Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 21 J'aime
  • 2 Commentaires

Des vacances voluptueuses

Chapitre 5

Inceste
Aux heures closes de la nuit, Jessica fut tirée de son sommeil par un bruit sourd qui se propageait dans la pénombre de sa chambre. Vêtue simplement du string et du soutien-gorge qu’elle avait l’habitude de porter pour dormir, elle sortir dans le couloir. Là, elle distingua des sanglots qui provenaient de la chambre de sa mère. Intriguée, elle s’approcha pas à pas et, par l’entrebâillement de la porte, elle aperçut sa mère qui pleurait, recroquevillée sur son lit. Celle-ci, percevant un grincement dans le couloir, retint ses pleurs et invita l’espion à entrer. Jessica, prise de panique mais se savant piégée, n’eut d’autre choix que de pousser la porte et de rejoindre sa mère pour s’assoir sur son lit.
Emma portait une nuisette de soie beige qui laissait largement entrevoir sa poitrine et tombait quelque centimètre au-dessus du genou. Afin d’éviter qu’un silence gênant ne s’installe, elle ouvrit la discussion :
« Ce n’est rien, ma chérie, juste quelques problèmes, tu devrais aller te recoucher. »
Jessica, curieuse et inquiète en même, voulut connaître la raison qui arrachait des larmes à sa mère et insista un peu, si bien qu’elle parvint à apprendre que cela concernait Patrick. De plus en plus intriguée par l’ancien ami de sa mère, elle devint très indiscrète et demanda à sa mère s’ils étaient amants. Surprise par l’audace de sa fille, Emma bégaya avant de retenir quelques larmes. Comprenant décidément qu’il s’agissait d’un problème grave, Jessica s’approcha de sa mère et, d’un instinct presque maternel, posa la tête d’Emma sur son épaule. Emue, celle-ci poursuivit son explication :
« Tu sais, je connais Patrick depuis très longtemps, cela fait des années qu’il est mon amant, en fait. C’est même lui qui m’a proposé de venir ici avec vous durant ces vacances. C’était l’occasion de passer du bon temps et de le voir puisqu’il habite dans la région. Je n’avais pas compris que ce « cadeau » avait un prix. Si les premiers jours furent merveilleux, plein d’amour et de sensualité, il… il m’a aujourd’hui offert à deux de ces amis et, pour me forcer à accepter, m’a fait le pire chantage qui soit… »
Emma, fatiguée de la teneur et de la longueur de cette tirade, éclata en sanglot avant de poursuivre.
« S’ils avaient tous été de parfaits gentlemen, peut-être aurais-je pu supporter, voire même apprécier, mais ils ont fait preuve d’une telle rudesse à l’égard de mon corps… »
Jessica ne parvenait pas à saisir tant d’informations en même temps. Non seulement sa mère lui apprenait qu’elle avait un amant depuis plusieurs années, mais surtout elle lui expliquait que celui-ci l’avait forcée à faire l’amour avec deux de ses amis. Ne sachant que répondre pour apaiser le chagrin de sa mère, elle saisit son visage entre ses mains et lui chuchota d’abord quelques mots affectueux. Ensuite elle taxa Patrick de nombre d’insultes et menaça même de tout faire pour l’empêcher de continuer, mais Emma la coupa pour lui demander de ne surtout pas se mêler de cette affaire car elle était trop complexe et il lui revenait de remettre les choses en ordre. Après maintes protestations, la jeune fille compris que la décision de sa mère était irrévocable et elle s’attela simplement à la consoler.
Alors qu’Emma commençait à sécher ses larmes, Jessica l’enlaça tendrement. Bientôt, toutes deux se turent, si bien que seule leur respiration semblait encore circuler dans la pièce. Elles s’étreignirent de longues minutes, chacune croyant percevoir les battements du cœur de l’autre. Lentement, leurs corps se séparèrent dans un déchirement inaudible et désormais, Jessica se retrouva face contre face avec sa mère. Ses yeux fixèrent les pupilles de cette femme dont, tout à coup, elle perçut la majesté.
