15 heures, c’est donc l’heure d’embauche d’Annie. Sa patronne lui avait demandé de se présenter à chaque fois nue sous sa blouse, mais elle a préféré revêtir la parure qui lui a été offerte : soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas de soie.Sur le chemin qui la conduit à la villa de Madame Clotilde, la tête d’Annie est pleine de préoccupation : Penser à son travail, vivre une nouvelle aventure avec sa patronne, va-t-elle lui parler de son « entrevue » avec le Père Dubois ? Va-t-elle rester soumise ou prendre le dessus ? Si Louis le mari de Clotilde est de retour, devra-t-elle rester bien sage ?
Après s’être annoncée au portier de la grille, Annie entre dans le hall où l’attend Clotilde. — Bonjour Nini, je t’attendais. Après un bref baiser affectueux sur la bouche, Clotilde passe une légère caresse sur l’entrejambe de son employée.
« Aujourd’hui, j’ai un long travail à te confier, tu vas faire les carreaux de toute la villa. Je sais que ce sera long, peut-être plusieurs jours, mais prends ton temps, je t’ai préparé tout le nécessaire dans la cuisine. Tu commenceras par l’entrée, y compris les glaces et si tu veux, si tu es libre, tu pourras dîner avec nous. Louis ne va pas tarder à arriver, il est parti faire un tour à son entreprise. Moi, j’ai du travail administratif, je serai dans mon bureau si tu as besoin de moi.Ah oui, j’oubliais, aujourd’hui, tu restes habillée avec ta blouse de travail, Monsieur étant là, tu comprends ? »« Bien Madame, si je comprends, nous serons sages ! »
Clotilde part dans un fou rire. — Tu sembles y avoir pris goût ma petite salope.— Oui Madame, vous avez accepté aussi que je vous traite de salope malgré tout le respect que je vous dois.— C’est vrai, mais uniquement pendant nos parties de plaisir, en dehors, chacune reste à sa place, mais je reste ta patronne. Et tu es ma soumise en tous points.— Je vous ai donné mon accord. J’ai raconté nos relations au Père Dubois sans dire qui vous étiez et il m’a bien fait comprendre qu’à partir du moment où il y a consentement, prendre du plaisir vaut mieux qu’entrer en permanence en conflit comme on le voit trop souvent de nos jours sur tous les sujets. Il m’a permis de faire la part des choses avec ma pratique religieuse et vous avez pu constater que je suis libérée.— Il est très philosophe le Père Dubois. Un ecclésiastique n’en reste pas moins un homme. Je le remercie de t’avoir libérée psychologiquement, mais tu ne lui as quand même pas tout raconté même si la confession est très confidentielle et frappée du sceau du secret ? — Je lui ai dit beaucoup de choses et mon récit l’a énormément excité, il me l’a fait comprendre avec quelques caresses.— Tu crois qu’il aurait voulu te baiser ?
— Il l’a fait ! — Le Père Dubois t’a baisée ? Rien que d’y penser, tu me fais mouiller. Mais arrêtons là cette discussion, tu m’en diras plus. Pense que tu as beaucoup de travail.— Bien Madame, je vais me mettre à la tâche. Pendant qu’Annie est occupée à nettoyer les miroirs de l’entrée, Louis, le mari arrive. — Bonjour, Monsieur, vous êtes Monsieur Louis ? — Oui, bonjour et vous êtes la nouvelle femme de ménage ? — Oui. Madame est dans son bureau, elle m’a dit qu’elle avait à faire de la paperasse. Louis entre dans le bureau de Clotilde. — Je viens de voir la nouvelle femme de service, elle m’a l’air drôlement bien foutue, sous sa blouse on devine une poitrine imposante.— Tu as déjà remarqué ça mon cochon, je pense qu’elle va rester dîner avec nous, mais je te demanderai d’être correcte. Elle est très catho.— Je n’ai rien dit de mal, mais tu ne peux m’empêcher de penser qu’elle est bien foutue et qu’elle peut être même excitante. Bon, je vais prendre ma douche et nous prendrons l’apéro sur la terrasse. Tu pourras peut-être dire à ... comment s’appelle-t-elle ? — Annie, je l’appelle Nini.