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Le Destin de Carole (2)

Chapitre 1

Erotique
Le Destin de Carole (2).
La porte cette fois se referme derrière Carole et Guillaume, lui décontracté, elle quelque peu agitée par le souvenir qu’au même endroit, dans les mêmes circonstances, Clara et elles se sont follement embrassées pour la première fois. Mais, après réflexion, elle se sent stupide, s’excuse auprès de lui et l’invite à entrer et à s’asseoir sur le canapé.
— Un verre de vin blanc, bien frais ?— Un truc sans alcool, ça me paraît plus raisonnable, si tu as.— De l’eau minérale gazeuse ?— C’est parfait !
Elle s’installe près de lui, ils boivent quelques gorgées en silence, l’un et l’autre perdus dans leurs réflexions intimes. Guillaume, perturbé par la défection de Clara se risque à poser la question :
— J’ai trouvé la réaction de Clara quelque peu hostile, qu’en penses-tu ?— Pour bien comprendre, il faut que je te raconte notre petite histoire. Mais là, tout de suite, je ne m’en sens pas le courage, dit-elle en s’étirant et en bâillant.
En retombant, sa tête trouve incidemment refuge sur l’épaule de Guillaume. Ni l’un, ni, l’autre ne bouge, Guillaume a une pensée pour la fille qui lui a posé un lapin, il se dit que certains aspects de la vie sont surprenants, deux heures après il se retrouve dans l’appartement d’une autre fille sans avoir rien demandé ; Carole se plaît au creux de l’épaule de ce garçon bien sous tous rapports, qui l’aide sans le savoir à estomper les mauvais souvenirs laissés par d’autres, c’est sans doute ce qui guide sa main vers la sienne, qui d’emblée l’emprisonne entre ses doigts vigoureux, elle se laisse bercer par cette force tranquille qui se dégage de ce corps noueux, certaine qu’elle est, d’avoir trouvé en lui la personne de confiance qui lui est fondamentale.
De son côté Guillaume est un peu plus circonspect ; il avait plutôt flashé sur Clara, qu’il avait déjà remarquée, mais il a compris par sa réaction de tout à l’heure et les non-dits de Carole qu’elle était plutôt acquise à la cause féminine. La détermination de Carole lui est agréable, son corps est divin, son intelligence remarquable, sa présence si près de lui provoque une érection salutaire, mais quelque chose le retient d’aller plus loin ce soir. Carole est affamée de sexe, la bosse qu’elle perçoit sous la braguette de Guillaume est un appel au sexe sans équivoque. Impatiente elle attend que Guillaume fasse le premier geste, ne voulant pas paraître trop impétueuse. Celui-ci termine son verre, se lève en disant qu’il est temps pour lui de rentrer ; il embrasse Carole sur les joues, et quitte l’appartement.
Carole est folle de rage. Elle s’est vraisemblablement comportée comme une cruche avec Guillaume, ce qui l’a conduit à déguerpir ; elle s’allonge sur son lit, les larmes aux yeux, redoutant que la solitude ne devienne son lot quotidien ; sa vie sentimentale est un naufrage, pour Carole, Guillaume était sans doute l’avenir plein d’espoirs, aujourd’hui passé par pertes et profits.
Elle se couche sans même passer par la salle de bain, avec un mal de tête qu’elle attribue à l’abus d’alcool, de multiples idées se télescopent dans son cerveau, elle en veut à ses parents et à leur éducation, à Clara et à son superbe corps auquel elle a cédé, à ces hommes qui l’ont violée, à Guillaume qui n’a rien compris, à la terre entière, mais le sommeil finit par l’emporter dans ces contrées obscures où ne règne que le néant.
Le réveil est long, brouillé, pâteux. Dès qu’elle le peut, elle jette un œil à son portable et voit que Guillaume lui a laissé un message ; elle décide avant de le lire de boire un café pour dégourdir ses neurones embués. Il fait un temps gris et brumeux, copie conforme de son moral, le café avalé avec une grimace elle se décide à ouvrir le message :
— Carole.
