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La descente aux enfers d’Aurélie

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Chapitre 4
Pendant que je m’activais dans le salon, j’entendais ma maîtresse aller et venir dans sa chambre. Elle attendit que j’ai fini de passer l’aspirateur avant de m’appeler. La clochette résonna et je me pressais de me rendre auprès d’elle.
— A vos ordres, maîtresse.— Viens me laver et m’habiller. Je dois sortir.— Bien maîtresse.
Une nouvelle fois, j’eus sous les yeux le corps magnifique de ma maîtresse. Une fois qu’elle fut nue, elle se dirigea vers la salle de bain et je la suivis. Devant moi, je voyais ses fesses bouger, des globes qui attiraient mon regard et mes mains. Pourtant je sus me retenir. Nul doute qu’elle m’aurait fouettée, si d’aventure je l’avais touchée sans sa permission. Je fis couler l’eau et la réglai à la bonne température.
— Maîtresse, votre douche est prête.— C’est bien. Va dans la chambre et sort mon ensemble lingerie rose, le shorty et le balconnet, des bas dim-up et ma robe rose à bretelles.— Bien maîtresse.
je me rendis dans la pièce et sortit de la commode les sous-vêtements demandés. J’ouvris ensuite la penderie et sortit la robe. Puis j’attendis le bon vouloir de ma maîtresse. J’entendais l’eau de la douche couler et j’imaginais que je la lavais, faisant glisser mes mains sur ce corps que je vénérais désormais. Sa voix impérieuse me tira de ma rêverie.
— Cybèle, viens m’essuyer. Dépêche-toi.— J’arrive, maîtresse.
Je m’emparai de la serviette et la tendis devant moi, afin de l’accueillir et de la sécher. Je frottai doucement ses membres, son dos, et je tremblai lorsqu’il fallut passer à ses seins, ses fesses et son sexe. Avoir tous ses appâts si près de moi me rendait folle de désir. Pourtant, je savais ne pas devoir les caresser sous peine de punition. Lorsqu’elle jugea que je l’avais suffisamment séchée, elle sortit de la salle de bain. Posant la serviette, je la suivis et lui présentai le shorty en m’agenouillant devant elle. J’avais au niveau de mes yeux sa chatte glabre, bien dessinée, aux lèvres ourlées (La mienne ressemblait plutôt à un simple trait de crayon entre mes cuisses). Lorsqu’elle leva la jambe pour passer le vêtement, ses lèvres s’ouvrirent et je faillis me laisser aller. Je me retins de justesse. Je fis glisser le sous-vêtement sur ses cuisses et l’ajustai sur ses hanches et ses fesses. J’agrafai ensuite le soutien-gorge, passant mes doigts sous les bonnets pour bien mettre en place les mamelons. Véronique s’assit sur le lit et me tendit son pied. Je fis glisser le premier bas, le tendant sur la jambe. A chaque instant, la tentation était forte d’embrasser ses pieds, remonter le long de la jambe et se perdre dans la fourche de ses jambes. Pourtant je savais que toute initiative de ce genre me vaudrait une punition. En passant l’autre bas, je ne pus m’empêcher de caresser la jambe sur toute la longueur, à travers le tissu. Cela me valut un regard moqueur de la part de Véronique, qui m’intima :
— Mets-moi mes chaussures. Mes escarpins assortis, dépêche-toi.
Je me précipitai dans le dressing et revint avec les chaussures demandées. Je les lui passai, sans manquer de caresser les chevilles de ma maîtresse.
— Je te plais ? demanda-t-elle en se levant et en tournant sur elle-même, dévoilant très haut ses cuisses gainées de nylon.— Oh maîtresse, vous êtes si belle !— Allez, suis-moi. Je dois m’en aller et je ne veux pas te laisser déambuler dans l’appartement.
Je la suivis servilement et elle m’emmena dans ma chambre. Là, elle sortit de l’armoire une chaîne d’une longueur de trois mètres environ. Elle passa un cadenas à l’anneau de mon collier et le ferma sur le premier maillon de la chaîne. Elle passa l’autre extrémité de la chaîne autour de la barre du lit et ferma un autre cadenas. Ainsi, j’étais reliée au lit et je n’avais que trois mètres de libre. Ensuite, elle fixa les mousquetons de mes bracelets à mon corset et je fus immobilisée, les poignets au niveau de la taille. Pour terminer, elle me fit ouvrir la bouche et me mit un bâillon-boule. Elle sortit de la pièce et revint avec un seau hygiénique, qu’elle posa dans un coin.
