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Des vacances inattendues

Chapitre 6

Orgie / Partouze
6 – la convalescence d’Élise
Dire que le gang bang d’Élise n’aurait aucune conséquence aurait été stupide mais celles qu’il eut furent plutôt inattendues.Avec Amber, nous avions passé une excellente nuit, remplie d’amour et de tendresse. Au petit matin, nous avions encore fait l’amour deux fois. D’abord vers six heures quand les premiers rayons du soleil nous réveillèrent et une heure plus tard, sur la plage après notre premier bain de mer. Nous avons encore fait l’amour avant d’aller à notre cour de catamaran puis après pour bien terminé la matinée. L’après midi fut des plus chaudes car je lui remis un coup après le déjeuner et une partouze s’est improvisée sous les douches du club de plongée. Nous étions tous à poil, évidemment et c’est Hjördis qui ouvrit le bal avec nos trois instructeurs blacks. Les types lui tournaient autours depuis plusieurs cours et, sans doute, avaient ils déjà goûté à la marchandise individuellement. De fait, elle se retrouva vite à genoux devant eux à les sucer. Du coup, le spectacle donna des idées à Sven et Hugo qui se rapprochèrent d’Amber.
— Je crois que tu vas t’en prendre plein le cul, Dis-je à Amber, nous ne pouvons pas laisser nos amis dans cet état là.— Ah oui ? Tu voudrais me voir à l’œuvre ?— Chiche !
Amber m’embrassa tendrement puis, imitant Hjördis, elle se mit à sucer Sven et Hugo sous mes yeux. Ils semblaient apprécier et j’étais bien placé pour savoir ce qu’ils ressentaient. À côté de nous, Hjördis s’était relevée et se faisait lécher le cul et la chatte par un de ses partenaires tout en continuant à sucer et à branler les deux autres. Personnellement, je bandai ferme et m’accroupissant derrière Amber, je glissai une main entre ses cuisses pour apprécier l’humidité de sa grotte. Mon amour de métisse mouillait comme une salope. Mes doigts lui fouillaient la chatte et s’enduisaient de cyprine. Amber gémissait mais c’était surtout les cris de Hjördis, prise en levrette, qui remplissaient la pièce. Mes doigts bien humidifiés visitèrent son autre orifice et le préparèrent pour la suite. Son petit anus s’ouvrait de désir, Amber mouillait du cul, elle était prête pour la suite. Je m’allongeai au sol et l’amenai sur ma queue qui trouva sans peine le chemin de sa chatte. Couchée sur moi, elle m’embrassait tandis que j’écartais son cul pour le rendre plus accessible. Hugo comprit tout de suite ce qu’il fallait faire et il plongea sa bite bien raide dans le trou du cul dégagé. Hjördis était maintenant appuyée sur le mur de la douche et se faisait prendre la chatte par les trois blacks. Ils passaient rapidement les uns après les autres en évitant soigneusement de jouir. C’était Amber qui faisait maintenant le plus de bruit quand elle ne suçait pas Sven. Hugo aussi avait envie de faire durer le plaisir, alors il sortit du cul d’Amber pour que le suédois le remplace. Sa bite, plus grosse coulissait contre la mienne et la massait au travers de la paroi vaginale. Sven ramona Amber pendant cinq bonnes minutes avant de redonner sa place à Hugo. Hjördis était maintenant dans la même posture que ma copine et se faisait également ramoner ses deux orifices. Ceux qui l’enculaient passaient successivement de son cul à sa bouche comme le faisaient Sven et Hugo pour Amber. Finalement, Hugo fut le premier à jouir et Sven ne mis pas longtemps à le suivre, par contre les baiseurs de Hjördis se montraient plus endurants et comme le cul d’Amber était libre, celui qu’elle suçait vint se terminer dans le cul de ma compagne. Il jouit à peu près en même temps que celui qui enculait la suédoise. Pour ma part, je décidai de changer de position car le contact du carrelage me déplaisait. Amber se retrouva vite à quatre pattes et après avoir réinvesti sa chatte, je m’activai en elle. Hjördis était à genoux, la bouche grande ouverte et attendait patiemment que le dernier instructeur qui se branlait au dessus de son visage lui donne à boire son jus de couilles. Le type éjacula une quantité phénoménale, Hjördis en avait plein la bouche, elle s’en fit un gargarisme, ferma la bouche et avala. Il ne restait plus que moi et Amber, qui avait déjà bien joui, m’implora de venir et je lui donnai rapidement satisfaction en remplissant encore une fois sa chatte de ma semence fertile.
