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Désirs obscènes

Chapitre 3

Gay
Note importante : Aucune homophobie n’est bien sûr à retenir dans cette série en trois chapitres, simplement des délires qui amènent les acteurs dans des situations incontrôlables, et qui font augmenter leurs excitations en prononçant des injures et mots crus qui sont acceptés, et appréciés, de part et d’autre.

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Georges, de son côté, me traite de tous les noms, de petite pute, de pouffiasse, de bouffeuse de bites, de salope et j’en passe, pendant qu’il enfonce sa langue dans mon trou du cul qu’il dilate avec ses doigts. Il ouvre mon cul ce gros porc, en me fouillant avec ses doigts et sa langue loin dans mon intimité.
J’apprécie de plus en plus les pénétrations de Georges, ce vieux cochon bedonnant, qui fouille mon cul, le lèche et rentre un peu dedans et en ressort, tourne autour de mon anus qui en demande encore plus. Cela me fait dandiner du cul pour m’offrir à ces déviances que j’adore, surtout que la bite de Jean fouille aussi ma bouche, sa mouille chaude et visqueuse m’envoûte terriblement. Mes gémissements les excitent, les aidant à me dire tous ces mots crus qui me rendent fou de plaisirs. Georges retire sa langue en suçant avec application mon trou béant.
Il se lève, prend mes hanches me forçant à me pencher, m’obligeant à quitter la bite de Jean à son grand regret. Je sens son gland gluant caresser l’entrée de mon trou qui devient gourmand. Doucement mais fermement, il appuie sa bite me traitant encore de petite pédale.
— Tu la veux ma bite, hein petite pédale. Allez, donne-moi ton cul de pouffiasse. Je vais te faire jouir du cul salope. Tu vas couiner, tu vas voir. Donne, donne-moi tout.
Je sens sa bite me pénétrer, d’abord doucement puis, quand son gland est enfin passé, elle rentre dans mes entrailles. Il reste un court instant tout au fond en me tenant fermement, et puis soudain il ressort très vite, et rentre tout aussi vite. Je crie, je gémis, mais je lui demande de recommencer, encore et encore.
— T’aimes ça hein salope, j’en étais sûr, tu vas aimer la bite toi. Je sens qu’on va bien s’entendre.
Il enfonce encore son gros membre, je suis complètement à sa merci. Mais j’aime :
— Ooooooooohhhhhhh ouiiii.— T’aimes ça te faire enculer hein pouffiasse. Tu veux que je te baise encore hein ? dis-le !— Oh oui encule-moi, ouiiiiiiiiiiii oooohhh c’est bon ouiiiiiiiiiiiiiii.
Et il recommence. Il me pilonne, il me baise comme on baise une pute. Jean, sa bite sortie de ma bouche, prend la mienne pour me branler.
— Dis donc Daniel, t’aimes que mon ami t’encule, t’aimes ça petite salope. Donne ta bite, je veux la sucer. Tu vas jouir dans ma bouche, pendant que Georges va te faire jouir du cul.

