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La détresse de l'aide soignante

Chapitre 2

La prise en main de Julie

Hétéro
Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas attendu la fin d’une journée avec autant d’impatience. Pourtant, la journée était loin d’avoir été désagréable. Il avait fait beau, plutôt doux, et avec Raymond nous en avions profité pour aller nous balader dans le quartier, dire bonjour à ses amis, aux commerçants. On s’était arrêtés dans un café, et on avait parlé de nos souvenirs communs. Puis quand le soleil avait commencé à se coucher, nous étions rentrés, tout doucement. A 18h30 précises, la sonnerie retentit. Il semblerait que Julie, cette fois, n’ait pas osé utiliser les clés qu’elle avait. Je me suis précipité pour lui ouvrir, tout sourire. Elle m’a lancé un regard un peu gêné, sûrement dû à notre conversation du matin, mais Raymond a brisé le silence.
— Aaah ma petite Julie !— Bonjour Raymond. On monte dans votre chambre ?— Oui, avec plaisir !
Raymond m’a lancé un petit clin d’œil, toujours pas passé inaperçu, et tous les deux sont montés à l’étage. Pendant ce temps, je m’étais mis à la recherche de deux verres et d’une bouteille de Gin, bien décidé à avoir une petite conversation avec Julie. Sans surprise, elle est redescendue une demie heure plus tard, seule. Je m’étais déjà servi un verre.
— Votre grand-oncle était fatigué, il m’a raconté votre journée, m’a-t-elle expliqué avec un sourire. Il est resté dans sa chambre pour se reposer.
Je lui ai souris sans répondre, et poussé un verre vers elle.
— Je devrais peut-être rentrer, a-t-elle répondu, je ne crois pas que ce serait très raisonnable.— Vous avez envie d’être raisonnable, Julie ?
Elle n’a pas bougé. Elle m’a regardé droit dans les yeux sans pouvoir bouger le moindre muscle.
— Vous avez réfléchi à ma proposition ?— Je... euh... oui mais je ne crois pas que...— On ne vous demande pas de croire, Julie. On vous demande de répondre. Est-ce que vous avez envie que je vous aide ?— Je... oui. Je crois que oui.
Je me suis levé et me suis avancé vers elle en tenant nos deux verres. Je lui ai donné le sien, puis j’ai posé ma main sur sa hanche, et déposé un baiser au coin de ses lèvres.
— Vous prenez la bonne décision, Julie. Venez avec moi au salon.

J’ai pris place sur le canapé, Julie me suivait un mètre derrière. J’avais l’impression qu’elle n’osait pas bouger, qu’elle était complètement perdue. Ce qui me plaisait, car j’allais me faire un plaisir à la guider. Quand enfin elle s’est retrouvée assise à côté de moi, j’ai levé mon verre pour trinquer avec elle, et naturellement, posé ma main sur son genou. Elle semblait électrisée et incapable de réagir. Elle sirotait son Gin à petites gorgées, je ne savais même pas si elle aimait ça, et elle n’avait pas l’air de savoir non plus. Elle portait une longue robe en laine, qui lui arrivait juste au-dessus du genou. En-dessous, ce qui me semblait être un collant, que je prenais plaisir à caresser du bout du doigt.
— Dites moi Julie, lui ai-je dis de la voix la plus douce possible. Comment avez-vous envie que je vous aide ?
Elle m’a regardé avec un air surpris, et c’était bien normal. Ce n’était pas elle qui avait demandé de l’aide, c’est moi qui lui en avais proposé. Peu de chances, donc, qu’elle sache comment je pourrais m’y prendre. Mais je voulais la pousser un peu dans ses retranchements, lui faire mettre des mots sur ce dont elle avait envie. Pour l’aiguiller un peu dans sa réponse, j’ai fais glisser ma main un peu plus haut sur sa cuisse, passant sous sa robe.
— Vous avez des soucis avec votre travail ?
Julie a fait non de la tête, et ma main est remontée un peu plus haut, a glissé un peu plus à l’intérieur de sa cuisse.
— Vous avez des soucis avec vos amis ?
