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Des vacances inattendues

Chapitre 7

Orgie / Partouze
7 – Nouvelles expériences
Nous avons mangé, bu et dansé ensemble et quand nous quittâmes la soirée du club de plongée, Lourdes et Amber s’embrassaient à pleine bouche tandis que je faisais pareil avec Ricardo. Amber et moi les suivîmes jusqu’à leur chambre luxueuse dont le lit était encore plus large que celui de la chambre que nous avions choisie avec Élise. Il ne faisait aucun doute que l’on pouvait y tenir à quatre. Sur le chemin, nous avions parlé des petits soucis de Élise. J’ai expliqué comment je l’avais soignée le matin et comment j’avais enseigné ma méthode à Jeffrey. Lourdes parut tout de suite très intéressée et, à peine arrivée, elle me tendit un pot qui se trouvait sur sa table de nuit.
— Montre nous, c’est notre crème à fist.— Notre crème à fist. Ricardo aime bien quand je lui enfonce ma main dans le cul et moi je préfère que ce soit une copine qui me le fasse. T’as déjà fisté ?— Jamais. Répondis-je estomaqué.— Et on n’te la jamais fait, je parie.— Je… j’ai jamais rien pris de plus qu’un suppositoire avant notre balade à Dunn’s River. Tu ne te rappelles pas. Je l’ai dit dans le bus. Alors, une main, faut pas y penser.— T’inquiètes pas, Amor, on ne va pas te déchirer le cul et personne ne t’enfoncera une main dedans. Promis ! Mais on va t’apprendre à le faire si tu veux…— Je ne sais pas trop…— Ça fera plaisir à Ricardo, me répondit Lourdes.— Et à Élise, rajouta Amber. Avec tout ce qu’elle s’est pris dans la chatte et dans le cul dernièrement, va au moins falloir ça pour la faire grimper aux rideaux…— J’ai toujours procuré du plaisir à Élise ! Répondis-je froidement.— Pardon ! ce n’est pas ce que je voulais dire… et je suis allé trop loin de toute façon. Je n’aurais pas dû. Pardon, Honey. Je t’aime trop et il nous reste si peu de temps…— Ça va, ce n’est pas grave, Darling, tu es toute pardonnée. Ne pleures pas, dis-je en la serrant fort dans mes bras. Moi aussi je t’aime trop.— Vous voulez rejoindre votre chambre ? On comprendra, vous savez.— Oh, Lourdes, je suis désolée ; je… j’ai tout gâché.— Non, Darling, tu n’as rien gâché du tout. Tu as juste un peu mal, comme moi. Mais tu sais ce qu’on va faire ? Tu vas te détendre et on va leurs montrer. Je vais prendre leur crème pour te faire ce que je t’ai promis. Avec tout l’amour que j’ai je vais te masser, ici, devant Lourdes et Ricardo. Comme ça ils pourront faire comme nous et après je te ferai l’amour tout doucement, comme cet après midi. Tu verras ; ça va aller…— Oui, fais le ! Fais moi l’amour, Jean-Luc, mon Jean-Luc…
Je ne me fis évidemment pas prier et c’est avec beaucoup de tendresse et de douceur que je commençai à étaler de la crème dans les replis de la chatte et autour de l’anus d’Amber. J’en repris deux noisettes aux bouts de mes majeurs et indexes que je fis pénétrer, en même temps et avec la même lenteur dans le cul et la chatte de ma douce métisse. Ses yeux se fermèrent et un sourire éclaira son visage. Elle gémit de plaisir alors que je bougeai doucement mes doigts dans ses deux orifices avant de les ressortir pour rajouter encore un peu de crème. Ricardo et Lourdes ne bougeaient pas et restèrent tout le temps simples spectateurs. J’ai continuer à masser simultanément la chatte et le cul d’Amber pendant un bon quart d’heure et je pouvais sentir naitre en elle le désir muet d’une autre pénétration. Je retirai mes doigts et repris un peu de crème pour oindre ma bite tendue avant de la pénétrer. J’étais allongé sur elle mon bassin bougeait avec lenteur tandis qu’elle s’efforçait à contracter son vagin autour de ma queue. Nous nous embrassions, nous caressions mutuellement le visage et Amber avait les yeux mouillés de larmes de bonheur. Elle avait des orgasmes discrets, elle jouissait en douceur. Après un long moment, je quittai sa chatte pour diriger mon gland sur sa rosette bien graissée. La pénétration se fit lentement et sans interruption jusqu’à ce que mes couilles et mon pubis viennent buter autour de l’ouverture. Avec la même lenteur, j’entamai mes va-et-vient en lui écartant les jambes. À côté de nous, Ricardo et Lourdes se caressaient doucement ; ils avaient une folle envie de participer mais attendaient le moment où chacun pourrait approcher son partenaire désiré. Quand j’ai senti la sève monter dans ma hampe, je me suis arrêté de bouger, la bite bien enfoncée au fond de son rectum et nous avons joui intensément tous les deux avant de nous étreindre avec passion.