— Alors, ça t’a plu, me demanda Amber alors que nous revenions à notre chambre.— Tu parles ! C’était divin. Je suis ravi.— Tant mieux, tu vois que tu peux être partageur aussi… Pense y quand tu seras avec Élise. Tu dois accepter qu’elle soit libre de son corps et de prendre du plaisir comme elle veut.— Oui, tu as sans doute raison, mais c’est pas pareil. Avec elle, c’est plus difficile.— C’est parce que tu l’aimes plus que moi, Darling.— Mais toi aussi, je t’aime !— Oui, mais moins qu’elle, comme moi je t’aime aussi, un tout petit peu moins que Jeffrey.— Ça ne va pas être facile à la fin de la semaine…— Ça va être très dur, tu veux dire… Il faut qu’on s’y prépare. Dit Amber maussade— Il va y avoir des larmes…— Tu me manqueras beaucoup, Honey. Je ne devrais pas te le dire mais tu fais l’amour beaucoup mieux que beaucoup d’hommes.— Tu dis ça parce que t’es amoureuse, dis-je flatté malgré tout.— Non, je dis ça parce que c’est vrai ; tu me fais vraiment jouir à chaque fois, tu ne te rends pas compte.— Pourquoi, ce n’est pas toujours le cas d’habitude ?
— Non, même Jeffrey qui tenait la première place dans mon classement n’est pas aussi bon amant que toi. Pose la question à Élise, elle te dira sans doute la même chose.— Oui, elle l’a évoqué hier à Dunn’s River falls, j’ai même conclu qu’elle était la plus heureuse des femmes puisqu’elle pouvait s’accorder la quantité d’un côté et la qualité de l’autre. Elle dit que c’est parce qu’on s’aime et c’est sans doute pareil entre nous.— C’est sûr, ça compte beaucoup ; tu fais l’amour avec sentiments mais moi je crois qu’il y a un petit quelque chose en plus.
En rentrant, nous avions encore du temps avant d’aller dîner et comme nous savions, l’un comme l’autre, que nous allions retrouver nos conjoins fatigués nous avons refait l’amour.
Amber trainait dans la salle de bain, elle se faisait belle pour Jeffrey ; il nous restait à peine plus d’une heure avant de retrouver nos conjoints. Cette pensée nous excita tous les deux et de la voir penchée en avant au dessus du lavabo pour se mettre son rouge à lèvre me remit le feu aux poudres. Me plaçant derrière elle, j’écartai ses fesses et dirigeai ma queue vers sa chatte.
— Pas par là, Darling, c’est tout propre pour Jeffrey. Viens dans mon cul, s’il-te-plait.— Le plaisir est pour moi, Ma belle, répondis-je à cette invitation.
Comme à chaque fois que je la pénétrai par là, je fus surpris de la facilité avec laquelle ma bite entrait. Son cul s’ouvrait avec autant d’aisance que sa chatte et mon sexe y coulissait bien.
— Aaaah ! Ah oui, Jean-Luc ! Aaaah ! Tu me baises bien, putain ! Aaah !— Aaah oui, Darling, Aaah ! Il est trop bon, ton cul ! Aaaah !
On avait déjà tellement baisé ce jour là que je me surpassai en endurance et Amber jouit du cul plusieurs fois avant que je vienne à mon tour.
Nous sortîmes vers de la chambre vers 20 heures, Amber était simplement vêtue d’un paréo noué au dessus de ses seins et moi j’en portais un identique enroulé sur ma taille. Nous avions réservé une table pour quatre dans l’un des restaurants naturistes du complexe hôtelier. Pour patienter nous prîmes tout de suite deux cocktails à base de rhum et de lait de coco et nous fûmes bientôt rejoints par Élise et Jeffrey.Jeffrey paraissait fatigué mais Élise semblait terrassée. Elle avançait tel un zombi et portait des lunettes noires pour masquer ses cernes. Il était nu et elle portait un pagne que je ne lui connaissais pas.