Encore un non de la tête, et ma main qui remonte encore un peu.
— Ou bien vous voulez que je vous aide avec ça ?
Ma main venait de se plaquer contre son entrejambes. Je sentais le corps de Julie qui palpitait, et la chaleur qui s’en dégageait.
— Oh mon Dieu, a-t-elle fait dans un souffle. Oui... Oui c’est ça. C’est de ça dont j’ai besoin.— Dites le moi. Comment je peux vous aider ?
Elle venait de craquer, mais je voulais la pousser encore. Julie a pris son verre et l’a fini d’une traite.
— J’ai envie qu’on me baise.— Depuis quand tu n’as pas baisé ? ai-je demandé en insistant bien sur le tutoiement.— Trop longtemps.
Ma main malaxait maintenant son sexe, à travers son collant et ses sous-vêtements, et déjà Julie haletait. Elle a lâché son verre et s’est jetée sur moi pour m’embrasser. Mais je ne me suis pas laissé faire, j’ai retiré ma main et l’ai gentiment repoussée.
— Attends, attends, ne crois pas que ce sera si facile.
Je prenais conscience de mon sadisme, alors qu’elle me regardait avec ses yeux de biche qui ne comprenait pas grand chose à ce qui lui arrivait.
— Je te demanderais dans un premier temps de te lever et de te déshabiller.
Julie eut un léger sourire, comme si je plaisantais, mais ce sourire s’est rapidement effacé. Elle a pu lire dans mes yeux que j’étais tout à fait sérieux, et que c’était une condition sine qua non si elle voulait aller plus loin. Alors elle a fini par se lever lentement et me faire face. Ne sachant visiblement pas trop par où commencer, elle s’est d’abord penchée pour défaire ses bottines. Puis elle a passé les mains dans son dos, défait la fermeture éclair de sa robe. Celle-ci a glissé lentement de ses épaules, le long de ses bras, mais Julie l’a retenue en me regardant. Je l’ai fixée, comme pour lui dire que non, je ne changerai pas d’avis. Alors Julie a laissé sa robe tomber sur son ventre et ses jambes. Instinctivement, elle a tenté de cacher sa poitrine.
— Le collant maintenant, lui ai-je dit avec une certaine froideur.
Julie a baissé ses mains, et a fait rouler le collant le long de ses jambes. Elle s’en est défaite comme elle a pu, et s’est retrouvée en sous-vêtements face à moi. Ses mains, hésitantes, sont remontées pour couvrir sa poitrine, avant de finalement venir se coller le long de son corps. Je la regardais maintenant avec attention. Ses seins, d’une très belle taille, semblaient pressés de sortir de son soutien-gorge pigeonnant en dentelle rose saumon. Le bas, un shorty, était assorti au soutien-gorge, en dentelle transparente, mais pas assez pour que je puisse bien voir ce qu’il cachait. Je lui ai lancé un sourire et me suis levé à mon tour. Je suis venu me planter face à elle. Si proche qu’elle pouvait sentir mon souffle contre sa peau. Sans la lâcher du regard, j’ai ajouté :
— Le soutien-gorge maintenant.
Julie tentait de fuir mon regard, mais à cette distance, c’était difficile. Elle a passé ses mains derrière son dos, et lentement, s’est séparé de son soutien-gorge, qu’elle a laissé tomber au sol. Sans la lâcher des yeux, j’ai posé ma main sur sa hanche et l’ai remontée jusqu’à attraper l’un de ses seins, que j’ai caressé et malaxé doucement, comme pour en apprécier la valeur. Était-ce le froid ou l’excitation, mais sous mes doigts je sentais ses tétons darder légèrement. Je me suis amusé à en pincer un, très légèrement, entre deux doigts. La réaction de Julie ne s’est pas faite attendre, un gémissement s’est échappé d’entre ses lèvres. J’ai décidé de lâcher son sein, et ai fais un pas en arrière. Je ne voulais pas aller trop vite, et surtout, je voulais la faire languir. J’ai alors commencé à me déshabiller lentement devant elle. Mon tee-shirt d’abord, puis bouton après bouton, mon jean. Je me suis retrouvé face à elle dans un boxer qui ne cachait strictement rien de mon érection. Julie, cette fois, n’avait pas le regard fuyant, bien au contraire. Elle ne décollait plus ses yeux de la bosse que j’avais entre les jambes.
