaah, Ah oui, Jean-Luc, bouffe moi la chatte, doigte moi, aaaah !— Mmm, Ah oui, elle est bonne ta chatte ! Une bonne grosse chatte de salope ! Toute lisse.— Ça te plait ? Aaaah… Oh oui, c’est bon… Ooh…— T’aimes ça, Putain, de te faire doigter la chatte et lécher le clito. Aaah, Putain, qu’est-ce qu’elle est large ! T’as dû en prendre là dedans !— Aah oui, plein… Aaaah… Aah oui !
Je n’avais eu aucun mal à enfoncer deux doigts dans sa grotte, ça glissait comme dans du beurre. Encouragé par les gémissement d’Élise, j’eu envie d’aller plus loin. Sa chatte ruisselante semblait vraiment s’ouvrir alors j’en rajoutai un troisième.
— Aaaah ! Ah oui ! Fous la moi ! Aaaaah ! Aaaaaaaaaaah ! Donne moi ta queue, Chéri.— Putain de salope ! Oh oui, J’vais te la mettre ! Dis-je en me jetant sur elle. Aah ! Tu la sens ?— Aaaaah ! Aaaah oui ! Aaaah ! Aaah, c’est bon, Chéri… Aaah ! Ah oui ! Aaah, je t’aime, Chéri.— Ooh oui, tu m’aimes, Salope ! Tu te rappelles à combien était le compteur ce soir ? Aah ! 87 ! Ah oui ! 87 bites pour ma grosse pute de femme !— Ah ! Aaah oui ! Oui ! Aaah !— Aah, Salope ! Putain ! Aah ! Sac à foutre ! Souillure ! J’te baise, Salope ! Aah, oui !— Aaaah, oui ! Jean-Luc ! Aaah ! Aaaaah !— Ah, t’es en train d’jouir, poufiasse ! Aaah putain ! Tu m’excites, bordel ! Aaaah ! Aaah oui ! Aaaah, je jouis ! Aaaah… Ah, c’est trop bon.— Oh, mon Chéri, je t’aime, tu es merveilleux, t’es le meilleur.— En somme, t’es une femme comblée ; t’as la quantité d’un côté et la qualité de l’autre, c’est ça ?— Moui, on peut dire ça comme ça, même si dans la quantité il y a aussi de la qualité mais ce n’est pas Ta qualité. Même si là, tu n’as pas fait preuve de beaucoup de tendresse. Je n’ai pas souvenir que tu m’ais autant insultée en faisant l’amour.— C’est vrai que je n’ai pas été très tendre ni en parole ni dans les gestes, pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris.— Ce n’est rien, t’as joui et moi aussi alors que demander de plus ? Surtout que tu n’as pas menti, je suis bel et bien devenue une salope qui va se faire sauter en public, toute la nuit, par 90 inconnus.— Tu crois que tu pourras redevenir comme avant ?— Aïe ! Question qui fâche… Non, je ne redeviendrai pas comme avant ; j’étais un peu coincée, malgré tout. L’amour à la « papa-maman » c’est fini ! Et j’espère bien qu’on explorera ensemble toutes les positions du kamasoutra et que tu n’oublieras pas de m’enculer de temps en temps. Quand à mon côté nympho, je vais tâcher de l’étouffer dès que nous aurons quitté cet hôtel.— Et si tu n’y arrivais pas ? C’est possible, tu sais. Je comprendrais que ce soit trop dur et que tu ne puisses plus m’être fidèle…— Mais qu’est-ce que tu racontes, Jean-Luc, je t’aime ! Une fois en France les choses seront différentes, nous avons nos familles, nos amis, nos enfants ; je ne pourrais jamais ! Ça pourrait se savoir.— Une fois en France, les choses ne seront pas différentes. Ça te demandera sans doute plus d’organisation pour éviter que certaines personnes s’en rendent compte mais ce sera la même chose. Tu auras sans doute moins de partenaires mais je ne crois pas que tu puisses faire marche arrière. C’est impossible. Par contre, aujourd’hui, depuis nos discussions à la rivière, avec tout ce que tu me dis et que tu me montres, je sais que tu m’aimes toujours autant. C’est paradoxal car tu as besoins de te faire sauter tout le temps, par n’importe qui et n’importe où, mais tu m’aimes.— Je te jure que je vais faire un effort ! C’est une parenthèse dans notre vie, un accident… Je te promets.— Ne promets pas ce que tu n’es pas sûre de pouvoir offrir. Tu m’as déjà offert deux beaux enfants et vingt ans d’amour fidèle. Moi aussi, je t’aime. J’étais un peu perdu mais je commence à voir clair de nouveau. J’aime Amber, elle est belle, intelligente, distinguée. Enfin, bref, elle a beaucoup de qualités mais je ne l’aime pas et ne l’aimerai jamais autant que je t’ai aimé et que je t’aime encore. J’en suis convaincu, ma vie est avec toi, depuis le commencement jusqu’à la fin.— Oh, Jean-Luc ! Tu es merveilleux, mon amour. Je sais que je ne peux pas promettre l’impossible mais je veux quand même te promettre d’essayer.— Ne promets pas, n’essaie pas. Trompe moi si c’est dans ta nature. Fais moi cocu tant que tu peux ou tant que tu veux, mais surtout ne me cache rien, ni dans ce que tu fais, ni dans ce que tu penses. Si tu ne me mens pas tu ne me tromperas pas.
Sur ces bonnes paroles et comme je n’avais pas débandé depuis notre orgasme précédant, je me réintroduisis dans sa chatte crémeuse en y mettant toute mon âme, tout mon cœur et tout mon amour.
Diffuse en direct !
Regarder son live