— Si on pouvais manger sur le pouce et aller se recoucher, avoua Élise, je suis morte ! La nuit dernière a été épuisante… — Ça, on s’en doutait un peu, ma chérie, tu n’as pas l’air au mieux de ta forme ; à croire que tu n’as pas dormi. Répondis-je— Et toi, Honey, dit-Amber à son mari, tu n’as pas l’air en très grande forme non plus…— Non, c’est sûr, les nuits blanches ne sont plus de mon âge et ce n’est pas parce que je tenais la caméra que je n’ai rien fait…— Quand à moi, je sais maintenant ce que se faire défoncer la chatte et le cul veut dire… Jeffrey avait raison, j’ai atteint ma limite. Je l’ai même dépassée mais je ne regrette pas l’expérience. J’ai pris mon pied à servir de vide couilles. C’était vraiment incroyable mais j’étais tellement crevée qu’il a fallut me porter jusqu’à la chambre— Tu me raconteras ?— Si tu veux, mais ça va peut-être te dégoûter.— Ou l’exciter, fit remarquer Amber, il n’a pas arrêté de me sauter aujourd’hui et je ne suis pas certaine que c’était que pour la beauté de mon cul.— Tant mieux, parce que ce soir je ne suis pas certaine de pouvoir faire l’amour, j’ai la chatte et le trou du cul en compote… Expliqua Élise
Élise ne souhaitant pas s’éterniser, nous avons vite mangé tous les deux et avons laissé Amber et Jeffrey pour rejoindre ensemble notre chambre. Personnellement j’avais hâte d’entendre les détails de ses turpitudes et elle commença à satisfaire ma curiosité sur le chemin de la chambre.
— Ma femme chérie a le trou du cul et la chatte en compote ? C’est bien ça ?— Oh, mon amour, si tu savais… Je suis devenue une vraie putain.— Un garage à bites ?— Pire que ça ; le mot garage n’est pas assez fort. Moi je croyais naïvement que les mecs allaient me baiser les uns après les autres et c’était vrai tout au début. Mais rapidement, ils m’ont prise à deux, puis à trois ou quatre.— T’as eu droit à des sandwichs toutes la nuit ?— Non, pas que. J’ai aussi eu droit à des doubles et de triples pénétrations anales et vaginales. Je me suis faite démonté, je te dis ! C’est à peine si je vais oser te montrer mon corps tellement ils ont abusés de moi.— Une triple pénétration, c’est possible ?— Oui, ça demande juste au troisième d’être un peu acrobate et à mes trous d’être extensibles. Malheureusement, ils ne l’étaient pas tout à fait alors, au début, ils m’ont déchirée et puis après, la douleur passée, j’ai joui comme une malade.— T’es vraiment devenue folle de la bite alors ?— Hi hi, ça tu peux le dire ! Et la nuit dernière j’ai été servie. Ça t’excite ?— Regarde !— Oh mon dieu ! T’es énorme ! Il ne faut pas rester comme ça, Chéri.
On est entré dans la chambre et Élise a fermé la porte. J’ai retiré mon paréo qui ne cachait plus rien de mon excitation et nous sommes tombé sur le lit. Seulement Élise avait un peu mal partout, surtout au cul et aux cuisses et sa chatte était irritée. Elle était également trop crevée pour me masturber ou me sucer si bien qu’elle insista pour que je me donne du plaisir tout seul devant elle. Pour compenser et pour m’aider, elle me donna des détails croustillants, m’expliquant que la plus part des hommes avaient joui deux fois soit en elle, soit sur elle et que, au petit matin, son visage et ses cheveux étaient couverts de foutre et que sa chatte débordait. Comme je lui demandai comment elle le savait, elle m’expliqua que ce que filmait Jeffrey étaient retransmis en direct sur les écrans de la boite. Elle m’avoua aussi que, ne pouvant plus se retenir ni quitter l’estrade, elle avait fait pipi trois fois pendant qu’on la baisait.
