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Le Détective...

Chapitre 3

Hétéro
Le lendemain, je laissai tranquille Caroline ce qui me permis de créer un blog sur le Net que j’intitulais « Chienne Caroline ». Je mis en ligne les photos et le film. Je mettais également une annonce pour recruter des mecs de toutes races, du moment qu’ils étaient TBM, très bien montés… J’indiquais également que je recherchais des endroits tel que cave, entrepôt, sauna, bar, pour y organiser des soirées d’abattage. J’appelais ensuite un pote à moi, Franck qui travaillait dans un commissariat de quartier. Je l’avais connu quand je faisais encore parti de « la Grande Maison ». Nous nous entendions bien tous les deux à l’époque surtout pour aller sauter les putes qu’on embarquait sans vraiment leurs demander leurs avis. On en avait même racketté quelques unes. C’est suite à une plainte de l’une d’entre elles que j’avais du quitter la Police, mais je n’avais jamais dénoncé Franck.

J’ai donné rendez vous à Franck chez moi. Il débarque et je lui montre sans tarder le blog. — C’est qui? Tu la connais? me demanda-t-il en matant le film mettant en scène Caroline. Je lui expliquais toute l’histoire. — Ca doit très excitant de soumettre une bourgeoise des beaux quartiers, me lança t’il. — Tu vas pouvoir t’en rendre compte par toi même, je vais l’appeler…Je composai le n° du portable de Caroline. Elle répondit très vite.— Salut salope, tu t’habilles sexy et tu viens chez moi immédiatement…J’entendis Caroline bafouiller des excuses. — Mais… Mais, ce n’est pas possible, j’ai déjà des rendez vous…— Tu les annules! Tu mettras le tailleur noir sexy que j’ai vu dans ta penderie hier, aucuns sous-vêtements à part un porte-jarretelles. Et tu amèneras ta laisse et ton collier…Je lui donnai mon adresse dans le 1er arrondissement.

