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Un désir tabou incontrôlable...

Chapitre 2

Sarah

Inceste
— ... Un nouveau Sexellator, s’est révélé. Ainsi donc Jack est le dernier sélectionné...
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— ... Allez debout mon grand !— ... Quoi... Il est quelle heure... ?— Il est 12 h 00, mais je comprends que tu sois épuisé avec ce que tu as fait cette nuit...
Je reprends connaissance et ouvre les yeux, apercevant assise sur le bord du lit, ma mère. Tout me revient instantanément en mémoire. Ma grande sœur, Félicia m’a souhaité mon anniversaire en me sautant dessus et nous avons fougueusement baisé. Je sens mon cœur se mettre à battre, je regarde à ma gauche, Félicia n’est pas là, la pression retombe immédiatement.
— Tu parles de quoi ?— Ne fais pas l’innocent, c’était qui ?— ... euh... qui ?— Arrête, la fille avec qui tu as... enfin voilà quoi, que tu as ba...— ... Maman !— Mon fils, qui est devenu un homme...— Tu... tu as tout entendu ?— ... euh. Non... enfin oui, on va dire quelques cris... ce sont surtout les voisins qui sont venus me voir avant que j’aille au travail ce matin. Ils m’ont demandé d’essayer de crier moins fort quand je fais l’amour. Mais juste après, ils m’ont demandé ce que la police était venue faire et je leur ai tout raconté. Trop curieux à mon goût, ils ont ensuite demandé, mais dans ce cas, il y avait qui chez vous ? Sans réfléchir, j’ai dit toi, ta sœur et moi. Ils ont immédiatement pris congé sans m’en demander plus. Je n’ai compris qu’après-coup. Maintenant les voisins pensent que nous deux, nous avons bai... Forniqué sauvagement...
Ma mère me regarde, gênée, mais je sens également une excitation qu’elle tente tant bien que mal de dissimuler ...
— Ah merde...— N’empêche, si je n’étais pas ta petite maman chérie, j’aurais bien aimé... Qui était cette petite chanceuse, j’aurais aimé que ton père me fasse crier à en réveiller les voisins !— MAMAN !... C’est une fille que tu ne connais pas...— J’allais oublier, bon anniversaire mon bébé !!!
— Merci beaucoup !— Ça va être difficile de t’offrir un meilleur cadeau que ce que tu as reçu cette nuit, mais je tente ma chance quand même. J’ai réservé une journée à la montagne. Sortir un peu de la ville et respirer le bon air de la montagne... ça nous évitera aussi de croiser ton père qui doit rentrer dans quelques heures.— C’est super et nous y allons à trois ?— Non, juste nous deux, mère fils...— Ah Félicia ne vient pas ?— Non, elle est partie tôt dans la nuit rejoindre des amis. Elle m’a d’ailleurs dit qu’elle t’avait offert un super cadeau d’anniversaire. Je me demande d’ailleurs de quoi s’agit-il.
Je suis paniqué, que vais-je bien pouvoir lui dire ! Un truc crédible.
— Oui c’est vrai, c’était une carte cadeau de vingt... euh cinquante euros, elle sait que je veux m’acheter un nouveau jeu et m’a donc donné l’argent sous cette forme, pour me l’acheter...— OK... Tu vas prendre ta douche et on y va, c’est à deux bonnes heures de route !
Il est treize heures quand enfin, nous prenons la route. L’heure et les musiques de la radio défilent. Personne ne parle, jusqu’à ce que ma mère dise quelque chose.
— Mince... Je crois que j’ai oublié mon pyjama !— Tu veux qu’on fasse demi-tour ?— Non, nous sommes bientôt arrivés, je ne vais pas faire demi-tour pour un pyjama. Je n’aurais qu’à dormir toute nue...— MAMAN !— Oh, c’est bon, je plaisante, j’irai m’acheter quelque chose pour la nuit...
Nous sommes enfin arrivés devant ce qui semble être un petit chalet en bois. Nous descendons de la voiture et prenons nos quelques affaires en entrant dans le chalet. Je remarque immédiatement le fait qu’il n’y a qu’un seul lit, mais également le fait qu’il n’y a qu’une seule pièce plus une salle de bain. Il ne semble pas y avoir de cuisine. En revanche, il y a une télévision et par la fenêtre derrière, j’aperçois une piscine.
— Ça me paraissait plus grand sur Internet...— Il n’y a qu’un seul lit ?— Je suis désolée mon chéri, je n’avais pas fait attention à ce détail en prenant l’offre. Il va falloir que tu partages ce lit avec ta vielle mère.
