Résumé : Un couple de jeunes voisins a emménagé dans notre immeuble. Après plusieurs semaines d’approche et de manœuvres, je suis passée à l’action… Je la regarde faite, soumise, focalisée sur moi. Je sors mon doigt de sa bouche, la laissant haletante, la bouche ouverte, ne remarquant même pas les quelques gouttes de salive au coin de ses lèvres et, rassemblant deux doigts je les présente à nouveau devant sa bouche. Elle tire la langue, impatiente mais j’enfonce entièrement mes doigts dans sa bouche avant de les faire aller et venir mimant une fellation. Elle suce, lèche, bave dessus et paraît presque au bord de s’effondrer, je lui fais baisser les yeux d’un regard impérieux qu’elle comprenne bien le message de domination que je lui envoie. Je rajoute encore un doigt et je lui pistonne la bouche, presque collée contre elle. Elle projette son bassin vers moi de façon inconsciente, à la recherche de contact pour calmer le feu que j’ai déclenché en elle. Enfin,je retire mes doigts luisants qu’un fil de salive relie encore à sa bouche et lui fais :— Et maintenant comment est ta petite culotte ? Ne mens pas et tu seras récompensée.— Je, je suis trempée madame.— C’est bien. Sors ta langue et surtout ne bouge pas.Elle s’exécute immédiatement, je m’avance légèrement, saisis sa langue entre mes lèvres et l’aspire avec force, faisant presque se coller nos bouches. Je la sens trembler contre moi, toutes ses terminaisons nerveuses concentrées sur sa langue que je suce dans un bruit obscène qui résonne dans l’espace confiné de l’ascenseur. Enfin, je me recule et la fixe, vaincue, au bord de prendre son pied, de la salive sur les joues, elle regarde ma bouche brillante et le spectacle ainsi offert se fixe au fer rouge dans sa mémoire.J’avance mon genou entre ses cuisses en le pliant un peu, je sens sa chaleur humide à travers sa culotte avant de lui dire d’une d’une voix qui n’admet pas de réplique.— C’est bien tu peux te faire jouirElle ne résiste pas, totalement sous le joug du désir, s’abaisse un peu, s’aide des barres pour se tenir et frotte son entrejambe sur ma cuisse en geignant. Quelques allers-retours lui suffisent pour jouir dans un cri muet avant qu’elle ne s’effondre presque sur elle-même tant cela a été intense. Tout en cherchant son souffle, elle lâche des « oh, j’ai jamais, oh, c’est pas possible »qui non seulement me renseignent sur ma domination mais aussi sur son passé sexuel. Je rallume l’engin, et sors, la laissant là, pantelante, vidée d’énergie et surtout prête à bien plus de jeux avec moi. Quand mon Léo revient, il me trouve nue sur le lit en compagnie d’un gode mais les deux orgasmes que je me suis procurée avec ne m’ont pas encore satisfaite. Alors quand il arrive dans notre grande chambre, il a droit à une phrase qui le mets tout de suite dans l’ambiance.— Viens me baiser fort et après tu me donneras ton foutre !Je sais c’est un peu cru mais quand je suis dans cet état-là, je ne tiens plus. Je dois dire que me retenir de lui sauter dessus dans l’ascenseur était difficile, mais je ne pouvais psychologiquement montrer à Chloé ( car tel est son prénom) que je ne pouvais lui résister. Léo me prend directement comme j’aime, fort et dur et je lance avec entrain mes fesses vers lui pour encore mieux sentir sa puissance. A quatre pattes, je me sens chienne et c’est bon d’avoir un homme qui sait me prendre et en même se retenir, si attentif à mon plaisir. J’en rajoute avec des « bourre-moi,vas-y, baise ta chienne « pour le rendre fou, je le sais si sensible parfois…Quand ce petit salaud qui me connaît si bien, met un index inquisiteur entre mes fesses, je pars dans un long cri qui je n’en doute passera entendu par nos voisins. Comme je le lui ai demandé, il a réussi à se retenir, je me redresse et me place devant lui en disant :-Sur mes seins, sur mes seins…Quelques mouvements de sa main sur sa grosse queue et il jouit sur mes seins que je lui présente en les ayant empaumés par-dessous. Son sperme atterrit par saccades et viens décorer mes seins. Je me caresse et m’enduit la poitrine avec son foutre, c’est vicieux, me rend folle et ça l’excite un max. E puis, enfin calmée je m’allonge, contre lui, laissant sa semence sécher sur moi et lui raconte le dernier épisode avec la voisine. Deux jours plus tard je la rencontre – par hasard – au même endroit. En dehors d’un simple bonjour, je ne dis rien, je l’observe, attentive à moi, se dandinant d’un pied sur l’autre dans sa jolie robe courte, je vois qu’elle hésite à parler mais n’ose pas commencer. Au moment où l’engin s’arrête, je le stoppe d’un geste et lui dit :— Tu n’oublies pas quelque chose ?Elle me regarde, totalement déconcertée entre espoir et étonnement. Je la fixe et rajoute juste — Langue.Immédiatement elle pousse un soupir de reddition et sors sa langue tendue. Je la regarde, laisse passer deux secondes – quel pied dans ma tête !- et viens à nouveau la lui sucer en exagérant le bruitage. Oh que c’est bon, la voir à ma merci juste d’un mot. Je stoppe, me recule et lui ordonne sur le même ton :— Lèche ton doigtElle obéit immédiatement et suce son doigt. Ses seins sont tendus et cette vision conjuguée à nos actions me fait mouiller au plus haut point.
