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Des voisins très soumis...

Chapitre 3

Toujours plus d'emprise

Trash
Résumé ; Léo et moi Coline, nous continuons à rendre accro Chloé notre voisine.
La dernière vision que j’emporte de la cabine de l’ascenseur est celle de Chloé, affalée au sol, la  culotte sur les genoux, les yeux brillants en train de sucer son doigt et d’y chercher les derniers relents du sperme de mon mari.Quand on arrive chez nous, on se prend une bonne douche en se félicitant de notre réussite. Amener la jeune femme à se soumettre volontairement à mes caresses et plus encore mmm délicieux... Quand il vient me rejoindre, je suis allongée sur le lit, caressant presque distraitement mes seins — Ça t’a plu on dirait ma chérie ?— J’ai adoré et encore je me suis retenue, je ne voulais pas précipiter les choses, le chemin est aussi important que l’arrivée— Je suis sûr que tu avais encore une autre envie non ?— Oui, j’avais une envie folle de venir me mettre au-dessus de son visage et de lui déverser ton foutre dessus, de la laisser déguster un peu et puis de lui rouler une pelle bien baveuse.— Et voilà en une phrase tu me fous la trique !Je regarde mon homme, le sexe bien tendu, si réactif avec moi. Je l’adore et j’en profite. J’ai une envie et comme toujours je n’y résiste pas.— Chéri tu veux bien me lécher le cul , j’ai vraiment envie d’une bonne sodomieJ’ai pris mon ton de voix tout timide, car je sais que, conjugué à ma demande salace il craque à chaque fois. Cela ne rate pas et il se place derrière moi qui lui tend ma croupe que j’ai surélevée avec des coussins. J’écarte mes fesses des deux mains, lui dévoilant mon petit trou. Je sais que cette vision le rend fou, il remplace mes mains par les siennes et commence à passer sa langue sur ma petite rosette. — Oh que c’est bon, oh mon vicieux chéri, j’adoooreEn quelques coups de langue, je gémis déjà, sa langue sur mon petit trou déclenche des sensations qui me font couler. Il sait que je ne vais pas résister longtemps et lape avec des petits bruits qui rajoutent à mon excitation. Au bout d’un instant je craque et lui demande de me prendre. Il s’exécute aussitôt après avoir donné un petit coup de lubrifiant et avec l’habitude est rapidement au fond de mon petit cul. Dire qu’il y a quelques années je ne voulais même pas entendre parler de sodomie. Mais pour cela et pour bien d’autres choses, nous avons évolués et nous éclatons un max ensemble. — Tu es bien enculée ma chérie ?— Salaud, tu me connais trop bien, tu me fais mouiller avec tes paroles.— Madame est bien enculée ?— Salaud… C’est booon— C’est bon quoi ?— Ta queue, ta queue dans mon petit cuul— Mmm c’est un régal de te voir ainsi ma chérie.— Je, je , je me régalerais quand tu lui prendras le cul— Tu repars dans tes envies ?— Oui, c’est bon, oh putain de la voir soumise, de la diriger, je veux que son, mmmm que son mec dirige ta queue dans son gros cul. Léo commence à me prendre plus fort, à disons le clairement me pilonner tant il me sait excité. Et ce petit pervers en rajoute encore— On sait tous les deux que t’en voudrais plus
— Oui, encooore, encoore— Je sais très bien ce que tu voudrais faire avec eux— Mmm dis le moi, dis-le moi je suis en train de monter— On est en face l’un de l’autre, ils sont à quattre pattes entre entre nous, je lui bourre son gros cul et toi tu godes son mec pendant qu’ils sucent un double gode— Salauuuuud !Je jouis comme une folle, l’image si vivante devant moi pendant qu’il vide dans mon petit cul, les mains crispées sur mes petites fesses, la queue fichée en moi et criant son plaisir.
