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Des voisins envahissants

Chapitre 1

Erotique
Avertissement : Certains des évènements décrits sont réels, d’autres imaginés.

Le lotissement est récent et les maisons y poussent comme des champignons après la pluie. Ma vie d’homme s’est terminée quand ma femme m’a quitté le lendemain de mon licenciement me laissant seul avec ma quarantaine bien tassée, un ventre et des mamelles graisseuses, ma calvitie, ma petite bite et ma déprime.
Je regarde d’un œil morne le carton d’invitation. Le couple d’en face organise une fête des voisins pour, je cite « faire connaissance et échanger nos expériences ». Mon moral est à zéro, il est temps que je réagisse. Passant une partie de mes journées à regarder par la fenêtre, je les connais de vue, enfin surtout les voisines. Je vais les voir de plus près. Il faudra que j’évite de trop boire et de raconter des bêtises.
C’est Cathy et Hubert de la maison d’en face qui reçoivent. Ils forment un couple bien assorti, et semblent à l’aise financièrement. La petite berline à la mode de madame et le coupé sport de monsieur sont devant la porte pour en attester. Cathy ressemble à une couverture de magasine féminin, beau visage, belle allure, beaux vêtements mais l’air un peu hautain. Hubert, son mari est du genre qui plaît aux femmes et qui le sait. J’ai tout de suite deviné qu’il était commercial à sa façon de s’habiller, à son assurance et à son bagout de camelot.
Surya et Denis viennent de la maison d’à côté. Elle est si menue et paraît si jeune que je l’ai prise pour une écolière avec sa jupe droite et son corsage très sage. Elle est née en Asie. Son visage d’ange, sa bouche souriante aux lèvres ourlées, ses yeux noirs en amande propres aux asiatiques, sa longue chevelure et l’incroyable finesse de sa taille me bouleversent. Son mari plus âgé qu’elle, est un petit brun assez quelconque, étroit d’épaule, l’air sérieux du type qui bosse trop.
Enfin, Adam et sa femme qui ne s’appelle pas Ève mais Gabrielle. Ils viennent des îles. Je ne suis pas plus raciste qu’un autre mais je dois reconnaître que ces deux là sont de la dynamite sexuelle. La femme est une superbe plante exotique habillée d’une robe courte colorée à la limite de la décence. Je ne peux m’empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté quand elle se penche pour saisir un canapé ou un verre. J’y admire une superbe paire de seins libre de toute entrave. Elle a surpris mon regard et sourit. Je rougis. Lui porte une veste qu’il laisse ouverte sur une chemise collante révélant une musculature de sportif. Je me dis qu’il faudrait que je fasse un régime, que j’arrête de picoler et fasse un peu d’exercice.
Au début, l’ambiance est un peu contrainte. On papote, on parle jardin et météo puis l’alcool aidant, on se décontracte, les langues se délient, des blagues fusent.
Cathy est marrante quand elle boit. Je la trouvais froide mais je l’entends rire bruyamment des plaisanteries d’Adam, posant sa main fine sur le bras musclé du grand noir ou s’alanguissant contre lui lorsqu’il remplit une fois de plus son verre du punch qu’il a amené. Elle doit aimer son odeur ou alors elle est bourrée.
Son mari, Hubert s’amuse de la naïveté juvénile de Surya, employant des phrases à double sens avec des sous-entendus sexuels gros comme sa bêtise. Il me fait un clin d’œil en lui demandant ce qu’elle fait lorsque son mari est en déplacement. Troublée par ce séducteur de pacotille, cette chatte siamoise n’a pas un regard pour moi. Le monde est injuste.
Heureusement Gabrielle vient nous rejoindre et fait du charme au bellâtre sans s’embarrasser de subtilités. Cathy ferait mieux de s’occuper de son mari plutôt que de rire bêtement aux blagues de l’oiseau des îles. Délaissée, Surya rejoint son mari sirotant son whisky devant la bibliothèque. Je la suis espérant frôler la peau dorée de son bras ou lui arracher un sourire. Je discute un peu avec le mari. Son boulot le bouffe. Il doit partir en mission au Mexique et n’attend plus que le feu vert de son patron. Surya baisse les yeux. Elle semble appréhender cette séparation. Je rentre chez moi. La journée ne s’est pas trop mal passée sauf que j’ai trop bu.
La petite sauterie a détendu les rapports de voisinage. Ils vont les uns chez les autres mais ne m’invitent plus. Je les regarde aller et venir derrière le rideau.
Surya porte moins ses pantalons de toile et plus souvent des robes colorées, parfois même des jupes courtes et des corsages fins qui lui vont à ravir. Je suppose qu’elle subit l’influence de Cathy et de Gabrielle.