Les lèvres de Jessica, comme hypnotisées, se dirigèrent vers la bouche de sa mère. Surprise, Emma peinait à réagir. D’un côté, l’idée de pratiquer l’inceste la dégoutait, et il lui semblait que toute la morale du monde l’exhortait à refuser n’en serait-ce que la pensée; de l’autre, cette langue si douce et si chaude gonflait son cœur d’une divine euphorie et attisait en elle un feu ardent qui consumait ses dernières bribes de raison. Elle parvint pourtant à la repousser mollement, dans un premier temps, mais l’insistance de sa fille était si forte et sa langue si douce qu’elle se convint que ce baiser ne pouvait que lui être salutaire et qu’à coup sûr il ne constituait pas vraiment le péché incestueux. Elle entrouvrit alors doucement sa bouche afin d’accueillir Jessica. L’adolescente, sentant la langue de sa mère se déraidir à chaque instant, poursuivit avec des baisers plus langoureux encore.
La jeune fille faisait vagabonder ses mains le long des bras de sa mère jusqu’aux bretelles de la nuisette maternelle. Lentement, elle les fit glisser et dévoila une poitrine aux seins énormes dont seul le poids des années pouvait réduire la splendeur et la fermeté. La jeune fille fit alors rouler les seins de sa mère sous ses mains. A la vue de sa poitrine découverte, Emma voulut repousser les mains de Jessica une nouvelle fois, mais toute force sembla quitter son corps lorsque la jeune fille lui pinça tendrement les tétons.
Devant l’absence de désapprobation, Jessica se fit plus entreprenante et sa langue quitta la bouche de sa mère pour qu’elle se substituât à ses doigts et jouât avec ses pointes roses. Elle s’appliquait à en mordiller un le plus délicatement qu’elle le pouvait tandis qu’elle continuait à pincer l’autre de ses mains désormais libres. Sous ses soins de sa fille, Emma ne put retenir quelques plaintes de plaisir.
Emma, enivrée désormais de désir, rompit les caresses afin de se lever et de laisser glisser sa nuisette, ne portant plus qu’une fine culotte bleu marine. Chaque courbe participait à l’éclat sage et mystérieux que son corps renvoyait tandis que quelques grains de beauté ornaient magnifiquement le bas de son sein gauche. Devant cette chair, sublime, que les années semblaient avoir presque totalement épargné, un étrange sentiment d’exaltation et de peur traversait Jessica, comme si d’un coup, toutes ces années de pratiques sexuelles s’évaporaient; elle se retrouvait, à nouveau vierge, sur le point de franchir, pour la première fois, les portes du temps avec cette femme qui lui avait donné la vie.

Emma rejoint Jessica sur le lit et dégrafa le soutien-gorge de l’adolescente afin de lui masser les seins à son tour. Elle découvrit presqu’avec stupéfaction que sa fille n’avait rien à lui envier, car si ses seins étaient certes plus petits, leur fermeté les rendait bien plus agréables au toucher. A son tour, Emma fit jouer ses doigts sur les obus chauds de l’appétit ardent de la jeune fille. Ses doigts décrivaient des spirales qui tournaient autour de ses auréoles pour gagner lentement ses tétons. Jessica se joint à sa mère dans cet exercice et bientôt, toutes deux remplirent leur paume de la chair délicate de leurs seins.
Jessica mit fin à ses caresses pour encadrer de ses mains le visage de sa mère et lui procurer des baisers de plus en plus ardents. Elle renversa ensuite son amante sur le lit pour s’asseoir à califourchon au niveau de son sexe et se pencha vers elle afin de réunir à nouveau leur bouche et poser ses seins contre les siens. Le sang de Jessica battait vigoureusement dans ses veines et ses joues s’empourpraient à mesure qu’elle découvrait ce corps duquel elle était née.