— Voilà, tu seras bien. Si tu as envie de pisser, sers-toi du seau. A tout-à-l’heure.
Elle sortit dans un grand éclat de rire et j’entendis bientôt la porte d’entrée se fermer. Je demeurais seule, ligotée, coincée dans quelques mètres carrés. Le temps passa très lentement. Au bout d’un moment, je n’eus d’autre solution que celle de m’étendre et je finis par m’endormir. Le bruit de la clé dans la serrure et le porte qui s’ouvrait me réveilla.Elle attendit près d’une demi-heure avant de venir me libérer. Elle me fit me pencher sur le lit et déverrouilla la ceinture. Elle eut quelques difficultés à retirer les godes enfoncés en moi. Je ne pouvais me retenir de geindre, tant la douleur était forte. Plus encore celle qui irradiait de mon anus.
— Ton trou est tout rouge, me dit-elle, je crois qu’il va falloir surseoir à cette sodomie. Ne bouges pas, je vais te soigner. Il doit bien y avoir quelque chose dans la pharmacie.
Elle revint quelques instants en plus tard avec un tube de pommade dont elle m’enduisit l’anus. Une fraîcheur bienfaisante, suivie d’une disparition de la douleur se fit bientôt.
— Je crois que ton cul a besoin de repos. De plus, il va falloir trouver autre chose. On ne peut plus te boucher en permanence. Je ne pensais pas en arriver là, mais c’est la seule solution. Je vais te faire anneler la chatte.— Anneler, maîtresse ?— Oui, je vais te faire poser des anneaux aux lèvres qui pourront être reliés ensembles pour empêcher toute pénétration vaginale.— Comme il vous plaira, maîtresse.— Bien sûr que cela me plait. N’oublie pas ton acte de soumission.— Je ne l’oublie pas, maîtresse.— Bien, je vais prendre contact avec un cabinet de piercing et un tatoueur. Au fait, je vais organiser une fête samedi, avec quelques personnes de ta connaissance. Tu devras leur faire honneur. Je compte sur toi.— Bien maîtresse.
Elle quitta la pièce, me laissant attachée au lit. Pendant son absence, je me demandai qui pouvaient bien être ces connaissances. J’en avais bien peu et je ne pensais pas que Véronique les connaisse. J’avais toujours été quelque peu solitaire et ne me liait pas facilement. Si j’avais su…Lorsqu’elle revint, elle affichait un sourire satisfait.
— Nous avons rendez-vous mardi prochain. Je vais te dire ce qui va t’arriver. Je vais te faire poser des anneaux, aux seins et à la chatte. Aux seins, ce sera des anneaux de trois centimètres de diamètre et quatre de section. Pour la chatte, ce seront quatre anneaux sur chaque lèvre qui pourront être reliés entre eux par une tige terminée par un emplacement pour un cadenas. Ainsi, je pourrai disposer de ta chatte comme il me plaira. De plus, pour que tu ne te branle pas le clito, je ferai installer une barrette juste au-dessus du capuchon. Une petite plaque, reliée à la tige de tes lèvres et la barrette occultera complètement ton clito. Qu’en penses-tu ?— Qu’il en soit fait selon votre bon plaisir, maîtresse !— Tu n’as rien à dire ?— Non, maîtresse, je vous ai abandonné mon corps et mon âme. Je vous appartiens et vous pouvez user de moi comme il vous plaira.
Une nouvelle fois, elle esquissa un sourire carnassier et défit ma chaîne. Elle m’entraîna dans le salon et me fit signe de m’agenouiller devant elle, ce que je fis aussitôt. Je commençai à me douter de ce qui allait arriver. Il y avait cinq jours que j’avais été fouettée et les marques commençaient à s’estomper. Elle allait donc recommencer à me fouetter. Lorsqu’elle revint avec la cravache, je n’eus plus aucun doute.
— Mets les mains derrière la nuque, me dit-elle, désormais, je te fouetterai sans t’attacher. A moins que tu ne te rebiffes.— Non, maîtresse, je ne me rebifferai pas.— Aujourd’hui, je ne me contenterai pas de tes fesses. Je te fouetterai aussi les seins et le ventre.