— Je voulais tout d’abord te présenter mes excuses pour mon attitude d’hier soir. J’aimerais pouvoir te dire de vive voix la raison de mon départ précipité. Si tu es d’accord, je passe te prendre tout à l’heure et t’emmène déjeuner. Nous pourrons discuter paisiblement. Je t’embrasse. Guillaume.
Quelle peut bien être la raison qui fait qu’il veut me dire aujourd’hui ce qu’il n’a pas fait hier soir ? Carole est interrogative : bizarre !Elle lui répond : « J’accepte ton invitation avec un plaisir teinté d’une légère appréhension. Passe me prendre vers midi. Bisou ».Guillaume a choisi un petit restaurant très sympathique, bien fréquenté en ce dimanche midi, la cuisine y est raffinée, le service efficace ; au café, Guillaume prend la main de Carole, elle le sent tendu, nerveux et en baissant le ton il lui dit :
— Venons-en à ce que je voulais te confier. Tu me plais beaucoup, Carole, mais avant d’aller plus loin, je voulais te dire que je fais un complexe qui a tendance à me paralyser en présence d’une jolie femme : j’ai un petit sexe !
En une fraction de seconde, Carole hésite entre pouffer de rire ou garder son sérieux. C’est sérieusement qu’elle lui demande :
— Et c’est censé te poser un problème ?— Je le crains, mon rendez-vous manqué d’hier soir par exemple.— Pourquoi, tu lui avais dit ?— Oui, ce n’est peut-être pas la meilleure approche, mais je préfère pour éviter d’être humilié au moment fatidique. Quel est ton sentiment ou ton verdict ?— Viens, sortons et je te le dirai en se promenant et bien plus encore.
Main dans la main, à pas lents, Carole raconte en détail ce que fût sa vie sexuelle jusqu’à ce jour, ou plutôt ce qu’elle ne fût pas, si l’on excepte l’épisode Clara. Guillaume est attentif, sa main serre un peu plus celle de son amie lorsqu’elle évoque les épisodes douloureux. Ayant terminé, elle s’accroche à son cou, se hisse jusqu’à son oreille et lui murmure :
— Tu sais quoi, j‘ai envie de l’essayer, ta petite bite !
Fou de joie, Guillaume tourne sur lui-même entraînant Clara dans un tourbillon où se mêlent allégresse et désir, reconnaissant envers cette jeune femme qui, enfin, lui fait confiance et ne considère pas cette anomalie comme un handicap. Ce n’est plus la main dans la main, mais bras dessus bras dessous que le couple se dirige vers l’appartement de Carole d’un pas plus alerte.
Le petit vestibule de l’entrée qui a vu Clara et Carole s’étreindre pour la première fois est à nouveau le témoin de furieuses embrassades, avant que les deux amants ne rejoignent le canapé. Cette fois Guillaume accepte le verre de vin blanc, entre deux gorgées de ce breuvage ils pratiquent des caresses de plus en plus ciblées vers les zones érogènes de chacun d’entre eux jusqu’à ce que Guillaume prenne l’initiative de prendre Carole dans ses bras et l’emmène dans la chambre. C’est Carole qui enlève chemise, pantalon et boxer de son bientôt amant et fidèle aux images de film porno qui sont sa seule référence, elle s’agenouille devant Guillaume dont la bite en érection pointe son gland vers les lèvres tremblantes de Carole.
Un premier contact du bout de la langue récolte une goutte de liquide élastique et transparent, témoin de l’excitation du mâle, puis elle s’enhardit et gobe le gland, sa langue agile en fait le tour à plusieurs reprises insistant sur le frein du prépuce, comme une pro ; puis elle engloutit ce qu’elle ne trouve pas si petit, certes il n’a pas l’air très long puisque ses lèvres touchent, en haut les poils pubiens, en bas le haut des couilles, mais il est bien épais et lui remplit totalement la bouche. C’est la première fois que Clara est confrontée à une bite sans qu’elle lui soit imposée, qu’elle peut en savourer à la fois la saveur, mais aussi la puissance sur le plan sexuel, l’impact sur sa propre chatte qu’elle se caresse sentant la cyprine l’envahir.