— Je t’en prie, lui ai-je dis, tu peux me l’enlever.
Instinctivement, Julie s’est agenouillée. Elle a pris délicatement l’élastique de mon sous-vêtement entre ses doigts et l’a baissé jusqu’à mes chevilles. Mon sexe lui a sauté au visage. J’ai entendu sa respiration se couper, c’est presque si je pouvais entendre son cœur battre dans sa poitrine. J’ai alors posé ma main sur son crâne.
— Depuis quand tu ne t’es pas retrouvée face à un homme qui bande pour toi ?
Le langage cru était intentionnel. Je sentais qu’elle n’était pas farouche, et qu’elle avait juste besoin qu’on la pousse à libérer sa vraie nature.
— Je... Longtemps, a-t-elle répondu. Trop longtemps.
Et sans attendre quelque directive, elle a pris mon sexe dans sa main. Le contact m’a électrisé. Ses doigts étaient fins et habiles, et sa peau était chaude. Je n’ai pu retenir un léger grognement, qu’elle a pris comme un encouragement. Elle s’est penchée sur moi et, tout en me masturbant très légèrement, a embrassé mon sexe comme elle aurait embrassé un amant, les yeux fermés, entourant sa langue autour. J’ai agrippé ses cheveux un peu plus fermement, et Julie a ouvert la bouche pour gober mon gland. Elle m’a avalé, centimètre par centimètre, et plus je serrais mes doigts autour de sa tresse, plus elle essayait de me prendre profondément. Prometteur, ai-je pensé. Elle n’arrivait cependant pas à me prendre entièrement, et se reculait en toussant et en laissant couler de la salive sur son menton. Mais elle était terriblement motivée, et c’était terriblement excitant. Je l’ai laissée essayer encore deux ou trois fois, puis j’ai tiré sur ses cheveux pour libérer mon sexe.
— Pas mal, lui ai-je dis alors que c’était bien plus que pas mal. Ça mérite encore un peu d’entraînement, mais pas mal.— Merci, m’a-t-elle répondu en baissant les yeux.— Va sur le canapé maintenant.
Julie a fait oui de la tête et s’est levée. Mais au lieu d’aller s’assoir sur le canapé comme je pensais qu’elle le ferais, elle s’est mise à genoux dessus, face au dossier, les fesses tournées vers moi. Elle m’épatait un peu plus, de minute en minute. Je me suis avancé vers elle et ai posé ma main sur sa croupe, caressant le bas de son dos, puis ses fesses rebondies, que j’ai pris plaisir à malaxer. Ma main a alors glissé entre ses jambes, et j’ai découvert qu’elle était complètement trempée. Je pouvais la sentir qui dégoulinait à travers la dentelle de son shorty.
— Dis donc, lui ai-je dis en massant son entre-jambes, on dirait que ça t’excite, tout ça ?— Oui, m’a-t-elle répondu en soufflant, énormément.
Mon doigt a glissé sous la dentelle et entre ses lèvres avec une facilité déconcertante. Julie s’est mise à gémir, puis, devançant mes questions suivantes, m’a dit:
— J’aime être prise sauvagement... J’aime être soumise...
Les yeux fermés, la tête contre le dossier du canapé, elle m’avait avoué ça comme si elle était sous hypnose. Mais mon sang n’a fait qu’un tour. C’était une perle rare que j’avais sous la main. Ma main, d’ailleurs, s’est du coup faite plus ferme. Elle a lâché un instant son sexe détrempé pour remonter vers ses fesses. Je l’ai caressée une seconde, mais l’instant d’après je l’ai sèchement claquée. Sous le coup de la fessée, Julie s’est cambrée dans un gémissement.
— On va bien s’entendre alors, lui ai-je dis. Baisse ta culotte.