J’attendis le premier coup. Elle passa dans mon dos et me cingla violemment les fesses. Sous le choc et la douleur, je tombai à quatre pattes en soufflant. Je frottais mes fesses meurtries lorsque la voix dure de ma maîtresse me rappela à l’ordre :
— Dois-je t’attacher ? reprends la position, tout de suite.
Les larmes aux yeux, le cul brûlant, je me redressai et remis les mains derrière la nuque. Elle recommença à me cingler les fesses avec vigueur. Neuf coups succédèrent au premier et lorsqu’elle cessa, je ne sentais plus mon cul. Elle passa devant et frappa mes seins, sans toucher aux aréoles, à trois reprises. A chaque fois, je me pliai en deux, mais ne quittai pas les mains de ma nuque. Les larmes qui coulaient de mes yeux faisaient que je voyais tout trouble, et je ne distinguais que les jambes de ma maîtresse.
— Penche-toi en arrière et pose tes mains derrière toi, me dit-elle, en caressant mon ventre du bout de sa cravache.
Je pris la position demandée et attendit le premier coup sur le ventre. Lorsqu’il arriva, je hurlai de douleur, mais réussi à ne pas rompre la position. A trois autres reprises, la lanière cingla mon ventre, entre la base de mes seins et mon pubis.
— Voilà, c’est terminé. Suis-moi !— Merci, maîtresse, d’avoir si bien fouettée la salope que je suis.
Des larmes plein les yeux, je suivis ma maîtresse. Tout mon corps me faisait mal, mais j’avançai jusqu’au canapé où elle s’assit. Là, elle retroussa sa jupe et écarta les cuisses. J’avais sous mon regard sa culotte humide d’excitation, excitation de m’avoir corrigée. Malgré moi, je déglutis et je sentis ma chatte palpiter. Dieu que cette femme m’excitait. Je me damnerais pour elle. Voir ses cuisses blanches, au-dessus de ses bas et cette culotte rose dissimulant de moins en moins sa chatte aux lèvres si bien ourlées, au fur et à mesure de la montée de son excitation, me rendait folle de désir. Pourtant, il fallait que j’attende son ordre. Elle me fit signe de m’approcher et me stoppa lorsque mon nez toucha le fin tissus qui cachait ses trésor. Je humai l’odeur poivrée de ses effluves intimes et mon ventre se crispa d’impatience et de désir. Vicieuse, Véronique se frotta la culotte contre mon visage. L’humidité de son sous-vêtement mouillait mon visage, accentuant mon désir, ma frustration. Enfin, elle me dit, en se replaçant sur le siège :
— Fais ton travail, Cybèle.
Je ne me le fis pas dire deux fois. J’écartai le tissu qui me gênait et passais la langue sur ses nymphes gonflées. Elle cambra les reins pour accentuer la caresse. Bientôt, ce ne fut plus que des gémissements de sa part. Ses coups de reins plaquaient sa chatte sur mon visage, m’empêchant parfois de respirer. Toutefois, cela ne m’empêchait pas de laper comme une jeune chienne, toute la liqueur s’échappant de son intimité. Je donnais des grands coups de langue à l’entrée de son vagin, puis, plus délicatement, je titillais son clitoris qui grossissait sous l’effet des caresses. Elle haletait de plus en plus fort, jamais encore je ne l’avais vue comme cela. Lorsque la jouissance la prit, elle hurla son plaisir et, me saisissant la nuque, me plaqua contre sa chatte. Elle donnait des coups de ventre désordonnée, me maculant le visage de son plaisir, m’étouffant contre son pubis. Pourtant, je n’aurais laissé ma place pour rien. Je n’étais pas peu fière du plaisir que je donnais à ma maîtresse.Enfin, elle se calma et relâcha ma tête. Je sentais qu’elle me fixait d’un regard trouble. C’est d’une voix rauque qu’elle me demanda :
— Cela t’a plu, salope ?— Oui, maîtresse, j’aime vous donner du plaisir, j’aime votre goût et votre odeur.— Tu as envie de te branler ?— Oui maîtresse, j’ai envie de jouir !— Allonge-toi sur le dos, écarte les cuisses.
J’obéis aussitôt et lui offrit la vue de ma chatte trempée, de mes cuisses humides.