Ricardo et Lourdes nous laissèrent le temps de nous remettre de nos émotions et vinrent nous embrasser chastement en nous remerciant du spectacle intime que nous leur avions offert. Je me suis dégagé du corps d’Amber et Lourdes la prit dans ses bras. Ricardo m’attendait et nous nous sommes enlacés. Il m’a allongé dans le travers du lit, m’a écarté les jambes et après avoir mit un peu de crème sur ses doigts, il me massa l’anus en douceur. Ses mouvements était lents et doux aussi je me laissa emporter par un sentiment de plénitude. Lourdes s’était allongée près de moi, tête-bêche, pour voir ce que me faisait son mari. De fait je me retrouvai bien placé pour voir ce que lui faisait Amber. Ma douce compagne reproduisit ce que je lui avais fait et quand les deux doigts de Ricardo pénétrèrent mon anus, je vis ceux d’Amber pénétrer en même temps la chatte et le cul de Lourdes. J’étais si bien que ma queue, sans bander totalement, reprenait un peu de volume. Amber, à la différence de Ricardo, rajoutait un doigt à chaque nouvelle réintroduction. De toute évidence, elle savait s’y prendre car sa partenaire gémissait et exprimait son contentement. Je la vis reprendre de nouveau de la crème, s’en couvrir les mains et lorsqu’elle força lentement les deux trous de Lourdes de ses dix doigts tendus et serrés, je sentis la verge de Ricardo prendre enfin possession de mon cul. Je me saisis de mes couilles pour lui permettre de me pénétrer totalement et assistai, en même temps à un spectacle impressionnant. Amber avait les deux mains enfoncées jusqu’aux poignets dans le vagin et l’anus de Lourdes. De temps en temps, elle les ressortait, les graissait de nouveau légèrement et les renfonçait en douceur. À chaque fois, j’avais sous les yeux deux gouffres profonds, deux ouvertures béantes sur les entrailles de la belle argentine. Ça me paraissait irréel et follement excitant aussi, j’encourageai Ricardo à me prendre plus fort, à me baiser vraiment et je jouis en même temps que Lourdes alors qu’il me remplissait le cul de son sperme tiède.
La nuit passée dans la chambre de Lourdes et Ricardo ne fut pas des plus reposantes. Quand nous les quittâmes pour retrouver Élise et Jeffrey, nos amis argentins dormaient encore et nous aurions volontiers fait de même.
— Tiens, vous voilà ! Dit Élise en nous voyant rentrer dans le restaurant.— On se demandait où vous étiez, rajouta Jeffrey. On est passé par votre chambre et apparemment vous n’y avez même pas dormi.— Ça fera moins de travail pour les femmes de chambres, répondit Amber avant d’embrasser son mari.— On a eu une soirée et une nuit plutôt inattendue, dis-je à mon tour.
Élise et Jeffrey furent très curieux de connaître tous les détails de notre soirée et de notre nuit car eux étaient restés « très sages » selon le nouveau barème de ma femme. Ils étaient allés danser en boite et elle n’avait eu que deux amants, et séparément ! Ce qui, à ses yeux, représentait une forme de jeûne. Élise me demanda si je pouvais lui appliquer son traitement et Amber proposa à Jeffrey de nous laisser tranquille et de l’accompagner dans son lit. Compte tenu de notre état de fatigue, nous avions un programme très précis qui consistait à ne rien faire d’autre que de se détendre.

