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Désirs malsains

Chapitre 7

Inceste
ooOOOoo
J’ai dormi longtemps ? Aucune idée, mais la chambre est déjà un peu éclairée par la lumière naturelle du jour, qui filtre par la porte non close. La première chose que j’entraperçois à ce réveil presque brutal, c’est deux magnifiques jambes, recroquevillées dans une position fœtale. Puis ensuite dans la luminosité diffuse qui perce lentement, je devine sous le satin rose et blanc de la nuisette, un sein qui émerge d’une poitrine juste soulevée par la respiration calme. La femme qui dort près de moi est de toute beauté. Ma main est attirée par cette peau qui me semble si douce. Je tends juste le bras et le contact est encore plus soyeux que ce que j’espérais. Je prends mille précautions pour ne pas éveiller la belle endormie. De peur de me faire jeter, de peur de rompre le charme fragile, qui nous a unis en début de nuit.
Je rampe lentement vers ce corps qui ne bouge que par la poitrine, au rythme lent des inspirations et expirations normales. La pauvre chose qui cache le haut du buste est aussi sur les fesses, mais c’est un jeu d’enfant que de soulever les pans qui ne sont plus retenus par une quelconque ceinture. Devant mes yeux ébahis, j’ai une vue sur la plus belle paire de fesses qu’il m’ait été donné de voir. Un sillon fend en deux cette masse blanche et tout au fond, plus brun que le reste de la peau, un œillet qui me donne une érection somptueuse. Mes doigts vont très lentement sur ce cul qui m’enivre, qui m’interpelle. Ils glissent sur une peau douce, entre les deux demi-globes, pour ensuite lisser l’anus. Je ne réveille pas la dormeuse, alors mes gestes s’enhardissent et d’un doigt surement malhabile, je vais plus loin encore, vers le fond de la raie. Mon index arrive à l’endroit où débute la fente et sans trop de peur, il parcourt quelques centimètres de celle-ci.
Mon dard est extrêmement tendu, l’envie me tenaille le ventre, mais ce n’est plus d’une pipe dont j’ai besoin. Je commence à faire pénétrer le bout du doigt dans la caverne humide de la femme qui ne semble s’apercevoir de rien. C’est tellement fort, c’est tellement trop bon, cette envie que j’arrive à me coller contre le dos de maman. Je guide d’une main mon sexe vers le centre du sien. Elle ne remue toujours pas et je pousse tranquillement mon épée vers son fourreau. Elle grogne un peu, mais se colle encore plus à moi, épousant la forme de mon corps, comme pour recevoir plus facilement la bite qui cherche la porte.
Je donne juste un petit coup de rein et ma queue a trouvé ce qu’elle cherchait. Le reste c’est elle qui le fait en remuant des hanches ! J’entends qu’elle émet un petit son, soupir venu du fond de sa gorge ? Faisait-elle semblant de dormir ou bien n’est elle pas encore éveillée totalement. Je suis entièrement entré en elle et je débute des mouvements que je veux disciplinés. Mais elle aussi bouge et pas forcément au même moment que moi. Alors je ne bouge plus, je la laisse faire ; elle fait entrer et ressortir mon mat qui la fend de haut en bas. D’abord les mouvements sont d’une lenteur extrême, puis au fur et à mesure de son envie, de réveil, que sais-je encore, elle gigote plus fortement. Sa respiration est saccadée, ses soupirs emplissent la pièce qui s’allume sous le soleil naissant. Sa main par je ne sais quel miracle est venue se poser sur mes couilles et elle donne maintenant de grands coups de reins, qui m’enfoncent encore davantage en elle. Elle change de position aussi m’entrainant dans une autre forme de ballet. Finalement je suis sur elle, alors qu’elle griffe l’oreiller, quelle garde la tête dans le drap. Et je peux tout à loisir labourer la chatte qui est désormais tellement mouillée que j’entends les clapotis que mon sexe engendre à chaque entrée.
— C’est bon ! Oh oui Michel ! Baise-moi, cela fait si longtemps que j’attends ton retour ! Ta queue m’a tellement manqué ! Oh baise-moi plus fort ! Je t’en supplie plante toi en moi jusqu’aux couilles ! Oui ! Oui ! Comme ça ! Vas-y ! Oh j’avais oublié que c’est si bon ! Mon Dieu pourquoi as-tu attendu si longtemps pour revenir ! Michel ! Michel ! Je vais partir ! Cà y est je jouis ! Oh ouiiii ! Encore ! Encore !
Fait-elle exprès de m’appeler par le prénom de mon père, ne fait elle pas la différence entre lui et moi ? N’est elle pas entièrement réveillée, je n’en sais rien, mais je ne peux plus domestiquer mon envie, et je continue de la limer, pour moi, pour lui, pour nous. Elle hurle dans la chambre, elle crie ! Quand enfin ma délivrance arrive, mon sperme lui gicle à l’entrée de sa chatte, je la sens épanouie, presque heureuse et sa main de nouveau vient caresser la mienne. Elle me donne des dizaines de baisers doux sur le visage, sur le cou, descendant sur mon torse et j’ai encore droit à une douce fellation. Mon sexe englué par mon sperme, elle suce pourtant avidement cette queue qui se redresse encore. Je ne peux m’empêcher de me courber vers ce ventre béni, vers cette caverne dont je veux connaitre l’odeur et la texture. Ma bouche, pareille à une ventouse vient aussi se confondre dans un baiser intime qu’elle ne refuse pas. Je lèche le coquillage baveux, humide, salé. Je me délecte de cette caverne, du bout de la langue et elle se crispe sur ma tignasse en murmurant des choses que je ne veux pas entendre. Elle mouille abondamment et sa rosée de femme, me coule dans la bouche, nectar que je reçois comme une offrande. Elle réagit à chaque passage de ma langue ou de mes doigts dans cette chatte qui s’ouvre si bien sous les caresses. Elle jouit en me labourant le dos et en hurlant le prénom de mon père. Quand elle se calme, je me couche sur elle !
Je recommence à la prendre une seconde fois aussi, mais cette fois à la missionnaire, sans fioriture, et le bonheur que j’obtiens ne se dément pas non plus cette fois ci ! Notre corps à corps dure encore un long moment et c’est moi le premier qui me lève pour préparer le petit déjeuner. Quand elle se lève, comme si de rien n’était, elle a l’air radieuse !— As-tu bien dormi « Pirate » ? Tu es bien matinal encore une fois !— Et toi maman ! Est ce que çà va ? Tu es toute joyeuse ce matin !— J’ai rêvé de ton père, il était merveilleux, comme toujours… Il m’a manqué, il n’est pas venu te voir toi ?
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