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LA DESTINEE DE MON AMIE MIRABELLE

Chapitre 1

Erotique
CHAPITRE I
Ses premiers… Nous étions ensemble depuis quelques mois. Mirabelle est une femme grande, mince, les cheveux blonds, ramenés en arrière dégageaient des traits délicats, avec de grands yeux gris-vert qui reflétaient la douceur et la fragilité, et une remarquable poitrine aux seins hauts plantés, de superbes longues jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, bref une belle paire de fesses rondes parfaitement musclées admirablement moulée tendues naturellement, comme une invitation agressive à les croquer. Tout en elle attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. Le visage pâle, mince, une jolie bouche pulpeuse, avec une expression timide. Bref, un joli petit lot incroyablement sexy. Elle avait alors 25 ans et travaillait comme institutrice dans une sympathique ville du sud. Elle avait pris l’habitude d’aller déjeuner dans un restaurant populaire proche de son lieu de travail, car cela lui permettait de se déstresser. Un jour qu’elle avait oublié son argent, le garçon lui avait dit de ne pas s’inquiéter, et qu’elle pourrait payer en fin de mois. Aussi prit-elle l’habitude de déjeuner et de porter l’addition sur sa note. Un jour, après son repas, le garçon lui tendit la note, d’autant plus importante que cela faisait plusieurs semaines qu’elle déjeunait sans payer, mais surtout que la note était majorée d’intérêts très importants. Elle indiqua au serveur qu’elle ne pouvait payer cette facture immédiatement mais celui-ci ne la laissait pas sortir et haussait le ton sous les regards des autres clients. Très gênée, elle lui demanda un délai. Le garçon lui répondit qu’il ne pouvait l’accorder sans l’autorisation du patron et lui ordonna d’aller le demander elle- même. Il la poussa alors vers la porte de la cuisine. Elle portait ce jour là un pull blanc moulant sur un jean et des chaussures à talons compensés. Lorsqu’elle entra dans la cuisine, elle vit la cuisinière aux fourneaux et le patron, assis derrière un bureau encombré de papiers. Aldo, le patron, était un homme légèrement corpulent, d’une cinquantaine, de belle taille, vêtu d’un costume en soie, fumant le cigare. Il porte un pantalon de ville noir avec une chemise noire. Ces traits sont fins, une peau un peu foncée et des yeux clairs. Il la regarde s’approcher : — Qu’est ce que tu veux ? — On vient de me donner ma note, mais vu la somme, je voudrais vous la régler en plusieurs fois. — Mais, je ne suis pas la soupe populaire. Cet argent, tu me le dois et chaque jour passé augmente les intérêts. — Je vous en prie, faites moi ce plaisir. Il est assis et la regarde, debout devant lui. Ce regard la gêne profondément, mais elle ne peut rien faire que subir en attendant son bon vouloir. Le silence dure et la cloue sur place. — Mais où sera mon plaisir à moi ? — Je vous paierai le plus rapidement possible. — Il me faut un acompte immédiatement. — Comme vous voudrez. L’ordre bref a claqué … Et il lui dit « Je veux savoir à qui j’ai affaire ». — Avance prés du bureau !Mirabelle ne comprend pas, — J’attends, — Retire ton jean et ta culotte, l’ordre bref a claqué,
— Allez à poil vite !—déshabille-toi vite fait. Je veux voir comment tu es foutue. — Mais Monsieur... — C’est ça, où les flics. Allez, dépêche-toi. Elle se sent coincée : emmenée au poste pour grivèlerie ou se montrer à cet homme. Elle prend sa décision et enlève son pull, laissant apparaître un soutien-gorge blanc qui masque ses seins. Elle ouvre sa robe qui tombe sur ses chaussures. Elle voit alors le flash d’un appareil photo. Aldo l’a photographiée en slip et soutif. Elle en rougit de honte et se cache derrière ses mains. Elle est prise comme un poisson dans la nasse. Mais Aldo poursuit, sèchement : — A poil ! Sans résister, elle enlève le soutien gorge et ses seins apparaissent, avec leurs aréoles pâles, mais raidis par la honte. Ses mamelons sont durs comme de la pierre. C’est au tour du slip de se retrouver par terre, elle est nue, Aldo examine les poils de sa toison, très fins qui laissent voir le haut des lèvres, le début de ta fente. Elle est fendue très haut sur le pubis. — Les chaussures aussi, je te veux toute nue. Mirabelle se retrouve alors à poil et les pieds nus sur un carrelage pas très propre. Elle a gardé une main devant sa poitrine et l’autre devant son sexe, elle a les yeux baissés et les joues rouges. Nouveau flash. Mirabelle ressent tout de suite le ton différent. Le tutoiement la perturbe. La voix reste dure mais chaude cependant. — Tu n’es pas vraiment nue à mes yeux. Débarrasse-toi de tes bijoux, de tes bagues et de ta montre.Mirabelle dépose ses bijoux sur le bureau de Monsieur Aldo, Mirabelle doit ainsi se débarrasser du dernier rempart de sa féminité sociale assumée et reposer ses pieds nus sur le sol. Les femmes savent bien que marcher pieds nus devant un homme est déstabilisant quand elle se sent observée. Elle éprouve un sérieux manque de grâce et d’équilibre. De plus en lui tournant le dos elle doit présenter ses fesses et en se baissant, une partie de son intimité. Tout cela est photographié. Sa tête tourne. Il lui faudrait une pause dans cette suite d’événements. — Les mains derrière la tête. Mirabelle a conscience qu’elle va s’exhiber pour la première fois devant un inconnu, mais que faire d’autre à ce moment précis. Elle met les mains comme demandé, ce qui a pour effet immédiat de faire se redresser ses seins. Encore un flash. — Tourne-toi, Elle fait demi-tour et se rend compte alors que la cuisinière et le serveur sont en train de l’observer. La honte grandit pendant qu’Aldo photographie maintenant ses fesses offertes. — Regarde-moi et écarte les jambes. — Plus que ça, tu es une femelle qui vient pour se faire dresser et écarter les cuisses ! — Maintenant tourne moi le dos et enlève lentement tes chaussures sans plier les genoux. Gros plan sur les lèvres de sa chatte. — Ouvre ta chatte avec tes doigts. — Tourne-toi et écarte tes fesses, — Cambre-toi, — Caresse tes tétons, — Suce ton doigt comme si c’était une belle bite, Elle happa son doigt et le suça, — Bouche ouverte, — Couche-toi sur le sol et écarte grand les jambes, — A quatre pattes, Et à chaque position ordonnée, flash de l’appareil photo. — Il faut que j’aille travailler. Je vais être en retard, — Il faut que j’aille travailler... qui ? — Il faut que j’aille travailler Monsieur, — Bien entendu petite salope. Mais n’oublie jamais que tu devras toujours m’appeler Monsieur, — Bien Monsieur. Puis-je aller travailler Monsieur, — Vas-y, mais pose ta culotte sur la table. Tu viendras la chercher demain midi. Mirabelle lui dit qu’elle se sent gênée de ne pas avoir de soutien-gorge… et là, Aldo se lève, et une gifle mit fin à sa phrase. Si tu ne viens pas, les photos de ta chatte et de tes nichons atterriront chez tous les parents d’élèves. Je t’attends ici, demain, à midi. Et maintenant, dégage. Mirabelle enfile rapidement ses vêtements, n’oublie pas de poser son slip sur la table et part à l’école, la tête toujours tournante de ce qui vient de lui arriver. Elle voudrait que ce ne soit qu’un cauchemar. Pourtant la sensation de la fermeture éclair sur la peau nue de son pubis lui rappelle que c’est bien la réalité. Que va-t-il se passer demain ? Comment faire pour que son ami (moi) ne se rende pas compte qu’elle a les fesses nues ? Heureusement pour elle, je n’étais pas encore rentré et elle a pu se vêtir normalement avant mon arrivée. Toute la soirée et une grande partie de la nuit, elle s’est demandé ce qui allait lui arriver le lendemain, les photos l’empêchant de se défiler aux ordres de Monsieur Aldo. Toute la matinée de ce vendredi, Mirabelle a beaucoup de mal à se concentrer sur les mathématiques et le français. Dans sa tête tournent les images de la veille. Elle entend encore les ordres de Monsieur Aldo. Que va-t-il se passer ce midi ? Même si elle a eu d’autres expériences sexuelles avant moi, jamais elle n’avait fait cette expérience de la soumission. Et elle ne peut pas dire qu’elle y a pris goût, non pas du tout. Cependant… elle sait qu’elle est coincée… la dette, les flics, la honte... Le temps passe vite, très vite. C’est déjà la pause du midi, les élèves sortent. Voilà Mirabelle seule devant son destin modifié, imposé, obligé par un maître tout puissant. Elle sort de l’école, traverse la rue et se retrouve devant la porte du restaurant.