La matinée passa vite mais je réussis quand même à redormir un petit peu et à faire deux fois l’amour à ma femme. Quand nous retrouvâmes Jeffrey et Amber pour le déjeuner au bar de la plage, je me sentais mieux, Élise était radieuse et Amber aussi. Nous passâmes l’après-midi ensemble, sur la plage, à alterner bronzette et baignade. Seule Élise rajouta « baise » à ce programme.De toute évidence son visage commençait à être connu et sa disponibilité également, si bien que quelques hommes la branchèrent pour aller la baiser dans un coin tranquille. Elle en remercia certains mais céda à d’autres et à un garçon de plage qu’elle suça devant nous et sous l’œil numérique de la caméra de Jeffrey qui ne loupait, décidément, aucun de ses ébats adultérins.
— Ouf, ils sont pénibles tous ces mecs à vouloir toujours me sauter, dit-elle en revenant justement d’un petit moment de baise rapide. T’as vu ça ?— Ben oui, je vois, répondis-je amusé et excité par son comportement, heureusement que t’as dit non à quelques uns sinon je ne sais pas ce que j’aurais pensé de toi…— Si je veux profiter un peu de la plage et de toi, je n’ai pas trop le choix et heureusement que la crème est efficace aussi. Vous devez penser que je suis vraiment une pute, en fait.— Non, pas du tout, lui dit Amber, personnellement je ne te juge pas.— Tu as été très clair au départ, tu voulais te lâcher, il me semble, et tu as un gros appétit. La rassura Jeffrey.— Et bien oui ! T’es une pute, ma Chérie, mais ne change rien. Je t’aime toujours autant et peut-être plus encore ; je t’aime comme tu es.— Merci, mon amour, tu es gentil.— Comme c’est mignon, dit Amber en serrant Jeffrey. Et toi, tu m’aimes aussi ?— Oh que oui, dit Jeffrey, même si je sais ce que tu éprouves pour Jean-Luc…— Je te rassure, dis-je à Jeffrey, mes sentiments à son égards sont aussi forts ; j’aime Amber de tout mon cœur.— Je ne vois pas ce que ça a de rassurant… — Et bien disons qu’on s’aime suffisamment pour ne pas vouloir mettre nos couples en péril et pour respecter l’amour que l’un et l’autre on a pour vous. Expliqua Amber en venant m’embrasser.— Et bien, en tous cas, je comprends ce que ressent Jeffrey et j’espère que ça marchera pour le bébé…— À ce propos, Darling, j’en remettrai bien une couche de finition avant d’aller dîner, on ne sait jamais…— Tu as raison, Honey, il ne nous reste plus que deux jours… On vous retrouve aux restaurant dans une heure ?— C’est ça allez faire l’amour, dit ma femme sur un ton proche du dédain, et pour le restau, c’est OK ! À tout à l’heure.
Amber et moi quittâmes la plage d’un pas rapide pour nous diriger vers notre chambre. Arrivés sur place, nous nous jetâmes dans les bras l’un de l’autre, nos bouches s’emmêlèrent, nos mains parcoururent nos corps comme si nous nous découvrions pour la première fois. Sa poitrine résonnait des battements de son cœur, ses seins étaient gonflés et ses tétons raides. Ses jambes s’écartèrent lorsque mes doigts caressèrent son pubis et sa grotte humide était bouillante de désir. Nous nous caressâmes et nous masturbâmes quelques minutes sans cesser de nous embrasser et la sentant prête, je m’introduisis en elle. Mon sexe se sentait chez lui dans sa chatte accueillante, il en connaissait maintenant tous les détails et toutes les irrégularités de ses douces parois. Alors que nous nous aimions, nos mains s’agrippèrent et nos doigts se croisèrent. Mes mouvements étaient lents et puissants et ma verge gonflée remplissait son fourreau ; je ne l’avais jamais sentie aussi dure. Ses jambes enserrèrent mon bassin, notre plaisir atteignit des sommets et, subitement, nos deux corps couverts de sueur se crispèrent. Quand je repris conscience, Amber me serrait de toutes ses forces dans ses bras, son corps était encore animé de petits tremblements et son visage rayonnait de bonheur. Il me sembla que nous aurions pu rester ainsi pendant des siècles mais, malheureusement, il était temps de rejoindre les autres.

