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La descente aux enfers d'une veuve 6

Chapitre 2

Le père Dubois

Lesbienne
Le lundi suivant, en début d’après-midi, Annie décide de revenir voir le Père Dubois pour respecter son engagement. Le temps est très clément et elle n’a pris qu’une petite jupe mini à volants surmontée d’un corsage blanc presque transparent laissant deviner le soutien-gorge noir que lui avait offert sa patronne, mais marquant bien les tétons se dressant à travers les bonnets. Par coquetterie, mais aussi par envie, elle a mis le porte-jarretelles, mais sans les bas et sans culotte.Peut-être cette tenue n’est-elle pas appropriée pour aller voir le Père Dubois pense-t-elle, mais elle se sent à l’aise et c’est le principal.

Arrivée à la sacristie, son confesseur l’accueille chaleureusement avec une bise sur le front.
— Assieds-toi Annie. Alors, que me racontes-tu ? — Samedi, je suis allée voir mon amie (elle a failli dire « ma Patronne.— en respectant ses consignes de tenue vestimentaire, c’est-à-dire nue, sous ma robe juste avec un soutien-gorge. A mon arrivée, elle m’a conduit dans sa chambre où j’ai découvert étalée sur le lit une parure de dessous composée d’un soutien-gorge pigeonnant, d’une petite culotte, d’un porte-jarretelles assorti et d’une paire de bas de soie noirs. Comme elle avait pris de l’ascendant sur moi pour me faire accepter ses assauts, elle m’a ordonné de passer les sous-vêtements. Cela m’a terriblement excitée. Elle m’a caressée, c’était agréable et nous avons fait l’amour. Je reconnais que grâce à vous, je n’avais plus de réticence et j’ai pris un grand plaisir. Même en vous en parlant maintenant, je ressens des sensations dans mon bas-ventre. Est-ce que vous réprouvez mon attitude ?»— Non Annie, en tant qu’homme et non prêtre, je comprends tes réactions surtout quand tu me dis que cela t’excite encore devant moi. Ton amie a eu raison de vouloir mettre ton corps en valeur que je soupçonne désirable, et si tu acceptais, j’aimerais bien profiter de la vue de cette parure. Je devine ta généreuse poitrine sous ton corsage et en t’asseyant devant moi, j’ai cru distinguer les attaches de ton porte-jarretelles. Tu me dis que tu es excitée à l’évocation de votre rencontre, mais je peux te dire que moi aussi, tu m’as excité. — Mon Père, à mon tour je comprends votre réaction, mais est-ce bien correct que j’accède à votre désir de ce qu’on pourrait appeler du voyeurisme ? — C’est toi qui décides Annie, mais comment peux-tu refuser de te montrer belle et désirable ? Si tu acceptes, je t’autorise à ne pas m’appeler "mon Père".

Sans répondre, Annie commence à se dévêtir lentement du haut, laissant émerger son opulente poitrine qui, sous l’action du déshabillage, laisse échapper un sein de son bonnet.
— C’est très difficile de rester de marbre ma petite Annie. Je demande l’autorisation de caresser ce que je viens d’apercevoir.
Annie qui s’est énormément enhardie se rapproche très près de Pierre jusqu’à proposer le sein dénudé à l’entrée de la bouche du prêtre. S’ensuivent des caresses puis une série de sussions du mamelon dur et ferme dressé comme une énorme protubérance. Une main de Pierre descend le long de la jupe d’Annie pour la relever et atteindre la toison mouillée non protégée par une culotte.
— Tu n’as pas de culotte et tu mouilles abondamment.— J’éprouve beaucoup de plaisir à avoir le cul nu. Je suis sûre que vous bandez Pierre. A mon tour de vous demander de me montrer.
Sans attendre l’autorisation, la salope dégrafe le pantalon du Père Dubois qui laisse échapper un énorme braquemart tendu vers les mains d’Annie.
— Quelle belle bite Monsieur le Curé ! veux-tu que je te suce Pierre ? — Oui j’ai très envie, mais tu vas m’inciter à te baiser et je ne vais pas pouvoir résister. — C’est bien ce que j’espère. Me faire fourrer par un tel engin me rend folle de plaisir.— Viens dans la pièce à côté, la vue du crucifix au-dessus de nous me rend anxieux et risque de me couper tous mes effets.
Une bonne partie de baise se déroule donc hors la vue de Jésus.

Avec frénésie, le Père Dubois achève de déshabiller Annie qui se présente donc en soutien-gorge dont un sein est sorti de son bonnet, en porte-jarretelles. Elle est juchée sur ses talons hauts, jambes écartées.Le Père Dubois s’agenouille devant le spectacle de ce pubis dissimulé par l’épaisse toison, ses mains caressent longuement les jambes de la petite salope, remontent dans l’entrejambe pour écarter les lèvres de la chatte et saisir délicatement le clito.
— Suce-moi, bouffe-moi la chatte, mets tes doigts dans mon con et baise-moi.
Ces injonctions et ce vocabulaire qui ne ressemblent pas à la petite Annie pieuse et très sainte-nitouche excitent le curé au plus haut point.
— Viens par terre sur le tapis je te promets que je vais te défoncer.
A grands coups de boutoir, Pierre effectivement défonce sa partenaire et les deux sont si excités que l’orgasme commun ne tarde pas à venir. Annie, les mains sur ses seins, est prise d’un tremblement qui trahit une extrême jouissance.Après de brefs instants de repos, nos deux partenaires se rhabillent pour se quitter.
— Annie, je pense que maintenant, tu ne te poseras plus de questions métaphysiques sur l’exercice de ta sexualité. Je suis content de t’avoir aidée. De plus, tu m’as donné un réel plaisir. Crois-tu que nous recommencerons ? — Nous ne pouvons jurer de rien, mais pensez que vous avez fait vœu de chasteté !!
Le père Dubois pose un doigt sur la bouche d’Annie comme pour lui dire de se taire.

Sur ces paroles d’un presque au revoir, nos deux protagonistes se séparent.

Sur le chemin du retour, la petite salope devenue un peu accro de la bi sexualité, se délecte en se repassant le film. Cette fois, elle sait où trouver une vraie queue qui pourra peut-être aussi l’enculer. Néanmoins, elle pense à sa Patronne Clotilde qui avait fait d’elle une soumise. Le dernier petit jeu avec elle avait montré que les rôles pouvaient s’inverser. Elle imagine les jeux pervers qu’elle pourrait inventer avec sa patronne. Elle a eu de tels moments d’extase qu’elle a vraiment hâte de la retrouver. Dommage que le mari de Clotilde soit rentré, mais en général, lors des après-midi de service d’Annie, Clotilde est seule.Demain à 15 heures elle se présentera comme à l’accoutumée au portail de la villa.
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