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Desperate Salope

Chapitre 4

Duo de boulettes et son jus

Hétéro
Dans l’épisode précédent de Desperate Salope : Natacha, femme au foyer, s’est vengée de son amie et voisine adultère Marina, qui couche avec Tom, le fils de Natacha. Elle a réussi à attirer Clément dans son traquenard et s’est bien faite baisée au milieu de son salon. Malgré le départ précipité de Clément, elle n’a qu’une seule envie : recommencer...
Comme hypnotisée, je repensais à Clément, et surtout à sa bite qui m’a fait tellement de bien. Ragaillardie, sortie après des années de "mal-baisée", cette expérience rafraîchissante avait fait de moi une toute nouvelle femme, et je me surprenais à chantonner, à avoir le pas plus léger. Ce n’est pas mon mari, absorbé par son travail, qui m’en faisait le compliment, ni mes enfants pour qui je ne devais être que la cuisinière ou la femme de ménage. Je n’essayais pas particulièrement de coincer Tom pour savoir si et quand il rencontrait Marina. A l’inverse, après réflexion, je préférais qu’il se fasse du bien et se vide les couilles dans une femme, à défaut d’avoir des bonnes mœurs, qui ne l’entrainerait pas non plus dans une débauche de drogue ou en aurait derrière ses possessions.
De mon côté, Clément occupait mes esprits, en permanence. Je m’imaginais avec lui, dans les hôtels du monde entier, ou tout simplement dans mon salon, ma salle de bain, sa chambre, en train de copuler comme des bêtes à même le sol ou arc-boutée contre les murs carrelés. J’essayais de le guetter par la fenêtre, mais je n’arrivais jamais à apercevoir sa silhouette : vu la manière dont il était parti la dernière fois, honteux, lorsqu’il m’avait bien démontée la semaine passée, il ne semblait presser de croiser mon visage. Mais j’avais la certitude, au fond de moi, qu’il n’avait qu’une envie : me fourrer sa verge dans le minou et me culbuter de nouveau.
Quelques jours après, les vacances scolaires avaient débuté. J’envoyais un message en pleine semaine à notre petit groupe de femmes délaissées pour prendre le thé ; les voisines qui avaient encore des enfants ados venaient généralement avec leur progéniture, et j’espérais que l’école de Clément suive le calendrier, et que bien qu’il soit majeur, Marina le force un peu à venir. Quelle ne fut pas mon bonheur lorsque je le vis débarquer avec sa mère. Il semblait cependant bien sombre, hésitant, évitant à tout pris mon regard. Il était accompagné également d’un autre garçon.
— Tu pourrais présenter ton ami, le gronda Marina. Natacha, je te présente Alexandre, c’est le meilleur ami de Clément... Si on omet bien sûr Tom ! Disons que c’est son meilleur ami de l’école, post-bac.— Enchanté, fit le jeune homme en me faisant un baisemain !— Voyons, houspilla Marina. Sois un peu plus sérieux !
Mais dans ce mouvement rempli de désinvolture, d’innocence mais également de tentative de charme, je crus voir un peu de mutinerie dans le regard d’Alexandre. Concernant Marina, il semblerait qu’elle soit toujours dans l’ignorance. Tant mieux, je comptais vraiment me taper son fils avant qu’elle ne s’en rende compte.
Je servis le thé à Marina et deux autres amies et voisines qui constituaient notre clan, Emma et Aurore, venues accompagnées de leurs bambins d’une dizaine d’années. Après avoir ramené l’eau chaude, les biscuits, les infusions, je me posais enfin et discutais, le tout dans un joyeux brouhaha qui faisait qu’on n’entendait pas tout. Alors que Clément s’était absenté, certainement pour aller aux toilettes, Alexandre s’accroupit à côté de mon fauteuil, et me parla à voix si basse que personne d’autre ne pouvait nous entendre.
— Merci beaucoup, Natacha, de m’accueillir.— Mais je t’en prie Alexandre. Tu connais Clément depuis longtemps ?— Septembre, seulement. Mais on s’est tout de suite entendus.— Et tu es déjà venu chez lui ? Je ne t’ai jamais vu.— Oui, une ou deux fois... Et la semaine dernière il m’a parlé de vous.— Oh, m’exclamai-je, surprise, tandis que je sentis autant de stress comme un coup de froid dans les épaules qu’une douce tiédeur envahir mon bas-ventre. Et qu’a-t-il dit ?— Qu’il était heureux de vous connaître, apparemment vous êtes l’adulte qui lui donne des leçons que ne pourrait donner sa mère.— Il faut toujours un autre visage, une autre bouche qui saurait prodiguer de si bons... conseils.— Vous avez tellement raison ! Je vis un peu cloîtré chez mes parents, ils n’aiment pas trop que je sorte voir mes amis. Si seulement je pouvais trouver une autre figure maternelle, qui pourrait m’apprendre bien des choses...

