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La détresse de l'aide soignante

Chapitre 3

Hétéro
La nuit a été courte. Jusqu’à tard après le départ de Julie, j’ai cherché des idées, dans ma tête, et sur Internet. Je m’étais d’abord documenté, essentiellement sur des sites pornos, avant de chercher sur Google Maps où se trouvait le sexshop le plus proche. Il y en avait bizarrement un à Rochefort, et j’étais très curieux de voir à quoi il pourrait ressembler. J’avais prévu d’y aller bientôt. Puis, j’avais regardé encore un peu de porno, et avais fini par me masturber et me coucher vers 2h du matin.
Rien d’étonnant, donc, si je n’ai pas entendu quoi que ce soit lorsque Julie est entrée dans la maison à 8h15. Je n’ai saisi qu’elle était là que lorsqu’elle a tiré sur ma couette. J’ai sursauté, ne comprenant pas ce qui m’arrivait, mais Julie m’a vite rappelé pourquoi elle était là, en prenant mon sexe, alors en semi érection, et en le gobant d’un coup. Je m’éveillais doucement, et mon sexe aussi. Quelques secondes ont suffi pour bander à fond dans la bouche de Julie. Ma main dans ses cheveux, je profitais de ce moment de grâce, me demandant intérieurement s’il existait un meilleur moyen de commencer la journée. Julie n’avait en outre pas oublié la leçon de la veille, et je n’ai pas eu à insister très longtemps sur l’arrière de son crâne pour qu’elle me prenne dans sa gorge. Le geste n’était pas encore totalement assuré, et elle s’est étouffée plus d’une fois, laissant à chaque fois couler sa bave épaisse le long de mon sexe. Mais elle n’arrêtait pas pour autant, malgré le manque d’oxygène, et j’ai pu la maintenir vingt bonnes secondes avec mon membre entièrement en elle, son nez dans mes poils pubiens. Ce qui a eu raison de moi. J’ai éjaculé directement dans son œsophage en grognant.
Une fois ce premier orgasme de la journée passé, et après avoir retrouvé mes esprits, j’ai aidé Julie à se relever et à venir se joindre à moi sur le canapé, où j’étais encore allongé. Je l’ai embrassée longuement, puis essuyé les larmes sur ses joues, que la fellation lui avait tirées. Couchée à côté de moi, à moitié sur moi, je passais la main sur son dos pour la caresser.
— Salut, lui ai-je dis en l’embrassant à nouveau.— Bonjour, m’a-t-elle répondu à voix basse. J’ai décidé de venir un peu plus tôt pour vous réveiller, j’espère que ça vous a pas dérangé.— Non, ça va. Tu sais déjà ce que j’aime, c’est merveilleux. Mais après ça, tu vas me tutoyer, n’est-ce pas.— Comme vous voudrez, m’a-t-elle répondu un peu espiègle.— Allez ! lui ai-je dis en lui claquant doucement le cul. Va donc t’occuper de Raymond, pendant que je te prépare un petit déjeuner. Ou plutôt un deuxième petit déjeuner.
Julie s’est levée en souriant et s’est regardée dans un miroir pour remettre son maquillage et sa coiffure en place avant de monter voir son patient. Je l’ai entendue parler à mon grand-oncle avec sa voix pleine de joie, tandis que j’enfilais un caleçon et me dirigeais vers la cuisine. Elle est cette fois revenue avec Raymond, qui se sentait en pleine forme après une bonne nuit. S’il savait à quel point la nuit avait été bonne pour moi également. Je suspectais Julie de penser la même chose, tant elle n’arrivait pas à se défaire de son sourire. Je ne la connaissais que depuis deux petits jours, mais je la trouvais déjà changée. On minimise trop souvent l’impact d’une bonne baise.
— Dites, j’ai pensé à un truc, nous a dit Julie. Je n’ai qu’un seul autre patient à voir et je suis libre. Peut-être que je pourrais vous amener sur le bord de mer cet après-midi ? Raymond m’a beaucoup parlé de vos souvenirs, Marc.
Raymond m’a regardé avec un grand sourire. Même si j’en avais eu envie, je n’aurais pas pu refuser cette proposition, ne serait-ce qu’à cause de ce sourire. Celui de Julie en valait la peine également. Je ne savais pas quelle idée elle avait en tête, mais c’était une très bonne idée.
