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Dessinez, c'est gagné

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Avant-proposJe me suis décidé à écrire une histoire... Ce n’est vraiment pas simple je n’ai pas le talent de beaucoup d’entre vous ! J’en ai un autre que vous allez découvrir à travers cette histoire...
Je tiens à remercier chaleureusement Sensuelle Emilie qui, armée de patience, m’a donné de nombreux conseils mais encore en difficulté j’ai également demandé à Yanos de m’aider, il a rendu ce texte fluide et lisible, merci Yanos.Merci encore à vous deux !
Ça fait longtemps que je lis vos histoires, que je participe à quelques topics du forum et que je discute en privé avec certaines et certains membres. Un jour en échangeant ici, j’ai découvert un site pour amateurs exhibs et voyeurs où des couples, des femmes et des hommes s’exposent. J’ai souvent trouvé que beaucoup de photos étaient belles : tous les corps avaient leur place.Quand j’étais môme, je dessinais beaucoup. Et aujourd’hui, parfois, il m’arrive encore de prendre une feuille et de laisser courir mon crayon dessus.Ces photos m’ont redonné envie de dessiner et, en discutant et commentant les clichés, j’ai proposé à certaines personnes de reproduire quelques photos.L’histoire qui va suivre est un mélange, par son contenu, de fiction et de réalité, car elle résulte d’une vraie demande d’un couple qui, prétextant l’envie que la femme soit dessinée, m’a demandé d’écrire une histoire autour de ce scénario. J’ai donc inventé ce qui suit...
*********
Alors comme convenu ensemble, ils m’attendent chez eux. Martine s’est apprêtée : elle porte une jolie chemise noire légèrement transparente laissant apparaître un soutien-gorge noir en dentelle (comme sur la photo), une jupe noire et des bas noirs aussi. Un joli décolleté laisse apparaître la naissance de ses seins. Antoine quant à lui porte un jean ainsi qu’une chemise bleue...
Martine est un peu stressée car, au cours de nos échanges, elle évoque le fait d’être complexée. Je suis surpris car ça n’apparaît pas sur les photos et encore moins en vrai. En effet, Madame a une jolie paire de seins et de belles fesses cambrées. Un peu anxieuse, assise, elle décroise et croise ses jambes. J’aime ce jeu de va-et-vient, avec ce léger bruit de frottement de tissus. Je raffole des jambes gainées. Je suis ravi, vivement que je vois ses pieds raffinés.
Nous buvons un verre et discutons sur le fait d’écrire qui est, pour moi, très occasionnel. Mais nous revenons surtout à ma passion pour le dessin qui explique ma présence chez eux. En effet, c’est en voyant tous ces couples poser sur un site amateur que j’ai eu envie de me remettre à dessiner. A la demande de plusieurs personnes, j’ai donc croqué quelques dames : leur poitrine, leurs fesses et leur joli minou ouvert et pour certaines avec des poils. Eh oui, ça existe encore. Je leur raconte qu’une fois, j’ai dessiné une femme assise sur son homme (quand je dis assise vous voyez ce que je veux dire...).
Tout cela semble beaucoup leur plaire. Ils se décident à me poser des questions sur les poses à prendre, les tenues à choisir. Je précise que n’ayant jamais pris de cours de dessin il m’est très difficile de faire des portraits. En revanche je suis plus à l’aise avec les rondeurs et les courbes en faisant jouer les ombres et lumières pour donner plus de relief aux corps exposés. Antoine me demande :
— Est-ce que poser peut avoir un effet thérapeutique pour ma femme au vu de ses complexes ?
Je réponds par l’affirmative et précise qu’une fois devant le résultat, le modèle s’avère généralement assez fier. De plus poser devant son chéri est plus facile ; ça permet de se sentir rassurée par la présence de l’être aimé. Antoine se tourne vers Martine :

— Chérie, que penses-tu de tout cela ? Aimerais-tu essayer ? — Pourquoi pas ? Avec toi à mes côtés. Et Monsieur semble tout à fait courtois. — Que doit-elle faire ? Dit-il en s’adressant à moi. — Comme elle le souhaite. Pour une première fois l’important c’est qu’elle doit se sentir à l’aise.— Bon pour cette première je préfère aller dans la chambre et voir quelle pose choisir et dans quelles tenues je vais me mettre.— D’accord chérie, allons-y.— Je vous suis.