Mirabelle pousse la porte. La salle est pleine d’hommes qui la regardent. Le serveur lui fait signe de la tête de passer dans la cuisine. Avec le jean qu’elle portait, on voyait son cul bien moulé. Le cauchemar recommence. Aldo, toujours assis derrière son bureau, lui adresse un bref coup d’œil avant de replonger dans son assiette. Mirabelle reste debout, ne sachant quoi faire. — A poil ! Je ne devrais pas avoir à te le dire. Mirabelle se déshabille immédiatement et attend, debout devant la table, les mains croisées devant son sexe. Elle est rouge de honte. L’attente dure. Pendant ce temps, le serveur entre et sort plusieurs fois, sans se gêner pour fixer ses fesses, ses seins. Aldo relève enfin la tête, la fixe dans les yeux. — Enlève tous tes bijoux. Je te veux toute nue, — Ouvre la bouche, grande ouverte ! Mirabelle enlève ses bagues, son collier. Elle n’a plus rien sur le corps. À ce moment, Aldo fouille sur la table et lui lance un collier pour chien, large, épais, en cuir noir clouté sur lequel étaient fixés plusieurs anneaux de bonnes dimensions. Cela permettait d’y assurer, chaînes, cordes et autre laisses, pour obtenir de celle qui le portait, une obéissance absolue quand on la dirigeait. — Attache toi ça, Puis il lui jette une laisse qu’elle doit mettre au collier. Photo avec la laisse qui se termine entre les cuisses de Mirabelle, photo avec la laisse dans la bouche, photo avec la laisse tenue par le serveur. Puis : — Bien, tu es venue pour manger. Ton gamelle est là, Mirabelle voit une assiette emplie de riz posée dans un coin de la cuisine. — A quatre pattes, tu reconnais ton auge ? et bien tu manges tout, sans les mains, Mirabelle s’agenouille puis avance vers le coin de la pièce. Elle a conscience de ce qu’elle montre : une femelle avec les fesses à l’air et les seins qui ballottent à chaque pas. Photos. Elle baisse la tête et tente de manger le plat qui lui est proposé. Cela fait beaucoup rire Aldo et la cuisinière qui ne privent pas d’échanger des propos salaces : — Quelle belle chienne ! — Quelle salope tu veux dire ! — On doit pouvoir bien s’amuser avec cette pouffiasse ! Ce discours inquiète beaucoup Mirabelle qui sait qu’elle est coincée, mais aussi que chaque nouveau jeu l’enfonce encore un peu plus. — Allez ça va, reviens ici, Mirabelle se redresse et revient se présenter devant Aldo. La belle jeune femme est nue, bras le long du corps, le visage barbouillé de riz. Aldo ne se prive de regarder sa poitrine, dont les longs tétons sont tendus par la honte, le ventre barré par la laisse de chien dont la boucle effleure le sexe. — Je pense que je pourrai récupérer mon pognon. Qu’en penses-tu, dit-il à la cuisinière. — À condition qu’elle soit bien obéissante, cette pute. — Mais elle sera obéissante, sinon c’est les flics pour la dette et la perte de son boulot avec les photos. — Hein, tu seras obéissante, petite chienne ? Cambres toi plus petite pute ! Tu dois devenir une bonne salope obéissante, dit-moi qui tu es !— Oui Monsieur, je suis une femelle qui doit être dressée, je suis là pour vous, Mirabelle a répondu, la tête basse, des larmes perlèrent dans ces yeux. Elle était un jouet entre les mains de Monsieur Aldo. Elle ne sait pas où tout cela va la mener, mais, pense-t-elle, elle est sûre de ne pas avoir le choix. — A genoux, maintenant. — Écarte bien les cuisses. Ecarte d’avantage. Gros plan sur les seins, sur sa fente bien haute et visible entre les cuisses écartées, bien en avant, qui ne demande qu’à être forcée. Nue, la tête incline dans une posture de totale soumission. A genoux, les cuisses grandes ouvertes, prête à être baisée, se faire mettre, et obéir à n’importe quel ordre de Monsieur Aldo. Peut-être était-elle fière… de rentrer le ventre, projetant en avant ses seins orgueilleux pour signifier son appartenance... Ousmane va t’asperge— Ousmane, viens ici. — Tu vois cette femelle à genoux, tu vas te branler et gicler sur ses nichons. — Oui Monsieur Aldo, Mirabelle est effarée. Elle voit le serveur sortir son sexe de son pantalon, s’approcher d’elle, toujours à genoux les cuisses écartées et commencer à se masturber sans un mot en détaillant chaque partie de son corps. Le sexe imposant semble la viser. Photo. — Regarde bien, petite pute. Ousmane va t’asperger et tu vas me remercier. — Allez bouche grande ouverte, Les yeux exorbités, Mirabelle voit le sexe se raidir encore plus, puis, soudain, un jet de sperme s’abat sur ses seins. Deux giclées supplémentaires sur son visage et ses cheveux. Du sperme, débordait d’entre ses lèvres et coulait sur son menton. Ses seins sont couverts de cette substance blanchâtre et collante. Photos encore. — Merci Monsieur, — De quoi ? — De m’avoir faite asperger de sperme, Monsieur, Quelle honte pour Mirabelle. Elle est toute nue, à genoux sur un sol pas très propre, les seins couverts de sperme et elle s’entend remercier son bourreau. Pourtant ce n’est pas encore fini. — Étale la crème sur tes nichons. Masse les biens. Et Mirabelle obéit. Elle se frotte les seins avec le sperme du serveur. Ceux-ci en deviennent tout brillant et les tétons, malgré elle, pointent. Nouvelles photos. — Relève-toi et reste avec les mains derrière la tête et les jambes écartées ! — Bien, ma salope. Maintenant tu vas pouvoir aller au boulot, mais avant, Ousmane va encore s’occuper de toi, — A toi Ousmane, Et Ousmane le pantalon sur les chevilles, la queue dure, bien bandée, se rapproche de Mirabelle, — Allez, arrive que je te fourre ma bite dans la bouche, et suce moi bien chienne, Il impose le rythme en la tenant par les cheveux. Elle a les mains derrière le dos, la bouche docile, baveuse, elle s’affaire sur le sexe d’Ousmane. Les mouvements infligés font valser quelques filaments de sperme encore appendu à ses joues et à son menton. — continue comme ça, surtout ne bouge pas, ça vient, Elle ne sait pas encore qu’après avoir si longuement sucé elle sera fouettée, — Ce n’est pas du travail, tu dois faire mieux salope, il faut que tu suces à fond, jusqu’au fond de ta gorge, je vais apprendre, à la chienne que tu es, — Oui, Monsieur Ousmane, je vais m’appliquer… Elle haletait… mais pas de fouet… Sans un mot, il la fit lever sèchement, attache ses poignets au dessus de sa tête avec des menottes, la conduit contre la porte, et face à cette porte, elle présente son cul charnu relevé et offert. Là, avec un fouet, il fait rougir les fesses de caresses cinglantes, mordantes, elles sont striées de marques rouges. Elle tente de s’échapper, de fuir l’impact de l’instrument, mais en vain, la malheureuse tourbillonna avec un cri de douleur. Mais le terrible fouet, la poursuivit. Le fouet la suivait, zébrant le corps entier de larges stries écarlates. De nouveau, le fouet recommence son travail, il siffle, la mord aux reins. Elle pleure. Une pose, la main d’Ousmane glisse entre ses cuisses, qu’elle écarte malgré la douleur, pour bien montrer à Monsieur Aldo qui regarde, combien elle est sage, docile. Ousmane cajole sa fente humide, pénètre son intimité avec ses doigts qu’il lui fait sucer. Puis le fouet reprend sa danse. — Tourne-toi que je m’occupe de tes nichons. Je vais les faire durcir, les faire bander. Allez salope plus vite que ça, bombe bien tes miches, tes mains sous chaque mamelle, Elle se retourne, donne ses seins bien en avant, et le fouet recommence avec vigueur sa danse folle, mais cette fois sur les mamelons. Des larmes coulaient malgré elle, Mirabelle sent la lanière du fouet la cingler. En sanglots, elle attend la fin de sa punition… La correction cesse, elle attend qu’Ousmane la détache… Joli spectacle que ce corps de jeune femme nu, se tortillant sous les coups de fouet en hurlant...Monsieur Aldo intervient, — C’est bien pour aujourd’hui, rhabille-toi, mais tu me laisses ton slip et ton sou-tif, — Mais Monsieur, je ne peux pas... — Ta gueule. Obéis, un point c’est tout, Mirabelle renfile donc son jean et son pull à même la peau, enlève le coller de chien et la laisse et pose ses sous-vêtements sur la table. Ce faisant, elle se rend compte que ses seins ballottent, indiquant l’absence de soutien-gorge. — A lundi. Tu porteras une jupe et un chemisier boutonné. Mirabelle sort de la cuisine. Elle traverse le restaurant où quelques dineurs la suivent du regard. Quelques uns la sifflent. Elle entend même : — Elle est à poil là-dessous, L’après-midi va être