La sonnerie de la porte d’entrée retentit à 14h précise. J’allais ouvrir. J’avais déjà installé la caméra de façon à tous filmé. Franck était complètement excité à l’idée de baiser une bourgeoise salope…Caroline entra vêtu de son tailleur noir cintré. Ses longues jambes gainées de bas fumés émergeaient de la jupe courte. Ses talons aiguilles vernis la faisaient paraître encore plus grande. Elle s’était fais un chignon la rendant encore plus distinguée. Je la détaillais de haut en bas ce qui fit rougir Caroline. — Soulève ta jupe!Elle me regarda, affolée, jetant un œil vers Franck qui l’observait, goguenard.— T’inquiète! C’est un copain…Elle baissa la tête et leva lentement la jupe de son tailleur chic dévoilant des bas accrochés aux jarretelles. Elle retroussa sa jupe entièrement, elle ne portait pas de string.Je jubilais intérieurement! Elle m’avait obéit…Franck s’approcha de Caroline et lui posa la main sur les fesses. Caroline sursauta et tenta de se dégager. Fou de rage, je me jetais sur elle, l’agrippant par le bras.
— Ca ne va pas non! T’es une pute, ma pute! Si je veux qu’un pote à moi te baise, tu ne dis rien!Des larmes vinrent perler sur ses paupières…Franck massait délicatement la vulve de Caroline. Sous la veste de son tailleur, elle portait un haut rouge décolleté moulant ses seins. Je tirais et dégageais ses nibards que je malaxais sans vergognes. Je lui suçais les pointes. Maintenant, l’ambiance est devenue très chaude. Franck contraint Caroline à l’embrasser sur la bouche et celle ci émet une protestation étouffée. — Non, non, laissez moi…Je m‘approchais d’elle, l’air menaçant. — Qu’est ce que je viens de te dire! Tu ne dois pas protester! Je te préviens, je connais des proxénètes à qui je pourrais te prêter pour qu’ils te dressent! Ils ne sauront pas aussi gentil que Franck et moi!Caroline me regarda une lueur de panique mais aussi d’incompréhension dans son regard. — Des proxénètes? Mais...Pourquoi faire? J’éclate de rire. — Vraiment? Tu ne vois pas…Elle blêmit nettement en comprenant que son petit univers tranquille de bourgeoise oisive venait de s’écrouler définitivement. — Mais… Ce n’est pas possible, bafouilla t’elle, vous voulez me prostituer? — En échange de mon silence, oui.Caroline eut alors une réaction que je n’avais pas prévue, elle fit demi-tour et elle voulut s’enfuir, courant maladroitement sur ses talons aiguilles. Franck et moi nous la rattrapons et nous empoignons Caroline qui se débat. Nous l’entraînons dans ma cuisine. — A poil, salope!Terrorisée, elle s’exécute. Tremblante, elle enlève la veste de son tailleur et son haut moulant. Elle retire sa jupe ne restant qu’en porte-jarretelles et talons aiguilles. Je lui demande si elle a emmené son collier et sa laisse de chienne soumise et elle répond « oui » dans un murmure inaudible. Franck parti les chercher dans son sac à main. Il revint avec et accrocha le collier autour du cou de Caroline qui portait déjà un luxueux collier de perles. Le contraste entre ce luxe et ce collier en cuir de son propre chien était très excitant. Ca plairait aux internautes. Franck accrocha la laisse à l’anneau et il s’amusa à promener sa chienne dans la cuisine. Caroline, à quatre pattes, fit le tour de la table. J’allais reprendre la caméra pour tout filmer. Franck tannait le cul de notre chienne avec sa ceinture le faisant rougir ce qui arrachait des cris de douleur à Caroline. J’arrêtais de filmer et allait prendre une serviette que je roulais en boule et enfonçais dans la bouche de Caroline qui émis un gargouillis affolée. Je dénichais du ruban adhésif et nouai le tout autour de sa tête. — Voila, comme ça, elle ne nous emmerdera plus. Gémissement étouffée de Caroline, mâchoire totalement déformée…Nous la relevons et la courbons en avant sur la table de ma cuisine. Nous l’écartelons sur la table l’attachant avec le ruban adhésif. Ses poignets sont liés aux pieds de la table ainsi que ses chevilles. Elle est totalement à notre merci… Ses jambes sont écartées au maximum dévoilant bien sa chatte et son cul. Je reprends la caméra et filme en gros plan et prenant toute fois bien soins de ne pas filmer nos visages ni celui de Caroline. De toute façon, au pire, je pourrais flouter les visages sur le site.

Caroline gémit et se débats dans ses liens. Je décide de mettre les choses aux points et de lui expliquer les conditions de sa nouvelle vie. — Écoute mois salope, à partir de maintenant tu m‘appelleras « Monsieur », Franck aussi. Comme tu ne travailles pas et que ton mari est souvent absent, tu viendras me voir tous les jours ou je viendrais chez toi. Pour l’instant t’es en formation, mais avec le film et les photos que j’ai déjà mis sur le site que j’ai créé, je commence déjà à avoir pas mal de demandes de rendez-vous. J’en connais beaucoup qui rêve de se taper une belle bourgeoise comme toi. Grognement étranglé de Caroline. — J’ai déjà mis au point les tarifs. Tu vas me rapporter une petite fortune…— Il faudra que tu nous donne les jours ou ton mari sera absent. Lança Franck tous en fouillant dans mes tiroirs. Il sortit une spatule en bois et sans ménagement enfonça le manche dans l’anus de Caroline qui se cabra en poussant un hurlement étouffé. Je lui donnais des claques sur ses fesses qui rougirent rapidement. Franck fit coulisser le manche dans le cul de caroline. Puis, il le retira et se tourna vers moi— Il faudrait faire des achats …On a besoin de godes, de baillons, menottes, fouets. Vêtements de putes aussi, qui soient bien vulgaires et des déguisements sexys…— On l’emmènera dans un sex-shop demain.Tout en discutant, nous continuons d’enfoncer divers ustensiles dans la chatte et le cul de notre bourgeoise. Je sortis un concombre et je l’enfonçais dans la chatte de Caroline. Frank filmait la scène en rigolant. Je faisais coulisser le concombre rapidement et caroline gémissait de plus en plus fort. Elle bougeait dans ses liens. Je la branlais sans ménagement, je voulais la voir jouir. Le corps de Caroline se cabra soudain et resta inerte sur la table de la cuisine, le concombre encore enfoncé dans sa fente….