— Oui, bien sûr, ai-je répondu, ce serait super.— Alors je viens vous chercher à quatorze heures. Je file maintenant.
Elle a bu son café d’une traite avant de rajouter :
— Merci pour le petit déjeuner !
Je l’ai regardée partir tandis qu’elle ondulait un peu plus du bassin qu’à l’accoutumée.
— Vous devriez aller dîner ensemble pour mieux vous connaître, m’a dit Raymond en me sortant de mes pensées.
Je lui ai souri et une fois de plus pensais "si tu savais...".
Julie était là à quatorze heures pétantes. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était ponctuelle. J’ai aidé Raymond à entrer dans la petite Clio de Julie puis me suis installé à l’arrière. Il nous fallut vingt-cinq minutes pour arriver à Châtelaillon-Plage, où Raymond habitait autrefois. Julie gara sa voiture sur le parking à côté du casino, et nous sommes partis sur la plage. Il nous aura fallu quelques minutes à peine pour retrouver l’ancienne maison de Raymond. C’était là que se trouvaient tous mes souvenirs. Une petite maison mitoyenne sans prétention, mais donnant sur le front de mer. Un vrai luxe. Raymond s’est mis à nous raconter toute sa vie dans cette maison, bien que je connaisse déjà ses histoires. Julie l’écoutait cependant avec toute son attention. Nous avons marché pendant un long moment, au rythme de Raymond et de ses histoires, sur le bord de mer. Mais il faisait froid, le vent se levait, et la pluie menaçait d’arriver, aussi nous nous sommes réfugiés dans un des cafés aux abords du casino.
Raymond et Julie ont pris un café, et je me suis permis une bière. Raymond ne s’arrêtait plus de parler, comme si sa source de souvenirs était inépuisable. Julie restait concentrée et l’écoutait attentivement. Pour ma part, je connaissais toutes ces histoires par cœur, aussi j’avais tendance à être un peu plus distrait. Alors je regardais Julie, assise à côté de moi, sa robe semblable à celle de la veille, ses jambes recouvertes par ses collants, son décolleté, son visage angélique que j’avais envie de souiller. J’ai pris son portable qui était posé sur la table, face à elle, et ai commencé à taper un message. Julie m’avait vu, je ne m’en étais pas caché, mais tentait de ne pas se laisser distraire et continuait d’écouter. J’ai ensuite glissé le portable face à elle pour qu’elle puisse lire le message que j’y avais tapé : "Descends aux toilettes et ramène moi ta culotte." Je l’ai vue rougir presque immédiatement, et tiré sur sa robe, comme si elle s’était déjà exécutée. Pendant quelques secondes, elle n’osait plus croiser mon regard, ce qui avait tendance à beaucoup m’amuser. Elle a fini par interrompre Raymond en posant sa main sur son bras, prétextant un besoin d’aller aux toilettes. Je l’ai regardée descendre, et j’ai bien vu que Raymond ne s’en était pas privé non plus.
— Tu as raison tonton, lui ai-je dis, je crois que je vais l’inviter à dîner. Ça te va de rester seul ce soir ?— Mais bien sûr mon grand ! Ça me fait plaisir de voir que vous vous entendez si bien.
Julie est revenue quelques minutes plus tard. Elle ne portait plus ses collants. Elle s’est assise à sa place et glissé quelque chose dans son sac. Puis sa main a disparu sous la table, et elle a déposé sa petite culotte sur mes genoux. Je l’ai prise entre mes doigts, touché la dentelle noire en souriant. Puis je l’ai rangée dans ma poche.
— Je vous écoute Raymond, a-t-elle repris, je suis toute à vous.
