Résumé : Par le biais de différents jeux et d’un peu de de manipulations, nous avons révélés leurs penchants de soumis à nos jeunes voisins. De retour de vacances ils ont montrés qu’ils sont devenus accros.Après le jeune homme c’est au tour de Chloé d’aller plus loin…. Dominique est assis, ses genoux repliés sous lui, les mains à plat sur ses cuisses et il observe Chloé restée debout, le corps frémissant d’envie incontrôlée après la masturbation/exhibition de son homme et les jouissances que Léo et moi venons d’avoir. Je me suis éclipsée un court instant et j‘en ai profité pour revenir avec quelques accessoires : quand je la vois en «attente« cela me fait déjà chauffer le sang. Je la regarde, m’approche d’elle et la fixe. Dès qu’elle a baissé les yeux je vais lui rouler une pelle comme j’aime, lui aspirant la langue entre mes lèvres ; la serrant entre mes dents avant de la relâcher. Ensuite je lui ordonne de se placer entre les deux poteaux destinés à soutenir une future toile d’ombrage et je l’attache rapidement avec les cordes que j’ai ramené. Elle se retrouve un peu écartelée dans la position de l’homme de Vitruve et nous la contemplons Léo et moi d’un air affamé, son homme un air, disons intéressé.Elle est maintenant totalement offerte, totalement exposée. Je lui passe la langue sur la bouche et lui murmure à l’oreille que si elle veut stopper à un moment elle n’a qu’à l’exprimer. Inutile de dire qu’elle sait que nous serions déçus dans ce cas. Elle me regarde, subjuguée, la bouche ouverte, respire rapidement et je lui montre les deux pinces à linge que j’ai ramenées. Elle ferme les yeux puis les rouvre aussitôt une étincelle de plaisir et un peu de peur dans son regard. Je suce un peu son téton droit, le taquinant avec ma langue, l’étirant, la faisant gémir de plaisir puis d’un coup je stoppe et mets la pince à linge dessus. Elle lâche un petit gémissement mais ne dit rien et j’agis de la même façon avec son téton gauche avec le même résultat.Je me tourne vers Léo qui me sourit, complice et me laisser jouer à mon aise. Comme j’adore mon homme, toujours prêt à mon bonheur et qui me suit dans mes envies. Il est là comme un petit pacha et regarde mes actions avec plaisir. Je note que ce petit malin s’est un peu rapproché, le jeune homme toujours à genoux près de lui. J’ai ramené une petite badine, je la passe lentement sur son ventre, ses hanches, ses seins avant de passer le petit bout de cuir final sur sa bouche avec un air de prédatrice ; puis je passe de l’autre côté, prenant le temps d’admirer les fesses de ma soumise. Je me colle contre elle, lui mordille le lobe de l’oreille et lui déclare d’une voix chargée de promesses.— Je vais m’éclater à te taquiner tes fesses, elles me font trop envie.Je passe encore une fois ma langue sur ses deux globes jumeaux, histoire de la détendre, me recule et lui donne un petit coup sec, la faisant sursauter et gémir. Je n’ai jamais fait cela et j’ai un peu de mal à régler mes premiers coups sur son postérieur mais je sens en moi une pulsion, un instinct de dominatrice qui commence sérieusement à me faire mouiller. Quand j’ai fini mes dix coups , il y a deux fins petits traits rouges sur les fesses de Chloé dus à des coups un peu malhabiles mais le reste est bien fait. Elle a gémi mais n’a pas stoppé et quand je passe un doigt entre ses jambes, elle sursaute mais sa petite chatte est suintante de miel. Je ne suis pas au courant de toutes les subtilités des maîtres et je n’écoute que mon instinct. Mon instinct qui me commande d’aller à nouveau lui rouler une pelle. La façon dont elle y répond montre bien son accord, son envie, ses désirs. Je tapote le petit carré de cuir de ma badine sur son corps le faisant claquer de différentes façons, la faisant réagir de différentes manières. Je tapote ses cuisses, ses hanches, claque sur son ventre, la faisant se tendre d’un coup, gémissant entre douleur et plaisir. Je tapote son entrecuisse, quelques coups légers, puis plus forts avant de la doigter et de la faire bouger en cherchant la pénétration de mes doigts. Je lèche mes doigts bien humides de sa cyprine puis vais lui les enfoncer dans la bouche, bien profond, elle bave et respire par le nez mais ne se dérobe pas, tellement envieuse de me faire plaisir. Je ressens cette envie, ce désir un peu fou et c’est tout simplement puissant.Je joue ensuite avec les pinces à