— Mais c’est pas tout, ajouta-t-elle, la deuxième fois, les mecs qu’étaient autour de moi mon pissé dessus et l’un d’entre eux m’a forcé à prendre sa bite en bouche pendant qu’il se soulageait et j’ai dû le boire.— T’as bu la pisse d’un inconnu ?! Oh putain ! J’aurais peut-être dû venir alors !— De plusieurs, car il a vite été remplacé et imité, le salop. C’est à cause de ça, sans doute, que j’ai pissé une troisième fois plus tard.— Et t’as aimé ?— Non, pas vraiment, mais la situation était excitante ! Et puis, j’étais là pour servir tous ces hommes et payée pour ça, je te rappelle. Si t’espère pouvoir me faire boire ta pisse, t’oublies, mon Chéri. Pour ce genre de choses, je préfère encore donner que recevoir.— Aaaaah, aaah oui ! Tu m’excites, Élise, tu m’excites. Oooh, Putain, t’es qu’une putain ! Tu vas me pisser dessus ?— Si tu veux, mais d’abord j’veux te voir gicler ; Vas y, mon Loulou, branle-toi, gicle sur mes seins !— Aaaah, ah oui, salope, grosse pute ! T’as… t’as gagné combien pour ça ? Aaah…— Un peu plus de 600 $ avec le bar.— Aaaah ! Aaaah, ouii ! Ah Putain ! Aaaaah !— Mmm, mais c’est qu’il avait encore les couilles bien pleines, mon Loulou, je croyais que vous aviez baisés toute la journée avec Amber.— Ouh, oui, c’est vrai… J’n’en reviens pas moi même, je t’en ai mis partout. Tu permets ?— Qu’est-ce que tu vas faire ?— Lécher…— Ooh, cochon, c’est bien, lèche moi les seins comme ça. Ça me fait du bien, mmm, si seulement ma chatte n’était pas si irritée…— Tu veux que je te la lèche ? Ça te fera peut-être du bien…— Je ne sais pas, Chéri, ça me chauffe vraiment, tu sais. Essaye mais si ça ne va pas t’arrête, OK ?— Bien sûr, ma Chérie, je serai très doux…
Élise réagit bien à mon cunnilingus, je m’appliquai à saliver un maximum et ma langue parcourut avec douceur sa vulve rouge et gonflée. Sa chatte s’ouvrit, chaude et humide et son clitoris hypersensible se redressa sur mon passage. Élise attrapa mes cheveux pour me maintenir en position en me disant que je lui faisais du bien. Encouragé, je m’appliquai d’avantage et ma langue s’aventura dans sa grotte. Mon extrémité trouva facilement une petite zone fripée à proximité l’entrée qui réagit en se gonflant. Élise gémit à l’excitation de son point G tandis que le pouce de ma main gauche continuait de branler son clitoris. Comme elle prenait du plaisir, j’ai accéléré mes mouvements de langue dans son antre et ses doigts se crispèrent dans mes cheveux. Élise poussa un grand cri et éjacula sur mon visage et dans ma bouche. Un flot de cyprine qu’elle expulsa par jets violents m’inonda et inonda nos draps. Bien que je susse que ce n’était pas de l’urine, ça faisait le même effet. J’étais assez fier de ma prestation et de nouveau excité. Profitant de l’orgasme d’Élise, je me redressai et présentai ma bite bien raide à l’entrée de sa grosse chatte.
— Aaaah ! Fais doucement, Chéri, c’est bon, mmm, oui, fais moi l’amour doucement…— Ça va ? Tu n’as pas mal ?— Non, c’est bon, tu es merveilleux… Je n’sais pas ce que tu m’as fait avec ta langue… Aaaah… aaah oui, Chéri, comme ça, pas plus vite. Ooooh… oh c’est bon, mon Amour.— Ooh, oui, ma Chérie, c’est trop bon…
Je m’attendais à ce que sa chatte soit distendue et que je nage dedans, mais il n’en était rien. Comme à son habitude, sa taille était parfaitement adaptée à celle de ma bite. Je la pris doucement, comme elle me l’avait demandé et, c’est tout doucement que nous partageâmes un orgasme magnifique avant de nous endormir.