Bientôt, Emma, grisée davantage encore par le désir physique, fit rouler Jessica sur le dos afin d’inverser la position et se retrouver à son tour à califourchon sur sa elle. Elle ne voyait plus dans son amante la fille qu’elle avait élevée, mais une femme dont le corps exaltait le désir et dont elle voulait exaucer le vœu.
Emma, que l’entrejambe commençait à démanger vigoureusement, enleva sa culotte et profita que sa fille était allongée sur le dos pour présenter sa vulve à son visage. Jessica fut ravie lorsqu’elle l’aperçut fraichement rasé et ne tarda pas à y coller sa bouche et à la gratifier de délicats coups de langue. A chaque choc, une secousse la traversait de part en part, si bien qu’elle ne put longtemps retenir de légers gémissements.
Alors qu’Emma voulut gratifier Jessica des plaisirs que celle-ci lui avait procurés, la jeune fille profita que sa langue fût libre pour l’interrompre.
« J’ai des godes dans ma table de nuit, expliqua-t-elle. Je vais les chercher. Tu verras, on sera mieux, conclut-elle en souriant. »
Emma acquiesça et Jessica se dirigea vers sa chambre sur la pointe des pieds. Alors que, loin du corps de sa fille, son désir s’apaisait, les remords reprirent l’assaut dans une ultime tentative de faire céder l’envie. Une foule d’idées moralisantes lui vinrent à l’esprit, embrouillées néanmoins par la fièvre de son corps qui l’encourageait à poursuivre dans l’inceste. Très vite, elle douta et ne parvint pas à choisir le camp de l’esprit ou celui de la chair.
Jessica revint rapidement, tenant à la main deux vibromasseurs, un mauve et un rose qu’elle secouait en riant. Alors qu’elle passait la mauve à sa mère, celle-ci l’interrompit.
« Ecoute, Jessica, on ne peut pas continuer. Tu es ma fille et il y a des frontières à ne pas franchir, tu ne penses pas ? L’inceste… non, nous ne pouvons poursuivre, tu comprends ? La morale, cette foutue morale, on ne peut la transgresser, elle est plus forte… Et puis, que peux-tu bien aimer chez une vieille femme telle que moi ?-Mais maman, répondit la jeune fille en enlaçant sa mère, tout me plait chez toi. J’aime tes cheveux qui ruissèlent jusque dans ton dos, j’aime ton sourire, si candide lorsqu’il se dévoile timidement, et surtout, j’aime tes yeux, davantage encore quand ils cherchent à dissimuler ton envie. Je t’aime, maman, je t’aime et je te désire. Je désire tes seins, superbes, qui pointent vers moi comme un appel au plaisir, je désire tes hanches qui roulent voluptueusement, et je désire ta chatte, humide encore de la salive de mon envie. Je te désire, maman, et je veux que nous baisions. Qu’importe la morale ? Ne faisons pas l’amour, il ne saurait exister entre une fille et sa mère, baisons comme des animaux en chaleur ! Baisons car j’ai envie de toi, je veux d’abord lubrifier à nouveau ton vagin de ma salive, je veux introduire ensuite mes doigts en toi et enfoncer ce gode au plus profond de ta chatte, je veux te voir jouir, enfin, sous la dextérité de mes doigts. Baisons encore et toujours jusqu’à... »
Jessica ne put terminer sa tirade puisque sa mère, que ces mots avaient excités au plus haut point, venait d’introduire sa langue dans la bouche de la jeune fille qui savait désormais sa partenaire toute acquise. Mieux, celle-ci exaltait une ardeur de plus en plus vigoureuse et, la première, s’empara d’un des vibromasseurs laissés sur le lit, le mauve, et proposa à sa fille de s’allonger sur le dos et d’écarter les jambes.