J’apprécie particulièrement les moments de jardinage sous le soleil chaud du printemps lorsque la petite poupée ne porte qu’un short et un corsage. Je la filme au zoom maxi de ma petite caméra numérique puis regarde le film sur mon ordinateur. Je ne me lasse pas de la contempler, arrêtant l’image et grossissant l’ouverture de son corsage ou de son short quand elle s’accroupit. Je me branle devant l’ombre d’un sein ou de l’entrecuisse de la femme de mes rêves.
Un jeudi de juin beau et chaud, vers midi, je rentrais d’un entretien d’embauche sans espoir. Une voiture que je reconnais me croise. Surya ne m’a pas vu. J’ai à peine le temps d’entrevoir son visage sérieux de petite fille concentrée sur sa conduite. Le cœur battant d’avoir aperçu celle qui hante mes nuits et mes jours, je prends la direction du lotissement. Quelques minutes plus tard, c’est la petite sportive rouge d’Hubert qui file dans la même direction. Je roule encore une minute, le temps qu’une idée saugrenue atteigne mon cerveau. Je décide de faire demi-tour.
Je roule jusqu’à la forêt puis ralentis en regardant à droite et à gauche. La voiture de Surya est là, garées assez loin dans un petit chemin forestier. Le cœur battant et le souffle court, je me range un peu plus loin dans un renfoncement. Je connais bien le coin, j’y viens pour ramasser des châtaignes ou des champignons. Avec une prudence d’indien, je m’avance entre les arbres. Je souffle comme un phoque. Étant d’un naturel assez lâche, je prends milles précautions. Mon intuition se révèle exacte, ils discutent près de la voiture de sport, à une dizaine de mètres de ma position légèrement surélevée. Mon cœur tambourine dans ma poitrine.
Le temps est doux, elle est en robe blanche, courte et légère, presque transparente. Lui a tombé la veste mais a gardé sa cravate. Il lui dit quelque chose que je ne saisis pas puis se penche vers elle pour l’embrasser, elle détourne la tête. Il insiste, lui saisit la nuque, la force à accepter sa bouche sur la sienne. Elle se laisse faire et même, se colle à lui alors que la main de ce salaud disparaît sous la robe. J’imagine ses doigts glissant sur la fente humide. Je suis terriblement déçu par cette trahison. La sueur me coule dans le dos et me chatouille. Enfin, leur bouche se sépare. Il la fait asseoir sur le capot et tire sur sa culotte. Elle repousse ses mains. Il élève la voix, pas content qu’elle résiste.
— Tu m’as bien allumée maintenant il faut éteindre l’incendie, petite salope. Il la bouscule et arrache de force sa culotte qu’il jette derrière lui.— Arrête, Hubert ! Lâche-moi ! Non ! Elle résiste et crie de peur.— T’en fais pas, je vais pas te faire de mal, au contraire.
Elle cherche à lui échapper mais il l’attrape d’une main par les cheveux, la pousse brutalement sur le capot de la voiture. De son autre main, il ouvre son pantalon et sort une bite de bonnes dimensions, au moins par rapport à la mienne. Ce salaud bande.
Mon souffle s’accélère. Je devrais intervenir mais cela voudrait dire me découvrir, peut-être me faire brutaliser, au moins déclencher un scandale, expliquer ma présence. C’est de sa faute aussi à la petite. Elle n’aurait jamais dû se mettre dans une situation pareille.
Je reste tapis et me contente d’enregistrer la scène avec mon téléphone portable. Pourquoi avoir pris deux voitures ? Certainement, pour éviter les commérages.
— Arrête ton cirque, tu mouilles comme une salope. Je sais que tu n’attends que ça.— C’est pas vrai ! T’es un menteur, proteste t-elle d’une voix aiguë. Je t’en prie, laisse-moi tranquille. — Tu ne vas pas t’en tirer comme ça. Tu me suces ou je te baise ? Sa voix est menaçante.. — C’est… C’est d’accord, transige t-elle d’une petite voix effrayée.
Elle s’agenouille, saisit sa queue à deux mains et embouche son gland maladroitement comme si c’était la première fois. Sans doute préfère t-elle lui vider les couilles de cette façon plutôt que de se faire baiser comme une pute sur un capot de voiture. Ma bite qui me fait mal tellement je bande.
— Continue salope, l’encourage Hubert. La petite s’active comme si cela l’excitait. Elle le branle énergiquement, la tige coulissant entre ses lèvres charnues et brillantes. Hubert donne un coup de reins et plaque le visage de la jeune femme contre son ventre. Il la tient fermement par sa chevelure. Il jouit sans prêter attention à ses soubresauts. Elle manque de s’étouffer et est contrainte d’avaler le sperme qui jaillit dans sa gorge.