Le repos avait été bénéfique pour Élise même si elle se ressentait encore un peu de ses exploits sexuels. On lui avait donné une crème apaisante à étaler sur sa vulve et son anus et elle me sollicita pour le faire. Ce faisant, je caressai de manière appuyé ses deux orifices et le soin commença à lui procurer du plaisir. Comme lorsque je l’avais léchée la veille, sa chatte s’ouvrit et son anus aussi, tout son bassin semblait réclamer d’être pénétré. Je repris le tube de pommade, déposai sur sa vulve béante une noisette de crème et en déposai une autre sur l’index et le majeur de ma main gauche. Consciencieusement, et à deux mains, je repris le traitement simultané de ses deux orifices. Élise se mit à gémir et mes doigts s’enfoncèrent en elle. Je la massai de l’intérieur, deux doigts dans la chatte et deux autres dans le cul.
— Putain, Élise, tu t’ouvres au premier contact ; t’es vraiment faite pour baiser !— Oooh… oui, Chéri, je… je crois bien. Ooooh… c’est bon.— Oui, ma Chérie, je vais te soigner, tu vas voir, ça ira mieux après avec tes conduits bien crémeux.— Oooh, ça soulage…
Régulièrement, je retirais mes doigts pour reprendre un peu de pommade et bien graisser ses conduits. Mais pour finir et aller bien au fond des choses, c’est ma queue que j’enfonçai dans sa chatte, d’abord et dans son cul ensuite. Élise prit beaucoup de plaisir à ces soins particuliers et comme j’agis avec la plus extrême des douceurs, je mis très longtemps à jouir.
— Tu ne vas pas faire du cata ou de la plongée, ce matin ? Me demanda-t-elle langoureuse.— Si, du cata, normalement c’est prévu, à moins qu’Amber ait autre chose en tête. On doit se retrouver au breakfast. Tu m’accompagnes ?— Bien sûr, j’ai faim.— C’est bon signe ; hier soir tu n’as rien mangé. Mais ne sois pas trop gourmande ! Un amant à la fois aujourd’hui, d’accord ?— Bien docteur, je ferai attention.— Sinon, on pourrait aussi louer une voiture et faire un peu de tourisme, tous les quatre.— Moui, c’est une idée. Faudrait voir avec eux.
Jeffrey et Amber ne semblèrent guère plus motivés qu’Élise sur mon idée de location de voiture, surtout que j’avais envisagé que nous allions visiter Kingston sans penser que c’était à quatre heure de route de l’hôtel, que nous ne connaissions pas les routes et encore moins la ville. De plus, Amber me rappela que nous avions des épreuves de plongée pour nos brevets l’après-midi. Je me rangeai donc à leur avis un peu déçu de ne pas quitter d’avantage notre ressort.
— Viens, Honey, on va aller faire voler notre hobie cat, ça te changera les idées. Me dit Amber.— C’est ça, avec l’alizé qu’on a, ça ne devrait pas être trop dure, on vous retrouve à midi ? Demandai-je à Élise et Jeffrey.— On sera sur la plage, je pense, me répondit ma femme. Je vais être sage.
Nous rîmes tous de bon cœur comme nous ne la croyions pas capable de tenir parole. Amber et moi filâmes au centre nautique et quand nous mîmes notre petit catamaran à l’eau, nous vîmes que Jeffrey et Élise s’étaient installés au plus près. Lorsque nous revîmes après deux heures de voile, ils étaient à la même place.
— Alors ? Pas trop mouillés, me demanda Élise comme nous arrivions vers eux. Vous vous êtes pas mal retournés, non ?— Oui, on n’a pas fait très fort aujourd’hui et puis le vent est un peu plus soutenu qu’hier. Répondis-je en souriant.— On était surtout pas très attentifs, je dirais, fit Amber en riant. Jean-Luc n’arrêtait pas de m’embrasser et se coquin en profitait pour me baiser sur debout sur les flotteurs avant de redresser le bateau.— N’exagérons rien, je ne faisais que la rentrer un coup ou deux, je ne te baisais pas.— Oui, et c’est de ta faute si on chavirait à chaque fois… Hi hi— Oh la menteuse ! Qui c’est qui lâchait la barre pour prendre ma queue ? Ha ha. Non, c’est vrai, on a beaucoup chaviré mais c’était un jeu. Le plus dur a été de rentrer au centre avec la trique.— Mais là tu ne bandes plus, constata Élise, j’imagine que c’était bon…— Rapide, surtout, on est arrivé et on s’est précipités aux toilettes du centre. Mon pauvre Jean-Luc ne tenait plus et pour être franche moi non plus. On a dû battre tous les records de vitesse d’orgasme. Mais oui, c’était très bon aussi…— Et vous, vous n’avez donc vraiment pas bougés ?— Non, on est resté là tout le temps, répondit Élise. Après votre départ, on s’est baignés un peu, puis j’ai sucé Jeffrey qui bandait comme un cochon. Après, comme il n’y avait personne, il m’a enculée ici et un garçon de plage qui passait par là a pris sa suite en me baisant la chatte. Après on s’est nettoyé dans l’eau et vous êtes arrivés.— Tu as été très sage, alors. Et ça va ? T’as moins mal ?— C’est mieux, mais je crois que tu vas devoir me remettre de la crème. Tu pourrais montrer à Jeffrey comment tu m’a fais ce matin ?— Ici ?— Non, dans la chambre, c’est trop intime… mais on va manger d’abord.