Durant tout le repas, Jeffrey fit preuve de beaucoup d’attention à l’égard d’Amber et, bien qu’il ne l’ait pas exprimé, nous comprenions tous qu’il avait peur qu’elle le quitte pour moi. Bien sûr, ses craintes n’étaient pas sans fondement puisque nous ne faisions aucun secret de nos sentiments réciproques. Cependant, si Élise et moi étions convaincus, maintenant, que rien ne pourrait nous séparer, Jeffrey, en ce qui concernait son couple, s’était mis à douter. Amber avoua qu’elle avait du mal à l’en persuader et reconnut qu’il était nécessaire de faire quelque chose. Nous abordâmes ce sujet alors que Jeffrey s’était absenté quelques minutes et nous décidâmes, pour son bien, de reformer nos couples pour la nuit. Élise tenta de le dissimuler, mais cette décision la soulageait aussi. Elle aussi avait besoin de me retrouver et de se rassurer sur mes sentiments à son égard. Amber s’était laissé convaincre par amour pour Jeffrey et moi, un peu à contre cœur, par amour pour elle.
— Qu’est ce qu’on fait ? Me demanda Élise lorsque nos amis nous laissèrent. Tu veux qu’on aille se coucher maintenant ?— Non, pas nécessairement, on peut se balader le long de la plage ou sortir un peu, faire la fête. Je ne sais pas, tu voudrais faire quoi, toi ?— Moi ? danser, boire un coup, rigoler et baiser ! Allons en boite, ça te dit ? On fera la balade après. La lune est pleine on pourrait se faire un bain de minuit après…— Je te ferai l’amour sur la plage au clair de lune ; ce sera super romantique, Dis-je en l’embrassant.— Et moi, je le ferai avant, devant toi, avec de beaux inconnus.— J’aimerai bien voir ça, ça a l’air très érotique comme programme. T’as plus mal ?— Non, mes irritations ont disparues mais tu me mettras quand même de la pommade avant de dormir, d’accord ? — Promis.
Fort heureusement, je pus trouver dans les affaires de Jeffrey de quoi m’habiller car l’entrée de la boite n’était pas naturiste. Il n’était pas, non plus, nécessaire d’être endimanché, aussi j’enfilai juste un caleçon, un pantalon et un t-shirt tandis qu’Élise se contenta d’une jupe courte et d’un débardeur. Elle n’avait ni culotte ni soutien-gorge et quand elle tournait sur elle même on pouvait découvrir toute intimité.Arrivés à la boite, il fallu quand même négocier mon entrée en tongs et Élise qui était bien connue, et pour cause, du personnel trouva les arguments qu’il fallait. Alors que je me rendis au bar pour commander deux cocktails, elle accompagna l’un des videurs dans les toilettes. Après avoir payé les consommations, je me mis à la recherche d’une table tranquille. Quand elle me retrouva, j’avais déjà bu la moitié de mon verre.
— Tu vois, tout s’arrange, dit-elle en s’asseyant et en prenant son verre. Santé, mon Chéri.— Désolé, je ne t’ai pas attendu.— Je vois ça… N’abuse pas du rhum quand même ! C’est très mauvais si tu veux pouvoir me sauter plus tard.— Promis, je serai sobre. Allons danser !
J’attrapai sa main et la guidai avec moi au milieu de la piste de danse sur laquelle on s’enlaça en remuant du bassin. Nous sommes restés ensembles le temps de trois ou quatre morceaux, guère plus, puis un homme s’approcha de nous pour demander à Élise de danser avec lui. Elle accepta son invitation et je restai à me dandiner tout seul à côté d’eux. Il ne mit pas longtemps avant de lui peloter les fesses et de l’embrasser sur la bouche. À la fin du troisième morceau, il lui glissa quelques mots à l’oreille auxquels elle répondit puis elle se tourna vers moi.
— Chéri, je te présente Wilfrid, c’est l’un de mes nombreux admirateurs et il voudrait que je l’accompagne dans le backroom. Tu viens ?— Ben, heu… bredouillai-je interdit.— Je croyais que tu voulais voir. Je lui ai dit que tu étais mon mari et il est d’accord pour que tu assistes.