Emma, d’abord, enduit doucement de salive les lèvres vaginales de l’adolescente, humides pourtant déjà par sa mouille. Elle lubrifia ensuite ses doigts et en fit pénétrer deux dans l’intimité de sa fille. Bien qu’elle se fût maintes fois masturber, elle était ignorante de ce qui relève du plaisir d’une autre femme, et elle s’y prenait mal. Pourtant, si Jessica ne ressentait pas d’intenses sensations sous ces doigts inexpérimentés, elle simulait de légers murmures de plaisir, dans le but de mettre sa mère à l’aise.
Lorsqu’elle eut terminé de doigter sa fille, Emma mit le vibromasseur en bouche. Il était large, à peu près quatre ou cinq centimètres de diamètre, légèrement courbé, long d’une vingtaine de centimètres et ressemblait en tout point à un sexe masculin, excepté par les sillons qui le recouvraient. Emma le suça donc avidement et, lorsqu’il fut suffisamment lubrifié, l’introduit à l’entrée du vagin de Jessica. La jeune fille, toujours dans l’exagération, poussa un long râle qu’elle étouffa seulement de manière à ne pas réveiller son frère. Rassurée par sa réaction, sa mère enfonça le gode et exécuta de lents mouvements de pénétration.
Quoique le vibromasseur rassasiait davantage la libido de la jeune fille que les doigts d’Emma, elle sentait toujours l’inexpérience de sa mère à travers son inhabilité dans le maniement de l’engin. Cependant, pour l’instant, la simple vue de la femme qui l’avait élevée, et qui était allongée, en ce moment, dans un lit et introduisait dans le vagin de sa propre fille un vibromasseur lui appartenant, cette simple vue suffisait à lui donner tant de plaisir qu’elle en voudrait.
Impatiente de pouvoir procurer à sa mère un orgasme dont elle se souviendrait, Jessica lui fit signe de s’arrêter et l’invita à écarter les cuisses à son tour. Elle posa ses mains à l’intérieur de celles-ci afin de les écarter délicatement puis ouvrit sa vulve de ses index et introduit sa langue dans le vagin maternelle afin d’y chercher son bouton d’amour. Alors que son cunnilingus commençait à peine pour sa mère, Jessica put voir son visage déjà défigurer par le plaisir que le procurait ses doigts. Il semblait à Emma que jamais, dans ses soirs de solitude, ses doigts purent déjà égaler la dextérité de sa fille dans le don du plaisir.
En vérité, Jessica n’en était pas à son coup d’essai. Adolescente, déjà, elle avait convaincu sa meilleure amie, Marie, de s’adonner avec elle aux plaisirs entre copines. Cette relation, au début disparate, séduit rapidement des deux jeunes filles qui ne jouir plus que par la main de l’autre. Les mois qui suivirent furent magiques, et, dès qu’elles en avaient l’occasion, Jessica et sa meilleure amie se retrouvaient pour se masturber l’une l’autre, si bien que lorsqu’elle apprit que Marie devait déménager avec sa mère, Jessica tomba en larme. Plusieurs semaines durant, elle ne parvint tout simplement plus à se donner plaisir en solitaire et il lui fallut attendre qu’elle découvre l’amour avec son copain de l’époque pour que sa libido s’éveillât de son long sommeil et ne s’assoupît plus jamais. De cette aventure elle avait gardé le goût pour les relations avec les femmes ainsi qu’une dextérité remarquable pour tout ce qui concernait le sexe féminin. Bien des années plus tard, lors de vacances qu’elle passait avec deux amies pourtant en couple, elle convertit celles-ci à l’amour lesbien, à tel point que les trois jeunes filles ne quittèrent presque pas leur chambre d’hôtel de leur séjour, réservant leur temps pour des jeux érotiques de la connaissance de Jessica.
