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Désirs obscènes

Chapitre 2

Gay
Il accompagne son mouvement d’un petit rire graveleux qui me met très mal à l’aise, mais je le laisse faire. Il met une main près de la main de Jean qui l’avait remise sur ma cuisse. Ces deux mains me palpent légèrement, pendant que Georges me caresse l’autre joue.
L’ambiance s’alourdit, comme si le temps s’arrêtait. Georges monte un peu le son de la télévision qui continue à diffuser le film, où les acteurs se caressent tendrement.
— Dis-moi Jean, une idée me vient pour le rôle qu’on pourrait donner à Daniel.— Oui je m’en doute Georges, tu es très doué. Dis-nous ça.— Hé bien, enfin si tu es d’accord mon Daniel bien sûr, je te verrais bien dans... Oh attends. Et si tu faisais un bout d’essai là, tout de suite, tu veux bien ?— Heuuuu oui pourquoi pas, j’ai mon après-midi de libre, mais je dois faire quoi ?— Bon déjà, tu vas te changer. Le personnage que j’imagine pour toi est différent dans ses habits au moment de la scène. C’est assez confus pour l’instant, mais je sens que le rôle va t’aller à merveille, fais-moi confiance.
Je regarde Jean, comme pour avoir son approbation. Il me fait un signe "oui" de la tête, en fermant ses beaux yeux bleus.
Décidément, Jean me fascine, j’ai besoin de son assentiment.
— Alors je t’explique brièvement. En fait, tu n’auras pas à te changer maintenant, on verra ça plus tard. Bien, alors essaye d’imaginer la scène. Tu rentres du sport, une course à pied par exemple. Tu es en sueur, et tu veux prendre une douche. Cependant ta copine doit arriver bientôt, tu as donc tout juste le temps. Tu jettes tes habits dans le salon, n’importe où. Tu vas dans la salle de bain, et tu rentres vite fait dans la douche. On commence comme ça ? Allez, lève-toi et fais comme je viens de t’expliquer.
— Mais, je dois me déshabiller ?
Un rire gras éclate dans le salon.
— A moins que tu aies l’habitude de te doucher tout habillé, oui c’est mieux !!!
Ce gros lard est hilare, son visage est tout rouge. Un peu honteux, je commence, à regret, à déboutonner ma chemise, lorsque Georges m’interrompt brusquement.
— Non, non ! C’est pas bon ça. Tu n’es pas du tout dans ton rôle. Ecoute bien, tu viens de rentrer et tu n’as pas beaucoup de temps car Justine, ta copine, doit arriver. Donc tu enlèves tout ça brusquement, sans douceur, n’oublie pas que tu es pressé, d’accord ? Vas-y, mets-toi dans le rôle, ne pense pas à nous. On n’est pas là, tu comprends mon cher Daniel.