Nous détachons Caroline et lui enlevons son bâillon improvisé. Franck voulut changer de pièces et nous retournons dans le salon. Je tiens Caroline par la laisse et elle avance à quatre pattes derrière moi, ses seins ballotant à chaque mouvement. Elle fut contrainte de nous servir un verre de whisky. Uniquement vêtue de ses escarpins et de son porte-jarretelles cela faisait une soubrette très sexy… À chaque passage devant nous, nous lui enfonçons nos doigts dans sa fente, et elle gémit à chaque fois, le regard chaviré. Nous sommes assis dans mon canapé. Nous l’obligeons à s’accroupir devant nous. — Suce-nous, salope!Elle commença à s’exécuter quand je la rappelais à l’ordre— Tu n’oublies rien? aboyais-je.Elle resta un instant décontenancée…— Heu…Non, je ne vois pas…Frank la releva en la tirant par les cheveux défaisant son chignon strict et elle poussa un couinement.Il la courba sur ses jambes et lui fessa le cul violemment en criant:— Tu dois appeler ton maitre « Monsieur », qu’on ai plus à te le dire!Il la lâcha et elle se remit devant nous à genoux. — Je vais vous sucer, monsieur…Elle défit ma braguette de ses mains aux ongles vernis…Elle eut un sursaut en voyant ma bite jaillir comme un ressort. Elle hésita et Franck dut lui frapper le cul avec la laisse pour qu’elle avance la tête vers ma bite. Mon gland heurta ses lèvres pulpeuses, se promenant dessus, elle eut une mimique dégoutée. Pendants ce temps, Franck s’accroupis et enfonce ses doigts dans sa fente faisant coulisser ses doigts. — Quelle salope! Elle est trempée!J’appuyais sur la tête de Caroline et elle avala ma queue avec une grimace de dégout. Sous mon regard impérieux, elle s’applique. Je sens sa langue titiller mon gland. Elle me pompe maladroitement au départ puis de mieux en mieux. Ses joues sont déformées par ma bite. Franck réclama sa part et elle dut s’interrompre pour le libérer. Elle nous suce à tour de rôle maintenant, alternant entre la bite de Franck et la mienne. Elle nous branle tous les deux en même temps. Elle donne des coups de langue sur la bite de Franck et ensuite suce la mienne. Sous nos ordres, elle suce nos couilles. Puis, nous la forçons à avaler nos deux bites; Les larmes aux yeux, elle tente tant bien que mal, d’accepter nos queues dans sa bouche. La mâchoire complètement déformée par l’épaisseur de nos sexes que nous enfonçons le plus loin possible dans la bouche de cette bourgeoise bien née… Elle a plusieurs fois un haut le cœur…
Nous décidons d’en finir. Nous la repoussons et nous masturbons devant son visage. Elle ouvre la bouche et tire la langue. Je jouie le premier aspergeant ses cheveux de mon foutre. Frank me suit, libérant des trainées de sperme qui vont s’écraser sur son front, ses lèvres, ses yeux. Comme ultime humiliation, elle doit nous nettoyer la bite en nous suçant encore de longues minutes….

Caroline a remis son tailleur bcbg, redevenant une élégante bourgeoise du XVIème arrondissement. Je lui redonne ses instructions pour demain. — Demain, tu t’habilles encore très bourge mais toujours sans aucuns sous-vêtements. Je vais t’emmener faire des courses rue Saint-Denis dans un sex-shop. N’oublie pas ta carte bleue, c’est toi qui paie….
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