longue. Durant tout le week-end des images traversent la tête de Mirabelle : nue devant un inconnu, à quatre pattes en train de manger dans une gamelle et surtout ce sexe qui se vide sur elle. Il lui semble encore ressentir ce sperme dont elle a eu bien du mal à se défaire sous la douche. Et lundi, que va-t-il encore lui arriver ? Qu’est ce que Monsieur Aldo va encore trouver, pour la rabaisser ? Pourtant elle sait qu’elle devra se rendre dans cette cuisine. Moi, son ami, je me rends bien compte que quelque chose ne va pas, mais elle me répond qu’elle a des problèmes avec sa classe. Lundi matin, je suis surpris de la voir enfiler une jupe, ample et mi-mollet, et un chemisier sage, mais quand même ce n’est pas une tenue habituelle pour aller travailler pour elle qui aime le confort sportif. Elle me parle d’une visite importante et je ne cherche pas plus loin.Lundi midi.De nouveau ce restaurant bondé qu’elle traverse, vacillant légèrement sur ses talons, pourtant pas très hauts. Ousmane, qui la regarde, avec dans les yeux une lueur lubrique et aux lèvres, un petit sourire goguenard en coin. La porte de la cuisine. Monsieur Aldo, derrière son bureau, qui la détaille. — Alors, ma petite salope, tu m’as obéi. Mais je n’ai pas dû être assez précis : la jupe, c’est ras la touffe, le chemisier, c’est transparent, tu es ici pour être dressée, utilisée, obéir, tu dois être aguicheuse, — Mais, Monsieur, je n’ai pas ce type de vêtement. Et puis je ne peux pas aller travailler ainsi, — C’est ton problème, chienne, — doit obéir à tous mes ordres, en contrepartie de cette obéissance aveugle, je veillerai sur toi, Le maître a aussi des devoirs envers son esclave. — Oui Monsieur, je vous obéirai, — En tout cas, tu seras punie pour te présenter attifée comme cela, Qu’est-ce-que ça veut dire « être punie » ? Mais Mirabelle n’a pas le temps de réfléchir davantage. — Allez, à poil pouffiasse ! Le cauchemar qui recommence. Les vêtements qu’elle enlève. Le contact du sol gras sur ses pieds nus. Le collier et la laisse qui lui sont lancés et qu’elle se dépêche d’attacher autour de son cou. Mais là, nouveauté : — Écarte les jambes, plus que ça. Mains derrière la tête. Mets la laisse dans ta bouche. Flash. Mirabelle imagine les photos : une femme (elle), toute nue, jambes grand écartées qui font clairement apparaître son sexe (légèrement luisant), mains derrière la tête qui font dresser ses seins, un collier de chien et la laisse dans la bouche. C’est une image d’esclave qu’elle voit. — Maintenant, retourne-toi. Attrape tes chevilles avec tes mains, Flash. Mirabelle imagine la photo : ses fesses et son anus doivent être clairement visibles. Elle entend Aldo qui lui demande de se tourner face à lui, mains sur la tête. Bien entendu, elle obéit immédiatement. — Dis-moi ce que j’ai photographié.— Vous avez photographié ma poitrine, Monsieur, — Tes nichons, salope. Répète, — Mes nichons, Monsieur, — Tu dois apprendre à les mettre en valeur, — Et j’ai photographié quoi d’autre ? — Mon sexe et mon … cul, Monsieur, — Le cul, c’est bon, mais pour devant tu parleras de ta chatte, de ton trou à bites, — Oui Monsieur, ma ...chatte, — Viens ici, petite pute, Mirabelle s’inquiète. C’est la première fois qu’elle doit s’approcher de Monsieur Aldo. Elle avance, les mains toujours derrière la tête. Elle sent ses seins se balancer doucement. Aldo attrape alors le haut de la laisse et la couche à plat sur ses genoux. Sensation bizarre pour Mirabelle : Monsieur Aldo n’a pas touché sa peau et pourtant elle est allongée sur ses genoux, toute nue, les fesses en l’air, la tête tirée vers le bas par une laisse tendue, les seins écrasés sur le pantalon. — Marie, viens ici (c’est la cuisinière) Il faut lui trouver un nom à cette petite salope. Fessée, fouet, martinet ?— Bambie Monsieur Aldo, joli nom pour une jeune salope, qu’en pensez-vous ? — Pourquoi pas. Va pour Bambie, mais elle n’a pas fait d’effort pour paraître devant moi. Elle doit être punie. — Oui Monsieur Aldo. Fessée, fouet, martinet ? — Marie, on va commencer par la fessée. Cinq claques sur chaque globe de ce beau cul. Il doit rougir, — Bien Monsieur Aldo, Mirabelle n’en croit pas ses oreilles. Elle va être fessée, cul nu. Ce n’est pas possible. Pourtant une première claque tombe d’un côté, suivie d’une autre sur l’autre globe. Flash. Monsieur Aldo a la femme sur ses genoux, il l’a retournée comme une crêpe en la couchant en travers. Marie frappe la main bien à plat, fermement à cheval sur les deux fesses. Elle vise la raie, bien au milieu, il faut que la Mirabelle s’ouvre, qu’elle s’offre, se donne un peu plus à chaque coup. Mirabelle sursaute, se débat, pleure. — Tais-toi sinon je frappe plus fort ! Et vlan ! un autre coup sur l’autre fesse, et Mirabelle serra les dents pour ne pas crier de nouveau. Mais rien n’y fait. La laisse est trop tendue pour qu’elle puisse bouger. Flash. Les claques se succèdent : deux, trois, quatre, cinq. Mirabelle gémissait de douleur, ça y est. Elle a enduré sa punition. Ses fesses sont rougies. Elle ravale ses sanglots. — Va me chercher Ousmane, — Bien, Monsieur Aldo, — Et toi Bambie, à genoux devant le bureau. Mains derrière la tête bouche ouverte et écarte bien les cuisses, Le serveur arrive. Il ricane en voyant Mirabelle dans sa posture d’humiliation. — Monsieur Aldo ? — Cette chienne ne m’a pas donné satisfaction. Comme punition elle a été fessée. Mais ce n’est pas assez. Tu vas t’occuper de ses tétines. Un tour complet pour chacune. — Oh non Monsieur, s’il vous plait ? — Ta gueule, et ne crie pas, ne bouge pas, sinon... Ousmane s’approche de Mirabelle Il prend un téton entre ses doigts, tire dessus pour l’allonger et se met à lui faire faire un tour complet. Mirabelle se mord les lèvres pour ne pas hurler, certaine que la punition pourrait durer. Même chose avec l’autre téton. Quand Ousmane a terminé, les aréoles de Mirabelle sont rouge violacé. Elle sanglote. Ousmane, tu peux vider les couilles— Maintenant, Ousmane, tu peux vider les couilles sur Bambie, — Vise bien la bouche et les nichons, Mirabelle revoit encore une fois le sexe d’Ousmane, face à elle. Flash. Ousmane redressa Mirabelle par les cheveux et puis c’est le jet de sperme qui l’atteint d’abord sur le nez et sa bouche ouverte, puis sur les seins. — Tu sais ce que tu dois faire, salope, Mirabelle ne réfléchit plus. — Merci, Monsieur, de m’avoir fait recouvrir de sperme, Elle masse ses seins, qui de nouveau brillent de sperme. Flash. Mais ce n’est pas fini. — Ramasse le foutre sur ton nez et ta bouche et bouffe-le. Lentement Mirabelle s’exécute. Elle a un haut-le-cœur quand le sperme pénètre sa bouche, mais elle s’oblige à tout avaler. Flash. — Tu vas pouvoir repartir, traînée. Mais avant, tu connais les habitudes, Mirabelle pense vite. — Je dois vous donner ma culotte et mon soutien-gorge, Monsieur (surtout ne pas oublier le « Monsieur »), — C’est mieux, Bambie. Reste à poil pour poser tes sous-vêtements sur mon bureau. Et viens m’embrasser. Mirabelle (ou Bambie, elle ne sait plus très bien) avança son minois qu’une rougeur enflammait et donne ses lèvres à Monsieur Aldo, — Bouche ouverte, salope, Elle ouvre la bouche et sent alors la langue d’Aldo lui fouiller la bouche. Après ce long baiser, Aldo lui envoie un jet de salive sur le palais. — Avale, ma pute, Ce qu’elle fait sans trop vouloir penser à ce qu’elle fait. — Maintenant Bambie, je veux que tu me dises comment tu seras fringuée pour venir demain. Et ne te trompe pas dans les mots, sinon... N’oublie que tu es une salope. — Demain, je viendrai avec un chemisier transparent et une jupe ras la... touffe, Et, sans savoir pourquoi, elle ajoute : — Parce que je suis une chienne, une salope, une pouffiasse, Aldo éclate de rire. — Tu apprends vite, Bambie. Et n’oublie pas des talons hauts, au moins quatorze centimètres. Maintenant, casse-toi. En sortant, Mirabelle, qui n’a pas fait attention aux ricanements dans la salle, s’interroge. Elle ne sait plus trop ce qu’elle fait, ni, surtout, pourquoi elle le fait. Elle est en train d’oublier la dette, les photos compromettantes et se sent devenir la chose, plus exactement un objet sexuel, appartenant à Monsieur Aldo. Elle n’y prend pas de plaisir, mais ces midis deviennent des moments qu’elle ne peut pas arrêter, cela l’affole un peu car elle n’avait pas eu vraiment le temps de se préparer a cette idée.