Elle remarque la dureté de la queue de Guillaume et quelques soubresauts érectiles qui la font grossir l’espace d’un instant ; perdue dans ses réflexions, elle est statique, Guillaume prend l’initiative d’allers venues dans le deuxième sexe de Carole, mais sentant l’éjaculation proche il se retire.
Il soulève délicatement Carole, la dépose au bord du lit, écarte avec bonheur les cuisses de la belle et profite du spectacle : plus il ouvre l’angle, plus les lèvres de la chatte s’entrebâillent, laissant percevoir une chair brune et rose, humide, un petit monticule, en haut, attire la langue serpentine qui écarte quelques poils avant de titiller cette bite miniature qui semble prendre quelque volume sous l’effet des attouchements doux et suintants ; le corps de Carole se tortille, elle maintient fermement la tête de Guillaume entre ses cuisses, le souvenir fugace de Clara dans la même position lui traverse l’esprit, quelques soubresauts et gémissements et Guillaume se dit qu’il est temps de pénétrer cette grotte chaude et bien huilée au moment où Carole lui dit :
— J’ai envie de ta queue, viens m’enfiler !
Pour Guillaume c’est l’instant T, comment va-t-elle apprécier sa bite, saura-t-elle la satisfaire ? Il laisse ses questions de côté et pris d’un désir impérieux enfonce son pieu court et épais dans la fente qui la réclame fiévreusement. Il alterne les mouvements rapides et lents, inquiet, il lui demande si elle le sent bien ?
— Continue, tu me fais jouir, j’aime ta bite, ne t’arrête pas !
Stimulé par ces mots, il la défonce littéralement sous ses cris étouffés qui accompagnent le corps qui se cabre et se relâche dans un rugissement animal. A cet instant il se retire et sans même se branler des jets de sperme qui inondent le ventre de Clara partie rêver dans une contrée fleurie et paisible.
Une petite minute plus tard elle se réveille, ses yeux humides s’entrouvrent, incrédules, son retour sur terre est lent, elle est infiniment reconnaissante envers Guillaume de lui avoir fait connaître le véritable bonheur physique qui efface à jamais ses expériences malheureuses.
Guillaume est aux anges. Il vient, une fois pour toutes, de se prouver qu’il peut malgré son problème, emmener les femmes vers ce qui leur est légitimement dû. Carole est la femme qui a su le comprendre, ne pas se moquer et le guider vers ce renouveau. Reconnaissant, il l’embrasse fébrilement. Les corps s’embrasent à nouveau et la petite bite repart à l’assaut de son refuge.
Afin de rester discrets sur leur récente union Carole et Guillaume ne changent rien à leur mode de vie, chacun reste chez soi, elle dans son appartement, lui à l’école. Clara, elle, a compris depuis l’autre soir ; certes, si elle n’a pas d’information sur les détails concernant le sexe de Guillaume, elle voue aujourd’hui une haine farouche à Carole à qui elle reproche de lui avoir fait miroiter une liaison pérenne possible alors que ce n’était qu’un pis aller.
Les études ne semblent pas perturbées par ces à-côtés, qui font partie, somme toute, de la vie de tous les jours. Carole reste brillante, Guillaume sans doute boosté par cette aventure progresse et prend de l’assurance...
Clara fait la gueule, mais son travail ne semble pas en être affecté. Elle avait pour Carole un amour sincère doublé d’une attirance sexuelle évidente et supporte très mal sa trahison. Mûrit alors dans son cerveau bafoué une vengeance qu’elle qualifie elle-même de diabolique !
A suivre.

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