Un mélange de gêne, mais également d’excitation se mélange en moi, dormir avec ma mère... Je m’attarde sur ses vêtements, je cesse alors de la voir comme une maman innocente, mais pour la première fois comme une femme, que je désire. Elle est vêtue d’un tailleur avec des collants et d’une veste. Je me surprends à fantasmer sur elle. C’est ma mère bon sang...
Le bruit de la porte coulissante qui sépare la salle de bain de la pièce me fait revenir à la raison. C’est une salle de bain toute blanche, très luxueuse et plutôt grande proportionnellement à l’unique pièce. En regardant de plus près, je comprends que ce chalet est en réalité une chambre de nuit de noces. Ma mère referme la porte coulissante, mais pas assez pour entièrement fermer, il reste un petit espace et elle ne semble pas avoir fait attention. Je me livre un combat intérieur pour ne pas profiter de la situation pour mater ma propre mère. Le combat évidemment perdu d’avance. De loin, je l’observe à travers le petit espace et je vois en partie cette femme se déshabiller sous mes yeux. Elle se retrouve très rapidement en petite tenue. Une culotte noire en dentelle ainsi qu’un soutien-gorge du même style. Puis elle le retire. C’est une femme vraiment bandante. C’est la même que Félicia, mais avec plus de maturité, la milf par excellence. Je bouillonne de l’intérieur, une bosse conséquente apparaît dans mon pantalon.
Tout en continuant de s’habiller :
— Pour le programme, j’ai prévu une petite promenade sur la montagne qui nous conduira jusqu’à un petit centre commercial fait pour le tourisme et j’en profiterai pour m’acheter quelques affaires et une fois revenus, nous pourrons piquer quelques têtes dans la piscine. Ça te va ?— Euh... OUI... !
Je la vois sortir de la salle de bain en legging noir plus débardeur rose ayant l’air trop petit dont le bas des seins dépasse un petit peu une sorte d’underboobs.
— Il a l’air d’avoir rétréci, en même temps ça fait une dizaine d’années...
Je n’en peux plus, je cours aux toilettes et ferme la porte coulissante.
— Tout va bien Jack ?
Ma main attrape ma queue et l’astique frénétiquement.
— Oui très bien ! J’ai juste une grosse envie de pisser...
Je mets peu de temps et explose sur le mur. D’une jouissance extrême, je m’écroule sur les toilettes. En sortant, je suis apaisé.
— Oula, tu devais avoir une sacrée envie...— Ça m’est venu d’un coup !
Ma mère et moi sortons de la maison et commençons à emprunter un chemin passant par la forêt. De très beaux paysages de montagne. Mais soudain sans prévenir ma mère se met à courir.
— Allez une petite course !— Quoi !
Je me mets à courir également, mais ne parviens pas à rattraper ma mère. Un nouveau paysage s’offre désormais à moi, un paysage pas très différent des montagnes. Un cul bombé à souhait emballé dans un legging noir décuplant les formes se dandinant devant moi. Je sens de nouveau ma queue reprendre de la vigueur et me mets à courir plus vite pour ne plus avoir ce paysage devant moi et rattrape sa mère et je finis par la dépasser. Je cours à toute jambe pendant près de cinq minutes avant de m’écrouler sur un banc. Quelques minutes plus tard, j’aperçois ma mère arriver, mais cette fois-ci c’étaient ses seins qui montaient et descendaient. Je détourne immédiatement le regard.
— Wow, tu es rapide ! Mais tu sais qu’à la fin, c’est la tortue qui gagne. C’est bien d’être rapide, mais faut savoir gérer son endurance !
Elle me fait un clin d’œil. Je ne veux pas l’interpréter au risque de rebander... trop tard...
— Je te propose de finir en marchant, comme ça, nous profiterons du paysage, en plus, il ne reste plus très long.
J’accepte avec joie, de toute façon, je ne peux pas courir plus. Alors que nous arrivons à la sortie de la forêt, un homme accoste ma mère. Un grand blond aux yeux bleus.
— SARARH !— Oui ?— Tu ne te souviens pas de moi, terminal L...— ... Fabrice ?— OUI !— Ça doit bien faire vingt ans !— Oui au moins ! Ça te dit qu’on aille se prendre un café ?— Ah, je suis désolée, mais je suis avec mon petit copain là, mais une prochaine fois je ne dis pas !— Je suis désolée, je l’ai pris pour ton fils ... On a qu’à s’échanger nos numéros ?— Désolée, je ne l’ai pas sur moi et je ne connais pas mon num par cœur...— Ah, tant pis alors, je te trouverai bien sur Facebook !— Oui, on n’a qu’à dire ça...
