A peine la porte fut-elle fermée sur le passage des amants qu’Emilie s’accroupit afin de branler le sexe de Christopher, qui devint rapidement plus droit et rigide qu’il ne l’avait encore été dans la soirée. La jeune fille cracha dans sa paume afin de recouvrir d’un fluide visqueux et transparent le pénis qu’elle masturbait. Devant la réaction favorable de son amant, elle poursuivit avec plus de salive encore, si bien que désormais, le trop plein tombait sur le parquet. Christopher pensa qu’Emilie le gratifiait de la meilleure masturbation qu’il n’avait jamais pu vivre et lui demanda de ralentir de rythme. La jeune fille calma alors son mouvement et entreprit de le sucer plus modérément qu’elle ne le branlait, non sans cesser de sécréter une quantité excessive de bave. Il semblait à Christopher que son pénis progressait à travers une mer chaude et épaisse. Si la fellation d’Emilie paraissait sauvage et désordonnée, elle manifestait un grand savoir-faire dans la pratique et chacun de ses mouvements était parfaitement maitrisé. La jeune fille salivait désormais autant qu’elle le pouvait, et sa bave débordait largement de sa bouche pour déchoir parmi ses cheveux, sur son corps ou contre le sol. Elle gobait à présent le pénis de Christopher de sorte qu’il finisse par frapper contre sa glotte et ponctuait chacune de ces gorges profondes de puissants bruits de sussions qui plurent beaucoup au jeune homme. Celui-ci ferma les yeux et s’abandonna complètement à la divine sensation que lui procurait sa maîtresse. La jeune fille le remarqua et, craignant qu’il ne finisse pas s’endormir, lui proposa de passer directement à la pénétration. Elle s’allongea alors sur le lit et releva sa croupe pour la présenter au jeune homme. Christopher s’approcha et, désireux de gouter le jus de sa maîtresse, écarta sa vulve et enfoui sa langue à l’intérieur de son vagin. Quoique la cyprine d’Emilie lui parût délicieuse, il ne prolongea pas son cunnilingus et, impatient, présenta son pénis à l’entrée du sexe da la jeune fille. Il avait attendu cet instant depuis le début des vacances et il hésitait à présent à briser ce moment magique; néanmoins, il dut s’y résoudre lorsqu’Emilie le supplia de ne pas la faire languir plus longtemps. Il pénétra alors doucement dans l’intimité de la jeune fille. Il ignorait s’il s’agissait de l’alcool ou de quelque autre bizarre sentiment, mais il fut saisit d’un plaisir si fort qu’il crut perdre un instant tout contrôle sur son corps. De l’autre côté du mur, dans le salon, Jessica et Théo poursuivaient leurs ébats. La jeune fille, allongée sur le tapis, écartait largement les cuisses tandis que son amant la gratifiait d’un lent et long cunnilingus. Elle pouvait deviner, à la simple souplesse de sa langue, que Théo avait déjà de l’expérience dans la matière et qu’elle était loin d’être la première à laquelle il procurait ce plaisir. Le jeune homme s’insinuait lestement au cœur de l’intimité de sa maîtresse et faisait rouler sa langue au travers afin de chercher son clitoris. Lorsqu’il le trouva, la jeune fille sentit son bouton d’amour doucement stimulé et ne put retenir de longs murmures étranglés. Elle referma ensuite ses cuisses et s’approcha de Théo pour l’embrasser. Dans la bouche de son amant, elle pouvait savourer la cyprine qui s’était mêlée à sa salive. Elle suça ensuite à nouveau le jeune homme dont le sexe n’était plus lubrifié. Si elle s’appliquait à l’enduire le mieux qu’elle le pouvait, elle abrégea néanmoins sa fellation lorsqu’elle sentit le besoin impérieux de reprendre la pénétration que les deux adolescents avaient interrompu un peu plus tôt. Jessica s’allongea donc sur le canapé posé contre le mur qui séparait le salon de la chambre d’amis, et écarta les cuisses de manière à ce que Théo la prenne en position du missionnaire. Le jeune homme s’introduisit lentement en elle et commença par de lents mouvements auxquels Jessica répondait par de légers gémissements. Au contraire, de l’autre côté du mur, Emilie criait si fort que ses plaintes parvenaient toujours bruyantes aux deux adolescents. « Elle n’a pas menti… balbutia Jessica en souriant, la voix entrecoupée de râles, quand elle a dit qu’elle hurlait.-Tu veux… tu veux qu’on aille dans ma chambre ? répondit Théo qui avait lui aussi le souffle court. On y sera… plus tranquille.