Ils prennent la direction de la chambre. Je prends place dans un fauteuil et les laisse s’organiser. Le mari prend sa femme dans ses bras et lui chuchote des mots à l’oreille tout en lui caressant le dos. Lorsqu’ils ont terminé de se parler elle me regarde et décide de se déshabiller.
— Je peux me déshabiller devant vous et mon mari ? — Avec plaisir. Cela me permettra d’avoir un premier aperçu des courbes de votre corps.
Son mari, s’installe dans un coin de la chambre, me laissant seul assis dans le fauteuil, face au lit et surtout à Martine. Délicatement, devant moi, elle enlève sa chemise, et me laisse entrevoir sa délicieuse poitrine. Puis me tournant le dos, elle descend sa jupe pour se retrouver en soutien-gorge string et bas noirs.
— Alors pourrais-je être un beau modèle ?— J’en suis sûr !
Elle se rapproche de moi et, en m’offrant ses fesses, enlève son string qui n’en cachait pas grand-chose. En se penchant pour le ramasser, elle prend soin de bien ouvrir ses cuisses, laissant bien voir l’ouverture de ses lèvres dégagées de poils. Puis elle se retourne et j’aperçois alors un pubis bombé recouvert de poils bien taillés. Alors, délicatement, elle ôte son soutien-gorge laissant apparaître sa poitrine généreuse.
Pendant qu’elle marche nue dans la chambre, j’en profite pour préparer mon matériel à proximité du lit. La voir ainsi se déplacer ne me laisse pas indifférent et je commence à avoir une érection. Elle se rapproche de son mari, se love contre lui en lui parlant à l’oreille tout en me jetant des regards appuyés. Je termine de préparer mon matériel lorsqu’une chose merveilleuse se passe. Son mari l’a fait asseoir sur le bord du lit et en lui écartant les cuisses il m’interpelle :
— Venez voir de plus près ce que vous allez dessiner. C’est sa chatte que je souhaite que vous dessiniez, sa chatte tout humide. Regardez comme elle mouille.
En disant cela, il caresse ses lèvres devant moi en introduisant ses doigts et en les faisant aller et venir dans sa grotte magique.
— Caressez-lui les seins ! Constatez comme ils sont fermes et comme ses tétons pointent pour que vous les dessiniez.
Je ne m’attendais pas du tout à ça mais devant un tel spectacle je ne me fais pas prier, d’autant que je raffole des belles poitrines. Je me rapproche de celle qui va devenir mon modèle et je commence à lui caresser les seins ; ses tétons commencent à pointer. Martine gémit et elle s’allonge pour mieux s’offrir à nous.
— Continuez à m’exciter mes hommes ! Caressez-moi... pour que mon corps soit prêt à être dessiné.
Antoine et moi agissons de concert : je masse et caresse ses seins pendant que son mari lui ramone la chatte. Complètement offerte et ouverte, elle se laisse faire : elle gémit à nouveau.
— Hmmm... Oui, c’est bon mes salauds. Continuez, je vais jouir ; je veux jouir sous vos doigts. Regardez ma chatte ouverte et toute mouillée... Regardez : je me branle le clito ! Je vais venir... continuez. Putain, c’est trop bon ! Encore ! Ouiiiii... je... je viens ! Ahhhhhhh... ouiiiii... c’est trop bon. Ouiiii, je jouiiiiiissss !!!
Puis, d’un coup elle se laisse retomber. Elle se recroqueville en chien de fusil m’offrant une vue exquise sur son fessier, les bras remontés sous son visage, ses seins tombant sur le côté, ses jambes toujours gainées de soie noire, légèrement écartées, d’où je vois couler les restes de son récent plaisir. Le mari se recule. Je m’éloigne aussi, sans prendre la peine de cacher mon érection. J’ai devant moi cette femme lascive qui vient de jouir. Le mari va s’asseoir sur le fauteuil me laissant face à sa femme offerte.
— Allez-y. Commencez à la dessiner.
Alors je prends mon fusain pour dessiner les premières esquisses de mon modèle et la voyant dans cette position je trouve instantanément le titre de mon tableau :
"Corps d’une femme après l’orgasme"
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