Dès qu’elle sort de l’école, elle se met à la recherche des vêtements exigés par Monsieur Aldo. Elle trouve rapidement des escarpins noirs, s’attachant autour des chevilles, avec des talons de 14cm. Quand le vendeur, à ses genoux, lui demande de marcher, elle voit dans la glace son image, mais différente. La hauteur des talons cambre ses fesses et projette ses seins vers l’avant. Elle se souvient alors qu’elle est sans culotte ; elle est sûre que le garçon en face d’elle s’en est rendu compte. Tant pis, tout pour que Monsieur Aldo soit content d’elle. Il va pourtant falloir s’habituer à marcher sur de tels talons. Si le chemisier transparent blanc est facile à trouver « Il faudra mettre un petit caraco dessous », lui dit la vendeuse… (si elle savait !). Impossible de trouver une mini jupe : ce n’est plus la mode. Elle ne trouve qu’une petite jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses. Quand elle se regarde dans le miroir, elle sait qu’il faut dire adieu aux chaussettes et s’achète une paire de collants couleurs chair. Tout pour que Monsieur Aldo soit content d’elle, de...Bambie. Jusqu’à maintenant, personne ne l’a touchée. On s’est contenté de la regarder, de l’humilier, d’éjaculer sur elle. Elle doit bien reconnaître que cette situation nouvelle d’objet sexuel, la honte qu’elle ressent l’attire. Mais que se passera-t-il demain ? Et comment faire pour que je ne me rende pas compte de ce qui lui arrive ? En rentrant à la maison, un bon bain (difficile de détacher le sperme qui maquille ses seins), s’emmitoufler dans la vieille robe de chambre si confortable. Quand Mirabelle se voit dans le miroir, elle ne retrouve pas la Bambie d’il y a quelques heures. Qui est-elle vraiment ? Mardi midi.Mirabelle passe par les toilettes de l’école. Là, elle enlève le jean, le pull, les chaussettes, les tennis et se prépare à enfiler les habits de Bambie. Un éclair : Bien sûr, il faut aussi enlever le slip et le soutien-gorge. Bambie ne porte rien dessous. Bambie est maintenant toute nue dans ces WC où règne une odeur assez forte. Elle enfile les collants, la jupe, le chemisier, s’assied sur la cuvette pour attacher les brides de ses talons. Elle passe un manteau afin de cacher à des collègues éventuels ou à des passants sa nouvelle apparence. Quand elle sort, elle sent ses seins se balancer librement et ses tétons frotter le chemisier. Bambie passe la porte du restaurant. Les regards de tous les clients se fixent sur elle, essayant de découvrir, sous le manteau, les seins, les cuisses, les fesses de cette jeune femme dont ils se doutent bien qu’elle ne vient pas là pour manger. C’est les yeux baissés qu’elle entre dans la cuisine. Monsieur Aldo la regarde. Mirabelle est catastrophée. Elle se rend compte que son manteau cache ce qu’Aldo a ordonné. Elle n’est pas encore totalement Bambie. Monsieur Aldo se charge de lui faire remarquer : — Est-ce-que c’est ce que j’avais ordonné ? — Oui Monsieur, dit Mirabelle en ôtant immédiatement son manteau pour présenter ses seins nus bien visibles sous le chemisier, sa mini jupe et ses souliers à talons aiguilles. Tout le monde doit savoir que tu es ma salope— Tu devrais savoir que, dès que tu entres dans le restaurant, tout le monde doit comprendre que tu es ma salope en voyant tes nichons à l’air. Compris ? — Oui Monsieur, — Et puis, qu’est-ce-que c’est que cette jupe ? — Je n’ai pas trouvé plus court, Monsieur, — Pourtant, tu avais bien compris. Quelle hauteur, la jupe ? — Ras la touffe, Monsieur, — Et donc... — Je serai...punie, je mérite d’être punie, alors punissez-moi, Monsieur, Aldo lui montre le collier sur la table. Mirabelle s’exécute immédiatement, attache le gros collier de chien autour de son cou, puis fixe la laisse. Elle est pourtant un peu surprise. Aldo ne lui a pas encore ordonné de se déshabiller. — Enlève ta jupe, Mirabelle se dépêche d’obéir. Elle pense, avec un peu de fierté que Monsieur Aldo sera content d’elle. — Qu’est ce que c’est que ça ? — Je n’ai pas mis de slip pour vous faire plaisir et pour vous montrer que... — Que quoi, chienne ? — Que... je vous... appartiens, Monsieur, — Je sais bien que tu m’appartiens, Bambie, mais une pute porte des bas, pas ces saloperies de collants. Enlève-les tout de suite et fous-toi à poil. Fais un quart de tour, mets les mains sur la nuque, et cambre-toi bien ! Tu gardes juste les talons, le collier et la laisse. Ça y est. Enfin. Mirabelle, ou plutôt Bambie, se déshabille. Elle est debout, grandie par ses talons qui cambrent ses fesses. — Marche, — Cambre-toi mieux, — Stop, écarte les cuisses, — Pose les mains par terre sans plier les jambes, Nouvelles photos à chaque position. Bambie se surprend à attendre les ordres qui l’avilissent un peu plus. — Appelle Ousmane, Elle pense qu’elle va encore avoir droit à une douche de sperme. Pourtant, elle entrouvre la porte de la cuisine (pour ne pas que les clients la voient nue) et appelle le serveur. — Approche du bureau, — Donne-moi la laisse, Aldo tire la laisse vers lui, ce qui a pour effet immédiat de coucher Mirabelle sur le bureau. Ses seins s’écrasent sur les papiers. Ses pieds, sur les talons, ont bien du mal à rétablir un équilibre et elle est obligée d’écarter les cuisses. — Regarde-moi dans les yeux, Bambie. Tu vas devenir une bonne pute. — Oui Monsieur Aldo, Monsieur Aldo l’a appelée Bambie, et, curieusement, cela lui procure un grand plaisir. Finie les « chienne », « salope » et autres gros mots, Il l’a appelée par son nom... de PUTE. Éblouissement dans la tête de Mirabelle c’est cela qu’elle devient ? Le cou cassé pour regarder Monsieur Aldo, elle comprend qu’Il est en train de réussir et qu’elle lui appartient. — Ousmane, tu vois cette belle petite chatte avec la fente bien en avant ? T’as vu sa comme elle s’ouvre … et elle est super humide… Elle est à toi, baise-la, Viens, viens me ramoner …Elle est abasourdie (peut-être dépitée)… Elle va se faire prendre là, sur le bureau et même pas par Monsieur Aldo. Elle sent deux mains qui lui écartent les cuisses et un sexe dur qui cherche ses grandes lèvres. Elle se raidit, mais Aldo lui ordonne de continuer à le regarder et surtout de ne pas crier. Le pénis d’Ousmane s’enfonce lentement dans son sexe. Il est gros, il lui fait un peu mal. Mais elle se tait et garde ses yeux dans ceux d’Aldo, même si coulent quelques larmes, de honte ? …de regret ? Le pénis est au fond de son ventre. Elle sent les testicules contre ses lèvres. Puis commence le va-et-vient, lentement d’abord. Ousmane retire son sexe jusqu’à ce que le gland effleure les petites lèvres puis l’enfonce jusqu’au fond du vagin. Étrange sensation, un sexe quasi inconnu (elle ne l’a vu que deux fois) lui fait l’amour pendant qu’elle regarde un autre homme. — Ousmane, je t’ai dit de baiser cette pute, pas de lui faire l’amour, ça suffit ! baise là ! Le scénario change alors. Deux mains agrippent ses fesses et le sexe la laboure à grands coups qui la font sursauter à chaque fois. Ses seins frottent la table, ses fesses claquent sous les coups de boutoir du mâle qui la baise. Elle sent soudain de longs jets de sperme frapper le fond de son vagin. C’est fini. L’homme s’est retiré. Son vagin, encore ouvert, laisse couler des filets de liquide blanchâtre le long de ses cuisses. — Bien Ousmane, mais tu ne peux pas aller dans la salle dans cet état. Bambie, nettoie le bien. Qu’il ne reste aucune trace, Bambie, encore une fois ce nom de reconnaissance. Elle cherche quelque chose pour essuyer Ousmane, — Avec ta bouche ! Et surtout, n’y mets pas les mains salope ! Le mot a claqué dans sa tête. Vite, elle s’agenouille devant le serveur et passe avec promptitude sa langue le long du sexe qui vient de la prendre. Goût et odeur bizarres, pas très agréables. Mirabelle s’applique pourtant et lèche du gland aux couilles pour le rendre tout propre. Ousmane retourne en salle. Mirabelle est toujours