Il s’accroupit entre mes jambes écartées, et s’apprête à prendre ma bite à pleine bouche.
— Branle-toi pendant que je te suce, tu m’excites mon chéri.
Le monde n’existe plus. Il n’y a plus que mes deux baiseurs, mes deux vieux gros cochons vicieux, et moi. Il n’y a plus que le sexe, dans toute sa splendeur, dans tout son vice, avec ses odeurs, ces cris, ces gémissements, ces insultes qui font de moi un trou à bites, et j’aime ça. C’est dingue comme j’aime ces instants qui durent un siècle. Je sens que je vais jouir dans la bouche de Jean.
— OHhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Il presse mes fesses contre son visage, pour mieux sentir mon foutre s’écraser au fond de sa gorge. Mes couilles sont sur ses lèvres, mes mains s’agrippent à sa tête, il m’aspire. Je jouis dans des râles profonds. Georges sent mon corps se raidir, ça l’excite au plus haut point. Il accélère ses va-et-vient dans mon cul, qui devient sa chatte offerte et dilatée. N’y tenant plus, il jouit lui aussi tout au fond de mes entrailles, c’est chaud, c’est délicieux.
Il me serre lui aussi contre ses couilles. Je sens sa jute ressortir de mon trou, coulant doucement entre mes cuisses, quand il finit par se dégager. Sa bite sort de mon anus dégoulinant. Il gémit ce salaud, il grogne de plaisir. Il vient de dépuceler une tapette que je suis devenu. Jean, sa bouche pleine de ma jouissance, voyant son ami rouge de plaisir, se rapproche de sa bouche en m’écartant doucement.
Tout en pelotant mes seins, il embrasse Georges à pleine bouche, leurs langues sorties se partagent mon foutre. Je viens de jouir dans la bouche de Jean et pourtant, les voir ainsi se délecter de ma jute m’excite. Mon sexe reprend déjà un peu de vigueur.
— Bon sang, comme il est bon ton foutre de petite salope. C’est slupppp, trop bon.
Une pulsion soudaine me fait prendre en main la bite de Jean. Il se branle en roulant ce sublime patin à Georges. Je me mets à le branler encore et encore en mélangeant ma main à la sienne. Je veux voir son beau lait de bite s’éjecter de son sexe devenu une fascinante bite si bien dressée. Ils me donnent envie de le boire. Je mets mes lèvres sur le bord de son gland. Je le branle de plus en plus vite, tout en le suçant.
Jean, n’y tenant plus, serre ma tête et éjacule dans ma bouche avec des grognements de porc vicieux, j’en ai partout. Après quelques soubresauts, il dégage son membre dégoulinant. Il attire ma tête pour sentir mes lèvres brûlantes contre les siennes et celles de Georges. Un patin inoubliable à trois nous fait mélanger nos foutres, les langues s’enroulent, nos lèvres se sucent accompagnées de nos gémissements d’extase. Une odeur de bites, de sueur et de jute envahit la pièce.
— Eh bien Daniel, tu dépasses tout ce que j’ai pu imaginer pour ton rôle, mon salaud. Tu as aimé ça hein ? Mon gros bide ne t’a pas gêné ma salope. Viens sucer mes gros seins, j’adore ça. Fais-moi plaisir petite garce. Si ça se trouve, je vais te faire rebander. T’es jeune et plein de vigueur, toi.
En me voyant sucer les tétons de Georges, Jean s’écroule dans un fauteuil, les cuisses écartées. Le fait de nous voir lui fait se toucher, doucement, sa bite débandée. Georges le voit.
— Daniel, j’aime que tu me suces les seins. J’ai quand même envie de te voir sucer la bite de Jean. Regarde-le, il se touche en nous matant le pauvre. Allez vas-y. Va le sucer maintenant, tu en meurs d’envie.
Georges a repris son ton ferme qui ne me laisse aucune chance de lui désobéir, mais en ai-je vraiment envie. Je me précipite au pied de Jean, et mets ma tête entre ses cuisses. Je lui tète sa petite bite dans l’espoir vain de le faire rebander. Il met tendrement sa main dans mes cheveux.
Maintenant, c’est Georges qui se branle et nous regardant. Il s’approche de nous, se penche, caresse mes fesses, et pénètre encore ses doigts dans mon cul qui a l’air d’en redemander. Ooohhh tout va recommencer. Je veux bien, mais mes deux vieux porcs sont hors jeu. C’est uniquement le vice qui les fait se trifouiller leurs bites molles. J’avoue que ça aussi c’est excitant.
Cet après-midi est un délicieux après-midi, et tant pis pour le rôle hypothétique promis. Plus tard, on prend tous les trois une bonne douche. On se rhabille, puis on se quitte en nous promettant de nous revoir, sans oublier de nous rouler un autre patin à trois, plein de promesses.
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Post-scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
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