Comprenant que ça faisait plaisir à Élise que je sois pour une fois à côté d’elle, je les suivis dans une chambre rudimentaire assez sombre dont le seul mobilier était une large banquette plastifiée. Ils s’allongèrent dessus sans se soucier de moi et rapidement Élise et lui se retrouvèrent nus et en 69. Ce qui me rassura c’est que ce type avait une bite tout à fait standard et qu’il n’avait pas l’air super doué. Je trouvai ses gestes un peu maladroits et il me sembla qu’il ne se foulait pas trop dans les préliminaires. Par contre, lorsque je vis son sexe pénétrer celui de ma femme, cela me fit le même effet que lorsque Peter lui avait fait l’amour en publique le premier jour.
Wilfrid était peut-être nul en préliminaires mais il savait se servir de sa queue car les gémissements d’Élise n’étaient pas feints et les traits de son visages étaient bien ceux de la jouissance. De plus, il était endurant et de voir sa bite ramoner la chatte de ma femme commença à avoir un effet positif sur la forme du mien. Je baissai d’un coup pantalon et caleçon et commençai à me masturber. Mes mouvements étaient plutôt lents, ne voulant pas jouir tout de suite, mais je dus, quand même, faire des efforts pour me retenir. Wilfrid, quand à lui, était proche et il se retira de la chatte d’Élise pour se finir à la main au dessus de sa poitrine. Je voulus prendre la place vacante entre les cuisses de ma femme mais elle m’arrêta dans mon élan.
— Non, Chéri, pas maintenant, me dit-elle en français. Tu m’as promis de me faire l’amour au clair de lune sur la plage alors conserve tes forces.— Je…— Chut, viens plutôt lécher son sperme, regarde ! Ce cochon m’en a mis plein les seins.
Bien que surpris par cette proposition, j’obéis à Élise et vint lécher toutes les trainées de sperme qui engluaient sa poitrine sous le regard moqueur de Wilfrid qui se rhabillait déjà.
Wilfrid se joignit à nous lorsque nous retournâmes à nos verres et je me posai la question de savoir si c’était par politesse ou par réelle amitié pour Élise. Il apparut que c’était plus par amitié et par curiosité puisqu’il connaissait Élise depuis près de dix jours et qu’il me voyait pour la première fois. Sans entrer dans les détails, elle lui expliqua que nous avions fait un échange de partenaires pour toute la durée de notre séjour mais que le temps nous avait paru long pour les uns comme pour les autres.Trois autres hommes célibataires et deux couples se joignirent à nous et à chaque fois Élise me présenta et à chaque fois nous fournîmes la même explication.
Comme la soirée avançait, l’ambiance sexe se fit plus présente sur et autour de la piste de danse, tant et si bien qu’Élise ne se gêna pas pour sucer, devant notre petit groupe l’homme qui s’était assis à sa gauche puis à se faire prendre à même la banquette la tête posée sur ma cuisse. Mon érection était terrible et une des deux femmes présentes commença à s’intéresser à moi. Elle me demanda si j’étais vraiment le mari d’Élise puis elle tenta une approche mais je me montrai hésitant. J’avais hâte que cela se termine pour enfin emmener ma femme faire l’amour au clair de lune.
— Laisse toi aller, me dit Élise en français, on ira voir la Lune après…— Tu ne seras pas jalouse ?— Si… Aaaah ! Ah oui… très ! Aaaah !
Je me laissa donc aller et défis ma braguette pour extirper mon membre coincé. Ma bite était bien raide et la femme, qui s’appelait Beverly, la prit en bouche. La position n’était pas très commode car j’avais encore la tête d’Élise sur ma cuisse gauche mais ma femme changea vite de position car elle voulait voir ce qu’il se passait. Elle se mit à quatre pattes et je pus me lever et retirer mes vêtements. Beverly, qui semblait obnubilée par ma queue, s’assit à ma place et je vins vers elle pour me faire sucer de nouveau. Elle s’empara de ma bite avec avidité sous les yeux d’Élise dont le visage était maintenant à côté du sien. À mon grand étonnement, Élise l’encouragea et la fille s’interrompit quelques instants pour la traiter de tricheuse avant de me ravaler goulument.