Tout ça me fait subitement peur, je ne me sens pas me foutre à poil devant eux, mais Georges a pris un ton ferme, et comme Jean semble d’accord, je me place devant la porte comme si je venais de rentrer. J’enlève ma chemise. Torse nu, je déboutonne le bouton du haut de mon pantalon de toile, je descends la fermeture éclair de ma braguette, et je descends mon pantalon. Mes chaussures étant déjà enlevées, mes chaussettes aussi, je me retrouve avec mon pantalon baissé par terre, sur mes chevilles. Je prends alors conscience que je suis en slip devant ces deux inconnus.
— Allez ne t’arrête pas, c’est très bien mon grand, vire tout ça, vite !
Georges est très persuasif, le ton est ferme et directif, je n’ai pas d’autre choix que de m’exécuter. Seulement cette situation me trouble quelque peu. Ces deux hommes m’ont caressé les joues, m’ont palpé les cuisses et un peu les fesses. Ils ont déclenché en moi un certain trouble. Cela doit se voir au travers de mon slip, alors si je l’enlève, que va-t-il se passer ?
— Allez, continue Daniel, ne casse pas le rythme, c’est très bien là. T’arrête pas bon sang.
Il ne me reste plus qu’à me foutre complètement à poil. Tant pis, on verra bien. Je baisse mon slip que je laisse glisser par terre. Cela libère mon sexe qui prend une certaine ampleur, ce qui ne laisse pas insensible mes deux "amis". Dégageant mon slip et mon pantalon de mes chevilles, je les vois se rapprocher, passant leurs langues au bord des lèvres. Georges met une main sur le torse de Jean qui a ses beaux yeux écarquillés, ne quittant pas mon sexe qui se dresse.
— Eh bien Daniel, il semble que tu anticipes parfaitement ton futur rôle. Bravo, tu es génial. Viens !
Comment faire pour ne pas obéir ? Comment faire pour résister à ces deux cochons. J’en suis sûr maintenant, ce sont deux vrais cochons lubriques qui ouvrent leurs braguettes devant moi. Je ne peux pas bouger, comme paralysé.
— Viens mon grand, me dit Jean, mon préféré. 
Quoique Georges commence à ne pas m’être indifférent non plus avec son gros ventre. Quelque chose en lui me fait sentir les palpitations de mon cœur. Je bande devant ces gros porcs. C’est sûr que ces cochons réveillent en moi de profonds désirs inavouables. Ils s’approchent en descendant leurs pantalons. Ils sont maintenant tous les deux en slips, gonflés par la perspective de me toucher. Georges me prend par le bras pour m’approcher de Jean. Il prend ma main et la met sur sa bite, au-dessus de son slip qui a une tâche sur le devant. Je pense qu’il mouille, c’est sûr.
— Daniel mon chéri, caresse-le. Regarde dans quel état tu le mets. Tu aimes sentir sa bite, non ? Ose dire que tu n’aimes pas.
Effectivement, la bite de Jean me fait perdre tout contrôle, je me surprends même à me pencher sur ce sexe qu’il a sorti de son slip. Les respirations augmentent leur rythme, les poitrines se gonflent. Mes lèvres frôlent son gland trempé, pendant qu’il se masturbe en gémissant. Il  met sa tête en arrière sur l’épaule de Georges. Il apprécie le bougre, et j’avoue que moi aussi j’y prends goût. Je prends goût aussi des mots crus que Georges me lance, ça m’excite terriblement. Je continue à aimer ce vieux gros porc quand il me dit des saloperies. Ça me rend fou de désir.
— T’aimes ça dis donc, t’as l’air d’aimer sa bite, hein salope. Allez, viens sucer la mienne, j’ai envie de sentir ta bouche autour de mon gland.
Il m’attire vers son sexe en érection, pendant que Jean continue à se branler contre nous. Bon sang comme sa bite est bonne, petite, mais bonne sous son ventre de gros lard. Il met une main sur ma nuque et l’autre sur mes fesses. Je gémis comme une bonne petite salope que je deviens. Bon sang comme c’est bon de sentir son gland au fond de ma gorge, avec ses doigts qui essayent de palper mes fesses. Il en veut plus, je le sens. Il sort son sexe de ma bouche, se penche un peu pour pénétrer ses doigts dans mon petit cul. Il branle ce qu’il appelle ma chatte, encore et encore. Je pousse de petits cris, ça l’excite et moi aussi !
— Allez mon chéri tourne-toi, on n’est pas bien comme ça. Donne-moi tes fesses de puceau. Elles sont belles et si douces.
Je m’exécute à regret. Jean, voyant le manège, se met devant moi son sexe dressé près de ma bouche. Il frotte sa bite trempée sur mon visage, allant de mon front à mon menton, en me disant que je suis bonne. En passant une nouvelle fois le long de mes lèvres, je ne peux pas m’empêcher de la saisir pour la mettre dans ma bouche. Je la suce goulûment, ma langue tourne autour de son gland trempé. Georges, de son côté, me traite de tous les noms, de petite pute, de pouffiasse, de bouffeuse de bites, de salope et j’en passe, pendant qu’il enfonce sa langue dans mon trou du cul qu’il dilate avec ses doigts. Il ouvre mon cul ce gros porc, en me fouillant avec ses doigts et sa langue loin dans mon intimité.
A suivre...

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Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
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