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Détective piégé

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Moi, c’est Marc, 51 ans. Je suis détective privé à mon compte. Il y a peu, j’ai mené une enquête qui m’aura profondément marqué sur un supposé adultère. Tout avait commencé un samedi en début d’après-midi, je prenais en filature une puissante berline allemande dans laquelle se trouvait Sonia, une jeune et ravissante demoiselle, dont le compagnon - un sexagénaire aussi fortuné que suspicieux - m’avait engagé pour la prendre les doigts dans le pot de confiture ! Après de longues minutes, la voiture s’engouffra dans un quartier et s’immobilisa le long du trottoir, je m’arrêtais discrètement à quelques dizaines de mètres de l’autre côté de la rue et m’emparais de mon appareil photo, prêt à dégainer. Sonia descendit sur le trottoir, et fut rapidement rejointe par le chauffeur, un beau brun ténébreux du genre costaud. Il l’embrassa fougueusement, la main aux fesses, puis repartit seul en voiture.
Je m’empressai aussitôt de vérifier la dizaine de photos que j’avais prises, les gros plans étaient nets et sans équivoques, il ne me restait plus qu’à aller toucher mon chèque. Mais ma satisfaction allait être de courte durée ! En relevant la tête, j’aperçus Sonia, face à moi, faisant barrage à ma voiture, les mains sur les hanches, le regard noir ! Elle était splendide : de longues boucles dorées derrière lesquelles se dissimulait un visage d’ange, une poitrine généreuse qui semblait étouffer dans un bustier hyper-moulant, une divine chute de rein aux fesses délicieusement bombées à peine cachées par une jupe très (trop ?) courte, bref une bombe sexuelle. Pris de suées, les mains crispées sur le volant, j’attendais avec anxiété à quelle sauce j’allais être mangé. Elle longea la voiture sur ma droite, ouvrit la portière et s’installa à mes côtés.
Sans m’adresser le moindre regard ni la moindre parole, elle attrapa mon appareil photo et supprima tous les clichés que je venais de prendre. Mal à l’aise, je tentai de me justifier maladroitement. Impassible, elle continua de fouiller mes affaires à la recherche d’autres preuves sans succès. Visiblement très énervée, elle se retourna vers moi et débuta mon interrogatoire sur un ton très agressif :
— Tu as d’autres trucs sur moi ?— Non non, j’ai que les photos !— OK, bon tu sais ce que tu vas faire maintenant ?— Ben, je...
Elle me coupe :
— Tu vas arrêter de m’espionner et tu vas me foutre la paix, sale fouille-merde ! OK ?— C’est pas aussi simple que ça !— C’est ce parano de Jean-Philippe qui t’envoie ?
Je hochai de la tête.
— Il me fait chier celui-là !!! Tu vas lui dire que t’as rien trouvé, et que je suis clean !— Mais il ne me croira pas, il est absolument persuadé que vous le trompez...
Elle continua son argumentaire, mais je l’écoutai à peine tant mon esprit était ailleurs, captivé par sa beauté renversante, j’étais complètement envoûté et envahi de pensées érotiques ! Elle me questionna à nouveau sur un ton plus apaisé :
— Tu veux peut-être quelque chose en échange ? Je peux te dédommager !

Attaché à une éthique de travail irréprochable, je lui répondis quelque peu vexé que je préférais renoncer à mon enquête plutôt que d’accepter son argent. C’est alors qu’elle posa sa main sur mon genou ! Une violente décharge d’adrénaline parcourut chaque centimètre carré de mon corps ! Elle approcha son visage du mien et me chuchota à l’oreille :
— Y a d’autres moyens de s’arranger...
Complètement déstabilisé, je décidai de jouer les faux naïfs, histoire de voir jusqu’où elle était capable d’aller :
— C’est-à-dire ?— Je te plais ?
Sa main remonta lentement le long de ma cuisse.
— Heu... oui-oui, t’es très belle !
J’avalai ma salive.
— Tu aimerais que je te fasse des choses... agréables ?