à genoux, pour être plus aisément contrainte, avec la laisse qui pend entre ses cuisses maculées de sperme. Mirabelle vient de se faire baiser et elle a léché la bite de son violeur. Elle n’en revient pas. Punie pour la taille de ta jupe— Viens ici, la chienne. Tu n’as pas oublié que tu devais être punie pour la taille de ta jupe, — Mais, Monsieur, ce n’est pas ma faute, — Tu ne m’as pas obéi. Tu vas être punie. À plat ventre sur mes genoux, Docilement Mirabelle prend la position. Aldo, vicieusement, lève une jambe. Ce qui a pour effet immédiat de surélever ses fesses. — Marie, vingt coups de cravache sur son cul de pouffiasse. Marie attache les mains de Mirabelle, saisit la cravache et commença à la faire siffler dans le vide pour la terrifier un peu plus. — Et toi, sac à foutre, tu vas les compter. Marie visait plus bas : les coups claquent sèchement sur ses fesses, le bas de mon dos, les cuisses… Elle sursaute violemment mais n’oublie pas de compter « un », « deux », « trois »... Le dernier coup, plus sec encore, l’atteint au milieu du dos « vingt ». Quelle douleur…Mirabelle serrais les dents. Marie détache les mains de mirabelle et Mirabelle se laissa tomber sur le sol à genou. Marie la saisit par les cheveux et tout en lui tenant la tête elle lui colle une violente paire de gifles : — Tu es déjà fatiguée ? Alors que nous n’avons même pas passe une heure ensemble ? — Non Madame, juste ankylosé par la position, Aldo tire sur son collier pour la forcer à se relever. Ses fesses et son dos la brûlent. Elle ne sait plus où elle est, ce qu’elle fait, ni même qui elle est. Mirabelle a d’abord joui sous la morsure de la cravache, s’ouvrant même davantage aux coups, mais le plaisir a vite laissé place à une douleur terrible, plus vive à chaque coup porté. Et elle s’est mise finalement à hurler comme une folle, implorant la pitié. Elle a l’impression d’être détachée de mon propre corps, — Comprends bien Bambie. Ça ne fait pas plaisir de te faire corriger. J’aimerais que cela ne se reproduise plus. Mais il faut bien que tu m’obéisses. — Oui Monsieur. Il y a moins d’une semaine elle était une petite institutrice sage. Aujourd’hui, on vient de la fouetter après l’avoir fait baiser, et elle, elle comprend, mieux, elle accepte. — Et pour que tu comprennes mieux, à partir d’aujourd’hui, je ne suis plus Monsieur, mais ton maître. — Oui... Maître, Mirabelle vient de prononcer ce mot terrible pour elle. Maître. Elle a accepté Monsieur Aldo comme Maître. Mais alors, elle ? — Tu m’appartiens Bambie, — Oui Maître, — Je ferai de toi ce que je voudrai, — Bien Maître. Je suis à vous. Je suis une chienne, qui a besoin que vous la dressiez… Elle accepte de prononcer ces mots qui la livrent à Aldo. Celui-ci sort alors de son bureau une courte lettre, simplement une reconnaissance de dettes et ordonne à Mirabelle de la signer. Elle prend le stylo qu’il lui donne et, après une courte hésitation au vu du montant astronomique de la somme, signe le courrier qui, elle le sait, la met pieds et poings liés entre les mains de son... Maître. — Dès à présent ta vie ne t’appartient plus… Ici, c’est moi qui décide, compris ?— D’abord, ta présentation. Plus de pantalons, ni de tennis. Mini-jupe ras la touffe et talons aiguilles. Répète Bambie ! — Plus de pantalons, ni de tennis. Mini-jupe...ras la touffe et talons aiguilles, Maître, — Bien. Plus de ces saloperies de collants mais des bas avec un porte-jarretelles. Les bas devront toujours être noirs. Ou alors, jambes nues, — Oui Maître, — Plus de sous-tif de pucelle. Nichons à l’air, ou alors redresse seins. Tes tétons doivent toujours être accessibles. Compris ? — Oui Maître, plus de soutien-gorge. Mes seins doivent toujours être libres, — J’ai dit tes nichons, petite conne, — Mes...nichons seront toujours libres, Maître, — Plus de culotte de grand-mère. Chatte à l’air ou slips ouverts, — Ma chatte à l’air ou slips ouverts, Maître, — Bambie, pour devenir une bonne salope, tu dois être prête à montrer ton cul à tout moment, accepter tous les positions d’amour. Aimer toutes les pénétrations. Accepter de te faire enculer très souvent. Raffoler de culs d’hommes, lécher avec plaisir leur trou et les couilles pleines de bon foutre. Tu suceras toutes les bites avant de te faire enculer… Tu as saisis ? Je vais te vendre pour ramener du fric, tu ferras tout cela pour me faire plaisir, en te faisant payer grâce ton fourreau à bites, as-tu bien compris ? — Tu dois savoir que tu es faite pour être prise, tu es là pour me servir, servir de vide couilles aux hommes à qui je te vends, tu es là pour être remplie ! — Oui Maître, je le ferai pour votre plaisir, — À la bonne heure, mais si tu ne ramènes pas assez, tu recevras une dérouillée ! Bambie, Mirabelle a compris. Salope, pute... quand le maître n’est pas content. Bambie quand elle l’a satisfait. Elle sait qu’elle fera tout pour le satisfaire, et aimer cela signifier pour elle … sa reddition. — N’oublie pas de te maquiller les yeux et les lèvres, du rouge sur tes tétons et les lèvres de ta chatte, de vernir tes ongles, pieds et mains. Rouge obligatoire, — Oui Maître, — Tiens, voilà une adresse où tu trouveras une jupe pour une pouffe comme toi. Vas-y dès ce soir. — Bien Maître, Mirabelle se rend bien compte qu’elle se donne totalement à celui qui n’est même pas son amant. — Avant de ficher le camp, tu laisses ta jupe trop longue et tes collants sur la table, — Mais... Maître, je ne peux pas sortir toute nue, Aldo ne répond même pas. Il lui demande de s’approcher, — Ouvre la bouche, que je te lèche la glotte. Mirabelle avance, toujours nue sur ses talons, se penche vers son Maître, toujours assis, ce qui fait pendre ses seins et approche sa bouche grande ouverte vers celle d’Aldo. Elle sent la langue de son Maître forer sa bouche pour un long baiser violent. La seule partie du corps qu’il n’ait jamais prise est donc sa bouche. Mirabelle ne comprend pas. Quand leurs lèvres se détachent, — Garde la bouche ouverte, Et Aldo lui crache dedans ! Comment accepter ça ? Et pourtant, Mirabelle n’a aucun geste de recul. — Avale, Mirabelle enfile maintenant son chemisier, puis son manteau. Elle a gardé le collier de chien autour du cou.— Comme demain c’est mercredi, je t’attends jeudi. Mais, essaie de ne rien oublier, — Oui, Maître et merci, Maître, Mirabelle sort de la cuisine, traverse la salle. Les clients encore présents voient, grâce au manteau qui s’ouvre à chaque pas, les cuisses de cette jeune femme mignonne découvertes presque jusqu’au sexe. Ils ne se privent d’applaudir et de siffler. Ce qui fait monter la honte chez Mirabelle De retour dans l’école, Mirabelle se précipite dans les toilettes pour se rhabiller avant les cours de l’après-midi. Elle renfile slip, jean, tennis et pull qu’elle avait abandonnés tout à l’heure. C’est alors qu’elle se rappelle les ordres de son Maître : « nichons à l’air », « chatte à l’air ». Elle enlève la culotte et le soutien- gorge et en profite pour remettre les talons hauts à la place des tennis. Elle se rend compte, alors, qu’elle est en train de sourire : nichons et chatte à l’air, et Mirabelle est heureuse, ou plutôt Bambie est heureuse. Car Mirabelle, elle, se demande comment elle va me faire passer cette métamorphose, à moi, son ami. Elle décide alors de rentrer tôt pour laver les traces de sperme et se rhabiller sagement, sans oublier d’ôter le collier. Elle ira à la boutique dont elle a l’adresse dans la poche après. Mirabelle ne se doute pas à cet instant que l’instant de gentillesse de Monsieur Aldo, qui ne l’oblige pas à venir un jour où il n’y a pas d’école, cache un piège beaucoup plus profond. Après être passée dans le bain où elle a dû frotter fort ses cuisses pour décoller le sperme séché, elle enfouit le collier dans son sac. Elle n’oublie pas de vernir les ongles de ses pieds et de ses mains d’une laque rouge vermillon, qu’elle utilise