— Donc tu pourrais lui dire de nous servir ? Est-ce dans son contrat ? — Oui, elle est très dévouée. Après cette brève discussion, il vient une idée à Clotilde. Elle va retrouver Annie à son ouvrage. — Nini, quand je t’appellerai, tu viendras nous servir l’apéritif en terrasse, mais après avoir enlevé ta blouse de travail. — Mais Madame, je suis nue dessous comme vous me l’avez demandé quand je viens chez vous, j’ai juste la parure complète que vous m’avez offerte. — Fais voir. Hum ... tu m’excites, mais tu nous serviras comme ça. Mon mari a déjà reluqué tes formes. Tu vas l’exciter un maximum et il n’aura pas le droit de te toucher, ce sera pour le punir de toujours courir les femmes. — Si vous voulez, je pourrai forcer la provocation en vous caressant devant lui.— Oui c’est une bonne idée, on se gouinera devant lui jusqu’à le faire baver d’envie. Je vais préparer les apéros dans la cuisine et je te ferai signe pour nous servir. Après sa douche, Louis a en filé son peignoir de bain et s’est installé sur la terrasse où Clotilde l’attendait en déshabillé. — Alors, tu as commandé ta servante pour nous servir ? — Oui elle est prête (lapsus de Clotilde qui voulait dire « elle va venir.— Nini, tu peux nous servir. »
C’est alors qu’Annie se présente juchée sur des talons hauts avec son soutien-gorge, laissant apparaître les tétons de son imposante poitrine, string, porte-jarretelles et bas noirs tenant le plateau des consommations.Louis n’en croit pas ses yeux tellement la surprise est incroyable, mais il ne se démonte pas. — Eh bien ma chère Clotilde, ta Nini ressemble plutôt à une vraie pute, mais pas à la grenouille de bénitier très catho comme tu me l’avais dit.— Je sais qu’elle t’excite, mais elle n’est pas pour toi. Elle m’appartient. Elle est pour moi.— Tu ne vas pas me dire que tu te gouines avec elle ? — Si, et tu n’as pas le droit de la toucher. Nini, donne-nous les consos et viens sur mes genoux que je te pelote. Regarde ce vieux cochon, je suis sûr qu’il bande comme un taureau. Assise à califourchon sur sa patronne, Annie se laisse caresser les seins. Les lèvres des deux gouines se rencontrent et s’ensuit un échange de salive accompagné de jeux de langues fourrées. — Je sens que tu mouilles à travers de ton string, enlève-le et balance-le à notre voyeur. Annie se lève, fait glisser la culotte et s’approche de Louis en lui passant le morceau de tissus bien humide sur la figure. Louis esquisse une caresse sur l’entrejambe de la servante, mais Clotilde réagit : — Pas touche, je t’ai prévenu. Nini, reviens vers moi que je te bouffe la chatte. Plantée debout, les jambes écartées au-dessus la bouche de sa partenaire, Annie se laisse aspirer le clito pendant que Clotilde lui pétrit les fesses jusqu’à lui écarter son petit trou.
Louis ne peut s’empêcher de réagir : — Putain quel cul ! il ouvre son peignoir qui laisse émerger une énorme queue bien raide et commence à se branler.— Tu vois Nini, je t’avais dit qu’il ne tiendrait pas. — Mais Clotilde, même si vous voulez le punir en l’excitant, quand je vois cette bite aussi imposante, j’ai une envie folle de me faire enculer. — Je vais te permettre, ça va m’exciter de le voir te baiser, mais pendant qu’il va te ramoner, je veux que tu me fasses jouir en me fistant et en me bouffant la chatte. Mettons-nous sur l’herbe, ce sera plus facile. Louis ne se fait pas prier et commence à lubrifier le trou d’Annie avec la mouille de sa chatte. Sans prévenir, il s’introduit dans le cul de sa partenaire et la ramone sans ménagement. — Doucement, Louis, c’est bon, c’est merveilleux, mais je ne voudrais pas avoir mal. Continuez jusqu’à ce que je jouisse du cul, il paraît que c’est sublime.— Fais-la jouir mon salaud, mais retiens-toi, je veux que tu craches dans ma bouche. Vas-y Nini, suce-moi, j’ai envie de ta langue dans mon con.— Louis, c’est bon, je sens que je monte. Oui, défonce-moi Ah....... Je pars, c’est vrai que c’est sublime. Après quelques soubresauts de la salope, Louis se retire et s’empresse de fourrer sa queue dans la bouche de sa femme et ne tarde pas à déverser un puissant jet de sperme. — N’avalez pas Clotilde, j’aimerais goûter son jus. Les deux femelles se collent bouche à bouche pour les échanges. Pendant qu’Annie enfonce presque sa main entière dans la chatte de sa patronne. L’orgasme ne tarde pas, secouant Clotilde de multiples spasmes.Après un petit moment de repos étendus sur la pelouse, c’est Louis qui rompt le silence :
