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Un détour par les Tuileries

Chapitre unique

Gay
Paris et l’été indien, une arrière-saison agréable qui donne envie de marcher sous les lumières de la ville. Je rentre alors d’une soirée « légèrement » arrosée au bar avec des amis. J’ai fait chou blanc, mes flirts ne sont pas venus, je n’ai pas réussi à m’attirer les faveurs de mes amies et je n’ai rencontré personne ce soir... malgré tout je suis chaud, je veux qu’il se passe quelque chose, n’importe, une caresse, un baiser langoureux, des préliminaires ; je suis excité et désireux.
Désinhibé par l’alcool, mon esprit embrumé se perd en conjectures charnelles et en pulsions alors même que j’arrive à la hauteur du Louvre. J’ai déjà eu quelques expériences avec des hommes, dont certaines entre les haies du jardin du carrousel. Elles sont rares et se limitent à des fellations dans un sens comme dans l’autre. Mais ce soir, je ne peux pas me retenir.
Sans vraiment réfléchir, mes pas se dirigent vers l’arche et mes yeux scrutent les deux côtés pour y repérer où l’affluence est la plus importante. Je finis par jeter mon dévolu sur le côté droit, je vois quelques têtes dépasser des buissons et je connais un petit renfort derrière une haie, un recoin étroit, à l’abri des regards de la rue.
À peine ai-je passé le petit portail qui mène au jardin que plusieurs regards se tournent vers moi. Il faut dire qu’un jeune homme de 24 ans (au moment des faits) relativement bien habillé est un fait plutôt rare dans ce genre d’endroit. Nombre d’hommes cherchent à deviner à mon attitude ce que je suis venu chercher, mais moi je sais où je vais.
J’emprunte mon petit passage, m’adosse légèrement au feuillage en captant les regards qui m’observent, ceux qui analysent, ceux qui attendent... Ce genre d’endroit n’est pas fait pour discuter. On n’y échange aucun mot, on devine et on passe à l’action. Je le sais et c’est ce qui m’excite. Est-ce que malgré mon attitude active, un homme saura me faire plier ?
En matière d’hommes, je suis généralement actif. Mais je fantasme souvent, pendant mes plaisirs solitaires, sur un bel étalon charismatique qui s’impose face à moi ou me force à être son jouet docile. Un qui ne me laisse pas le temps de réfléchir ou de choisir. Et c’est cette idée qui me trotte dans la tête, vais-je le rencontrer ce soir ?
Toujours adossé à la haie, je sors ma verge de mon caleçon et commence à me masturber, que les autres sachent que j’attends une bouche pour me satisfaire. Petit à petit, les ombres se rapprochent, passent devant moi et effleurent ma masculinité comme une recherche de mon aval. Un d’entre eux n’attend pas, après avoir soutenu ma queue quelques secondes, il s’agenouille et commence à me prendre en bouche.
Les hésitants et les voyeurs se rapprochent, la sensualité de cette petite parade nuptiale s’évapore doucement, c’est la bestialité qui prend le pas. Les silhouettes qui nous entourent sont toutes en train de se branler en soupirant. Elles attendent leur tour. Certaines se branlent mutuellement en attendant de passer à la vitesse supérieure.
Je commence à me sentir excité par autre chose que ce mec qui me suce, j’ai envie de prendre sa place. J’ai envie que ces hommes me désirent. J’ai envie qu’ils se battent pour enfourner leur bite dans ma bouche. Qu’ils me traitent de coquine. J’ai envie qu’un d’eux s’impose et me malmène sans me laisser le temps de penser. Je veux céder. Alors que je peine à faire taire ces pensées que je n’assumerais jamais, il s’approche...
Mon voisin de droite, que je devine d’une bonne carrure, exhibe un sexe noir magnifique, droit, épais, parfait... Il se branle en regardant ce mec me sucer, mais si proche de moi qu’il m’effleure presque la cuisse. L’alcool me rattrape et se mélange à mes fantasmes, ma main est attirée machinalement et j’empoigne son gros chibre et commence mes va-et-vient.
Mon voisin de gauche n’est pas dupe, il comprend qu’il a une carte à jouer. Il attrape ma main libre pour la diriger vers son sexe et m’incite à le masturber. Je suis venu pour relâcher la pression autour d’une pipe rapide et voilà que je ne prête plus aucune attention à cette bouche qui s’empale sur ma bite. Je suis entièrement concentré pour prodiguer des branlettes de qualité.