Ainsi, sous les doigts d’une telle experte du plaisir au féminin, Emma se tordait de plaisir et devait placer un coussin devant sa bouche afin d’étouffer ses gémissements et ne pas réveiller Christopher qui dormait trois chambres plus loin. Alors que Jessica ne s’était pas même servit du vibromasseur, sa mère ne put retenir son premier orgasme. Elle resta plusieurs secondes, allongée dans le vague, sans aucun mouvement, savourant seulement cette sensation de plaisir qu’il lui semblait n’avoir plus éprouvé si divinement depuis des siècles.
Bien que déçue que sa mère vienne si vite, Jessica était heureuse d’avoir pu faire la faire ainsi jouir. Alors qu’elle semblait complètement vidée de ses forces, Emma se releva et susurra à Jessica qu’elle était en pleine forme et qu’il s’agissait de son tour de rejoindre les cieux empourprés d’Eros. Soucieuse du plaisir de sa mère et toujours brûlante de désir pour son sexe qui perlait encore de mouille, la jeune fille proposa à sa partenaire la position du 69, qui permettrait ainsi aux deux femmes d’amener chacune leur amante au septième ciel. Le souvenir encore chaud des caresses de sa fille en tête, Emma approuva vivement l’idée de Jessica.
Ainsi, celle-là en bas, celle-ci en haut redécouvrirent l’objet de leur désir. Emma, toujours hésitante, peinait encore à satisfaire sa fille, quoiqu’elle avait déjà fait quelques progrès. Tandis que sa main droite écartait la vulve de la jeune fille, sa main gauche poursuivait sa quête du clitoris à travers le sexe de Jessica. Ses doigts se faisaient plus habiles et il sembla à Jessica qu’elle tatillonnait vers son point sensible à tel point que, pour la première fois, lui vint un gémissement qui n’était pas simulé. Emma, alors que son excitation était revenue à son faîte, colla sa bouche au vagin de sa fille et le gratifia de coups de langue à la fois rapides et puissants, bien qu’ils ne fussent pas très souples. Jessica avait l’impression que sa mère lui dévorait littéralement la chatte tant sa langue était énergique, et ce n’était pas pour lui déplaire. A chacune de ses léchouilles, Emma mêlait sa salive avec la mouille de sa fille, si bien que bientôt, tant le vagin de Jessica que la bouche de sa mère furent emplis d’un mélange de ces deux liquides.
En haut, Jessica prenait désormais son temps pour doigter sa mère, soucieuse de faire durer un peu plus le plaisir. Pourtant, elle entendait à ses cris, bien qu’étouffés par le sexe de sa fille contre lequel sa bouche était encore collée, qu’Emma prenait beaucoup de plaisir à ce traitement. Grisée par son sexe trempé et le plaisir croissant que sa mère lui procurait, Jessica saisit le vibromasseur encore inutilisé qui se tenait devant elle et l’inséra dans le vagin de sa partenaire. Celle-ci eut alors un léger spasme qui inaugurait la série de tremblement qui traversaient le corps d’Emma à chaque fois que Jessica la pénétrait avec le gode.
Alors que toutes deux étaient brûlante de désir, la jeune fille proposa à sa mère de se faire jouir en même temps. Emma, sentant qu’elle était de toute façon aux portes du deuxième orgasme, accepta la proposition et se mit au travail. Ses doigts désormais furent dès lors encore plus rapides et plus hardis, si tant est que ce fût possible. Si elle n’avait pas la maîtrise de sa fille, l’énergie et la bonne volonté dont elle faisait preuve dans ses mouvements parvinrent à arracher de véritables cris de plaisirs à Jessica. De son côté, celle-ci n’avait que légèrement augmenté la cadence de ses doigts, mais elle savait qu’un seule geste suffirait à faire jouir sa mère, geste qu’elle ne fit qu’à l’instant où elle sentit les doigts de sa mère déterminés à en finir.