-Non, surtout pas. Elle gémit… très sensuellement. » Alors que des gémissements encore plus longs et langoureux leur parvinrent, les deux amants cessèrent un moment de parler. « Ça t’excite ? poursuivit Théo en augmentant la cadence de ses coups de reins à mesure que les hurlements d’Emilie se faisaient plus hardis, j’ignorais… j’ignorais que tu aimais les femmes.-Disons… dit-elle avec encore plus de difficulté, que je ne rechigne à … aucun type plaisir.-Tu veux… que je les invite à… nous rejoindre ? Je suis sûr qu’Emilie… en serait ravie.-N… non, répondit-elle alors que ses yeux semblaient dire le contraire. C’est mon frère… qui baise Emilie, si tu… t’en souviens encore.-Merde, excuse-moi, fit Théo, l’air désolé, en ralentissant subitement la cadence de ses pénétrations. Je n’y pensais plus.
-Non, continue de me baiser fort. Tu n’as rien dit… de mal, ajouta-t-elle lorsque son amant poursuivit à nouveau ses incursions avec énergie. L’inceste ne me dégoûte pas… et Chris est un très beau garçon. Mais je ne voudrais pas le mettre… dans une telle situation. J’ignore comment il… réagirait. » Jessica semblait épuiser d’une si longue tirade alors que ses phrases étaient entrecoupée de légères plaintes; pourtant, alors que Théo était toujours plus vif, elle ajouta en souriant. « Et puis… tu me suffis amplement. Alors… baise-moi le plus fort… que tu le puisses et montrons-leur… ce qu’on vaut de ce côté du mur. » Souriant, Théo accéléra encore ses balancements, tandis que Jessica gémissait de plus en plus fort, non sans espérer que ses plaintes parviennent aux amants qui se trouvaient de l’autre côté du mur.Effectivement, à quelques mètres de là, alors qu’Emilie saturait pourtant largement l’espace sonore de ses plaintes, les deux adolescents pouvaient percevoir des gémissements presqu’aussi bestiaux qui provenaient du mur droit de la chambre d’amis. Emilie hurlait trop fort pour prononcer quoique ce soit, mais elle sourit à Christopher afin de lui faire comprendre qu’elle avait entendu ces plaintes, tandis que le jeune homme la pénétrait en missionnaire. Lorsqu’Emilie étouffa quelque peu ses cris, ceux de Jessica emplirent la pièce à leur tour, et il parut que leur voix s’accordât pour former une voluptueuse musique. Cette atmosphère sonore excitait beaucoup Christopher qui se faisait maintenant aussi vif qu’il le pouvait tandis qu’Emilie retenait de plus en plus difficilement ses plaintes. De peur de jouir trop vite, elle demanda à son amant, lorsqu’il se retira d’entre ses reins, de s’allonger sur le lit afin qu’elle le suce. Il s’exécutait et Emilie le gratifia d’une nouvelle fellation très humide. Désirant également profiter du corps de sa maitresse, Christopher la saisit par les fesses et les fit passer par-dessus son visage afin de se retrouver nez-à-nez avec la vulve de la jeune fille. Ainsi disposés, Emilie continuait sa fellation tandis que Christopher, sachant qu’il avait été trop rapide lors de son premier cunnilingus, s’attarda davantage au cœur de l’intimité de la jeune fille. Dans le salon, Théo et Jessica s’étonnèrent de ne plus entendre les plaintes provenir de la chambre d’amis. Ils craignirent un moment que les deux amants en eurent terminé, mais ils furent rassurés quand ils entendirent Emilie hurler à Christopher de continuer à lui lécher la chatte. Le jeu se poursuivait. Jessica, que la situation excitait beaucoup, demanda à Théo de faire de même. Le jeune homme répondit affirmativement à la demande de sa maîtresse et, pour la troisième fois de la nuit, il la gratifia d’un cunnilingus. Imitant sa voisine, Jessica hurlait férocement à son amant quelque obscénité afin qu’il poursuivît ses soins. Les deux filles criaient de plus en plus forts, exagérant évidemment leurs gémissements, et il s’ensuit un long dialogue de quelques vulgarités. Lasse des préliminaires, Jessica, au faîte de son excitation, demanda à Théo de se tenir debout. Elle le suça alors rapidement et se pendit ensuite à son cou, ses pieds entourant la taille de son amant. Le jeune homme comprit, saisit Jessica par les fesses et plaça son gland contre la sa vulve avant de faire descendre puis remonter son vagin sur son pénis. Bien que l’effort fût conséquent, Théo conserva cette position de longues minutes, jusqu’à ce que Jessica, elle-même fatiguée lui demande de se coucher sur le sol pour la prendre à nouveau en cow-girl. De l’autre côté du mur, Emilie gémissait toujours férocement tandis que Christopher la pénétrait en levrette. En pleine action, elle se retira et s’approcha du jeune homme pour l’embrasser