Clément était à peine revenu depuis quelques minutes et il jeta un regard noir à son ami quand il le vit tenir des messes basses avec moi. J’étais complètement chamboulée : je n’avais rien prévu de particulier, mais à voir Alexandre et Clément j’étais toute chose. D’autant qu’Alexandre portait un pantalon assez stretch, et ne se gênait pas pour montrer qu’une petite bosse était en formation à son entrejambe... N’y tenant plus, je me levai, et demandai aux garçons de me suivre. Si Alexandre se dressa tel un ressort, comme s’il n’attendait que ça, cela semblait un supplice pour Clément que de s’arracher. J’aurai espéré qu’il soit plus volontaire, s’il était venu uniquement accompagné de sa mère. Tandis que Marina jacassait en ricanant avec nos deux autres amies, je me penchais vers elle :
— Je fais un peu le tour du propriétaire avec Alexandre, pas d’inquiétude si je ne suis pas de retour dans cinq minutes. Tu t’occupes des deux autres ?— Pas de souci, Natacha. A tout de suite.
Les deux jeunes adultes m’accompagnèrent dans la cuisine, et je refermai la porte immédiatement derrière eux. Au milieu de l’immense salle carrelée, je m’accroupis à genoux à hauteur d’yeux de leur ceinture.
— Allons, les garçons, nous n’avons pas beaucoup de temps, pendant que je retirais la ceinture de Clément.— Mais, protesta-t-il mollement, que faites-vous ?...
Je remarquai que, si ses propos semblaient mesurer le désaccord, il ne repoussait pas mes mains ni se dégagea de la position. Il restait planté comme un I, me laissant ôter la boucle, puis descendre son jean jusqu’aux chevilles. De son côté, Alexandre n’en fit ni une ni deux : il se dégagea sans hésitation de son pantalon, puis de la prison de coton qu’était son caleçon : sa virilité jaillit fièrement ! Il regarda avec convoitise ma main déboutonner le boxer de Clément - j’avais envie de voir leur queue sortir de leur sous-vêtement, mais je n’allais pas demander à son copain de le remettre maintenant qu’il s’était débarrassé de tout ce qui pouvait le déranger. De son côté, Clément détourna le regard, gêné de voir les parties intimes de son meilleur ami qu’il exhiba clairement. Et pourtant, il ne devrait pas ! Car s’il fallait reconnaître que son ami était bien monté, je savais, pour l’avoir vu en gros plan, que Clément était bien mieux membré ! A l’inverse, ce sera à Alexandre, pourtant confiant, de bouder jalousement des attributs de son pote.
Enfin, la queue de Clément sortit, telle la trompe d’un éléphant, de l’ouverture de son boxer, et je regardai avec amusement Alexandre : celui-ci écarquilla des yeux.
— Oh mon salaud ! Tu m’avais pas dit que tu en avais une si grosse ! Moi qui en ai vu des masses aux vestiaires du foot, j’ai toujours cru que personne n’allait me battre ! Mais là, c’est un sacré pylône que tu as là !
Un léger soubresaut titilla le coin des lèvres de Clément, qui ne pouvait s’empêcher de profiter du compliment, mais il restait maladroitement apeuré.
— Madame Girard, ma mère est à côté... Les autres femmes du voisinage aussi. Vous n’allez pas...— Allons, allons, mon petit. Tu vois bien que nous sommes pressés, aussi je te demanderai bien d’être en forme bien rapidement histoire qu’on en finisse une bonne fois pour toute. Prends exemple sur ton copain !
Comme ce dernier était déjà prêt, je tendis le cou pour gober entièrement le vit qu’il me présentait. Nous poussâmes une forte aspiration de manière complètement simultanée : moi pour faciliter l’insertion de son énorme phallus, lui de surprise et de plaisir quand il se sentit complètement absorbée.
— Hoooo, lâcha-t-il. C’est vraiment trop bon !— On t’a déjà sucé comme ça ? Lui demandai-je, en retirant complètement sa bite en érection, avant de la reprendre et de lui la pomper derechef.— Hoooo, on m’a beaucoup sucé, j’ai déjà eu plein de meufs qui m’ont sucé, dans ma voiture, dans les toilettes du lycée, mais là... je comprends ! Vous savez y faire ! Vous avez tellement de chose à nous apprendre !
Pendant qu’il prenait complètement son pied, je me saisis du pénis flaccide de Clément pour lui donner forme avec entrain. Heureusement, je devais avoir des doigts-de-fée, car très rapidement la saucisse de chair mi-molle se gonfla joyeusement de sang, et après quelques frictions bien vigoureuses de ma main, laissa place à un mandrin bien jouasse.