Quelques temps plus tard , je croise le couple devant leur porte. Rien qu’à me voir les deux deviennent presque instantanément tout rouge. Nul doute qu’ils pensent et imaginent des tas de choses. Jugeant que la situation est favorable, j’en profite et m’arrête devant eux après les avoir salués.— Alors Chloé, ton homme s’occupe bien de toi ?— Euh oui, oui.— Et toi Dominique,  elle s’occupe bien de toi aussi ?— Euh oui madame,Comme ils sont adorables à ne même plus imaginer m’envoyer paître. Ahi ls sont bien pris dans la spirale du vice où je les entraîne. Je les fixe et d’un ton plus sec leur lance directement— Montrez-moi ça, roulez-vous une pelle !Ils se jettent presque l’un sur l’autre tant ils veulent bien faire, tant les sensations à le faire devant moi sont différentes.Cette fois, il lui serre et caresse les fesses, pendant qu’elle fait pareil et qu’ils se frottent le bassin l’un contre l’autre. Je les laisse s’exciter, ils sont collés et se touchent sans retenue. Quand je les sens «  à point » je les stoppe sèchement. Ils me regardent la bouche ouverte sans remarquer le fil de salive qui relie leurs lèvres gonflées, l’air interrogateur et surtout visiblement prés à continuer. Je m’adresse à lui cette fois :— Elle te suce ?— Oui, enfin pas, pas trop madame.Il est en jogging et une petite bosse en déforme l’avant — A genoux Chloé !— Désormais conditionnée, elle se met à genoux devant lui et attends mes ordres. Comme c’est excitant de les voir attendre, les sacs de courses posés prés d’eux. Je descends son jogging d’un coup sec, faisant jaillir sa verge. Elle n’est pas très grande, fine et déjà brillante de pré-sperme. JJe la prends en main et le tire ainsi vers sa bouche, touchant ses joues, ses lèvres en commentant le tout :— Voilà, Chloé, hume là, sens là, montre-lui que tu aimes sa queue.Prends la en bouche allezElle ouvre la bouche et avale facilement les trois quarts du sexe de son homme. Celui-ci commence tout de suite à donner de grands coups de hanche et je le stoppe tout de suite— Je comprends mieux, tu dois être plus doux au début, attends !Je me mets derrière lui et, le tenant je dirige le rythme de ses avancées. Chloé peut le prendre à son rythme et je la regarde pomper son homme devant moi. Je l’abreuve de compliments et son expression est toute fière. J’ose un – C’est bien mes petits chéris qui visiblement les ravit. — Chloé palpe lui les burnes en même temps voilà, Dominique savoure ce don qu’elle te fait.Je saisis la base de sa petite bite entre le pouce et l’index et le masturbe plus rapidement. Oh bon sang je branle un mec dans la bouche de sa copine le pied… Je sens ma petite culotte s’humidifier de minute en minute et j’adore cette sensation de domination.— Voilà Chloé pompe bien, montre-lui que tu aimes sa queue.Les images de ma pipe à Léo dans sa mémoire, elle essaye visiblement de s’en inspirer et donne de grands coups de langue le long de la tige. J’ai envie de les faire aller plus loin, de diriger encore plus et je le branle plus vite. — Voilà Chloé ouvre bien la bouche, allez tu vas le faire jouir Chloé, tu es super sexy
Elle est là, la bouche ouverte, un air fier sur son visage, les yeux fixés dans les miens. Je lui fais un petit clin d’œil, lui saisis la main avec laquelle elle palpait les bourses de son mec et la tire plus bas. Elle comprend et quand je lui dit d’une voix rauque  
« allez Chloé fais le jouir « le sursaut de son homme montre bien qu’elle lui a enfoncé un peu son doigt dans son anus. Sa queue a des soubresauts et il jouit immédiatement. Je dirige son sexe vers la bouche et les joues de la jeune femme comme si c’était moi le mec et il lâche trois belles giclées de sperme sur elle, la zébrant de son foutre. Je me mords les lèvres pour ne pas crier l’orgasme qui m’agite. Mais le jeu n’est pas fini loin de là. Elle me regarde et son visage montre que si jamais elle avait une aversion c’est fini au vu de son expression de satisfaction. Je secoue la verge de Dominique et lui dit de nettoyer Chloé pour la remercier. Comme j’appuie sur ses épaules en même temps, il se retrouve à genoux et viens lécher le sperme sur les joues de son amie. Putain le voir faire cela est un vrai régal et prolonge mon orgasme muet.
Quand il a fini de lui nettoyer le visage il me regarde d’un air interrogateur et je leur dis :— Maintenez partagez ce plaisir. Voilà c’est bien mes chéris. Ils s’embrassent sans tarder, se roulant une pelle chargée de sa semence.     Je remonte vers le second étage, les laissant affalés devant leur porte d’entrée, focalisés sur leur échange pervers. J’ai juste la force de rentrer chez nous, d’entrer dans le salon où Léo me regarde tout étonné et de lui dire d’une voix forte et pleine d’envie— Baise-moi, baise-moi j’en peux plus.
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