Le restaurant naturiste de la plage était sans doute celui qui avait le meilleur rapport qualité prix et qui assurait aussi de ne pas y passer trop de temps si on n’en avait pas envie. Après un repas bon et léger, nous nous dirigeâmes tous les quatre vers notre chambre. Pour des questions pratiques, Élise fit un passage aux toilettes et à la douche pour offrir à mes doigts et à ceux de Jeffrey des orifices impeccables. J’expliquai alors comment je m’y étais pris le matin avant d’en faire la démonstration. Puis, je proposai à Jeffrey de mettre de la crème sur ses doigts pour me remplacer. Il accepta avec joie et pris ma place entre les jambes de ma femme. Amber qui était intriguée et, fascinée par le plaisir évident qu’Élise prenait, demanda si elle pourrait aussi essayer. Ma tendre épouse n’y voyant pas d’objection, Jeffrey céda sa place à sa femme qui mit de la crème sur ses doigts. Ses mains étant plus fines que les nôtres, elle réussit sans peine à introduire trois doigts dans chaque orifice. Elle tournait ses mains dans un sens ou dans l’autre et arrachait de doux gémissements à Élise. Avec Jeffrey, on bandait sérieusement et comme je lui expliquais la suite des opérations, je pris le pot de crème et décida de lui appliquer moi même sur la verge. J’en déposai un peu sur le gland et l’étalait pour en recouvrir la surface d’une couche épaisse puis j’en repris encore un peu pour bien enduire le reste de sa bite que je masturbai en douceur. Amber ressortit ses doigts et abandonna l’entrejambe de ma femme à son mari. Il suivit mes conseils et la prit très lentement par la chatte, d’abord puis par le cul en suite. Amber se rapprocha de moi et je la pris sur le lit à côté de ma femme. Je fis des efforts pour être le plus lent et le plus doux possibles afin que leurs sensations soient les plus semblables possibles. Les gémissements d’Amber ne mirent pas longtemps à répondre à ceux d’Élise et atteignîmes tous ensemble les hautes sphères du bonheur.
— Dis donc, tu crois que ça marcherai avec juste de la vaseline, me demanda Amber comme nous nous dirigions tous les deux vers le centre nautique. Y a pas de raison, non ?— C’est sûr, c’est un peu pareil, pourquoi ?— J’aimerai que tu me le fasses, j’ai envie que tu me fasses jouir vraiment comme ça. Comme t’as fait à Élise ce matin.— Promis, Darling, je te masserai tes trous.
Les examens de plongée furent plus faciles que je ne l’aurai cru et le soir Amber et moi avions notre PADI advanced open water. Nos instructeurs semblèrent fiers de notre petit groupe et ils annoncèrent qu’une soirée spéciale était organisée le soir même, par eux, pour fêter les brevets. Cette soirée regroupait trois autres instructeurs et un peu plus de 20 nouveaux plongeurs. Nous hésitâmes un moment avant de nous décider à nous y inscrire car il ne nous restait que trois jours pour nous aimer encore, Amber et moi. Elle était organisée au bar du centre nautique, habituellement fermé le soir et elle était suffisamment tôt pour permettre à qui le désirait d’aller en « after » dans l’une des boites du ressort. Elle commença juste avant le coucher du soleil, il y avait du bon rhum, de la bonne musique et une chaude ambiance. Et c’est là que nous eûmes la surprise de retrouver Ricardo et Lourdes…
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