-Mouille le bien,Elle suce son doigt comme elle ferait avec une petite queue, bave dessus et je m’imagine déjà la voir sucer mon homme. Je me concentre je dois diriger le jeu.— Stop.Ne bouge pas Elle reste là, le doigt à quelques centimètres de sa bouche. D’une main le lève sa petite robe, oh jolie culotte toute simple , la descend sur ses genoux, le regarde, la bouche ouverte, le doigt brillant, les cuisses écartées ; image saisissante de la luxure.-Branle-toi !Elle se masturbe immédiatement et furieusement, comme si les digues s’étaient rompues, souffle, plonge ses doigts dans sa chatte trempée au vu des clapotis obscènes et enchanteurs. Je m’approche d’elle lui dit :— Je vais décompter, j’espère que tu auras joui, et je suis gentille je te donne un encouragement. Dans le même temps je sors ma langue et lui lèche rapidement la bouche— 10 9 8 7 …Elle se branle vite, les yeux implorants, les doigts enfoncés en elle— 6 5 4 3 2...— Je vais pas y arriver, pitié madame, j’ai besoin, j’ai besoin...D’un geste vif,je saisis son soutif le descend sans ménagement, exposant son sein blanc et lourd à la pointe tendue et pince fortement le téton la faisant jouir et y mêlant une pincée de douleur soit exactement ce que je voulais. Cette fois elle s’effondre sur elle-même, vaincue par un orgasme puissant. Je suis réjouie intérieurement de la voir monter en puissance au niveau des sensations. Je m’accorde un petit plaisir en lui saisissant son doigt gluant de son jus et en le suçant devant elle, gardant nos regards liés. Ensuite je ressors, la laissant affalée, poupée de chiffon vaincue par les sensations. Inutile de préciser que Léo et moi avons passé la soirée à faire l’amour et à échanger nos idées lors des quelques pauses entre nos jeux.On décide passer au niveau supérieur quand il m’explique que le couple le matait discrètement et qu’il jouait le gars au téléphone tout en les observant. Deux jours plus tard, au moment où les portes de l’ascenseur se ferment, je la vois qui arrive, elle ne voit que moi et entre vite dans l’engin avant que la porte ne se referme. C’est là qu’en se tournant elle voit Léo et son sourire s’efface. On se salue et comme la fois précédente au moment où elle va pour sortir j’applique la même recette qui a si bien réussi.— Tu vas où ?— Je, euh je rentre chez moi.— Tu n’oublies rien ?Elle comprend tout de suite mais bafouille un vague – euh, enfin, mari— Alors toi et ton mec vous le matez régulièrement, et là je te donne l’occasion de montrer que tu es sexy et tu as des scrupules ! Et de rajouter d’une voix dépitée, - Tu me fais honte Chloé— Non, non je, je ferais ce que vous voulez— Mais je ne te force à rien Chloé, c’est uniquement ton plaisir qui compte. Alors exprime-toi, tu as bien joui avant- hier ?— Oui fait t’elle d’une toute petite voix— Chloé…— Oui, j’ai bien joui, c’était énorme, j’avais jamais pris un pied pareil.— Tu t’es touchée en rentrant ?— Oui, sous la douche, j’ai pensé à vous— C’est très bien Chloé. Regarde mon chéri comme elle est faite pour le sexe. Chloé langue !— Waouh, tu as raison. Tu es super sexy Chloé.Le regard un peu apeuré de Chloé a disparu, remplacé par une étincelle de fierté devant le compliment sincère de Léo. Je lui avais raconté la scène mais évidemment le voir c’est bien plus excitant. Il reste adossé dans son coin, ne fais aucun geste pour ne pas effaroucher la jeune femme et seule sa voix envoûtante résonne dans le petit espace clos. Je m’avance et viens sucer la langue de la jolie blonde en exagérant à peine le bruitage. Puis je me recule et dit – Tu vois Chloé je ne t’impose rien c’est toi qui décides si tu veux jouer ou non.Ce disant, je tends ma langue hors de ma bouche. Comme je l’avais prévu, elle vient me sucer la langue et elle finit par me rouler une pelle baveuse.