Ses doigts frôlaient la bosse qui se dessinait inexorablement sous mon pantalon.
— Quels genres de choses ?— Je ne sais pas, des trucs avec ma bouche par exemple...
J’avais la gorge tellement nouée, qu’il m’était impossible de sortir le moindre mot de ma bouche. Sa main se montra plus insistante, je ne pouvais plus dissimuler mon érection.
— Je vois que je t’excite mon chou ! Mmmmm.
Un deuxième frisson parcourut mon corps, lorsqu’elle glissa sa main dans mon caleçon pour attraper mes testicules et les malaxer avec délicatesse entre ses doigts. Je me tortillai de plaisir dans tous les sens tant j’étais excité. Faisant preuve d’un calme et d’une assurance étonnants, elle déboutonna mon pantalon et tira sur l’élastique de mon caleçon. Libéré, mon sexe se dressa fièrement, le gland décalotté et les veines bien gonflés. Peu impressionnée par mes honorables 17 centimètres, elle emprisonna vigoureusement ma verge entre ses doigts et commença à me masturber lentement. J’étais aux anges. Peu adepte d’exhibitionnisme, j’effectuai un rapide contrôle du quartier, je remarquai à une vingtaine de mètres, un homme d’une soixantaine d’années qui promenait son chien sur le trottoir en venant dans notre direction. Craignant d’être surpris, je suggérai à Sonia de nous rendre dans un lieu plus discret, elle me rit au nez et se pencha sur moi.
Sans me laisser le choix, elle commença par embrasser affectueusement mon gland, le colorant de son rouge à lèvres puis arpenta ma verge de haut en bas du bout de la langue. Le sexe en feu, j’étais en transe, mais je n’en restais pas moins attentif au promeneur qui se rapprochait dangereusement. Sans me laisser de répit, elle aspira mon gland, faisant rouler sa langue autour puis alternait avec des délicieux mouvements de va-et-vient progressifs, c’était doux et subtil, terriblement agréable ! Attentive au moindre détail, elle avait écarté ses cheveux de la main pour que je ne manque rien de ses caresses buccales et de sa poitrine écrasée contre ma cuisse. Magnétique à souhait, elle affirmait un peu plus son emprise en noyant son regard dans le mien, j’étais autant intimidé qu’envoûté. Trop spectateur à son goût, elle releva son bustier, attrapa ma main et la posa sur son sein gauche, crispé, je le caressai maladroitement, elle posa alors sa main sur la mienne pour me guider.
Peu à peu désinhibé, je gagnai en assurance et lui pinçai les tétons avec vigueur, pour se « venger » elle mordillait ma verge ou me pressait les testicules. Submergé de plaisirs, j’en avais oublié le promeneur ! Il était là, à quelques mètres, me regardant curieusement ! Paniqué, je prévins Sonia de ne pas se relever, tout en posant discrètement ma main sur sa tête. J’échangeai un sourire amical avec le promeneur du genre circulez y a rien à voir. Mais rien n’allait se passer comme prévu ! Sans que je ne m’y attende, Sonia leva le bras et agita frénétiquement sa main, attirant l’attention du promeneur ! Interloqué, il s’approcha de ma vitre. Me prenant de court, Sonia se releva et exhiba ostensiblement ses seins en riant aux éclats sous les yeux complètement éberlués du promeneur. Couvert de honte, je cachais mon visage derrière ma main, priant pour que le promeneur s’éloigne.
Complètement hystérique et toute à sa joie d’avoir capté l’attention du sexagénaire, elle attrapa mon sexe avant que je ne puisse réagir et biffla ses joues. Je jetai discrètement un coup d’œil à travers mes doigts pour jauger la réaction du promeneur, il semblait dans un état second, les bras ballants et le regard hagard. Venant à mon secours, son chien se mit à aboyer et à tirer sur la laisse. Reprenant ses esprits, celui-ci tourna aussitôt les talons et s’éloigna rapidement en vociférant et en traînant son chien sans ménagement. La tension retomba d’un coup. Après avoir soufflé un grand ouf de soulagement, je fus pris d’une soudaine montée de colère, je repoussai Sonia sans ménagement et m’adressai à elle sur un ton vindicatif :
— Putain, mais c’est quoi ce délire ! Ça va pas dans ta tête ? T’es complètement tarée !!!