— Eh bien, dis donc, ma salope, tu es trempée. Vas-y, branle-toi !
Sans la regarder, je glissai mes doigts vers ma vulve et commençai ma masturbation. La savoir en train de me regarder, m’humiliait et m’excitait à la fois. Je faisais courir mes doigts sur ma fente, titillais mon clitoris, et bientôt, je sentis la jouissance monter.
— Arrête, me lança-t-elle durement.
Frustrée, je m’arrêtai, laissant mes bras retomber le long du corps. Mes cuisses écartées lui laissaient voir ma chatte trempée et mon clitoris rouge de désir. J’attendais le non vouloir de ma maîtresse pour recommencer.
— Recommence, me lança-t-elle, goguenarde.
Je recommençai à me caresser. Une nouvelle fois, elle m’arrêta juste avant la jouissance. Je me mis à pleurer de frustration. Ma maîtresse n’en eut cure, puisqu’elle me fit recommencer et cesser au moins trois fois. J’en tremblais d’envie de me libérer enfin.
— Finis-toi, me dit-elle enfin.
De peur qu’elle ne m’arrête encore, je pinçai fortement mon clitoris en enfonçant ma main le plus profondément possible dans mon vagin. Un orgasme fulgurant monta en moi et je hurlai à mon tour mon plaisir. Je sentis un liquide gicler de ma chatte et aller s’écraser sur mes pieds. Jamais encore je n’avais ressenti un tel plaisir. Il me fallut bien cinq minutes pour émerger. De mon orgasme. Ce fut la voix de ma maîtresse qui me fit revenir à la réalité.
— Eh bien, ma salope, tu t’es vraiment laissé aller. Maintenant, tu n’as plus qu’à nettoyer.
Je me redressai sur les genoux pour constater qu’une mare de mouille souillait le sol à mes pieds, et une autre, moins importante, s’étalait à une cinquantaine de centimètres de là. J’allais me diriger à quatre pattes vers la cuisine pour chercher une serpillère, lorsque Véronique m’arrêta :
— Non, non, pas de serpillère. Tu vas nettoyer tout cela avec ta langue. De toute façon, cela sort de toi, c’est normal que cela y retourne, n’est-ce-pas ?— Oui, maîtresse.
Je m’approchai avec circonspection de la plus petite flaque. Si j’avais déjà goûté la mouille de ma maîtresse, je n’avais jamais léché la mienne. Je me penchai et humai la flaque. Une douce odeur, un peu plus forte que celle de Véronique me parvint aux narines. Je passai la langue sur le liquide et avalai. Le goût de ma cyprine était aussi plus fort, plus poivré que celui de ma maîtresse, mais pas désagréable. Je me mis à lécher avec entrain, d’abord la petite flaque, puis la grande. Il me fallut bien dix minutes pour tout nettoyer. Je ne sentais plus la brûlure des coups de cravache. Lorsque j’eus terminé ma tâche, ma maîtresse me ramena à mon réduit, rattacha la chaîne et fixa mes bracelets de poignets près de mon cou.— Ainsi, dit-elle, tu n’auras pas la tentation de te branler. Je veux que tu sois prête pour demain soir.
Et elle me laissa seule, fermant la porte du cagibi. Restée seule, je me mis à réfléchir. Que de changement dans ma vie depuis quelques temps. En un mois et demi, j’étais passée de bourgeoise frigide et rigide, à salope soumise et très docile. En si peu de temps, j’avais sucé un homme – Franck – avalé son sperme, je m’étais faite enculer, fouetter, attacher, j’avais sucé et fait jouir une femme, à qui j’avais donné tout pouvoir sur moi. J’avais tout perdu, mon travail, mon homme, mes vêtements, mon libre arbitre. J’allais servir de vide-couilles à d’autres personnes, j’allais être percée aux seins et à la chatte. Peut-être allait-elle me prostituer, me faire saillir par des animaux, que sais-je encore, car je me doutais qu’elle avait l’imagination très fertile à ce sujet, et pourtant, je ne m’étais jamais sentie aussi heureuse. Enfin, je sentais que j’avais un but à ma vie. Je savais que pour beaucoup de mes semblables, j’allais passer pour une folle et personne ne me comprendrais. Peu importe, j’avais trouvé ma voix. Sur cette digression, je m’endormis.
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