— Putain, que c’est bon, grogne Hubert frémissant de plaisir. Il la tient encore quelques secondes puis la repousse. — T’es une bonne suceuse. Faudra qu’on remette ça mais, là, j’ai pas le temps, je dois passer au bureau.
Il se rajuste et entre dans sa voiture. La portière claque. Le moteur démarre. Il s’en va, laissant Surya au bord du chemin crachée son jus par terre. Elle n’a pas l’air d’apprécier le goût du sperme.
Je me lève de ma cachette et la rejoins alors qu’elle vient de retrouver sa culotte et la tient à la main. Elle sursaute en entendant mes pas puis m’aperçoit. Ses beaux yeux s’écarquillent. J’y lis une surprise horrifiée.
— Bonjour Surya. C’est une belle journée pour se promener. — Monsieur André ! Qu’est-ce que… ? Elle ne finit pas sa phrase et se cache le visage de ses mains. Vous avez vu… Ce n’est pas ma faute. C’est lui qui m’a forcée. Je ne voulais pas. Son discours est haché. Elle est inquiète ne sachant pas trop ce que j’ai vu de ses turpitudes.
Sans répondre, je vais m’asseoir sur la banquette arrière de sa voiture en laissant la portière ouverte et regarde ostensiblement l’écran de mon portable. Comme je l’espérais, elle me rejoint et se tient debout à côté de moi en baissant les yeux. Je lui montre le petit écran.
— Regarde et dis-moi si ton mari va te croire.— Mon mari… Pourquoi ?— Regarde d’abord, on parlera après.
Elle fixe l’écran sans ajouter un mot puis relève la tête, me fixant de ses yeux brillants. Deux larmes coulent sur ses joues de porcelaine.
— Vous savez bien vous qu’il m’a obligée.— Donne-moi ta culotte. Il a dit que tu mouillais. C’est vrai ? J’examine ostensiblement le fond de sa culotte puis le porte à mon nez.— Non, c’est pas vrai, murmure t-elle en fuyant mon regard.— Écarte les jambes s’il te plaît. Elle ouvre de grands yeux étonnés, hésite mais devant ma détermination sourcilleuse, obéit.
Je suis ravis par sa soumission mais je n’en laisse rien paraître, gardant un visage fermé alors que, frémissant de bonheur, je caresse son pubis imberbe de petite fille avant de passer mes doigts sur sa fente. Écartant les nymphes, j’enfonce mes deux doigts dans l’étroit vagin. Elle se cache le visage derrière ses mains. Ses jambes tremblent mais elle reste en place. J’en profite pour la limer un peu là où c’est sensible. Elle se tortille puis s’échappe en pliant les jambes.
J’écarte mes deux doigts devant ses yeux. Ils sont luisants de mouille et des fils visqueux sont visibles.
— Tu es une menteuse et une petite cochonne.— Non, ne dites pas ça, j’ai si honte— Et ta famille, t’as pensé au déshonneur ? J’enfonce le clou là où ça fait mal.— Il avait dit qu’on se promènerait. Vous avez vu, il m’a forcée. — J’ai vu que tu l’as embrassée sur la bouche et que tu t’es laissée caressée la chatte.— Oooh ! Je… Ne dites rien à mon mari, s’il vous plaît, monsieur André.
Elle lève vers moi des yeux suppliants. Des larmes coulent sur ses joues de porcelaine. Je la regarde d’un air sévère, sans répondre. Son visage m’émeut, en particulier ses lèvres charnues, entrouvertes, tremblotante. Elle a l’air si malheureuse que j’ai une envie folle de la prendre dans mes bras, de la consoler, de lui dire que je suis fou d’elle. Alors que ma volonté vacille, elle lève vers moi son beau visage traversé d’une moue de gamine vicieuse que je lui avais jamais vu.
— Et si je suis gentille avec vous…— Je… Je ne sais pas. Qu’est-ce... ? Je bafouille, démonté, par ce changement d’attitude. Je dis ce qui me passe par la tête sans réfléchir.— Fous-toi à poil !
Elle rit comme une enfant soulagée de s’en tirer à bon compte après une grosse bêtise. La robe glisse à ses pieds. Elle me sourit en retirant adroitement son soutien-gorge. Elle guette sur mon visage ma réaction à ce strip-tease éclair. Sa docilité me ravit. Je pose des mains tremblantes d’émotions sur ses seins dorés et les caresse doucement, fasciné par la beauté de ce corps si féminin. Ces mamelons en poire sont plus développés que je ne l’imaginais. Les auréoles très brunes et gonflées entourent les tétons qui pointent. Mes mains descendent sur ses reins en caressant la peau dorée.
— Vous ne direz rien à Denis ? Elle veut être sure de mon silence.