J’attirai les deux jeunes mâles près de moi, et constatai avec plaisir qu’ils profitaient le spectacle dans la globalité : ainsi pouvaient-ils voir aussi bien leur zob que celui de son comparse, se faire allègrement pomper par une presque quadragénaire, envieuse de savourer des jeunes queues bien robustes.
Alternativement, je changeai de chibre à téter : tantôt je m’occupai de l’un, tantôt de l’autre, et les grognements de plaisir allaient à l’unisson. J’embrassai les glands, les englobai dans ma bouche, engouffrai entièrement la bite qui se proposait à moi, fis des allers et retours en salivant abondamment le long de la hampe de chair, en exécutant des "slrrrp" bien ragoûtants. Je sentais durcir en permanence dans ma petite bouche de mijaurée les colonnes de chair bien libidineuses ; le délaissé avait droit à un massage direct et vigoureux, pour le maintenir en pleine forme, avant qu’une minute après je m’occupe de lui comme il se doit. Les garçons étaient aux anges.
— Oh, c’est très bon... vous êtes vraiment une coquine, madame Girard, commentai Alexandre au bord de l’orgasme.— Comment cela, lui répondis-je en arrêtant ma fellation, une coquine ?— Ho, pardon, je voulais dire...— Fais attention à ton langage et répète après moi : vous êtes une grosse cochonne.— Vous êtes une grosse cochonne, madame Girard.— Une véritable salope.— Une véritable salope, répéta-t-il, complètement ahuri devant cette trainée qui lui demande de la traiter de tous les noms.
Je m’adonnais à l’art de la fellation, encore plus engaillardie par ces mots crus qui provoquaient en moi un volcan d’excitation. Sans aucune retenue, mes lèvres coulissaient de plus en plus vite, jusqu’à atteindre une vitesse démentielle, le long de la biroute d’Alexandre. En connaisseuse, je sentis quelques tressaillements annonçant une jouissance imminente. J’avais un plan en tête, mais complètement prise dans le tournis de la passion et du stupre, une fois la bite dans la bouche au bord de l’explosion, je ne réussis plus à me retenir et à l’inverse accélérai la cadence pour l’emmener définitivement à l’orgasme.
— Je jute ! Avale ! M’intima Alexandre en jouissant, et que son épaisse semence se répandit dans ma bouche de chaudasse.— Hmmmm, glrglou ! Lui obéis-je, et le foutre coula depuis son manche excité et proprement astiqué, vers ma bouche, ma gorge et mon œsophage.
Je regardais droit dans les yeux mon amant comme une chienne dépravée et sourit : pour lui, je n’étais peut-être qu’une bouche docile, mais pour moi il n’était qu’une bite anonyme montée sur un corps. D’un autre côté, c’était Clément, le fils de mon amie, celle qui se tapait mon fils, qui m’intéressait. Je m’étais arrêté de le branloter, pour faire descendre la pression. Bien m’en a pris, puisque je le voyais, déçu d’avoir cessé mes exercices. Tandis qu’Alexandre débanda, je m’adonnai entièrement et avec toute mon ardeur à mon activité. Maintenant que je n’avais plus que son sexe à travailler, je l’excitais par tous les moyens, m’arrêtant parfois pour passer ma langue râpeuse sur ses boules, agrippant par le côté sa poutre, le suçotant lentement pendant quelques secondes et gardant un rythme frénétique.
Il finit à son tour par sentir l’orgasme venir ; toutefois, les idées plus claires, je décidai, quoiqu’un peu déçue, de ne pas goûter à son sperme aujourd’hui. Au lieu de cela, j’attrapai un petit récipient que j’avais laissé sur la table de la cuisine, en approcha l’orifice près de la bite et me mit à la masser et le traire comme les pis d’une chèvre. En gémissant, il éjacula à son tour et toute sa crème d’amour se mélangea au lait contenu dans le petit pot.
Les garçons rhabillés, ils revinrent dans le salon en ma compagnie, apportant, comme le veut la coutume de notre cérémonie hebdomadaire, un plateau avec un café fort pour faire passer les pâtisseries.
— Qui veut du lait dans son café ? Demandai-je joyeusement en versant le petit mélange onctueux dans ma propre tasse.— Non merci, déclina Marina.
Les deux autres, cependant, acceptèrent ; et jamais ce chaud breuvage qu’est le café noisette, ne porta si bien son nom puisqu’il contenait une once de velouté masculin. Le kawa agrémenté de sperme fut dégusté avec délice par nous trois, et je fus félicitée du parfait dosage.
Je ne revis pas Alexandre de sitôt, mais les quelques œillades auprès de Clément firent leur effet. Echaudé quand il m’avait entendu demander à son ami de me parler avec des insultes, je compris qu’il avait décidé de passer la barrière, et qu’il acceptait d’être mon amant personnel.
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