— Bravo fait mon chéri, tu es très belle Chloé, regarde Coline elle est toute retournée.Il exagère un peu mais n’est pas mal non plus en manipulation et, devant cet encouragement on s’embrasse à nouveau. J’avoue que c’est délicieux, un peu malhabile, car c’est la première fois qu’elle embrasse une autre femme mais son enthousiasme et son envie s’affermissent de seconde en seconde. Je mets fin au baiser et j’avoue que toutes les deux on respire un peu fort. — Que veux-tu- maintenant Chloé ?En disant cela je veux lui laisser croire que c’est elle qui décide ,bien sûr elle hésite un peu et comme je joue avec mes doigts dans la ligne de son regard cela ne rate pas— Votre doigtJe le lui tends et elle le suce ; visiblement elle adore cela, donne des coups de langue dessus, suce fort puis relâche, m’est avis qu’elle est douée pour la fellation. Je recule et reprends les rênes.— Baisse ta culotteComme c’est elle qui fait le geste, elle garde l’illusion de mener le jeu. Du coin de l’œil je regarde Léo et il me fait un clin d’œil, histoire de me signifier que je gère cela de main de maître. Je la regarde, la culotte baissée sur les genoux, adossée contre la paroi de l’ascenseur et je vais la branler en la regardant dans les yeux. Sa chatte imberbe, car elle suit cette mode est bien humide et je trouve facilement son clito que je caresse du majeur avant de passer mes doigts entre ses lèvres encore et encore. Elle gémit et se tortille déjà sur mes doigts, si réceptive à mes caresses. Je la doigte profondément, lui mettant deux doigts dans sa chaleur et la branlant avec plaisir. — Touche-toi les seins !Elle baisse son soutif blanc tout simple exposant ses deux seins opulents et se les caresse sans retenue— N’oublie pas de te pincer les tétonsElle s’exécute et pour la récompenser je lui roule une pelle baveuse, sans retenue, envahissant sa bouche avec ma langue jouant à être bien vulgaire et cela m’excite. Tout comme moi, elle respire fortement par le nez et je lui lèche la bouche, les joues et la doigte sans retenue. Elle se tire les pointes avec la même absence de retenue et je sens son corps qui se tend, qui bouge contre moi. Je suis pressée contre elle, attentive à ses réactions ; à la montée de son plaisir. Je veux la rendre totalement accro au plaisir que je lui fournis et je sens la houle monter en elle. Elle gémit, geint, bave et enfin, crie sa jouissance. Cette fois elle ne s’est pas retenue et le bruit de son plaisir est un régal pour mes oreilles et surtout mon esprit.Elle est accrochée à la barre fixe comme un ivrogne au comptoir et nous regarde, effarée d’être allée si loin (ce n’est que le début ma petite Chloé) et d’avoir pris un tel pied. Je me recule qu’elle se sente en sécurité et déclare :— Ça te gêne si je m’occupe de mon mec ? À cause de toi il est complètement excité, je dois m’occuper de lui. J’insiste bien sur le Je, qu’elle ne se sente pas implique alors qu’elle l’est totalement— Euh non, non— Je me mets à genoux devant Léo,descend son jogging ( que c’est pratique), dévoilant sa queue tendue qui jaillit comme un diable de sa boite.— Waouh ! Ne peut s’empêcher de lancer Chloé en voyant le sexe de mon homme.— T’as déjà vu une queue non ?— Oui, mais enfin, pas aussi, aussi grosse quoi.— Alors regarde bien, mais juste regarder hein.J’applique évidemment la technique pour faire naître l’envie et les yeux de Chloé fixés sur son engin, me montrent que la technique, couplée à la jalousie fonctionne toujours aussi bien.Je lèche les deux-trois gouttes de pré-sperme translucide et le soupir de Léo et celui en écho de Chloé sont un régal. D’une main je malaxe les burnes bien pleines, de l’autre je parcours la grosse veine sur toute sa longueur et en même temps je passe ma langue partout sur sa queue, fais entrer le gros gland dans ma bouche humide et tourne ma langue autour. Je joue les avaleuses de sabre et dans le miroir je vois l’expression envieuse de Chloé devant ma technique. Je pompe et pompe encore, pendant que Léo me complimente sur mes talents de suceuse et lance des «c’est bon« en rafale. Se faire sucer devant Chloé qui nous fixe les yeux exorbités le fait bien se tendre. J’en rajoute, me recule, crache sur sa queue, le branle fort et vite, passe ma langue sur ses burnes en mettant l’une après l’autre au chaud dans ma bouche avant de lui pomper le gland en aspirant très fort. Je le sens se crisper très fort, stoppe pour lui dire d’une voix chargée de sexe : — Remplis-moi la bouche de foutre.Cette dernière phrase l’achève et il se répand à grands jets dans ma bouche. J’essaye d’avaler au fur et à mesure mais la dose est trop importante et cela me coule hors de la bouche. Je me tourne vers Chloé, l’air d’une parfaite salope, la bouche gonflée, du sperme qui coule dans mon cou , les yeux brillants de vice et dit :— Hé bien tu as vu comme tu l’avais excité, il avait une sacrée dose de foutre. Je passe mon doigt sur mes lèvres, récoltant une goutte de sperme blanchâtre et la tends vaguement vers Chloé sans dire un mot. Elle me regarde, regarde Léo qui lui sourit et bascule dans le vice en venant sucer mon doigt...