linge, tirant ses pointes, et les mmmm, aaah et ooh qu’elle lâche sont comme de petites notes de plaisir pour mes oreilles. Sa salive a un peu dégouliné dans son cou et sur ses seins et sortant le gode que j’ai ramené, je le lui enfonce dans la bouche. Il est à l’image d’un sexe de taille moyenne, un peu plus gros que mon gode-ceinture et après quelques mouvements, je pousse plus fort dans sa bouche, une larme ou deux coulent et je vais les lécher de la pointe de la langue avant de lui dire d’une voix déjà plus rauque— Je vais te baiser la bouche petite chienne, salive bien,Son« Oui maîtresse » jaillit comme un cri du cœur et je la récompense d’une petite pelle vorace avant de présenter le gode devant sa bouche. Bouche qu’elle ouvre en grand, prête à faire de son mieux. J’enfonce lentement mais sans stopper le gode dans sa bouche, stoppant quand elle a les bourses de silicone sur le menton. Elle bave, sa gorge est un peu déformée par l’engin mais sa chatte qui coule trahit son émoi. Je laisse le gode enfoncé quelques secondes puis le ressort avant de le replonger dans sa bouche — Voilà une bonne soumise, toute prête à bien bouffer de la bite.Son air, son rimmel qui a un peu coulé, générant quelques traces noires sous ses yeux, la salive sur son menton qui descend vers ses seins opulents, ah c’est si bon puis je vais lui lécher la bouche à grands coups de langue, c’est trash et cela m’excite un max. Après ce miel pour elle, je repasse au vinaigre et muni d’une raquette de plage que j’ai retrouvée dans le sac de vacances je m’attelle de nouveau à ses fesses, les faisant devenir d’une belle couleur rouge qui lui va à ravir. Tous les cinq claquettes, je caresse ses jolies fesses et passe un doigt inquisiteur dans son intimité si chaude et douce, doigt mouillé que je lui fais lécher ce qu’elle fait avec volupté. Oh bien sûr,elle tressaute sous chaque coup, se tortille, gémit mais ne se dérobe pas. Au bout de trois séries, je pose un petit bisou sur ses délicieuses fesses et je repasse à ses seins, je tire les pinces à linge, lentement, son corps suit le mouvement et une fois bloquée par les cordes ses seins se tendent, s’étirent, se tendent encore plus et quand la pince lâche, elle crie avant de s’affaisser de nouveau.Je la regarde, lui sourit et saisit la seconde pince quand j’avise son mec qui se caresse un peu en essayant de se cacher, je le stoppe immédiatement d’un sec : -Va sucer mon homme au lieu de te tripoter petit pervers.Il s’exécute immédiatement sans même penser que ce que je lui demande est bien plus osé et va s’occuper de mon Léo toujours prêt à suivre mes fantasmes, oh bon sang comme j’aime son ouverture d’esprit, sa coolitude.Chloé est comme moi, fascinée par son mec qui s’escrime à procurer une belle fellation au mien, il s’active, la bouche bien ouverte sur son gros gland, hùmm ça m’excite tout cela mais holà, je ne vais pas en oublier ma soumise.Quand je tire sur la seconde pince, elle est encore dans la vision et son cri est plus un cri de plaisir que de douleur, hmmm elle a franchi une petite étape. Je lèche ses tétons rougis et tendus et elle gémit de plus belle. Quand je la doigte elle est toute humide et je partage avec elle son goût. Mais pendant ce court baiser, mes mains ne restent pas inactives et je caresse ses seins de plus en plus fort, ses gémissements sont étouffés par notre baiser, ou plutôt ce combat de langue tant c’est sauvage !Je me recule un peu et, les yeux dans les yeux, serre de plus en plus fort avant de desserrer et de mordiller un téton après l’autre. Ses seins lourds me donnent envie de les tripoter, triturer, peloter, malaxer depuis la première fois que je l’ai croisée. Oh, j’ai déjà touché d’autres seins ( sans parler des miens) mais sa poitrine m’excite tout simplement. Je prends mon pied à tirer, pincer, étirer sa lourde poitrine aux tétons durs comme de la pierre tant ils sont gorgés de sang et durcis par l’excitation et mes doigts. Elle s’agite dans ses liens, de la sueur coule sur son front . Je laisse sa poitrine un peu tranquille et repasse derrière elle mais à peine a t’elle poussé un petit soupir de détente que je descends mes doigts sur son entrecuisse et vais directement enfoncer les majeurs de mes mains dans sa chatte trempée et son fondement, elle crie sous les intromissions conjointes et je la pistonne sans retenue, la faisant presque jouir. C’est