« He bien, mesdames, vous êtes de jolies salopes. Jamais je n’aurais imaginé un retour de voyage aussi mouvementé. Nini, je crois que Clotilde vous a invitée à partager notre dîner. Vous le méritez bien, mais restez dans cette tenue, c’est particulièrement excitant.« Je suis à votre service Monsieur. »« Non Nini, tu es à MON service pour toutes les tâches que je te confie et pour toutes mes exigences. Suis-moi à la cuisine, nous allons préparer le repas qui sera sommes toutes frugal. »
Arrivées dans la cuisine, Clotilde indique à son employée qu’il n’y a que peu de choses à préparer, car elle avait commandé le repas à un traiteur puis elle se jette littéralement sur Annie en lui prenant la tête par les cheveux pour la lécher sur toute la figure et lui administrer un roulage de pelle effréné. — Tu es à moi, tu le sais, tu as accepté d’être mon esclave, ma chose sexuelle. La partie de tout à l’heure m’a terriblement excitée. J’ai les cuisses trempes de ma mouille, j’ai envie de toi, je veux jouir avec toi, tu es ma salope. Colle ta chatte contre la mienne. Nous sommes seules, Louis s’est endormi sur la terrasse. Appelle-moi Clotilde, dis-moi aussi que je suis ta pute qui t’a appris à jouir avec une femme. — Oui Clotilde, tu es ma pute depuis que le Père Dubois m’a libérée, je suis devenue accro du cul et de la chatte. Allonge-toi sur la table, je vais te bouffer et t’envoyer au septième ciel. « J’aime que tu prennes des initiatives Nini. On peut être tour à tour soumise et maîtresse du jeu. Vas-y, aspire bien mon clito jusqu’à ce que je jouisse une première fois.
La servante devenue Maîtresse pour un instant écarte vigoureusement les cuisses de sa patronne dévoilant des lèvres gorgées de plaisir, mais laissant bien apparaître une véritable petite bite. — Enfonce ta langue dans mon con, bois mon jus, je sens que je monte. Oui, Oui je jouiiiiis. Clotilde entre littéralement en transe, plusieurs spasmes soulèvent son corps. Annie lui soulève les jambes et les cuisses qu’elle replie vers ses seins. — Maintenant, pisse-toi dessus, je vais te lécher comme pour t’essuyer. Un puissant jet mêlé de cyprine et de pisse ne tarde pas à venir et arrose le corps de la salope. — C’est bon ! ma pisse est chaude, viens sur moi et donne-moi tes seins, j’ai envie de les téter.— Mettons-nous par terre, ce sera plus pratique. Si tu avais ton gode, tu pourrais m’enculer, tu m’as fait découvrir ce plaisir et j’en suis devenue accro. La bite de Louis était très bonne, mais j’ai encore envie de jouir du cul et tu sais merveilleusement y faire.— Tous mes jouets sont dans ma chambre, on y va ou alors je te fiste le cul, en remuant mes doigts dans tes entrailles tu devrais bien jouir.— OK. Fiste-moi, Louis a bien ouvert ma rondelle, prends ma mouille pour me lubrifier et essaye de rentrer ta main entière. Un doigt puis deux puis trois, le pouce replié dans la paume de sa main, Clotilde entreprend une délicate pénétration. — Je pense que je ne peux pas aller plus loin, mais tu dois sentir mes doigts qui bougent à l’intérieur.— Oui, c’est comme si tu me baisais, c’est bon. Continue, ressors et reviens à nouveau, je me branle le clito en même temps. Ça y est, je monte, je jouis, c’est sublime le con et le cul en même temps. Oui oui, je pars, je jute à fond, c’est divin ! — Bon Nini, calmons-nous. Je n’ai pas envie de prendre une douche, je veux garder toutes nos odeurs.— Moi aussi, Clo, va rejoindre Louis, j’apporte les plats. Je vois que tu as une bouteille de champagne au frigo, tu veux qu’on l’ouvre ? — Oui bien sûr. Reprenons chacune notre rôle.— Bien Madame, je serai très discrète comme l’exige mon emploi.