Elle éclata à nouveau de rire, puis attrapa mon sexe le secouant dans tous les sens et me répondait ironiquement :
— Oh monsieur est pudique ? T’aimes pas montrer ta bite ?
Sans me laisser le temps de répondre, elle attrapa mes testicules en les serrant fort et d’ajouter :
— T’avais l’air bien content de fourrer ta bite dans ma bouche !
Cette dernière réflexion me mit hors de moi. Je la repoussais une nouvelle fois et lui intimais l’ordre de descendre de ma voiture. Restant sourde à mes injonctions, je démarrai en trombe, pressé de quitter cet endroit. Traversant la ville à toute allure, je réfléchissais à quelle suite à donner à cette histoire. Je retrouvais peu à peu mon calme. D’humeur toujours aussi taquine, elle s’amusait à me prendre en photo tout en frottant mon pantalon du bout du pied. Après quelques minutes à rouler dans la campagne, j’aperçus au loin sur ma droite, un terrain vague, complètement isolé. L’endroit parfait ! Je m’engouffrai sur le chemin de terre qui y menait et immobilisai la voiture à l’abri des regards derrière un amas de tôles froissées. Je me retournai vers Sonia, endossant à nouveau mon costume de « super » naïf :
— On fait quoi maintenant ?— On a qu’à reprendre là où on en était !— Ha et on en était où déjà ?
Elle frotta la braguette de mon pantalon de plus belle avec son pied réveillant sur-le-champ ma libido et me répondit complètement hilare :
— Je crois que j’avais ce machin tout dur dans ma bouche !— Bien, tu sais ce qu’il te reste à faire !
Elle me tendit l’appareil photo :
— Amuse-toi !
L’œil blotti derrière le viseur, je mitraillai Sonia qui multipliait les positions lascives, jouant avec sa langue et ses seins, faisant à nouveau grimper la température dans l’habitacle puis se jeta sur moi, extirpant à nouveau mon sexe pour jouer avec. Clic après clic, je me régalais des gros plans sur son visage juvénile et ses lèvres enrobant goulûment mon gland. Comme pour un casting de photos érotiques, ses gestes étaient lents et précis, n’hésitant pas à prendre des pauses. Lassée de jouer avec sa bouche, elle m’abandonna pour rejoindre l’avant de ma voiture. Comme plus tôt, elle me faisait à nouveau face, mais elle avait troqué son regard noir pour un regard de braise. Elle s’allongea sur la voiture, écrasant sa poitrine contre le capot encore chaud. Elle releva complètement sa jupe, pointa ses fesses vers le ciel et se mit à onduler du bassin avec sensualité.
Me fixant du regard, elle me fit signe de l’index de la rejoindre, sans me faire prier, je positionnais l’appareil photo sur le tableau de bord pour lancer une vidéo d’enregistrement et sortais à mon tour du véhicule. Je me présentai derrière elle, admirant ce magnifique cul rebondi qui se dandinait devant moi, délicieusement emballé dans une petite culotte en dentelle rose pâle. Je l’attrapai par les hanches, frottant lascivement mon sexe contre ses fesses. Surexcité, je ne résistais pas à l’envie de lui donner la fessée. À chaque gifle, elle poussait un gémissement comme pour dire encore. Après avoir fait virer ses fesses au rouge vif, je me penchai sur elle pour approfondir mes investigations. Je lui léchai l’oreille et plongeai une main sous son bustier palpant ses seins sans ménagement. De l’autre main, j’écartai l’échancrure de sa culotte et glissai ma queue entre ses fesses. Je frottai mon gland contre les lèvres gonflées de son vagin.
