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Désirs malsains

Chapitre 6

Inceste
La fraicheur de la nuit me ramène à la réalité et je fais un effort pour revenir vers notre chalet. La chambre dont la porte n’est pas vraiment close laisse passer un rai de lumière. Je fais le plus doucement possible pour passer devant.
— C’est toi Pirate ? Viens donc me faire un bisou ! Tu as fais une bonne promenade, Viens un peu près de moi !
Je pousse la porte qui ne grince pas. Elle est couchée, un déshabillé de soie ou de nylon blanc et rose lui cache le haut du corps. Son livre posé à plat sur le drap, elle me regarde entrer. Le sourire qu’elle me dédie ne me fait pas oublier que quelques minutes plus tôt, elle était si nue et si désirable. J’ai devant les yeux ce pic, ce Mont Blanc que j’ai eu tout loisir de détailler. Elle repousse son bouquin, me fait de la place pour que je m’assieds près d’elle. Son bras tout naturellement est sur le mien, sa main douce et chaude venant croiser ses doigts avec les miens.
— Tu as des soucis mon Chéri ? Quelque chose ne va pas ? Je te sens tellement tendu, tellement différent depuis ce matin ! Tu peux tout me dire, tu le sais bien ! Des problèmes avec cette petite Lola ? Que je ne vois plus depuis quelques temps !— Non maman, ce n’est pas ça ! Je n’ai pas envie d’en parler !— Il est pourtant bon d’extérioriser ce que l’on garde au fond de soi ! Ensuite ça va toujours mieux ! Mais si ce sont des choses qu’une maman ne peut pas régler, alors je respecte ton choix ! Oh mon grand bébé ! J’espère juste que ce n’est pas trop grave !— Ne t’inquiète pas pour moi maman, tout va pour le mieux et puis, j’ai revu un sourire sur tes lèvres aujourd’hui, alors je suis rassuré également !
Pendant que nous parlons, sa main n’a pas quitté la mienne. Je me penche un peu, pour venir lui faire un bisou sur la joue, mais c’est à ce moment là qu’elle incline la tête sur le côté. Ma bouche, emportée par mon élan se pose encore sur ses lèvres à elle. Curieusement, loin de me repousser, elle laisse nos deux bouches se river l’une à l’autre. J’ai même l’impression que ses doigts se crispent un peu plus fort dans ma main. Le baiser que nous échangeons n’a rien de chaste. Quand j’ouvre à nouveau les yeux, maman a éteint la lumière. Sa main, de la mienne est passée sur ma cuisse et dans le noir de la chambre, elle est remontée bien plus loin que la décence ne doit le permettre. Je mets un certain temps à comprendre que ce qui frotte sur ma bite, à travers de mes vêtements c’est ses doigts. Je ne dis pas un mot et quand elle fait descendre mon short, entrainant du même coup mon slip, je n’en mène pas large, j’ose l’avouer.
Je suis nu et je la laisse faire comme elle l’entend. D’un geste assuré, elle m’a couché dans le lit, juste à ses côtés. Je sens contre moi, la douceur de son corps, la tiédeur de cette nuisette qui la couvre. Elle et moi, nous n’échangeons pas un seul mot. Pour moi, sûrement de peur de rompre le charme de cet instant magique qui s’installe rapidement. Ses lèvres parcourent ma poitrine, s’attardant sur des points bien précis, mais comment fait-elle dans le noir pour savoir ? Elle lèche les pointes de mes seins qui sortent toutes dures de ce langoureux baiser. La langue est désormais accompagnée par sa menotte qui s’insinue entre mes deux cuisses, m’obligeant sans violence à les ouvrir le plus possible. C’est ensemble que la bouche et la main se rejoignent en cet endroit si émotif et sur cette gaule qui se redresse fièrement depuis le premier contact.
La bouche gobe le sexe raide, pendant que la main d’un geste souple du poignet fait coulisser la peau qui décalotte le gland. Quand j’étends ma main pour toucher un sein, la nuque ou n’importe quel endroit de son corps, elle lâche ma queue pour dire :
— Non Pirate, laisse moi faire, juste moi ! Ne touche pas s’il te plait ! Enfin, pas tout de suite !
Je n’insiste nullement et j’obéis aveuglément. Cette pipe n’a rien de comparable à celles que Lola me fait. C’est plus en douceur, comme si l’expérience où les années comptaient dans ce genre d’exercice. La bouche qui lape mon gland est d’une incroyable douceur et je sens parfois les dents qui mordillent le capuchon que les doigts rabattent sur ce dernier. Ensuite, je tente d’analyser toutes les sensations qui m’assaillent de partout ; je griffe les draps, essayant de retenir la montée de la liqueur que je sens arriver. Trop vite je fais des efforts pour ne pas éjaculer et je crois qu’elle a compris mon désarroi. Ses mouvements se ralentissent sans pour autant cesser totalement. Elle a glissé ses doigts plus bas que ce mat qu’elle garde en bouche. Et doucement, comme une caresse, elle me presse les bourses, triture mes couilles, me fait frémir de tout mon corps. C’est une innovation pour moi, surtout quand elle descend encore sa main d’un cran, entrouvrant mes fesses avec son index.
C’est comme une décharge électrique ! Son index qui vient de titiller mon anus. Je rêve tout éveillé ? Mais non ! Maintenant, elle exerce une pression constante sur les muscles qui se contractent encore. Elle insiste et le bout du doigt s’ouvre enfin le passage. C’est étrange, c’est bizarre, pas franchement désagréable. Une sensation de froid autour de ce doigt, elle vient de mettre un peu de gel pour faciliter l’intromission ! Maintenant d’une seule poussée, je suis enfoncé par le trou de balle. Les va et vient qu’elle débute, finissent par être agréables. Puis c’est bon, et ma bite dans sa bouche marque la mesure des avancées ou des reculades de cet index. Encore du gel puis son doigt ressort. Mais le vide qu’il laisse, est de courte durée.
C’est autre chose, de bien plus dur, de beaucoup plus volumineux qui bute contre le canal qu’elle a ouvert. J’ai vite compris ! Son gode c’est cela qu’elle commence à faire pénétrer entre mes fesses. Mais c’est tout en douceur, avec des gestes tendres. Et l’objet est déjà en moi de quelques centimètres ? J’ai seulement la sensation que mes chairs s’écartent plus que de raison. Aucun bobo, aucune brûlure. Je sais qu’il est bien loin dans mon rectum. Elle ne bouge plus, quand soudain, les premières vibrations me font une impression inimaginable. Commence alors un limage en règle et j’en apprécie toutes les phases. Seulement, comme en parallèle elle a toujours sa langue qui suce mon gland, je n’en peux plus et enfin, dans un grand cri, je laisse partir cette semence que si longtemps j’ai retenu.
Je ne sais pas si elle a retiré sa bouche, si j’ai giclé en elle, je ne me rends plus compte de rien. Je sais simplement que des millions d’étoiles viennent de s’allumer, de prendre vie dans ma tête. L’objet dans mon fondement persiste encore de longues minutes à entrer et presque sortir. Je suis toujours sur mon petit nuage, me demandant si je rêve tout ceci, où si le réel dépasse largement la fiction. Elle a arrêté ses mouvements et la bite de latex est ressortie seule, au bout d’un long moment. J’ai le visage enfoui dans l’oreiller, et ses mains qui courent sur mon dos. C’est dans cette position que je finis par m’endormir.
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