Je l’ai regardée et lui ai lancé un regard pour lui faire comprendre qu’en réalité, elle était toute à moi. A mon tour j’ai passé la main sous la table et je l’ai glissée jusqu’à son genou. En essayant d’être le plus discret possible, je l’ai lentement faite remonter sur sa cuisse, sous sa robe. Julie frémissait mais tentait d’être aussi stoïque que possible. Elle a cependant eu un peu de mal à contenir un frisson lorsque mes doigts se sont accrochés à sa fente. J’ai jeté un coup d’œil autour de nous, personne, à priori, ne pouvait nous voir. Alors on a continué à écouter Raymond tandis que mes doigts ouvraient son sexe. J’avais un peu de remord à faire ça devant mon grand-oncle, je me disais que ça ne se faisait pas. Mais la situation m’excitait, et l’humidité que je commençais à sentir sous mes doigts me poussait à continuer. Julie avait les joues rouges, et ça commençait à se voir. Son souffle s’accélérait, se coupait par moment. Il faut dire que je venais de pénétrer mon deuxième doigt en elle, et écrasais son clitoris avec la paume de ma main.
— Les enfants, a lancé Raymond, si ça ne vous dérange pas j’aimerais rentrer, je commence à être fatigué.
J’ai lâché l’entrejambe de Julie d’un seul coup, et posé ma main sur sa cuisse.
— Bien sûr tonton, ai-je répondu, on va y aller.
Je suis allé payer nos consommations et nous sommes tous sortis. Julie regardait partout autour d’elle et tirait sur sa robe, comme si tout le monde savait qu’elle n’avait rien en-dessous.
— Pas trop froid ? lui ai-je demandé à voix basse en posant ma main sur son derrière.— Si.
Le vent nous soufflait en pleine face maintenant, et je n’osais imaginer ce qu’elle devait ressentir sous sa robe. De retour dans la voiture, il aura fallu moins de cinq minutes à Raymond pour s’endormir, sa tête balançant inexorablement de droite à gauche, puis de gauche à droite. Une fois sûr qu’il dormait à point fermé, je me suis détaché et suis allé me mettre derrière Julie. Ma main est passée sur sa cuisse, ce qui l’a faite frémir.
— Du calme, lui ai-je dis tout bas, roule tranquille. Ne va pas nous tuer maintenant, on a encore beaucoup de choses à vivre.
Julie a acquiescé d’un geste de la tête, et s’est déportée sur la voie de droite, à une allure bien en-dessous des limitations de vitesse. Ma main a glissé sous sa robe et je suis remonté jusqu’à toucher son sexe. Julie, elle, avait les deux mains agrippées au volant, à 10h10, comme s’il s’agissait de sa première leçon d’auto-école. J’ai été à la fois heureux et peu surpris de constater qu’elle mouillait déjà.
— On dirait que ça t’excite, lui ai-je dis.— Oui, a-t-elle soupiré en réponse, tu m’excites énormément.— Reste concentrée sur la route.
J’ai fais aller deux doigts le long de sa fente, mais pas plus de dix secondes, estimant que l’excitation me faisait faire des choses bien trop dangereuses. Ma main est sortie de sous sa robe, et est remontée attraper l’un de ses seins. Je l’ai malaxé un moment, à travers sa robe, avant de glisser dans son décolleté. Sans plus attendre, j’ai pris son téton entre mes doigts et l’ai pincé, provoquant chez Julie un grognement, entre plaisir et douleur.
— Ce soir on sort, lui ai-je lancé en jouant avec ses seins. C’est une idée de Raymond. Je crois qu’il aimerait nous caser l’un avec l’autre. Alors ce soir on sort, on dîne, on prend un verre, et après tu es à moi. Pour toute la nuit.— Oui. D’accord Marc, m’a-t-elle répondu avec un sourire.
Raymond s’est réveillé lorsque Julie garait la voiture devant sa maison. La nuit venait de tomber. Ils sont tous les deux montés à l’étage pour les soins de Raymond. J’ai profité de ces trente minutes pour me renseigner sur les restaurants, et autres établissements, qu’il était possible de trouver à Rochefort. Avant qu’ils ne redescendent, j’avais réservé une table pour 20h30. Raymond est allé s’installer dans son fauteuil, devant la télé, et Julie l’a salué en se dirigeant vers la porte. Je l’y ai raccompagnée en posant ma main sur sa taille.
— J’ai besoin de ton adresse, je viens te chercher à 20h.— Mais, c’est-à-dire que mon compagnon sera là, et...— Ne t’en fais pas, il n’en saura rien. Habille toi sexy. A toute !
Après qu’elle m’ait dit où elle habitait, pas très loin d’ici, je l’ai embrassée au coin des lèvres et j’ai refermé la porte derrière elle.
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