Gémissant de plus belle, elle m’ordonna de la « baiser » en écartant ses fesses avec ses mains et en tamponnant mon sexe. Sans me faire prier, je la fis pivoter légèrement sur le côté pour offrir le meilleur angle à la caméra (ha ce souci du détail) et la pénétrai. Ma queue glissa comme dans du beurre tant sa chatte était humide ! Commençait alors un balai de va-et-vient en douceur sous les cris et obscénités que Sonia hurlait :
— Baise-moi la chatte ! Prends-moi fort ! Défonce-moi !
Galvanisé par ses injonctions, je la culbutai de plus en plus fort. Elle était complètement désarticulée, tentant de s’accrocher au capot comme elle pouvait. Manquant d’endurance, j’éprouvais le besoin de marquer des pauses pour ne pas craquer. Conciliante, elle prit le relais et caressa son clitoris le temps que je récupérais. Après quelques minutes, elle se redressa et m’incita à m’asseoir sur le capot. Sans me laisser de répit, elle se mit dos à moi, prit appui avec ses mains sur mes cuisses et s’empala sur moi. Elle entama un somptueux balai de va-et-vient avec son bassin. Aux premières loges, je me régalai de voir ses fesses onduler à chaque impact. Tandis que je m’accrochais à ses seins, elle me mettait au supplice en variant les rythmes et les plaisirs : tantôt son vagin absorbait mon sexe tout en douceur et le gardait au chaud en dessinant de langoureux mouvements circulaires, tantôt elle accélérait, son bassin venant buter violemment contre mon aine.
C’était l’extase, que dis-je, le paradis, mais j’allais rapidement être ramené les pieds sur terre, lorsque qu’une voiture surgit de nulle part, débarqua en trombe dans un nuage de poussière ! J’écartai Sonia sur-le-champ et remontai mon pantalon à la hâte pour « accueillir » cet invité surprise avec un minimum de décence. Il s’agissait sûrement d’un habitué des lieux, venu se débarrasser d’encombrants. La voiture s’immobilisa pile derrière nous. Autant j’étais anxieux et crispé, autant Sonia que je tenais à distance respectable avec mon bras, était comme à son habitude complètement détachée et continuait de se caresser. La poussière dissipée, je reconnus avec stupeur la berline que j’avais prise en filature. Lorenzo (le beau brun costaud, amant de Sonia) sortit du véhicule, nous fixant du regard. Très inquiet, je craignis qu’il ne s’en prenne à moi physiquement, j’étais complètement tétanisé par la peur.
Caché derrière ses lunettes noires, Lorenzo s’approcha de quelques mètres sans montrer le moindre signe d’agacement avant de s’arrêter et de me décocher non pas une droite, mais un large sourire moqueur. Un « round » d’observation s’installa dans un silence assourdissant. Peut-être réfléchissait-il au sort qu’il allait me réserver. Alors que j’attendais avec fébrilité la sanction, il fut rapidement rejoint par le passager qui l’accompagnait. C’était Jean-Philippe !!! Le concubin de Sonia qui m’avait engagé pour enquêter. Je vis soudainement plus clair, je me retrouvais au centre d’un jeu sexuel pervers, piégé par ce qui apparaissait comme un couple à trois complètement névrosé.
Jean-Philippe sembla jubiler, un large sourire satisfait illuminait son visage. Il me salua d’un geste de la main puis m’adressa la parole maniant l’ironie :
— Ça va Marc ? Tout se passe bien ?— A votre avis ?— Je vois que êtes sur le point de boucler votre enquête !— Oui, je vous prépare la facture !— Je vois que Sonia s’occupe bien de vous, comptez bien vos heures sup. !
J’échangeai un regard tendre avec Sonia qui s’amusait autant que Jean-Philippe de la situation.
— Ne vous inquiétez pas pour moi !— Je vous en prie, continuez vos investigations, faites comme si je n’étais pas là !
