Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vécu seul avec ma mère. Mon père n’existe que via quelques photos datées ou de vagues souvenirs évoqués par ma mère. Mes frères et sœurs ne sont restés qu’une idée jamais aboutie au sein du couple que formaient mes parents. Moi c’est David, dix-neuf ans, un corps svelte, épaules larges, rien d’extravagant, mais suffisant et une vie simple. Ce qui me caractérise, c’est ma timidité, celle qui me pèse au plus haut point, celle qui fait que je connais plus d’échecs que de réussites avec les filles. Malgré tout, je ne suis plus puceau. Je l’ai fait une fois. Une seule fois... Je vis donc avec ma mère, Martine, trente-neuf ans, elle m’a eu bien jeune... Et elle se laisse aller Martine... Surpoids, fringues quelconques, jamais maquillée... Je ne dirais pas qu’elle est moche, non, c’est juste qu’elle ne cherche pas à plaire. Elle est seule, sans mari, copain, amant, plan cul et elle est heureuse comme ça. Enfin, un peu en manque si j’en crois sa jolie collection de magazines de cul et ce gode XL que j’ai déjà découvert dans son armoire. Ce qu’elle aime elle, c’est les câlins mère/fils, les papouilles, les "viens me masser les pieds" et machin et truc... Tout ce que je déteste. Surtout quand c’est ma mère. Mais cette fois, pas moyen d’y couper... Hier, elle est rentrée du boulot avec un bon mal de dos. Une habitude malheureusement, vu le boulot en usine qu’elle exerce, mais cette fois, elle me demande de lui mettre un peu de crème, un truc qui lui fera du bien comme elle dit. Et merde, c’est reparti... Ma mère est assez pudique, elle ne se balade jamais en petite tenue devant moi par exemple et à vrai dire, j’ai vu ses seins par accident une fois, mais c’est tout. Et je dois avouer qu’elle ne me plaît pas, mais... bon sang, quelle paire ! J’y repense encore parfois. C’est donc un peu gênée qu’une fois allongée sur le canapé, elle remonte sa nuisette pour laisser place à un gros cul gainé dans une culotte d’un autre âge... Une vision qui ne m’enchante guère, mais conscient du boulot fatigant et de sa condition de femme seule, je me dis que je peux bien faire un effort et commence donc à étaler la crème sur la zone douloureuse : — Ici chéri, dans le bas du dos. Ras la culotte donc... Passé le petit soubresaut de mes mains froides sur son corps, j’entreprends un massage plutôt délicat afin de ne pas lui faire mal. Un massage qui s’apparente plus à quelques caresses maladroites qu’autre chose. Se faisant, j’ai les yeux rivés sur son cul et je dois bien avouer qu’il provoque chez moi une certaine chaleur. Merde ! Qu’est-ce qui me prend ? Je ne suis pas attiré par ma mère pourtant... Oui c’est bien ça, c’est bien un début d’érection que je sens poindre sous mon boxer ! Je continue mon massage sans vraiment faire gaffe à ce que je fais, tentant de calmer mon érection tout en reluquant son cul. Elle ? Elle semble apprécier ça, elle est détendue, tête reposant sur ses avant-bras repliés, les yeux fermés. C’est à cet instant que j’ai l’idée de baisser un peu l’élastique de sa culotte, craignant tout à la fois de salir le sous-vêtement maternel et de m’en prendre une par la même occasion. Mais elle ne dit rien. Au contraire, elle lève un peu le basin afin de me faciliter la tâche. Cette étape me permet donc d’accéder un peu mieux à la limite de sa raie bien visible désormais. Je continue donc mon doux massage, ajoutant un peu de crème au passage, la queue toujours au garde-à-vous... Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je prends le risque de lui masser les fesses, directement. Pas un mouvement, pas un cri, pas une protestation ! Ma mère semble apprécier le traitement. Là clairement, ce massage en est de moins en moins un. La palpation de ce cul prend des proportions un peu plus érotiques maintenant, jusqu’à ce que je prenne la décision de lui retirer cette culotte devenue trop gênante : — David !! Qu’est-ce que tu fais ??!— Détends-toi maman, laisse-moi faire. Je ne te fais jamais de massage alors que t’aimerais en recevoir plus souvent, donc laisse-toi faire et profite... Je change donc de position afin de me mettre cette fois à califourchon sur ses jambes. Mes mains parcourent maintenant ses fesses molles et proéminentes, de haut en bas, sur les côtés. Ma mère a refermé les yeux, semblant se détendre à nouveau. Des pensées folles me viennent en tête. Le genre de celles qu’on ne doit pas imaginer avec sa mère, mais qui moi, me font grandement bander ! Mes caresses elles, se font de plus en plus fiévreuses, écartant par moments le sillon inter fessier de ma mère afin de découvrir un anus quelque peu poilu et sa chatte tout aussi fournie et... humide ! L’ambiance dans le salon est électrique, érotique, j’ai chaud, je sens la respiration de ma mère s’accélérer. Je n’y tiens plus, je veux y goûter, j’en ai envie. Mon excitation se mêle à la peur d’aller trop loin. Je la regarde encore, essayant de jauger ses attentes, ses envies... Son souffle court, intense, sa chatte humide, mon érection, son basin qui semble dodeliner par moments. Je n’y tiens plus, lui écartant les deux globes flasques, je me baisse et commence à insérer ma langue entre ses fesses, à la recherche de ce délicieux nectar que je ne connais encore que trop peu, mon nez dans ses poils de cul... — Ohh mon fils, oui...
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