de temps en temps, et surtout pour les grandes occasions. Quelle occasion ! Les ordres de son Maître. Rhabillée (décemment), elle cherche l’adresse où elle doit aller trouver sa jupe... ras la touffe. C’est une petite rue d’un vieux quartier de la ville. Arrivée sur place, elle se trouve face à un...sex-shop. Elle n’est jamais rentrée dans ce type d’endroit. Après un moment d’hésitation, elle pousse la porte et s’arrête, ébahie par ce qu’elle voit : des revues avec des femmes nues, cuisses écartées, pénétrées par le sexe, la bouche et même l’anus, des reproductions de sexes d’hommes de toutes tailles, des sous- vêtements criards et vulgaires... Elle entre un peu plus loin pour chercher les jupes. Soudain, elle entend derrière elle : — Qu’est-ce qu’elle cherche, la petite dame ? Un peu honteuse, elle chuchote : — Une mini-jupe, — Mini, comment ? Les trois hommes présents dans le magasin se retournent à la voix de l’homme et dévisagent Mirabelle, dévisagent, ou plutôt la détaillent, de haut en bas, s’attardant sur la poitrine, les cuisses, les fesses. — Très mini, dit-elle à voix basse, — Ah, je vois, ras la touffe, claironne le vendeur. Ne serait ce pas pour faire plaisir à Monsieur Aldo ? — Oui, Monsieur, — Il m’a prévenu de ta visite. J’ai ce qu’il te faut, Et il lui présente une jupe en skaï noire, si courte que Mirabelle se demande un instant si ce n’est pas une ceinture. Les clients s’approchent insidieusement pour mieux voir cette jeune femme qui vient acheter des vêtements dans un sex-shop pour plaire à son homme (s’ils imaginaient que ce n’est pas pour son ami, mais pour son Maître !). — Il faut que tu l’essayes, Mirabelle cherche des yeux une cabine, mais : — Essaye-la ici. Il n’y a pas de cabine, compris vide couilles, La honte, à nouveau. Mais elle continue à s’enfoncer. Elle se décide d’un seul coup à enlever son pantalon. Les clients ne se gênent plus : — Dis donc, quelles jambes ! — Et regarde ce cul pour y loger son dard ! — Dommage que ce slip soit si moche ! Il cache sa moule. Mirabelle enfile la jupe. Elle ne dépasse pas les fesses. Si elle doit se pencher, elle sera plus que nue. Et, évidemment, elle entend : — Penche-toi en avant. Il faut savoir si elle tient bien, Bien entendu, la jupe remonte jusqu’au niveau des reins, laissant complètement visible sa culotte.— C’est la bonne taille. Il faudra enfiler un slip plus sexy que celui-là, voire pas de slip du tout. Qu’en pensez-vous, messieurs ?— La chatte à l’air, elle doit être bonne. Sa chatte semble très accueillante… — Si je la trouve sur le trottoir comme ça, sûr que je monte. — Abandonnez, messieurs, elle est déjà en main. Mirabelle passe à la caisse pour régler son achat et s’enfuit dans la rue, non sans avoir entendu : — A bientôt, Bambie, Ainsi, Monsieur Aldo avait prévenu du passage de sa nouvelle... nouvelle quoi d’ailleurs : maîtresse, chienne, esclave ? Maîtresse, non, Maître Aldo (c’est comme cela qu’elle l’appelle maintenant) ne l’a pas touchée. Alors, chienne, esclave, pute...? Autre chose lui traverse maintenant l’esprit. Elle va devoir, jeudi, traverser le restaurant avec cette jupe, mais sans culotte et les nichons visibles. Ce n’est pas possible et pourtant Mirabelle sait déjà que Bambie va le faire.

CHAPITRE II
Moi, son ami, je suis mis au courantCe mercredi matin, je m’apprêtais à monter dans ma voiture pour aller faire quelques courses quand un homme d’une trentaine d’années m’arrêta : — Vous êtes bien Monsieur… ? — Oui, que voulez-vous ? — Je voudrais vous parler de choses graves concernant votre amie. Pouvez-vous m’accorder quelques instants ? — Oui, mais... — Suivez-moi dans ce café, Intrigué, j’accompagnais l’inconnu. Nous nous installâmes à une table un peu à l’écart. — Ce que j’ai à vous dire n’est pas facile, — Dites quand même, Mirabelle, toute nue, jambes écartéesL’inconnu fouilla dans sa poche et en sortit une photo qu’il posa sur la table, retournée. Je pris la photo, et là, stupeur. Sur cette photo, mon amie, Mirabelle, toute nue, jambes écartées, mains derrière la tête, seins projetés vers l’avant, dans une pièce pas très propre. — Mais qu’est-ce que c’est ? Silence de mon interlocuteur, mais nouvelle photo. Cette fois-ci Mirabelle est toujours nue, mais à quatre pattes, visiblement en train d’avancer. On aperçoit aussi les jambes d’une autre femme. — Mais ce n’est pas possible ! Troisième photo. Cette fois-ci Mirabelle est à genoux, entrain de s’écarter les lèvres de son sexe. Je suis abasourdi. — Il faut que je vous explique. Votre amie a de fortes dettes. Elle fait ça pour éviter la police, — Mais je vais vous payer, — Cette somme-là ? Et il me présente une reconnaissance de dettes, signée par mon amie, pour une somme astronomique. — Mais nous ne pourrons jamais. — Le problème n’est pas là. Présentez vous demain à cette adresse avant midi. Vous comprendrez tout, Et pas un mot à votre amie ou c’est la police. Et l’inconnu s’en va tranquillement. Je ne comprends rien : Mirabelle toujours si sage quand nous faisons l’amour, là, dans ces positions dégradantes. Et que signifie ce rendez-vous ? Le lendemain, je quitte mon travail plus tôt et me rend à l’adresse indiquée. L’inconnu me demande où j’ai garé ma voiture. Il me demande de la cacher. Ensuite, il m’emmène dans une pièce où est assis un homme d’une cinquantaine d’années. — Monsieur… ? — Oui, — Vous allez voir des choses qui vont vous choquer. Cependant, je vous demande de ne pas réagir, de ne pas bouger, tant que je ne vous l’aurez pas dit. Cela pourrait vous amener de gros ennuis avec la police, Le premier homme m’emmène dans une espèce de cagibi, avec une chaise pour tout mobilier, et une vitre sans tain qui permet de vois tout ce qui se passe dans la cuisine. J’attends. Une femme est en train de cuisiner, l’homme d’une cinquantaine d’années est assis derrière sa table, mon inconnu a disparu. Soudain, peu après midi, la porte de la cuisine s’ouvre. Je reste stupéfait. C’est Mirabelle, mon amie, qui vient d’entrer. Mais une Mirabelle que je n’ai jamais vue. La première chose que je remarque, c’est le gros collier de chien, clouté qu’elle porte autour du cou. Puis ce chemisier complètement transparent sous lequel ses seins apparaissent, sans aucun soutien gorge pour les masquer. Et puis encore cette jupe, si courte qu’elle lui arrive au ras du sexe. Enfin des talons démesurés, elle qui ne porte que des tennis. Elle est, de plus, maquillée avec des yeux très noirs et du rouge à lèvres écarlate. Mais qu’est-ce-qui lui est arrivé ? Soudain, j’entends les voix. Celle de cet homme : — Alors, Bambie, tu m’as obéi aujourd’hui ? Bambie ? Pourquoi l’appelle-t-il Bambie ? — Tu vas m’expliquer ce que tu as fait, petite pute ? Mirabelle ne bronche pas à l’insulte. — Je me suis habillée comme vous me l’avez ordonnée, Maître. Je n’ai pas rêvé. J’ai bien entendu mon amie, appeler cet homme, Maître. — Dis le moi. Je veux être sûr que tu as bien compris, — Oui, Maître. J’ai mis le collier de chien pour que vous puissiez m’attacher la laisse, — Eh bien fais-le, Mirabelle va vers la table, prend une laisse et l’attache au mousqueton du collier, la tend à l’homme, et se met en position exigée, offerte. Je suis sidéré, et pourtant, mon sexe commence à réagir à cette situation. — Continue, chienne, — J’ai mis un chemisier transparent, avec mes nichons à l’air. Elle a bien dit « mes nichons » ! — Je suis allée acheter la jupe ras la touffe au magasin que vous m’aviez indiqué... — Au sex-shop, tu veux dire ? — Oui Maître, au sex-shop, — Des gens t’ont vu ? — Oui Maître, trois clients ont assisté à l’essayage, — Ils ont maté ton cul ma salope ? — Oui Maître, — Tout nu ? — Non, maître, j’avais une culotte. — Tu m’as encore désobéi. Donc tu sais que tu seras punie. — Maître, je ne savais pas que je ne devais jamais porter de culotte. — Ne discute pas pouffiasse. Ma douce et tendre amie qui parle de ses « nichons », de « sa touffe », qui va au sex-shop et s’exhibe devant trois inconnus qui la baise comme une vraie salope dans le magasin. Non, décidément, je ne comprends plus rien. — Et là, est-ce-que tu m’as obéi ? — Oui Maître, j’ai le cul à l’air. — Montre, Et Mirabelle soulève sa jupe pour montrer son sexe nu. Aldo, sortant de derrière son bureau, s’approche de Mirabelle et dirige une main vers son entre jambe, elle écarta les cuisses, — C’est bien. Continue, Bambie.