Alors que je commence moi aussi à soupirer d’excitation d’avoir deux belles bites en main, mon pompeur s’arrête et se redresse. Dans un geste rapide, il baisse son jogging et dévoile un chibre blanc d’une vingtaine de centimètres, légèrement courbé. Il appuie sur mes épaules pour me faire rencontrer son engin. Mon attitude de départ n’est plus qu’un lointain souvenir et la parade est définitivement finie.
Je suis accroupi dans un jardin parisien, alors que des touristes et des passants s’émerveillent devant les lueurs du Louvre la nuit, je salive sur une bite inconnue et mes deux mains en empoignent deux autres. Pris au jeu, me voilà que je gémis, ma bouche passe d’un chibre à l’autre dans des bruits de succion obscènes. J’ai perdu contrôle de mes pulsions, à cet instant je veux être une chienne pour le reste de la nuit et que ces hommes qui observent viennent tour à tour fatiguer ma mâchoire et me peindre de sperme.
Alors que je m’attarde sur mon voisin de droite et son braquemart africain, mon voisin de gauche oriente mon cul vers lui et le remonte à la hauteur de sa bite. J’entends le bruit du latex. C’est donc aujourd’hui que je franchis le cap, j’ai l’impression d’être dans un porno. Je sens une bite chaude qui frotte ma croupe alors que je suce un épais chibre noir en branlant un long braquemart blanc. Je vrille. J’ai envie de lui dire "baise-moi" mais dans ces endroits... on ne parle pas, et on pourrait m’entendre hors de notre cachette. Puisque je ne peux pas parler, je suce encore plus fort cette matraque imposante.
Le peu de lucidité qui me reste me fait redescendre un minimum sur terre, je pense alors : « s’il arrive à rentrer, j’en profiterais comme une chienne habituée, sinon je fuis ». Alors qu’il s’affaire à faire pénétrer son engin dans mon espace vierge, je sens l’épaisse queue noire de mon voisin de droite se prendre de spasme entre mes lèvres. Il se retire rapidement et asperge mon visage de plusieurs jets de foutre majestueux dans un râle de plaisir. Il rentre alors son attirail dans son caleçon et se retire.
Celui que j’étais en train de branler vient prendre sa place sans attendre. À l’arrière, la silhouette n’arrive pas à s’introduire et abandonne. Mais je ne peux pas fuir comme je l’avais dit... Je ne veux pas fuir. Je me repose alors sur mes talons pour finir ma pipe. Il attrape ma tête et agrippe mes cheveux, il me dompte, il impose son rythme et fait glisser sa queue pendant un petit moment. Je ne me serais peut-être pas fait limer, mais je suis quand même la petite pute qui me faisait envie. Puis il tire mes cheveux vers l’arrière pour faire sortir sa queue de ma bouche, je tire instinctivement la langue et il décharge une quantité incroyable de sperme sur mon visage.
Surpris par la quantité, je reste sur place pendant quelques courtes secondes, le temps de réaliser. Mais ce sont quelques secondes qui suffisent à une nouvelle bite pour venir se frotter à ma joue. Je ne me voyais pas partir comme ça, j’avais toujours faim... J’enfourne donc une bite de plus dans ma bouche. J’y met tout mon cœur, je le suce en branlant la base et en malaxant ses couilles, je gémis et je sens très rapidement qu’il va tout décharger. Je me recule et présente mon visage en le masturbant frénétiquement alors que des soupirs de plaisirs s’échappent des deux côtés. Il crache son jus au sol et s’en va.
Le manège continue avec deux autres hommes que je suce jusqu’à ce qu’ils s’en retournent vers d’autres proies plus loin qui se font prendre à tour de rôle. Je me redresse et essuie mon visage avec des mouchoirs, mon sexe encore tendu, je trouve un passif qui n’attendait que ça, il est seul dans un coin, accroupi en branlant sa petite queue. Comme les groupes se font plus distincts et ne se satisfont plus d’une simple pipe, il n’a plus de prétendant. Mais moi, je n’ai pas encore joui, j’ai joué la chienne pendant une petite heure et je suis surexcité. Sans ménagement, je lui baise la bouche, il gémit et gobe mon épais chibre comme une sucette, je me branle en laissant mon gland sur sa langue. Je sens que ça vient, je monte sur la pointe des pieds et décharge mon foutre sur sa gueule d’amour pour me finir.
Je pars en laissant le début d’une orgie derrière moi, satisfait d’avoir assouvi mes pulsions du soir... Mais légèrement déçu que ce mec n’ai pas réussi à rentrer en moi... Maintenant que j’ai vécu cette déception une première fois, ma peur s’est transformée en curiosité, mais mon idéal n’a pas changé et je cherche toujours celui qui saura me faire plier.
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