Si elle croit que je vais me contenter de la peloter, elle va être déçue.
— Où as-tu appris à sucer un homme comme ça ? Dis-moi la vérité. Elle rougit.— C’est Denis. Il m’a montré des films cochon pour que je fasse pareil.— C’est lui qui t’a demandé de t’épiler ?— Oui. Ça l’excitait.— Tu as été vilaine, tu le sais. Tu mérites une fessée.
Elle baisse les yeux et se tient comme une petite fille prit en faute, avec une moue boudeuse tout à fait charmante.
Je la tire à plat ventre sur mes genoux sans qu’elle oppose de résistance. Je prends le temps de savourer la vision et la douceur de ce petit corps parfait et caresse avec volupté les globes fermes de ses fesses. Mes doigts sont attirés irrésistiblement vers la fine fente de son abricot. Les grandes lèvres s’écartent et dévoilent le petit coquillage rose et humide. L’émotion me serre la gorge. Mon index presse et caresse le petit bouton durcit par l’excitation pendant que mon pouce s’enfonce doucement dans l’entrée étroite du vagin trempé de cyprine.
Elle se laisse faire préférant certainement la douceur des caresses à la fessée promise. J’accentue le mouvement jusqu’à ce qu’elle commence à gémir et à se tortiller, alors je lui claque sèchement les fesses à plusieurs reprises.
— Aïe ! Aïe ! Crie t-elle.— Fais moi ce que t’as fait à ce salaud d’Hubert.
Elle ouvre mon pantalon et extrait ma queue bandée de sous mon ventre. Je ferme les yeux de satisfaction lorsque ses lèvres charnues et chaudes se referment sur mon gland. C’est merveilleux de sentir sa langue glisser sur ma queue. Elle a bien appris ses leçons.
J’ai soudain une envie folle de la posséder. Je la renverse brutalement, la couche sur le dos. Profitant de sa surprise, je m’insinue entre ses cuisses en relevant ses jambes. Elle ouvre de grands yeux inquiets commençant sans doute à comprendre ce que je veux.
— Qu’est ce que vous faites ? Sa voix tremble.
Avant qu’elle ne réagisse, j’immobilise ses poignets dans ma main droite et écrase le petit corps sous mon ventre. Ma bite glisse sur sa vulve, trouve l’entrée du vagin et s’enfonce dans l’étui de chair, doux et chaud. Elle pousse un cri, tente de se dégager mais c’est trop tard. L’étui de chair enserre ma queue me procurant un plaisir indicible. C’est sublime. Je baise méchamment cette petite pute, libérant des mois de frustration et assouvissant une pulsion refoulée depuis trop longtemps.
— Nooon ! Arrêter ! Oooh !— Écarte les cuisses si tu ne veux pas que ton mari sache quelle salope tu es.— Noonn… Je vous en prie, Monsieur André… J’ai trop honte…
Je la fixe sévèrement. Elle comprend que je suis le maître de sa vie et donc de son corps. Désespérée mais acceptant le fait accompli et s’ouvre comme une fleur. Profitant de son abandon, je m’enfonce bien au fond de son ventre.
— S’il vous plaît, faites attention de ne pas me faire un bébé, me souffle t-elle dans l’oreille d’un ton saccadé par le rythme de mes coups de reins.
Le sperme monte de mes couilles et jaillit, inondant son vagin jusqu’à l’utérus. Tétanisé par le plaisir, je m’effondre insensible aux protestions larmoyantes de la petite.
— Oooh ! Vous êtes restés ! C’est mal ! Je vais être grosse. Qu’est ce je vais dire à mon mari ?
Je reprends mon souffle, heureux comme jamais d’avoir possédé cette petite salope qui m’obsède depuis des mois. Elle a fermé les yeux et respire à petits coups rapides, des larmes coulent. Je reste en elle, profitant de la douceur de son ventre souillé et de ses jeunes mamelons que je pelote doucement.
— On verra bien. Débrouille-toi pour que ton mari te baise avant de partir pour le Mexique. Si t’es en cloque, il ne sera pas surpris. Suce-moi au lieu de pleurnicher.
Elle s’agenouille entre mes jambes en reniflant bruyamment, saisit délicatement ma bite sous mon ventre avec ses doigts de fée et la suce comme un sucre d’orge. Je suis content qu’elle se montre aussi docile. Elle sait qu’elle a tout intérêt à m’obéir. Après quelques minutes de suaves douceurs, je la relève et l’embrasse à pleine bouche. Elle se laisse faire mais sans répondre à mon baiser. Elle m’en veut d’avoir abusé de la situation.
Je la regarde s’habiller puis repartir au volant de sa voiture. Il faut que je trouve une idée pour que ce salaud d’Hubert laisse mon ange d’amour tranquille.
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