Sur ces dernières paroles, il attrapa son smartphone et le pointa sur nous. Face à cette situation complètement ubuesque, j’aurais pu mettre fin à cette mascarade et partir en gardant un semblant de dignité, mais j’étais bien trop en manque et trop excité pour renoncer à cette « offrande ». Quelque peu intimidé d’être ainsi observé, je laissai une nouvelle fois Sonia prendre les choses en main. Elle adressa un sourire complice à ses deux partenaires, puis s’agenouilla face à moi. Me débarrassant une nouvelle fois de mes « textiles », elle planta ses ongles dans mes fesses pour s’agripper et avala d’une traite mon sexe, le faisant aussitôt à nouveau durcir dans sa bouche. Elle limait ma queue avec tant d’énergie et de profondeur que je sentais mon gland s’écraser au fond de sa gorge. Parfois au bord de la nausée, elle s’accordait de courts répits pour reprendre son souffle, essuyant sa bouche suintante de bave épaisse avec mon sexe.
Surexcité, je me surpris à poser mes deux mains sur sa tête pour accompagner ses gorges profondes. L’intensité folle qu’elle mettait lui arrachait quelques larmes faisant couler son ricil sur les joues, j’essayai tant bien que mal de la ralentir avec mes mains pour ne pas exploser dans sa bouche. Fiché derrière son écran, Jean-Philippe ne cessait de se rapprocher pour capturer la scène en gros plan et les regards aguicheurs de Sonia. Un râle puissant m’échappa, prévenant Sonia que j’étais sur le point de jouir, aussitôt elle coinça fermement ma verge entre ses seins et le masturba avec la même énergie, langue tendue pour lécher le bout de mon gland. Une dizaine de va-et-vient seulement suffirent à me faire capituler. J’éjaculai dans un dernier soupir, libérant de longues et puissantes saillies ininterrompues remplissant abondamment de mon jus le creux de sa poitrine. J’étais « vidé » autant physiquement qu’émotionnellement. Toujours suspendue à mon sexe, Sonia continua de jouer avec la caméra pour le plus grand plaisir de Jean-Philippe.
Nettoyant méticuleusement mon gland avec sa langue et badigeonnant sa poitrine de ma semence qui s’écoulait entre ses seins, elle clôtura le spectacle en adressant un baiser à la caméra, les lèvres encore maculées de sperme. Elle se releva tout en réajustant jupe et bustier et rejoignit Jean-Philippe en m’adressant un dernier sourire. Celui-ci l’enlaça et lui arracha un long baiser avant de la confier aux bras de Lorenzo qui en fit autant. Ils regagnèrent leur véhicule sans s’attarder. Jean-Philippe me glissa un dernier, mot visiblement satisfait de son coup avant de s’engouffrer dans la voiture :
— Marc, vous avez ma carte, n’hésitez pas à m’appeler si vous avez une petite envie, ça sera avec plaisir, vous m’êtes sympathique !
Je le saluai de la main par politesse, encore sous le choc de ce qui venait de m’arriver. Mon calme retrouvé, je regagnai ma voiture, pressé de visionner les photos et vidéos que j’avais prises. Revoir Sonia ralluma aussitôt la flamme du désir, cette fille m’avait rendu complètement dingue. Des semaines ont passé depuis notre rencontre, je ne cessais de penser nuit et jour à elle, j’étais en manque, je craquai :
— Allô Jean-Philippe, c’est Marc, vous vous souvenez de moi ?— Oui Marc, bien sûr, comment allez-vous depuis la dernière fois ?— Très bien merci, je voulais savoir si... enfin si c’était...
Sentant ma gêne, il me coupa :
— Vous savez avec Sonia, nous avons hâte de vous revoir mon cher ! Nous vous apprécions beaucoup, je dois dire.— Super ! J’ai également très envie de vous revoir !— Oh plus Sonia que moi j’imagine !
Il éclata de rire avant de poursuivre :
— Quand on y a goûté, difficile de s’en passer, n’est-ce pas ?— Oui, tout à fait.— Venez donc dîner vendredi soir vers 20h, je vous réserve une bonne surprise !
Il raccrocha sans me laisser le temps de répondre...
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