Sans hésiter, Julie s’est exécutée. Elle a baissé son shorty à mi-cuisses seulement, avant d’attraper ses fesses et de les écarter pour tout me dévoiler. Cette fille était géniale ! Je me suis alors approché pour mieux voir son sexe entièrement épilé, ses lèvres ruisselantes, et plus haut, son petit trou plissé. J’y ai à nouveau glissé la main, et deux doigts y sont rentré le plus facilement du monde. Julie s’est mise à gémir. Aussi, je ne l’ai pas faite attendre plus longtemps, et après m’être positionné derrière elle, j’ai poussé mon sexe en elle. Julie s’est mise à grogner de plaisir tandis que je m’enfonçais entièrement en elle, agrippé à ses hanches. Une fois bien en place, j’ai commencé à aller et venir en elle, et Julie grognait de plus en plus fort. J’ai dû lâcher l’une de ses fesses pour lui mettre la main devant la bouche, sans quoi elle allait réveiller Raymond. Ma deuxième main n’est pas restée inactive, et quand elle ne pétrissait pas son cul, elle le claquait, fermement, en rythme avec mes coups de reins. Julie avait l’air de tellement apprécier le traitement que je lui infligeais, que rapidement ma main sur sa bouche n’eut plus aucune utilité. Je l’ai donc passée dans ses cheveux, que je tirais pour l’obliger à se cambrer plus.
La bête en moi était maintenant bel et bien sortie. Mes coups de reins étaient bestiaux, je grognais de plaisir, et son cul rougissait au fur et à mesure que je la fessais. Je sentais bien que dans cette position, et dans cet état d’excitation, je n’allais pas pouvoir durer très longtemps. Aussi je me suis penché au-dessus de Julie et lui ai ordonné de se toucher en même temps. Je voulais que pour son premier soir sous mon joug, elle jouisse comme elle ne l’avait pas fait depuis très longtemps. Elle s’est exécutée avec plaisir, et j’ai vu sa main disparaître entre ses cuisses. Elle n’a pas mis plus de cinq minutes à atteindre l’orgasme, criant, et cambrant son corps un peu plus encore. J’ai senti tous les muscles de son corps se tendre, et cela a provoqué mon point de non-retour quasi immédiatement. J’ai cependant décidé de sortir de son sexe encore palpitant juste avant l’éjaculation, préférant me répandre sur ce cul magnifique. Je noyais ainsi sa raie sous mon sperme en grognant comme un animal.
Il nous a fallu encore deux ou trois minutes pour reprendre nos esprits. C’est Julie qui a brisé le silence qui régnait désormais dans le salon.
— Merci Marc, m’a-t-elle soufflé, les yeux encore fermés. Merci infiniment.— C’était avec plaisir.
J’admirais le spectacle auquel je venais de participer activement. Julie avait toujours une main entre ses cuisses, l’autre lui permettait de tenir à quatre pattes sur le canapé. D’entre ses jambes coulaient nos sécrétions mélangées. J’ai alors remonté sa culotte, restée enroulée à mi-cuisses, prenant bien soin d’emprisonner tout ce jus, de bien imbiber le tissu.
— Comme ça tu en auras un peu pour ce soir, lui ai-je, avant de claquer son cul avec un peu moins de force cette fois-ci.
Julie s’est enfin retournée, et m’a souri.
— Merci, me dit-elle à nouveau. Je crois qu’il serait temps que je rentre, à présent.— Tant que tu reviens demain...— Evidemment. Et Raymond alors ?
Elle m’a fait un clin d’œil avant de se relever et de se rhabiller, avec beaucoup moins de pudeur que lors de son effeuillage. Puis elle a récupéré ses affaires et sans rien dire d’autre, a ouvert la porte d’entrée. Je l’ai regardé, nu, assis sur le canapé déformé par nos assauts répétés, et avant qu’elle ne parte, je lui ai dis :
— Julie ?— Oui ?— Tu seras ma chienne jusqu’à la fin de mon séjour ici. Ça te va ?— Oui. Avec plaisir Marc.
Et elle a quitté la maison de son patient. Quant à moi, je suis resté assis un moment, réfléchissant déjà à la suite.
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