— Comme je n’ai pas de bas, ni de porte-jarretelles, je suis venue les jambes nues. Et j’ai mis mes talons aiguilles. — Bien Bambie. Maintenant comme d’habitude. Je vois alors Mirabelle enlever son chemisier et sa jupe, en gardant ses talons. Puis elle se met à marcher devant l’homme qui regarde attentivement ses seins se balancer. Je suis atterré, pourtant mon sexe est tendu dans mon pantalon. Que va-t-il se passer maintenant ? — Dis-moi quelque chose Bambie. — Dressez-moi Maître. Je suis à poil pour vous, — Tu fais des progrès, Bambie, Je me rends bien compte que, si elle ne réagit pas aux insultes qu’on lui adresse, Mirabelle a l’air heureuse (!) quand l’homme l’appelle Bambie. — Maintenant, tu vas appeler Ousmane et prendre ta position. Aujourd’hui, c’est toi qui vas lui demander et ne te trompe pas, ou je double la punition, — Bien, Maître, Je vois mon amie passer la tête par la porte de la salle (je rappelle qu’elle est complètement nue et que des clients de la salle pourraient l’apercevoir) et appeler doucement Ousmane. Ensuite, elle se dirige vers le bureau, tend la laisse à « son maître ». Elle écrase ses seins sur le bureau, tend ses fesses vers la porte en écartant les jambes et redresse la tête pour regarder son bourreau (mais en est-il un ?). Mon inconnu d’hier entre dans la pièce. — Baise-moi, Ousmane. Baise-moi comme une salope, C’est mon amie qui demande. Ousmane ouvre sa braguette et en sort son sexe qu’il commence à caresser en regardant le cul de mon amie. Dès qu’il atteint la rigidité suffisante, il l’approche du vagin de Mirabelle, s’enfonce d’un coup sec qui la fait sursauter, et commence ses va-et-vient extrêmement puissants et violents. Les mains de l’homme pétrissent ses fesses, parfois même les claquent. Mirabelle ne dit rien, ne bouge pas. Elle se laisse baiser. Seuls ses seins frottent la table. Elle ne quitte pas des yeux celui qui tient la laisse. L’homme enfoncé dans le sexe de mon amie se raidit soudain. Je devine qu’il déverse son sperme en elle à gros jets saccadés. Nouvelle surprise. Mirabelle se tourne, s’agenouille et lèche le sexe d’Ousmane, faisant glisser sa langue le long de la colonne, tournant autour du méat. Elle ne s’arrête que quand le sexe qui l’a forcée est tout propre. — Le cul de cette poulette est à dire vrai, le repaire idéal pour y insérer sa tige, Et elle attend, à genoux, bien écartée, bouche ouverte. — Allez, maintenant, c’est l’heure de ta punition. Tu sais pourquoi ? — Parce que je ne suis pas sortie cul nu, Maître. Ces mots dans la bouche de mon amie ! Mais est-ce bien encore Mirabelle de l’autre côté du miroir ? Et mon sexe tendu dans mon pantalon n’a-t-il pas raison de voir plutôt une fille hyper- bandante ? Mirabelle se relève, approche de Monsieur Aldo et se couche à plat ventre sur ses genoux. Quelle vision : le beau cul de mon amie est surélevé par sa position, ses seins sont écrasés sur le pantalon de l’homme et sa tête, prolongée de la laisse pend vers le sol. Elle a les cuisses écartées et on y voit les traces brillantes du sperme d’Ousmane. — Tu as le choix de ta punition, Bambie : fessée, martinet ou fouet ? — Je préfère la fessée, Maître. — Mauvaise réponse, salope. Tu aurais dû répondre ce qui plait à ton Maître. Alors, au lieu de 10 coups de martinet, tu en compteras douze. Marie, à toi. Je vois la cuisinière s’approcher, le martinet à la main. Le premier coup tombe sur les fesses de Mirabelle qui commencent à rougir. Stupéfait, je l’entends dire « un ». Les coups tombent régulièrement et mon amie continue de compter. Je n’en peux plus. Mon sexe est tendu au maximum. À « dix », j’entends Aldo dire : — Les deux derniers sur les nichons, Marie. Toi, la pute, mets- toi à genoux, mains derrière la tête. Je vois Mirabelle se mettre à genoux, sans rechigner. Je la vois aussi trembler. Pourtant, elle a pris la position ordonnée. Je me rends même compte qu’elle a écarté les cuisses sans qu’on lui ait rien demandé. Marie s’est placée face à elle. Le premier coup cingle le sein droit. « Onze ». Le sein gauche. « Douze ». Les seins de Mirabelle sont maintenant marqués de petites lignes rouges. — Alors, Bambie ? — Je vous remercie de cette punition, Maître parce qu’elle me rappelle ce que je suis, — Et qu’est ce que tu es, Bambie ? — Votre...chose, obéissante, votre pute, Maître, — C’est bien, Bambie. Ce soir, tu retournes au sex-shop. Tu devras acheter ce que le vendeur te présentera. N’oublie pas : cul et nichons à l’air et ton collier, — Bien, Maître, Pour moi, c’est maintenant évident. Mirabelle, ma tendre amie, est devenue Bambie, esclave sexuelle de cet homme qui ne l’a même pas touchée. Qu’allons-nous devenir ? — Avant de partir, ta petite récompense, Que va-t-il encore se passer. Mirabelle, ou Bambie, vient vers Monsieur Aldo. Elle l’embrasse à pleine bouche. C’est donc ça. Je savais que les prostituées n’embrassaient jamais, sauf leur homme. Aldo est devenu l’homme de Mirabelle Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte. Enfin, Mirabelle recule. Mais pourquoi garde-t-elle la bouche ouverte ? Ce n’est pas possible. Aldo lui a craché dans la bouche et... elle a avalé. Mirabelle s’est rhabillée, si on peut penser que c’est être habillé avec une jupe si courte et un chemisier transparent, sans aucun dessous. Elle a quitté la cuisine. Je l’imagine traverser la salle dans cette tenue, les regards des clients et leurs commentaires. Je suis KO. Aldo se tourne alors vers le miroir et, avec un petit sourire ironique, me fait signe de venir le rejoindre. — Alors, Monsieur, vous avez compris ? — J’ai compris que vous utilisiez mon amie et que je ne laisserai pas faire, — Vous ne laisserez pas faire ? Mais, cher Monsieur, l’ai-je forcée en quoi que ce soit ? — Non, mais... — Croyez-moi, laissez Bambie vivre sa vie avec moi et vous garderez Mirabelle vivre avec vous, Sinon... — Sinon, quoi ? — Vous ne la verrez plus. Elle vous quittera, Je sais qu’il a raison. Celle que j’ai vue est de plus en plus dépendante de ce Monsieur. Il pourra l’amener à me quitter. — Qu’attendez-vous de moi ? Aldo sait qu’il a gagné, — Pour l’instant, vous allez croire le boniment qu’elle va vous donner pour aller au sex-shop, ce soir. Et je ne vous interdis pas de la suivre, mais ne vous faites pas voir, — D’accord, Ça y est. Je suis vaincu par ce type. Mirabelle va aller au sex-shop, ce soir, vêtue comme une fille. Je le saurai et je ne pourrai rien y faire. — Ensuite, vous accepterez tous les prétextes qu’elle vous donnera pour s’absenter le soir, la nuit ou les week-ends. J’ai des projets pour votre amie, elle va bosser pour moi, ca veut dire me ramener de la tune ! Le salaud se moque carrément de moi. Il est en train de m’annoncer que ce que j’ai vu ce midi n’est qu’un apéritif à ce qu’il fera vivre à mon amie. — Enfin, si vous avez envie de mater, le cagibi vous sera ouvert... moyennant une petite contribution. Vous m’appellerez ici pour réserver. Il me propose carrément de payer pour voir mon amie me tromper. Pourtant, je sais déjà que j’aurai du mal à résister. — Vous pourrez vous branler, dit-il en riant franchement. Mais, bien sûr, interdiction de participer. Maintenant, vous pouvez partir. Je suis dans la rue. La tête me tourne. Je revois les images de Mirabelle : toute nue, sauf les talons (ce qui la rend encore plus excitante), le cul levé pour recevoir le martinet, les lanières qui claquent sur ses jolis