Fabrice reprend sa route en courant.
— Tu n’as pas Facebook et c’était qui ce Fabrice ?!— Une longue histoire, c’est le premier mec avec qui j’ai bai... couché. On peut dire que c’était le gars le plus populaire. J’ai rencontré ton père après lui...— Pourquoi avoir dit que j’étais ton petit ami ?— Euh... pour pas qu’il m’embête davantage, le connaissant il aurait retenté sa chance avec moi...— Il est plutôt pas mal pourtant...— C’est vrai, mais aujourd’hui j’ai l’anniversaire de mon petit homme à moi à souhaiter !
Comment ma mère a pu sortir avec mon père, quand je regarde Fabrice, je me dis qu’il est cent fois... mille fois plus attractif. Cinq minutes plus tard, nous sommes rendus dans le centre commercial. Ma mère se dirige vers la boutique de vêtement. Quant à moi vers la boutique de jeux vidéo.
— Tu ne viens pas ?— Non, je vais aller voir s’il n’y a pas le jeu que je cherche !— Tu ne veux pas que je te fasse un défilé sexy ?
Pour feindre l’indifférence, je soupire, mais à l’intérieur, c’est tout l’inverse. Me connaissant, je ne résisterai pas à ce défilé sexy.
— Bon, du coup, je n’en ai pas pour longtemps.
Dans la boutique, je ne vois pas le temps passer. Ma mère vient me chercher avec deux petits sacs de vêtements.Nous avons mis quarante-cinq minutes à revenir dans notre location. Le retour est plutôt calme. Jusqu’à...
— C’est l’heure de la piscine !
Je suis déjà en short de bain et là, j’aperçois ma mère se mettre à nue sans rien pour se cacher.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Bah je mets mon maillot de bain...— Tu ne peux pas le faire dans la salle de bain ?— Si ça te dérange, tourne la tête !
Je me retourne, attendant son feu vert.
— C’est bon !
Je me retourne et aperçois ma mère dans un superbe maillot de bain une pièce noir très sexy. Sobrement...
— Il te va bien...
Je sens ma verge commencer à prendre trop d’ampleur et je saute dans l’eau avant que la bosse ne devienne visible... Ma mère saute juste après. Nous passons les dernières heures jusqu’à 19h30 quand d’un coup sans faire attention, elle me cogne sa jambe sur mon entrejambe.
— Je suis désolée, ça va !?— Oui, tu as juste frôlé...
Maman, machinalement, me frotte l’entrejambe comme on se frotte la tête. Ma queue est dure et elle l’a bien sentie. Je vois dans son regard de l’envie qui s’accompagne d’un mouvement plus appliqué. Sa main commence à monter plus haut jusqu’à atteindre le haut de mon short et elle finit par passer la main dedans et touche ma queue. Je ne sais pas comment, mais je réussis à reprendre le contrôle et à retirer sa main.
— Ça va, je n’ai pas eu mal. Je vais sortir prendre ma douche.— Pas de soucis... j’irai après toi...
J’entre dans la maison et prends ma douche. Vingt minutes plus tard, en sortant de la douche, j’aperçois ma mère avec un téléphone dans les mains.
— J’ai commandé des pizzas, le livreur devrait arriver quand j’aurais fini ma douche. Pendant ce temps, regarde s’il n’y a pas un film que l’on pourrait regarder.
Je regarde alors ce qu’il y a dans l’étagère. Je lis des titres tous plus farfelus les uns que les autres et tombe sur John Macdane, avec comme acteur principal Chris Stendal et comme actrice Arianne Carols. Un acteur plutôt connu. Chris Stendal joue le rôle d’un flic qui s’est fait piéger et doit sans se faire attraper retrouver celui qui l’a piégé. Je ne connais pas du tout Arianne Carols qui a l’air de jouer le premier rôle féminin. Maman sort de la salle de bain pile à temps pour récupérer la pizza et payer le livreur qui vient de frapper à la porte. Elle est en peignoir blanc, fourni par la location. Le livreur âgé d’une trentaine d’années regarde ma mère, puis moi qui suis en caleçon. Il s’imagine forcément des choses et à raison. Mais ma mère coupe toute discussion supplémentaire en le remerciant, lui donnant un pourboire et fermant la porte. Nous dévorons les pizzas. Je mets le film et me couche dans le lit et maman fait de même.