Les deux femmes, tandis que leur corps se contractèrent dans un spasme violent, hurlèrent de longues secondes leur plaisir, la bouche placée encore contre un coussin car il était certain que sans eux, vu la force de leurs cris, Christopher eût été réveillé. Des deux, c’est Emma qui gémit le plus fort et le plus longtemps, prise d’un orgasme si puissant, davantage encore que le précédent, qu’elle dut même retenir son cri, de peur que le coussin ne suffise pas. A l’inverse, le hurlement de Jessica, s’il fut bestial, avait été bien entendu exagéré. En effet, sa mère n’était pas parvenu à procurer un orgasme à la jeune fille, mais cela lui paraissait bien secondaire, en fin de compte, puisque le simple fait d’avoir pu masturber sa mère pendant que celle-ci lui rendait ce plaisir lui suffisait amplement. En outre, au vu de des performances de sa partenaire, elle était certaine que sa mère, avec seulement un peu de pratique, ferait une formidable amante.
Emma, exsangue de toute énergie, roula sur le lit pour se coucher. Jessica fit de même, s’allongea à côté d’elle et, selon la demande de sa mère, la prit dans ses bras. Alors qu’elle dodelinait déjà de la tête, Emma caressa les jambes de sa fille.
« Ma chérie, nous n’aurions pas dû… murmura-t-elle avant de reprendre son souffle, mais tu m’as fait tellement de bien, tes doigts si habiles m’ont élevé par-delà les cieux. Merci, ma chérie, je t’aime, je t’aime plus que tout au monde et cet orgasme que tu m’as procuré, c’était la plus belle chose que tu pouvais m’offrir. Je t’aime, oh, je t’aime tant mon ange, mais nous ne devrions plus recommencer…-Maman, répondit Jessica, moi aussi je t’aime, tu es si belle, la plus belle femme que j’ai pu voir, et si douce. Je t’aime aussi, maman, je t’aime tellement, plus que quiconque. Et pour cela, il faut que nous recommencions. Comment pourrais-je vivre à présent, si plus jamais je ne jouis de tes caresses sur mon corps et de tes doigts en moi ? »
Et comme elle finissait de parler, Jessica posa ses lèvres contre celles de sa mère pour entamer un long et langoureux baiser qu’Emma n’hésita pas à rendre.
« Maman, poursuivit la jeune fille lorsque le baiser fut terminé, je ne veux pas d’une vie dans laquelle je ne pourrais jouir de tes baisers. Tu m’as dit que cet orgasme t’avait transporté : je veux t’en donner mille autres, je veux que chaque fois que nous baisions, tu grimpes un échelon plus haut sur l’échelle du plaisir. Je t’aime, maman, ne nous refuse pas ce plaisir divin au nom de quelque principe moral »
Emma se taisait, buvant avec euphorie les paroles de sa fille, mais sa décision était déjà prise depuis le début.
« Ma chérie, merci, merci tellement pour tes paroles si douces. Mais rassure-toi, à nouveau nous ferons l’amour. Et quand bien même ma raison me pousserait à te résister, mon corps, bien plus vigoureux, me pousserait inéluctablement dans tes bras. Moi aussi, mon amour, je veux jouir encore de tes caresses et je veux sentir à nouveau tes seins au creux de mes paumes. Sois rassurée, je te suis toute acquise, et je me languis déjà de la prochaine fois que nous ferons l’amour, car pour l’instant, le sommeil me gagne et je ne peux pas lui résister plus qu’à toi, conclut-elle en fermant les paupières. A demain, ma chérie, et ferme bien la porte en sortant, car je n’ai la force de me rhabiller ni l’envie de me couvrir. Bonne nuit, mon cœur, je t’aime fort, tu sais... »
Sur ce flot de mièvrerie, Emma s’assoupit et Jessica tenta tant bien que mal de libérer son bras sur lequel sa mère s’était endormie. Debout, la jeune fille posa un dernier baiser sur les lèvres de sa mère, saisit ses sous-vêtements sans les remettre, ferma la lampe de chevet et quitta la chambre sur la pointe des pieds.
Diffuse en direct !
Regarder son live