le mot presque qui compte car je la maintiens sur le fil du rasoir, sur la crête de l’orgasme. Je pense passer à l’étape baise mais là, elle se tend vers,m’offrant ses beaux seins et ses yeux implorants disent « encore ». Je la regarde , je regarde ses seins lourds et donne une claque sur le sein droit. Son « oumfff » est étouffé mais ses yeux et surtout le fait qu’elle se tende à nouveau vers moi disent ses envies. Je n’avais pas imaginée aller aussi loin, et encore moins aussi vite mais je comprends qu’elle a évoluée bien plus vite que moi. Je claque son autre sein et elle gémit de la même façon. Je redonne plusieurs claques faisant rougir ses seins et si elle se tortille et que son corps se tend, son entrecuisse est maculé de cyprine. Léo qui se fait sucer par son mec à genoux entre ses cuisses, me regarde, assez étonné de cette transformation quand même différente d’une fessée. Il met alors les mains sur la tête du jeune homme et lui dit fait :— Allez bouffe moi jusqu’aux couilles petite lopeJ’ai l’impression que Dominique frétille du cul à entendre cela et le sourire de Léo montre bien que le jeune s’exécute parfaitement.Nous avons vraiment trouvés des perles dans ce couple et moi qui presque ignorante dans ces trips craignais d’aller trop loin !Je fais rougir ses seins par plusieurs petites claques, je lui donne de façon irrégulière des baisers tendres ou plus sauvages sur les tétons et la bouche, je tire fort les tétons et tout mon corps s etend.— Tu est bien punie petite chienne— Oui, maîtresse, oh c’est … Oh c’est fort, encore— Tu vas souffrit ma chérieElle manque défaillir quand je lui dis petite chérie et je la branle avant de partager avec elle mes doigts gluants de jus. On finit en se léchant la bouche, les joues, le nez, échangeant salive et cyprine dans un pur délire En fond sonore les bruits obscènes émis par la pipe de Dominique me font comprendre que mon homme est plus que prêt, je lui fait signe de venir et il s’approche, la verge tendue, le jeune voisin est là, la bouche ouverte, de la bave aux lèvres, son petit sexe tendu prêt à cracher son jus. Je me recule, enjoint à Dominique qui a été bien obéissant de venir de lécher sa copine pendant que je m’équipe. Quand Léo passe derrière Chloé et voit ses fesses plus que rougies, il m’embrasse avec ferveur. Je détache les pieds de la jeune femme, me met en face d’elle et d’une poussée introduit mon gode dans sa chatte ruisselante. Son mec vient écarter ses fesses et Léo s’introduit lentement dans son petit cul pour offrir à la jeune soumise sa première double pénétration. Elle halète, gémit, je sens son corps frémir sous la poussée de la queue de mon mec et lui ressens la présence de mon sexe factice qui contribue encore à serrer le sien dans le fourreau de son cul. Nous laissons souffler Chloé une fois qu’elle est totalement prise avant que Léo ne se mette à la prendre puissamment, je ne tarde pas à trouver trouver mon rythme avec lui. Mes seins frottent contre ceux de Chloé qui n’arrive plus à m’embrasser tant elle halète et gémit. Du coin de l’œil je vois que son mec se branle à toute allure en nous fixant et je sens les coups de queue de Léo. Les gémissements de Chloé se sont transformés rapidement en sons de pur plaisir tant je l’avais emmenée loin et en même temps si proche de sa jouissance. Je ressens les poussées de Léo qui la prend sans retenue, dans mes oreilles j’entends les « encore, encore, oh putain, c’est diiiiingue « de Chloé et je me sens bien. Le petit bout du gode ceinture appuie sur mon clito et c’est délicieux. Entre deux petits cris, on se donne des coups delangue comme deux vraies salopes, nous sommes déchaînées et, même si la position n’est pas vraiment confortable, c’est le pied de la prendre ainsi. Son mec jouit rapidement dans sa main et le regard halluciné de Chloé montre qu’elle apprécie ce surplus d’excitation. Léo la défonce, la faisant presque se soulever du sol à chaque coup de boutoir et pour une fois , c’est lui jouit dans un grand cri libérateur. Nous le suivons dans le plaisir et je m’effondre presque au sol tandis que Chloé est heureusement retenue par les liens sinon elle se serait écrasée au sol tant elle est allée au bout de son orgasme, au bout d’elle-même.Je n’ai plus de force et c’est Léo qui la détache ensuite avant que tous, on ne s’effondre sur les matelas ; totalement repus de plaisir.