Je ne remarque pas tout de suite, mais ma mère a enlevé sa robe de chambre et laisse apparaître son pyjama qui n’est autre qu’une lingerie super sexy. Des bas noirs, une culotte en dentelle noir et rouge taillé sexy, un soutien-gorge à moitié transparent noir et rouge. Elle s’insère dans le lit et vient se coller à moi comme pour me faire un câlin.
— Nous pouvons y aller !— OK !— Alors, tu as choisi quoi comme film ?— Jac... John Macdane avec Chris Stendal.— J’aime beaucoup Chris Stendal.
Je lance le film ! Sarah se trouve désormais la tête allongée à moitié sur mon torse et sans réfléchir, je passe mon bras en dessous de Sarah.
— Tu as de belles tablettes de chocolat...— ... merci...
Le film a commencé depuis plus de quinze minutes quand je sens la cuisse de maman se coller contre la mienne presque à toucher ma queue qui bande tellement, qu’elle dépasse de mon caleçon. Le film commence à devenir de plus en plus chaud. Chris Stendal se retrouve dans une chambre avec Arianne Carols et je comprends que ce film est en réalité un film porno.
— Merde, elle est où la télécommande !— C’est bon, je l’ai !— Euh... maman...—... Oui...— ... Ce n’est pas la télécommande...—...

Maman attrape ma queue, pensant qu’il s’agit de la télécommande. Elle me regarde avec envie, un désir tel qu’elle se mordille les lèvres. Elle commence à me branler doucement. Je ne dis pas un mot et laisse agir incapable de lutter. Ce désir tabou incontrôlable, tellement intense que je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et de ressentir des spasmes de plaisir traverser mon corps. Je regarde ma mère, cette femme, avec ce besoin sauvage. Je l’embrasse à lui dévorer les lèvres. Je me trouve désormais sur elle, à l’embrasser. Je descends ma main jusqu’à sa culotte en dentelle que je lui arrache avec virilité. Je commence à appliquer des va-et-vient en rond autour du clitoris de ma génitrice. De mon autre main, je lui tiens ses bras au-dessus de sa tête. Elle gémit de plaisir à tel point qu’elle en mouille. Sarah ne peut plus m’embrasser, ses cris l’en empêchent.
Elle me regarde avec supplice, moi son fils qui continue de m’appliquer sur ce bouton de plaisir de plus en plus vite au gré de ses gémissements toujours plus fort. Elle n’en peut plus et éclate en femme fontaine. Elle ne prend pas le temps de se reposer et me pousse sur le dos et se met sur moi. Elle m’embrasse sauvagement un court instant, descend au niveau de mes tétons et les suçote avant de descendre sur mes abdos auquel elle donne quelques baisers. Elle finit par arriver devant une verge en pleine capacité, gorgée de sang. Elle avance ses seins, et fit passer ma queue entre prodiguant une branlette espagnole terminée par une fellation. Pendant trois minutes, je manque de jouir en chaque occasion. Sarah finit par se redresser et positionner son vagin au-dessus de ma lance à la limite de l’explosion.
— Oh mon bébé, j’en peux plus, ça fait si longtemps, BAISE-Moi, BAISE TA MAMAN !
Elle s’empale sur ma queue et je suis à deux doigts d’éjaculer...*******************************************************************************Je m’empale sur sa queue, c’est un plaisir intense. Sans m’arrêter, je monte, je descends avec toujours plus de fougue. Je veux le faire jouir et j’y suis presque. Son pieu s’enfonce toujours plus profond dans ma fente.
— Oh... OUI... Comme ça ! C’est trop bon ! Continue... JE VIENS !!!!
Je jouis une nouvelle fois, mais pas Jack, je vois son visage passer de grimaçant à déterminé. Il me retourne tout en continuant de me baiser et m’attrape les seins de ses deux mains. Je me fais prendre en cowgirl tout en me faisant malaxer les seins. Je suis aux septièmes ciels.
— MON GRAND ! TU ME BAISES TELLEMENT MIEUX QUE TON PÈRE !— ...
Mon fils me soulève et me prend désormais en levrette. Avec la plus douce des violences, il me pistonne. D’un plaisir extrême, je crie. Ce qui a fait revenir mon fils à lui qui d’un dernier coup puissant se vide en moi. Je sens son liquide chaud m’envahir. Dans un dernier cri, je jouis une dernière fois. Je vois Jack tomber sur le lit. Je le rejoins et en posant ma tête sur son torse, je sens son cœur battre à une vitesse folle. Je l’embrasse et nous tombons tous les deux de fatigue.
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