sensuellement avant de lui susurrer en souriant. « Je veux faire de toi un homme heureux, Chris, alors sache que mon petit trou est tout disposé à accueillir ta queue. Enfin, seulement si tu en as envie. » Christopher, bien entendu enchanté de cette nouvelle, peinait toutefois à dissimuler une certaine appréhension envers cette pratique qu’il n’avait jamais expérimentée. Emilie ne lui laissa pourtant aucun temps de réflexion et lubrifia abondamment le sexe du jeune homme avant de s’allonger sur le lit en élevant à nouveau la croupe. Frémissant, Christopher écarta les fesses de sa maitresse et approcha sa langue de son anus. Alors qu’il redoutait une expérience peu ragoûtante, il découvrit un trou parfaitement épilé et très agréable à lécher. Lorsque celui-ci fut parfaitement lubrifié sous un flot de salive, le jeune homme présenta son index à l’entrée de l’anus de la jeune fille. Lentement et avec précaution, il l’introduit sous les rires d’Emilie qui l’invitait à ne pas faire preuve d’une telle délicatesse. Le majeur rejoint donc bientôt l’index du jeune homme qui, lorsqu’il crut l’anus suffisamment dilaté, se leva et plaça son pénis à l’entrée du petit trou. Tremblotant de plaisir il s’introduit avec beaucoup de douceur dans la mystérieuse caverne d’Emilie. Christopher fut traversé d’un bref éclair de plaisir lorsque son gland franchit l’anus de sa maîtresse. Elle-même sembla comblée puisqu’elle ne put se fendre que d’un long râle incontrôlable. Lorsqu’il fut tout entier introduit, le jeune homme réitéra son mouvement de plus en plus rapidement. Lorsque son anus se dilata davantage, Emilie se remit à hurler des obscénités et prenait savamment plaisir à indiquer aux amants d’à côté l’ordre de ces pénétrations. Théo et Jessica, de l’autre côté du mur, poursuivaient encore leur cow-girl lorsqu’ils entendirent à nouveau les hurlements d’Emilie. Ils sourirent de l’ardeur de la jeune fille, mais la fatigue leur pesait désormais trop et les deux amants convinrent qu’il était temps pour eux de jouir. Théo se leva donc tandis que Jessica s’accroupit à ses pieds pour sucer son sexe. A son tour, elle le mouilla abondement, de sorte que sa main glissait parfaitement le long du pénis. Elle lui fit également grâce de quelques gorges profondes, procédé qu’elle maîtrisait parfaitement, à la grande joie de Théo. Bientôt d’ailleurs, un tremblement le traversa et il sentit provenir trois jets distincts qui vinrent éclabousser le visage de Jessica qui se tenait à genou, la bouche grande ouverte afin d’attraper le plus possible du sperme de son amant. Elle exhiba avec fierté le lac de foutre au fond de sa bouche avant de l’avaler en soutenant avec ardeur le regard de Théo. De l’autre côté du mur, Christopher continuait d’enculer allègrement Emilie. Jamais auparavant il n’avait pu imaginer le plaisir que pouvait procurer l’incursion de cet étroit couloir. Ses pénétrations, rythmées par les hurlements toujours plus puissants d’Emilie, se faisaient de plus en plus rapides et n’étaient stoppée que lorsque la jeune fille devait lubrifier à nouveau le sexe de son amant. En pleine pénétration, Christopher ne put plus se retenir et éjacula plusieurs giclées de sperme dans l’anus de sa maîtresse. Emilie sentit son cul s’emplir d’une énorme quantité de foutre chaud, provoquant chez elle un orgasme d’une grande intensité. Toujours la croupe fièrement levée, quelques gouttes perlèrent sur son petit trou et glissèrent le long de sa vulve qu’elle doigtait lentement. Christopher, à bout de souffle, s’était laissé tomber sur le lit, le pénis toujours parfaitement droit. Sa maîtresse le rejoint et, quoique lasse également, elle nettoya les dernières goutes de spermes sur le gland du jeune homme. Il avait bon gout, pensa-t-elle, avant de se pencher vers Christopher pour l’embrasser une dernière fois. Celui-ci était retissent à l’idée de goûter son propre sperme, mais il n’eut guère la possibilité de refuser devant l’insistance d’Emilie. La tête couchée sur le torse de Christopher et le regard dirigé vers son sexe qui dégonflait progressivement, Emilie faisait vagabonder ses doigts sur le corps de son amant, visiblement déjà endormi. Elle ne tarda pas à le rejoindre et ils passèrent le reste de la nuit, nus et amoureusement enlacés. De l’autre côté du mur, Jessica et Théo n’avaient eu la force de regagner la chambre du jeune homme et s’étaient endormi dans une position semblable sur le tapis du salon.