seins, le sexe d’homme dans son ventre et, surtout, ce baiser particulièrement vicieux. Et dire que ce soir, je ne pourrai même pas remarquer les traces sur son corps. Je devrai accepter les excuses qu’elle me donnera pour aller au sex-shop. Pourtant, quelque chose en moi est excité par cette situation.Plus tardJe suis rentré à la maison. Mirabelle m’attend, vêtue d’une jupe longue et d’un pull ample à haut col. Bisous et échanges sur la journée. Tout est normal. Soudain, je l’entends m’annoncer qu’elle doit passer voir une collègue pour une banale histoire de boulot, qu’elle n’en aura pas pour longtemps, une heure ou deux. Elle est très calme et si je ne le savais pas, jamais je ne pourrais deviner où elle va. — Bien sûr, ma chérie. Mais essaie de ne pas rentrer trop tard. Elle prend son sac, ses clés. Petit bisou, Elle est partie. Je regarde derrière les rideaux pour ne pas être vu. Elle, sur le trottoir, regarde les fenêtres de l’appartement. Je suis invisible. Elle monte dans sa voiture, mais le moteur ne démarre pas tout de suite. Je la vois enlever le pull sous lequel apparaît le chemisier qu’elle portait ce midi. Et, bien sûr, le collier de chien est à sa place. Ses seins doivent être bien visibles. Enfin, elle part. Je me précipite dans ma voiture et je la suis de loin. Je reconnais le quartier, plutôt chaud. Mais évidemment, à quoi d’autre pouvais-je m’attendre ? Je la vois, de loin, descendre de sa voiture. Les passants détaillent se poitrine avec un grand sourire. Puis elle entre dans le fameux sex-shop. Sachant que je ne pourrais en savoir plus sous peine d’être remarqué, je décide de rentrer à la maison. Mirabelle a poussé la porte. Le décor n’a pas changé. Quelques clients trainent toujours entre les étals qui montrent des nudités masculines et féminines exposées très crument, lui semble-t-il. Mais qui est-elle aujourd’hui pour se faire ce genre de remarques. Le serveur l’a vue entrer et se dirige vers elle. — Ah, Bambie, je t’attendais, — Monsieur Aldo m’a demandé de venir vous voir.— Qui ? Pardon ? D’un seul coup, Mirabelle comprend.— Mon Maître m’a demandé de passer. — C’est mieux. Les clients, tous des hommes, sont surpris de ce qu’ils viennent d’entendre. Ils fixent Mirabelle, en particulier, ses seins visiblement nus sous le chemisier. Ils regardent aussi le collier et leurs yeux brillent. Mirabelle est très mal à l’aise, mais elle sait qu’elle doit aller jusqu’au bout. Elle se doit d’obéir à Monsieur Aldo, à son Maître. Elle ne connait pas encore l’épreuve qui l’attend, mais elle a bien compris que celle-ci fait partie de son plan. — Ton maître m’a demandé de la lingerie. Suis-moi, Le serveur l’emmène vers le fond du magasin. C’est là qu’elle avait vu, hier ces sous-vêtements criards et vulgaires. Mais si son Maître la veut comme ça... — Voilà, c’est ça, Et il lui présente un slip rouge, bordé de noir. Le tissu est un tulle très fin qui ne cachera rien, ni de son sexe, ni de ses fesses. Mirabelle veut le prendre, mais : — Il faut que tu l’essayes, Elle lève un pied pour commencer à l’enfiler, mais :— Enlève ta jupe, Ce n’est pas possible. Elle ne porte rien sous sa jupe, elle a... le cul à l’air. Les clients vont pouvoir voir ses fesses. Elle fait quand même tomber sa jupe, sans oser regarder les hommes derrière elle, et se dépêche de passer le slip, qui, elle en est sûre que ne cachera pas grand chose. Les commentaires la giflent. — Beau cul, dis donc, — On doit être bien là-dedans, — Tu baises, chérie, Et des rires... En remontant la culotte, elle se rend compte qu’elle n’a pas de fond. C’est donc ça, une culotte ouverte. Son sexe, encadré de deux fines lanières de tissu noir, est directement accessible. C’est vraiment une lingerie pour fille facile. — Cambre-toi, dit le vendeur, — Maintenant, prends tes chevilles à pleine main. Écarte les pieds, Les clients observent son sexe, présenté comme à l’étal. — Il te va bien. Tu commences à ressembler à ce que ton Maître veut que tu sois, Il veut que je sois une fille toujours prête à recevoir un sexe d’homme, pense Mirabelle Elle ne peut plus rien lui refuser, et cela la panique, mais en même temps, elle sent ses tétons s’ériger. Honte et plaisir mélangés. Le soutien-gorge suit. — Enlève ton chemisier et passe ça, Ça, c’est un soutien-gorge, mais qui n’aurait pas de bonnet. Simplement, deux demi-cercles de tissu rouge qui se posent sous ses seins, avec deux bretelles rouge vif qui les remontent. Elle imagine l’image qu’elle donne aux voyeurs du magasin. Le vendeur, de lui-même ou sur ordre, elle ne le sait pas, l’emmène devant un miroir. Elle est donc obligée de voir. Et ce qu’elle voit dans la glace ressemble fort à certaines photos des livres et magazines du magasin. Quelle humiliation ! — Fais un petit plaisir à mes clients, — Regarde mes clients, — Fais bouger tes nichons, — Écarte les fesses À chaque ordre, Mirabelle s’enfonce un peu plus dans la débauche et la honte. Mais si c’est ce que son Maître veut... Elle sait que le vendeur a eu des instructions de Monsieur Aldo, alors, elle obéit. Sous les quolibets, les sifflets, les insultes des clients. — C’est bon. Tu les gardes sur ton cul, tu te rhabilles, tu me paies et tu te casses, Mirabelle passe à la caisse et s’enfuit. Montée dans sa voiture, elle démarre. Mais, soudain, catastrophe. Que va dire son ami quand il verra ses nouveaux sous-vêtements ? Alors, arrivée en bas de l’appartement, elle les enlève pour les mettre dans la boîte à gants. Elle se rend compte, soudain, qu’un passant s’est arrêté à la portière et fixe, stupéfait, cette femme qui est nue jusqu’à la taille dans une voiture. Vite le chemisier. Elle attend qu’il soit parti pour rentrer chez elle. — La soirée s’est bien passée, lui demandé-je ? — Oui, nous avons bien travaillé, Tu parles qu’elle a dû bien travailler. Les images de ce midi et les interrogations sur ce qu’elle a pu faire ce soir décuplent mon désir. Je l’enlace et l’embrasse très violemment. Mirabelle ne réagit pas même quand je remonte ma main le long de sa cuisse. Quand j’arrive au sexe, je ne suis pas surpris de ne pas sentir de culotte, pourtant, je lui demande : — Mais tu ne portes pas de culotte ? — Non, j’ai dû l’enlever chez ma collègue. Un petit accident de WC. Tu comprends ? Tu parles que je comprends. Je comprends qu’elle me ment effrontément, mais je ne peux rien lui dire. Alors, je la pousse sur le canapé, sors avec difficulté mon membre turgescent de mon pantalon et la pénètre de toutes mes forces. Mirabelle ne réagit pas. Elle tourne un peu la tête comme si elle ne voulait pas me voir. Je suis peut-être moins doué que Ousmane. Très vite, j’éjacule dans son sexe. Elle me demande d’un air machinal, si c’était bon. Puis file dans la salle de bains. Je reste seul, honteux de ce que je viens de faire et je repense à ce que m’a dit Aldo : à lui Bambie, à moi Mirabelle Il faudra que je m’en souvienne et que je lui fasse l’amour tendrement, comme avant, si je ne veux pas la perdre irrémédiablement. Je ne suis pas de taille à lutter dans la perversité avec lui. Vendredi midiDernier jour de la semaine à devoir aller chez son maître. En est-elle soulagée, ou, au contraire, le regrette-t-elle ? Elle ne sait plus vraiment ce qui se passe dans sa tête. Ce qu’elle sait, c’est qu’elle traversera, ce midi, le restaurant, vêtue de sa jupe ras la touffe, de son chemisier transparent et de ses talons aiguilles. Dessous, elle aura enfilé ses sous-vêtements de fille facile. Les clients du restaurant siffleront sur son passage, certains l’appelleront : — Viens ici, chérie, — Amène ton cul, — T’as vu les nichons, Ça y est. Elle est entrée dans la cuisine, s’est placée debout devant le bureau de son maître et a commencé à se déshabiller : chemisier, jupe, sans même qu’Aldo n’ait dû lui ordonner. De jour en jour, elle devient sa chose.
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