Après cette bonne pipe qui ne m’avait cependant pas conduit à l’orgasme, elle se mit à genoux sur le canapé et, cramponnée au dossier, elle me présenta sa croupe. Elle avait une chatte bien lisse et ses lèvres étaient brillantes de mouille. Je pris un peu de temps pour les caresser et les lécher avant de me redresser et de plonger ma bite raide dans son puits d’amour. Sa chatte était chaude et humide et visiblement elle était, elle même, très excitée. Ma queue, dans ses va-et-vient, explorait ce nouveau conduit et en recherchait les points faibles, les zones qui la feraient grimper aux rideaux. J’étais attentif à la moindre de ses réactions et rapidement elle se mit à hurler comme une sauvage. Son vocabulaire se limita vite à quelques mots comme : « oui », « encore » et « baise moi », le tout entrecoupé de « Aaaah ! ». Le type qui baisait Élise, après avoir joui sur son cul, céda sa place à un autre qui ne perdit pas de temps pour lui planter son pieu dans la chatte. Elle avait de nouveau changé de position et se tenait maintenant à côté de Beverly et dans la même position. Elles se regardaient jouir et s’embrassaient par intermittence. Beverly eut un nouvel orgasme et je décidai de changer de trou pour prendre mon plaisir dans son cul.
— Doucement, me dit-elle, je ne le fais pas souvent…— Si tu veux je reste dans ta chatte.— Non, viens dans mon cul, j’ai envie maintenant.
J’appuyai avec fermeté sur le centre de sa rondelle brune et plissée, elle eut un mouvement de crispation et je relâchai ma pression le temps qu’elle se détende. J’appuyai de nouveau et mon gland fit le passage. Après lui avoir demandé si ça allait et avoir obtenu une réponse positive, je repris ma progression dans son conduit anal. Ses craintes évanouies, celui-ci s’ouvrit comme une rose et je pus lui remplir entièrement son petit cul bien serré. Elle eut une expression de surprise quand elle sentit mes couilles effleurer sa chatte et jouit à nouveau quand elle me sentit bouger. Je pensais que je n’en avais plus pour très longtemps mais ce ne fut pas le cas. C’était comme si mon corps refusait de jouir avant le dernier orgasme d’Élise. Quand je sentis que le partenaire de ma femme atteignait le point de non retours, je me raidis et libérais enfin ma semence.
— Putain ! Élisa ! T’es une sale menteuse, explosa Beverly. Mais pire que ça ; t’es une égoïste. T’es une égoïste, une salope et une menteuse, voilà !— Oh, pardon, Beverly, ce n’est pas si grave et puis c’est arrangé puisque tu viens de baiser avec mon mari.— Moi ce que je comprends, c’est que tu le cachais ; pourquoi tu veux tous les mecs alors que t’as un coup pareil dans ton lit ?— Sans vouloir paraître impoli, demandai-je inquiet de les voir se disputer, pourriez vous m’expliquer la raison de cette colère.— Oh, je ne suis pas vraiment en colère, me dit Beverly avec un large sourire, c’est juste que je me suis fait avoir quand Daryl et moi on a rencontré Élisa. Elle était avec Jeffrey et elle voulait absolument se taper mon mec. Il n’y a pas de problème pour ça, on est échangistes, mais je lui ai dit j’était d’accord à l’unique condition que je puisse baiser avec le sien.— Et j’ai répondu qu’il tenait la caméra mais qu’elle l’aurait après, avoua Élise, alors elle a cru que Jeffrey était mon mari. Elle m’a laissé coucher avec Daryl et elle a couché avec Jeffrey un peu plus tard dans la soirée.— C’est pour ça que je n’étais pas très contente quand elle t’a présenté comme étant son vrai mari… Et j’ai compris qu’elle n’avait pas prévu que tu baises avec moi, ou n’importe quelle femme d’ailleurs, ce soir mais elle n’avait pas le choix.— Et donc, maintenant ? Demandai-je.— Maintenant ? Me répondit Élise. Maintenant, je suis fière de toi. Tu l’as bien faite jouir ; de toute évidence tu t’es surpassé et tu as, je pense, réussi à la dédommager de ma petite farce.— C’est vrai, avoua Beverly, on n’est pas souvent baisée de cette manière et j’avoue que ça fait du bien par où ça passe. Tu me le prêteras encore ?— Je ne sais pas, pas sûre…
Nous prîmes un dernier verre en compagnie de Beverly, de Daryl et de Wilfrid puis nous les abandonnâmes pour aller à la plage.Il devait être deux heures du matin et la Lune luisait à mi-hauteur dans le ciel, irisant d’argent la crête des vagues. Nous avons commencé par nous baigner, avant de nous allonger sur le sable, tout au bord de l’eau et de nous y aimer longuement.
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